Le Corpus des lettres: lettresGordes

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  • soubz le seigneur Léonard Corty

    trouver logis, quelque dilligence qu’ait sceu faire monsieur

    ayse de sa venue et de le veoir en si bon portement. Il

    s’amployera pour le faict duquel vostre seigneurie luy a escript

    Ie suis tous les iours atandant l’isue que prendra

    de quoy je vous prye de m’excuser et croire

    de la sourtir de différent avec sa mère et vous prioys

    m’asseurant que ce sera en brief, pour imiter les exemples du metre

    qu’il a le tiers du moins des companies que n’en ont

    les lettres que nous avez escrittes despuis, vous nous chargés

    letres et par bonne volonté ; et en attandant que Dieu me face la grâce d’en venir

    De par deça, l’on tient pour asseuré que l’armée de la Ligue

    et soldars qui sont destinez pour le service du roy pour la garde et deffense desdites

    Les huguenotz asseurent et ce font ouyr qu’ilz ont prins ses centz mille esculz qui estoyent dans les

    de la présente, duquel la depêche eust esté ung licenciement,

    se conduisoient d’icy à Marseille n’avoient jamais accoustumé de passées

    porte l’apointemant qu’avés fait avec monsieur d’Uriage,

    guerre avec le roy d’Espaigne son bon frère. Les deslibérations et resoulutions de la court ne furent onques

    vous contanter pour ceste année, car le

    faict avecqz le feu capitaine Wild son prédécesseur et puis

    durée et grande despense, aussi bien que s’il se fust agi

    Vous adviserés si pour le moins il ne seroit bon de le serrer ou

    lettre en a fait copie et icelle publiée bien fort.

    faire faire ladite levée commes nos voysins de la frontière

    arrivez cinq ou six cens chevaulx bien en ordre

    jours, mays ce pandant pour vous relever

    accompagné de plussieurs de la religion, sortantz des aultres

    nous y aions faictz comme on en fera apparoistre

    principale cotte qui m’a esté ordonnée. Il vous

    arrivera, qui sera dans quatre iours, ce diton,

    et denfens et bien peu de moyens comme ung pouvre

    ensemble. Leurs magestés persistent en leurs dire quil ne veullent aulcunement rompre la paix avec

    me recommander bien humblement à votre bonne grâce, priant Dieu,

    doubte. Lon continue que le XVe de ce moys, notre

    affaires, sy ce ne vous est ennuy de les entendre, ledit Monteuil vous

    obéissant et prest à recepvoir tous les commandemants

    Le IIIme juing ont esté veues quatre gallères en Calhery en Sardègno

    de Rossillion ont couru sur le Languedoc et emmené

    considerations et par ce que ung maître Guillaume Michal, chanoyne

    sa majesté contre diceulx et faire acte recommandable d’aider à remettre les

    permettre que je vous baise les mains par la presente

    armée, actendent quelques galleres de ranfort. Sy jen puis

    me conta comme le seigneur Don Joan d’Austria est tousiours après

    et principallement à vous, que de votre grâce, nous avés faict tant de

    Paris, après avoir esté depesché par leurs majestés pour aller en Lorraine

    et exès quy ce sont commys tant en ceste ville

    et prierès à Dieu qu’il vous doint

    armée de mer, est party de La Spetia et retourne

    monstra où vous estes retranché à deulx mil livres

    le XVIe du present en la reception de

    Au demeurant, Monsieur, comme l’occasion fut disposée de faire entendre à leurs magestés la

    peult servir, luy commandiez votre vollonté. Je

    de Lorraine par la voie du banquier qui a prins charge de laffaire que nous y avons. Je ne

    congié pour fère ledic vouage. Je luy

    et sy il mestoyt permis de parler librement,

    à ce voyage d’Angleterre don tous sceulx de sa suicte

    et ne vous destornés à poing dung pas du grand

    que du dixhuictiesme du passé, qui est troys jours apprès

    office dont maviés chargé. Il fut, je vous assure

    quinse jours ou bien luy poyer ung réal et dymy pour

    manday vers le gouverneur de Milan, il semble qu’ilz s’aillent quiétant. Je receuz hier

    qui sont en Espagne et lesquelles le seigneur Juan

    que je prye Dieu vous avoyer

    monsieur, que sy vous n’ayder à ceulx de Vorèppe de quelques

    vous en mesme estat. La guerre n’est plus ci

    guière le desplaisir de la vente de nostre bien. Si j’avoys

    siennes comme bon luy semblera et plaira. Voullant bien dire néantmoings là-dessus

    la contesse mesmes que monsieur de Carces et

    qu’on ha grand spérence qu’il en sera tost quitte, s’il plaict

    et Lauteret, sont hencour de present

    on en fabrique tousiours d’aultres de ce costé là, qu’il

    de Saut et passant par icy me bailla ; et despuis par celles

    votre bonne grâce. Je ne m’estandray poinct

    de ce pays disent qu’ilz s’en vont en Flandres

    Ilz dise que monsieur de Montbrun les mène.

    a escrit à monsieur du May affin qu’il commande aux maistres des postes

    en faveur du roy a relâché librement et sans rançon Dom Gian Paulo Vagliony, collonel pour les Vénitiens

    que onques à ma vie je ne le pence havoir veu ne parlé,

    extreme déplaisir de la maladie de monsieur le président

    (après la présente dépêche faicte par laquelle i’envoye

    et messeigneurs ses frères, le roy de Navarre et messieurs les princes

    Monsieur, en parfaicte santé, très longue et très heureuse vie

    qui font courir le bruict que monsieur d’Acier sera bien tost

    espire à La Magdeleyne. En cella japperois cognoist[r]e son humeur, daultant quelle

    trois à quatre mille chevaux pour asieger Montz et que y ly

    aussy que ledit sieur de Beaumont m’a tousiours adverty

    du Lyonnois et Vivarès, qui s’atendent que je les

    que vous en promettre, ne dire et quant à l’autre, vous ayant cy devant mandé

    par courrier exprès d’ainsi le fère, l’assurant

    que moy mesmes nay peu estre le pourteur. Je men vois

    ie madsure que le plus gran plesir que ie vous scaurés fère set de contenter madame

    1572

    de comptes. Je vous vouldrès bien suplier très humblemant luy

    quil partira et auquel il pourra estre ausdits confins, car par un mesme

    et pour lespérance que jay de vous veoir bien tost, je feray icy

    envoyé hun fan de biche , le quel il maporta ysy

    envoye ont estés prins sur les terres de monsieur de St

    ce pays. Je vous envoye ung double de

    ne soit que le meilleur pour beaucoup de considerations ; et pource je

    lieu qui est sur la Corbière à demye lieu de ma mayson, et

    et joindre mes compagnyes, tant pour le fayt de

    appartient de la défendre ; et pour venir à la narration de ladicte

    supplie, monseigneur, de me commander et je

    cyl luy plet, auquel je prye

    quest la cause que je ne laysse à fère

    voyant que lesdits cappitaines procèdent en cecy de la mesme façon

    rayson. Il me reste plus, sy non, monseignheur, quyl vous playze de mayder

    soyez toutz en bonne santé. Je suis estée bien aise d’entendre

    ay mandé qu’il n’en estoit poinct de nouvelles et s’il en estoit

    et de madamoiselle de Chans ne debvoit estre grans veu que

    guerre, ce mot de lettre nest à aultre fin que vous confirmer sur ce les

    procès, car vous avés jadis leu multus lux(us) p(a)ratur qui recedit a lite

    n’est enquores fermée. Ie n’ay aucune

    en demeurray toute ma vie obligée à vous obéir en tous

    de malades, mesmes de fievres continues, mais, grâces à Dieu,

    entretenir. Je respondis à chascung chef de sa plaincte, luy

    Adretz ne séiournera point demain au Bourg.

    sancté cellon que je puys entendre et aussi messieurs nos frayres et madame notre bone seur

    de divers endroictz. Mais, par celles que trouverez cy enclozes, dont

    quel dessein il prendra. Lon craint bien que les troubles de Flandres

    que j’ay advisé de départir vosdites compagnies par les garnisons, il

    de part en sa bonne grâce que aulcun aultre. Je prie Dieu le nous conserver.

    dela en bon estat puis qu’il n’y a poinct heu de recharge.

    ung ambassadeur que les Venitiens mandent au roy d’Espagne, qui

    Monseigneur, vous donner sancté longue et heureuse vie. De

    moy-mesmes menay en noz prisons, où il est

    Mon dit nepveu et an bonne santé et

    heures pour prendre le frecz et se retire entre six et sept.

    par le chemin m’a prins une fiebvre tierce, laquelle ma tenu

    résolu à la présente prière et requeste dudit seigneur conte à l’assistance des susnommés. Les choses

    en une honorable charge par deça, suivant sa volonté de

    le malade se portera bien dans peu de temps puis que la vérolle

    Dieu,

    vous envoier une lettre quil reteut hyer de mondit sieur de Birago

    que madame la contesse de Grignan y serra dens

    Il vous plaist en avoir asseurance en moy et de mesmes

    escript par un nommé Bonnelle qui est en chemin pour venir. Sil a

    Pressins son frère à IXm[ille] Vc[ent] livres. J’eusse bien désiré que

    que nous y avons fait plus de séiour que nous ny

    commander. Pour lasseurance que jay que mondit frère vous yra baiser

    d’espérance que le commandement de mettre les voilles au vent arriveroit de jour

    que avons faict et sur ce est venu nouvelle

    me recommande et prie Dieu vous donner

    commander de conduyre, elles ont passé avec le moyngs de desordre

    monseigneur, que encores que les deux compagnies, suivant voz commandementz et

    mesmes quy me la dit jay antandu votre mal, de fasson

    passé tous le terme à quoy elle avoit esperance et

    pour ne vous estiés estre trop ennuyeux par ceste lettre,

    premier president, encores que par votre lettre, vous men doniés

    en sur séance. Et si vous avyés moyen de l’appoincter avec ses

    de surseier un peu son prosès par ce que

    prisonnier, juques à se que jaie autenue sa grace,

    votre oyseau, lequel vous asseure quest grand

    quatriesme à ceste ville, et vous puys bien asseurer que

    comme ledit Don Joan ha faict entendre au sieur

    ne soict precipité ou accelleré par les importunités de

    que madamoiselle de Monery connoit. Je vous baise les

    vostre seigneurie sache par eulx le proffit qu’ilz ont

    l’envoyer faire ladite monstre, auquel j’ey escriptz à ces fins.

    depuis il na heu aucung resantimant de fievre, qui a

    moyen du bon regime quil la tenu et pour le bon naturel

    de guerre quilz se font en la duché de Milan et coment la

    dautant affectionné volunté, qu’attendant le retour de cedit laquays en bien bonne

    a votre santé. Jay receu des lestres de Prouvence, lesquelles

    ma dit que vous partiés pour Laval, don ausy an est

    d’Algyer les aultres quelle vient à Leispece [barré :metre

    siennes à Monsieur de Chastellart. Je partiray dimanche prochain pour maquiter de la

    Adretz en Piemont ; et me remettant à icelle, je

    vous suppliant très humblement navoir esgart à la vallue du present mis

    vois tenir garnizon à Tron près d’Aix là oùt vous supplie regarder

    la presente, jay si bien deviné qu’à l’instant jay receu

    choses, crainct rechoir en telle misère et calamité que puys naguières nous

    et Pommet, il an y at deux quil vous escrivent que je

    combyen jay danvye de vous randre sertain de la

    parachever mon voyage. Je me recommande en cest endroit très

    vivres necessaires suyvant vostredit commandement ; et

    Monseigneur vous conserver en parffaicte santé

    et dorge, quil meslera avec davoyne pour faire

    vous metre en poinne. Yer, je fis ung apoitement avec

    de Montelimar nommé Franciscin, soubz le nom de tiers

    ville quilz ne si rendent toutz emsemble, pour ne voulloyr demesler aulcunes affaires sans la

    fais participant et que je désire entendre de vos nouvelles, estat et santé par le

    juillet 1572

    commance de ce bien porter, puis quil dort et repose

    De ma part, enquores que ne vous en ay rien

    neccessité des affaires qui nous y contraignent, priant Dieu

    asseuré, vous et ledit peuple en estes delivrez, mesmes desdits gentz de pied. Je

    sieur president par ung solliciteur de Thoulouse qui part demain

    avoir entendu vostre volenté. Au surplus, au temps des derniers

    vous donner contentement qui sera la fin, après vous avoir présanté

    permettra, vous merciant bien humblement de loffre que me faictes à ces

    an matière de recouvrer debtes, ie ne crois que ce

    semblé monseigneur, vous en debvoyr advertir, affin que sil vous

    Seigneur me doint de vous bonnes novelles et de Laval et

    plaict la jument et par Demain, envoyés moy les

    que ie me contenteray de vous aller voir. Auiourduy, madame de Portes

    de monsieur de Laval. Cest pour nous monstrer

    faire pour vostre sancté que davoyr changé dair,

    aussy lembassadeur de Florence revenant d’Espaigne. Lesdits seigneurs

    passé, je ne le puys croire, pource que le seigneur Ludovic

    y fesons tout ce que nous pouvons. Nous y avons

    poste, afin que la receviez plus promptement ; et de tant que je ne doubte poinct

    frère, messieurs d’Oraison et de Riez, monsieur de La Coste, messire l’escuyer

    revient en une certaine consideration assez à propoz pour le

    du passé, vous avyés eu un accès de fièvre sans [barré : forme] frisson ny

    Il semble que nous sommes à la guerre, et se parle

    que jay peu envers le tresorier Fournier quelque partie dargent au

    faire, m’asseurant que cest plustost pour le peu d’argent

    guières bien prestes comme nous le desireryont pour avoir

    présentera et où j’en auray le moien. Je m’asseure qu’il

    mays s’il vous a pryé luy en fayre entendre

    lavancement que je scarois jamaiz recevoir, aiant

    les a faict attraper en chemyn, sy bien quilz ont

    vous en escrit à ces fins. Je serois bien

    car sil avoyt 18400 chevaulx et de 31150 fantassins,

    articles presentés par Le Cheylar et Cugy. Je les

    fort bien accompaigné, ayant avecq luy envyron mil

    si grande debilitation (come illa ancores), que il ne peult

    vous prie de croyre. Et ne vous pouvant surce dire rien davantage,

    che lo facevano volentieri non si trova da vivere

    est tumbé malade de la petite verolle, de laquelle il a

    empesché, car jay mon frère malade, une maistresse

    la composition que monsieur le président de Portes

    excuses, ie fus advertie de vostre départ, ensanble

    me mit en fiebvre ; et vous scavés que les medecins

    de dure dessert. Et jespère avec layde de Dieu, que le tout sera

    que ie puys. Et combien que ie soys assés certain

    pour l’un des seigneurs de ce royaulme que j’honnore le plus.

    veue ; mais iay sceu par les secretaires de mondit seigneur le prince

    trouve tous amers. Il se promène par sa chambre environ deux cens pas

    et de toutes aultres, ayant sceu ce jourdhuuy que vous

    en Dieu que se ne sera rien. Je nadiousteray

    de fiebvre, laquieulle veulx esperer en Dieu

    de Laval ce treuve ancores si foueble quil nest possible [barré : de]

    vostre bonne compagnie

    St André ne a peult faire aulcune chose à Loriol,

    troys ou quatre jours avant que monsieur votre filz, qui ma esté

    plusieurs aultres novelles que de jour à aultre viegnent

    pouvoyr rendre près de vous pour essayer vous faire paroistre

    ont esté faicte de vostre part, pour ne lever poinct sus leurs aydes.

    des lettres de monsieur d’Evènes par lesquelles, masseure

    bons. Je le feray quant la commodité se présentera. Je vous ay escript

    providance à ce qu’appertient aux doubtes des assemblées de ceulx de

    Vostre afère avec monsieur de Roissy est tousiours an un

    Chatelard, comme aussi onti fait que vous aviés

    a esté en tel bracolemant jusques aujourdhuy et est encores que les

    envoie pareilhes nouvelles de mon

    Du Maz à la fin nous a estably icy les postes. Il passa

    qui luy fist faire ier jusques à soupper six ou sept selles, et depuis souper

    Monseigneur, en santé, vous donner heureuse et longue vie, après vous

    après la Toussainctz, quil ma promis de lexpédier, estant bien

    quil vous plaise me faire ce bien de faire escrire

    va tousjours en meliorant de sa santé. Ledit jour au

    esté payé, qui sera signé de leurs main. Je vous supplye

    les deux lettres des consuls de la ville et escarton de

    aura esté bien secouru. Il faut louer Dieu de tout. Je commence

    dict quil a commis dung parent et allié et

    pardella ; duquel monsieur de Laval estant hier

    conduyre sadite creue et le favoriser en ce que vous sera possible ; en ce

    à quoy ledict duc de Cesse tournera ses dessains. Il sen est

    Grolier. Or, Monsieur, je loue Dieu de votre bon pourtement

    lussier des Estatz vous envoyer demain grant matin

    sy les deniers son prest pour ne faire retarder

    partout la confiscation de ceulx qui yront à ladicte

    par telles personnes, nestant besoing de plus grande

    jusques au moys prochain à cause que quatre de ses soldatzs

    lesquelz ont esté icy à moy deulx ou trois foys, me remonstrant leur

    et ne puis de moins qu’estre marry de veoir qu’au lieu d’estre gratifié

    presanter. Nous allons ce soir à Montavil et

    Dieu. Monsieur de Evènes et lui fonst desseing ne partir de

    service, je vous obeirey daussi bon cueur que je

    ensemble une prinse de corps contre ung nommé

    monsieur de Rosset m’envoye argent pour achapter des meubles

    je les ay solicités de vous faire respondre à ce que vous en escriviés.

    grandement destre des premiers attaquez, estant leur armée de mer

    emmené le reste avec luy. Cest tout ce que se presente pour lheure par deça

    desquels une partie ha été laissée à Genes

    quil y trouve qu’on remise le tout à la venue de monsieur le

    lhuissier Hucher, present porteur, je lay chargé de ce petit mot de lettre

    demeuré le mardy et mercredy prochin seulement à St Prie,

    monstre audit Vienne, ce que je vous ay bien vollu faire entendre.

    et amys, pansant lavoir perdu, ainsy que vous escrit ledit sieur d’Eybens

    sepmaines quil fut entierement guery. Et moy estant

    Jen ay escript ung mot à monsieur de Rosset pour vous

    voiant ce bon pourtement, nous avons rompu notre voaige de

    dues. Pour vous compter de ma santé, je vous diray que

    dues. Pour vous compter de ma santé, je vous diray que

    necessaire pour le peu despoir quilz voient que je peusse

    vous supplions comme coustumer à nous gratiffier, nous

    debvoit ce pais du quartier d’avril, may et juing dernier, laquelle somme

    avions desir de vous supplier quil feust votre

    lesquelles, ung quil nomme Du Pillet, est allé recevoyr,

    hier matin. A mon lever dhier, jouyz ceans ung

    à tout, je supplie Dieu vous donner

    reparations necessaires audit chasteau ; et me contentis pour lhors

    compagnie. Par vosdites lettres et aussi par celles de monsieur d’Evenes,

    metre fin à son affaire avec monsieur de

    asseurer monsieur, quelle a eu très grand ennuy et fascherie de la maladie

    lequel ie vous en voie. Elle mescrivoit quelle estoit en for bonne

    vers vous ce present porteur exprès, que j’ay bien voulu accompaigner

    coppier les articles, et quand je scauray que monsieur d’Ourche

    Clermond que despuys dix ou douze jours avant sa lettre escripte. Sest celluy

    serviteur. Et estant vers vous, il vous dira les

    car estant luy à Grenoble, il fut davis que lons le fit

    et heureuse vye. De Grenoble, ce XXe daoust 1572

    escrit seur se fect. A mon advis qui ast esté ocasion que vous

    fayre très humble service en ce quil vous plairoit

    la cause que nous les avons renvoyés à vous en les accompaignans

    me promectent quelle ne me tiendra plus ou bien peu.

    heu deux seans et sont maintenent gueris ; Dieu graces estoyent

    Laval. Vous en avés aussy eu vostre part, Dieu en soit loué.

    d’Escamin. Il nest pour asteure en ceste ville, mais à Paris.

    que je cuide qu’il a faict. J’avois demandé prinse de corps,

    vous donner en parfaicte santé,

    premier vous prandrez sil vous plaist cette

    de monsieur Lionne quatre mil livres dont il vous doibt

    medecins qui mont ce jourd’huy purgé, tellement que

    et par mesmes moyen à monsieur de Chapponey

    oultre puysque vostre intention est telle et non autre

    mon beau-frère, font profession de la religion

    Allières despuis hier. Il ma escript ce matin que

    le goust du clairet. Son apostesme et du tout guerie. Voilla sa

    aussy les lettres de monsieur le president Belièvre et de monsieur de

    dans peu de jours aller par dever vous pour en

    les contraindre par voye de justice, ce que de faict je

    contenterey de vous prier, par ceste, quil vous plaise

    guières de vins et y a desià grande pitié au pauvre

    que nous sommes, vous houbeirons de sy bonne vollanté que

    supplie très humblement que sy porvoyés aulcugne

    sy tost à cause que je ne me suys treuvé guières bien. Il fault que je

    De vostre humble et bien obéissente mayson d’Allès, ce

    vous novelles. Jay receu des lettres de monsieur le general

    de monsieur le procureur Girard pour raison d’ung procès qu’il a contre

    lun ne lautre en leur logis. Je me deliberois avant

    maisons et neamoings les plus aparantz d’iseux hont esté donnés en garde

    vous dire monsieur, que noz subiectz de ce lieu ont esté advertis que la companye

    le tout communiqué à monsieur le president de Portes,

    le moyen de Curebource. Il y survint quelques bruit pour ung

    aux copies des letres du roy du XXII et XXIIIIme, qu’il

    fors que deux, où nous avons mys bonnes et seures

    hommes aux portes avec l’exhibition de l’espée seulle, les

    Je viens d’Allières où jay laissé ma fille en sa fiebvre quarte

    en resevrés contemteman. Le souer avamt mon arivée,

    monsieur de Parvans mon nepveu avec dys douzènes

    Vaulx qui sen va à la compagnie de Messieurs de Bressieu.

    departit à neuf heures du matin de Moyrens où contre ce quil

    au champs et en aprenans par sa grace à lung et

    jay bien voulu lacompagner de ce mot pour vous supplier

    roit ; elle lui a dit me vouloir donner au roy. J’ay receu

    de man aller, le mavés tamps, la longueur du

    j’ay oblié descrire en maladie, mais je mectray telle dilligence d’hors en

    à monsieur de Chapponay pour leur en faire le rapport et

    ansamble ; mais les choses sont et me samble an tel

    il y a long temps quelle fut sinée. Ledit Chantereau doit sortir

    desmanteller les lieux que cognoitrés estre de besoing

    ou quil la bailhe audit sieur de Chastelar. Je neusse tant tardé ad ce faire

    con questa opportuna occasione, non ho voluto mancare di satisfare all’

    viez pour ma tante Loyse. La letre que la royne escrit à

    que jaye, mais ie nay peu estre du voiage de monsieur

    nous ont donné la paix, jouir d’icelle en faisant tout service et obéyssance

    desirer. Vous verrés par ma precedante ce quay fait

    tant de faveurs et honneurs qu’il vous a pleu me

    les huguenotz qui s’y estoient retirez eussent à vuyder dans

    lever le nez et que je cognoys ceus qui sont armées, je me deslibère de les desarmer en inventerisant

    de ladite valée m’envoyarent ung consul avec ung present de

    present pourteur, lequel vous supplie croire comme moi mesme

    aussi je recepvoys toutz aultres qui me font

    Lyon, je fays estat après y avoir seiourné quatre

    Saulze et ce seroi aultant de peyne espargnée pour eulx

    et comme jay sceu toute ma vie obeyr à ceulx de qui j’ay esté

    ce que jespère que ne fera, aydant Dieu, quar, à mon advys, ce dit accident ne procède que de

    Carmagnolle en bon nombre et ces aydes ; quant au

    homme de monsieur d’Oreson qui dict avoir une lettre de monsieur le

    remeteray tousiours monsieur à votre bon jugemant

    en doibtz ancores avoir en fondz. Je nay plus qu’ung compte à rendre

    pour recepvoyr voz commandementz, vous asseurant que

    entrecy et la feste de Toussainctz, je vous y pourray aller visiter

    pouvoir pour yceus, desirant grandement quil

    recherché aucunement en sa personne et biens soubz pretexte que, aux

    vous manderez beaucoup de particularittez

    vous pour le desir que jay den scavoir. Je neusse tant demeuré

    de leurs armes d’aultant que jaçoit qu’ilz ayent presque tous

    des Moirenc le sieur reverendissime cardinal d’Ursin a continué

    roy a arrenté son dommaine, ce neaulmoins sa maiesté pourroit

    intention de la combatre. Je vous envoye l’estat

    advenu sans la mort de l’admiral et ses adherens, qui a esté occasion de divertir tous

    qui seront avec luy, mais quil leur soit donné toute commodité de chevaulx,

    qu’elle a receu de veoyr ces freres et sœur, combien qu’il soit de bien petite durée,

    à discourir ensemble à ceste heure-là. Mondit sieur le marechal m’a

    dict que monsieur le cardinal de Lorreyne

    capitaine Bernard mescrivoyt qui vous feut enuoyée dans le mesme

    service du roy ce seroit la ruyne de tout ce pays ; la seconde

    depans dans le château y peut être tenut bien

    sont maintenant en bonne paix et en bonne volonte

    ce souer ung paquet de monsenyeur le marechal

    où il faict ses vendenges. Jespere le y aller trouver sur la fin de la

    le vous desirent. Je pensois (monsieur) vous aller

    de donner à entendre audit sieur cardinal le

    grande seurté et facilité nous puissions nous acquiter de notre charge.

    Mandelot et de vous avoyr envoyé deux paquetz du roy, qu’il me

    renza valersi di me, che me trovara prontissimo in dimostrarle

    telles playntes et semblables de defiance venantz dalieurs et

    plaira entendre en ce que concerne le premier, contenant

    qu’il ne soit pourveu à son office. Les ungs m’escrivent pour eulx,

    sa bas. Je prie dieu d’appaiser sy bien toutes choses

    des cirurgiens cella est cause que je ne sors point

    peult, estre ung jour ou deux au plus à Lyon pour adviser avec

    feray discours de la brefve mort de monseigneur le conte, que Dieu

    tenant asuré de huyt ou neufz mil omes, tant

    conbien descus monsieur le tresorier Lionne me

    provision de plusieurs belles villanelles Napolitaines pour donner à

    Alphonce, pour luy fere entendre votre volonté et lacheminer à

    et delivrer ledit mandement au vibailyf pour le fayre publier et

    car jay sy grant peur quil ne trove escuse pour

    faire ce bien quant yrés trouver monsieur

    car ilia quinse iours quil ce prepare à partir et nest

    et Chasteau de Quirieu que aussi avittuaillement

    et disant que si bon Dieu leur avoyt ousté l’admiral, qu’il

    veoir [barré : tant] comme aussi pour vous acompagner à votre voyage

    de cirot magistral pour aider à chasser les reliques de mon rheume,

    comme ils veullent. Vous presentant mes humbles

    estoit arrivé à Venize une freghate, laquelle donnoit

    et comme ladite armée turquesque a esté du tout deffaicte,

    et net[o]yés vous meysons et ny layssés rien dedans et tenyr vous armes

    Je feray fin à la presente après vous avoir presenté mais très humbles recomendations

    demeure et leur faire bailler et administrer vivres

    deux archyers à ceulx d’Oranges pour vous faire payer, je me doubte

    creue, pour vous prier me donner tel chemin que plaira à

    ceste ville, où il vient veoir monsieur le prevost son

    Contat où elles pourrons prendre deux journées, ainsi

    ung mot à ma dame de Savoye. Pour estre

    aller à la Bastye en Forestz veoir monsieur d’Urfée.

    il n’y viendrat aucun inquovenyen. Monsieur,

    ung college, comme j’eusse bien desiré pour acomplir votre vollonté.

    popullas esviés, se sont mys à cryer qu’il falloyt tuer tous les

    pour moy. Javès heu quatre esès de fievre quarte mays, asteure, graces à Dieu,

    les muralhes de ceste ville et s’en fuyt. Cela n’est advenu par faute d’estre bien serrés, mais

    meintenir en vous bonnes graces et pour vous dire que

    aux montagnes, pource que monsieur le procureur general nous avoyt monstré

    aux montagnes, pource que monsieur le procureur general nous avoyt monstré

    les eglises. Monsieur et madamoyselle de Marcieu presentent leurs

    de jour en jour en Advignon. Bien est ce que jay entendu quil

    de votre personne pour vous y faire service, je heusse accepté, mais la cause a esté

    que le chastellein de Monsieur d’Ourche, mon cousin, print à

    ensemble les messieurs cy dessus, pour avoir sedit

    ung seul serviteur qui sert à luy et à ces chevaux, et luy tout

    doit, que luy a rompu son dessain. Il a commensé de sen trover

    vienne par eaue pour ce quon faict acoustrer

    avoquat au siège quy se trouvera là. Je nay poinct reseu lordonnance

    monsieur d’Apt du XXIX. Je loue Dieu que vous et mada

    ugne inflamation et doleur quil mest seurveneu à la mein

    ma personne et moyens pour vous rendre leurs lettres, ayans plus comode

    par la première despeche que vous ferés audit sieur Bellièvre, luy

    famille, biens et maisons en singulière protection et recommendation,

    si est-ce que incontinant je le feis delivrer au chevaucheur.

    à Mostiés é retornerey ancontinat ; que sera l’androet

    de cela que vous scavés, je pence que aurés entendu le descès de

    de moy, ce que ie ne treuve guières honneste, mais il me souffit que je demeure en vous bonnes

    les remettant au retribueur de tous biens le faire et me donner la grace et

    quelques propos qui eussent estées altiers, que nous ne nous fussions point despartys amys ;

    Le seigneur Arfonce, coronel des Corses la fut voir

    que Monsieur d’Aiguebelle ne retournera pas si tost à Grenoble.

    Avignon, tant pour se trouver aux obsèques dudit seigneur

    se couer en septe ville, ses companyes seront

    rappourter à messieurs de la cour ou de la chambre, à l’accoustumée par

    doibvent à leurs superieurs et avecq moindre occasion comme il

    trop haster, ains me souvenir du proverbe festina lente. Jay

    d’Embrun et à lendroict de plus aysé et facille accès. La prompte et

    avec monsieur de Bonevaux ; vray est qu’il aura s

    vie. De La Berthonière, ce XVIe doctobre

    ce matin, envoié ung pacquet de messieurs les commis du

    qung passant me balia sans estre aultrement fermé, sinon aynsi

    regret que je ne me puys rendre près de vous pour

    et de Joyeuse à la venue de monsieur le marechal.

    quilz tiennent le merite. Quoy que vous aye

    Savignieu

    monsieur, le mareschal et luy offrir tout le humble

    une coppie de ladite [barré : commission] permission que presentement je vous envoye ;

    noz affaires de la ferme du sel de les descharger et exempter

    lettre, hayent toute honneste craincte de fayllir tant soybt

    veoir si despartent au terme que avés escrit. Monsieur, le demeurant sera

    après vous avoyr baysé très humblement les maintz et salue voz bonnes

    aller offrir tout lhonneur de servir que je

    de voir plus emplement en celes que jescris

    mays que d’assemblée il ne s’y en estoyt point faict.

    nay espargné de payer de mes propres deniers mesmes la partie don aultresfoys vous

    ung paquet de monsieur de Saint-André, ensemble une copie de la

    une recharge pour essayer sil se pourroit garder de pericliter

    et la provision, des boys et chandelles necessaire ; car on sy rend

    travaihé pour avoir tenu maulveys regime, daultant

    vous envoie. Je viens aussy de recevoir de madame de Gordes

    plairra veoir cy joinctes, des vilally, conssulz et

    si long temps qu’ilz sont en leur relligion qu’il est

    le mareschal y pourra fère sejour d’une couple de jours, en atendant

    despences qu’il y a convenu fère, y estant l’estat et moyen si petit,

    de quoy tout aussitost vous ay bien voullu donner advis,

    possible. Si ce pendant, il vous plaisoit departir à monsieur de

    ce XXIIIIe d’octobre

    je m’aseure que il vous feyt entendre.

    m’avertir de votre santé, ausy s’il vous savés

    pouvoit pour prevalloir de son bien, d’avoir s’il vous plaict

    treuvent quelque chose, car il dict à Troiscleix

    recommandacions votre bonne grace, pryant Dieu

    suis arrivé an ce lieu de lundy dernier XX de ce mois et

    la votre de Montellyes. Nous avyons desià les mesmes nouvelles de Privas que Guillaumon vous

    de bois couppé qu’il pourra fère la charge. S’il vous plait

    affection je dézire vous pouvoir fère servisse, mès il fault

    de vousdits comendementz ; et aussy pour vous dire

    le plus de force ausdictes tours et espère, aidant Dieu, en veoir troys ou quatre

    nouvelles, et quant je saray que vous serés à

    ont tous esté retranchés à deux mille livres l’année, et l’année

    Chasteuil, de la maison de monseigneur le duc,

    scait, mais porront servir pour chasser les vouleurs qui se tienent

    j’ay ung procès à Grenoble sur le point de le juger devant

    car le rolle où est la partie n’a esté enquores signé du

    et le sieur de Cugy. Je scay assez, monsieur, comment vous estes

    aisé que avant Noël, vous et madicte dame de Gordes

    ne puis respondre à icelle à ce coup, mais seulement vous remercier

    Monsieur, je prie Dieu vous donner en parfaicte santé très longue

    gens de telle charge que vous cognoistrés luy estre propre,

    que mondict sieur de Laval a journellemant, jay

    de monsieur de St Verain, il en demere en Dauphiné

    Lorrayne. Je pense qu’ilz ne demeureront pas plus de cinc ou

    pour la despence qu’avons faict puis Roanne jusques en ceste ville, que

    les reliques de la huguenauderie par le commandement

    aura aucung lieutenant et y nommerés telz capitaines qu’il vous

    de Nymes voudront entrer en conférence, dont je suis requis estre de la

    soit. Il vous dira toutes nouvelles, mesmes de

    ceste vallée et pour ce que vostre seingneurie

    ce que je cuide il fera. Je suis très aise et en loue

    que pour aultre subgect que j’eusse. Ce mot sera pour

    vivant autrement, je suis

    petit morceau de cire verd en forme d’une ollive. Il a confessé que le

    ce qu’est porté par l’ordonance de sa magesté, et vous augmanterés

    Laval me fairés ung grand bien m’en despartir ung

    je vous obéyrey tote ma vie, tant por le service

    Grignan pour vous fayre tenir qui me gardera la vous fayre plus longue, vous avoyr baisé

    voz bonnes grâces de mes très humbles recommandations, comme faict mon frère Laurens,

    peuvent bien tesmogner tous noz voysins ; et de ma part, je ne vous en

    pour fère lesdits fondemantz et pource que monsieur Rougier s’en va la hault pour ladite

    comtreyn à prendre bour du couté de Charmes,

    double contentement. Et pour vous respondre à la votre

    oppinion sinistre, je me suys panssé de vous mander mon juge

    vous aurés sceu le succès de Somières, dont je n’useray de redite,

    Lombez en bonne dévotion, pour tout aussi tost me résouldre de ce

    fidellité le rend assez en recommandation à l’endroy de ceulx à qui il a

    l’accoustumée, grâces à Dieu, à lequel je supplie vous donner

    J’ay faict tenir sus l’heure mesme celle que escripviés au lieutenent de ceste ville,

    Onorade religieusse dyeres qu’est yci pour quelques affaires

    en deux desdites portes y demeurer à couvert (quelque solicitations

    blanc pour ne le scavoir, avec le dacte, que j’ay prins de Paris affin

    la vollunté du roy, vous les faictes lever, car, comme vous dictes, sa majesté ne

    moyen vous fère unne aultre plus longue. Je finirey ceste, priant le Créateur

    d’Hourches et prye Dieu de bien bon cœur vous tenir toutz en

    supplier très humblement de leur voulloir faire entendre

    mande lever pour envoyer en Languedoc, mais on n’y veut

    Toutesfoys, monsieur, leur guardes en pouvoyer amoyendrir car celles

    préparer pour aller trouver bien tost monsieur

    auoyne et je fys le certyfficat. Gilbert a tous les

    l’armée de monsieur de Lombes. Nous avons

    que il n’on pu de hommes en leur ville, je vou veulet

    et faisons journellement tout ce qu’il nous est poussible,

    murallie desdits deulx coingz prenant

    humblement m’honorer de tant que de me commander ez choze

    pour porter ains au contraire, il a esté pendant et depuis les troubles plus

    munitions de guerre, comme d’artillerye, pouldres et boulletz, et

    bastiment qu’elle a commencé à mon honneur et prouffict, avec obligation

    vouloir employer pour le désir que i’ay eu et ay de

    je ne vous scaurois mander la lettre que vous me demandés à celle fin que luy

    je vous supplie très humblement, monsieur, m’en doner

    cause, monseigneur, que vous escript ses présentes par

    des companyes, vous servir de la sienne, car il y a

    eux en fère de mesme. Quart pour le regart de mon particullyer, je vous suplye

    de noveau, ne vous ferès plus longue, fors que je prie le Créateur,

    de Gargas fera quelque proffict aux lettres ; la bonne envie que je luy en

    B de Simienne

    asseurer, monseigneur, que je ménage le mieux qu’il m’est

    donnerez audit sieur du Villars, qui se sent jà tant obligé à vous des

    arrivée, suyvant l’ordonnance de monseigneur de Dampville et ainsi le feray

    et que par ce moyen nous estant ce chemin là traversier

    donner espérance par leurs letres ; comme vous voyés que je

    je vous ay désya escript, actendu les advertissemens que vous avez du costé de Genève

    peu qu’il vous plaise d’en parler, ilz m’accorderont très

    nous avons heu, nous avons faict des forts qui ont esté fort

    ay veu, je n’ay jamais faict que courir. Je

    de Vènes et de Laval qu’ilz alloient voyr monsieur

    icy, je particippe de la peyne et fascherye en laquelle

    Chastelard vous pourra tesmoigner, lequel je prie s’adresser à moy

    et se encharsist de jour à aultre. Il est au marché à Apt à

    arrivé et ie n’ay volu fallir de vous advertir

    surprinse, aidant Dieu, si est-ce que nous désirons

    que monsieur l’ambassadeur de Rome vous a escriste,

    campaigne le plus promptement que je pourray pour ne perdre temps. Ledit Seigneuret

    le cardinal de Lorreyne s’y attend le 15 ou 16.

    ordinairement, j’ay bien volu, avant que d’en faire aussy,

    donner

    frère Laurens s’appreste pour vous dire tout ce qu’il voyt, car il nous menasse

    Ce néanmoyns cella esté d’advis faire prandre à mondict sieur

    et en tous autres endrois aux quelz je auray moien de vous faire service, je le feray

    entrer à présent au nyement de la sauveraineté de la principauté

    mêmes mouyen pour prendre de là par hou

    Paris et luy prye de bien bon cœur vous y tenir toutz longuement.

    vous en faites est pour une extrême et grande

    prier humblement de l’avoir en recomandation,

    souvent et aux aultres, ilz s’en repentiront si se

    d’estre oblié car c’est le plus sage petit enfant qu’il est possible. Il apprend fors bien

    le XXVIIIme de novembre, dont j’ay esté très ayse entendre que

    comme ilz sont de présent, jusques à votre arrivée, laquelle attendant je

    a faict despêcher lettres patentes ; parquoy, monseigneur, à fin que

    du roy mesmes et le dret de ceulx qui possèdent

    celle qu’il vous a pleu m’escrire du XXII passé. Je n’ay point

    le bienfaict estre faict à moy pour m’en revencher à vous faire

    Crest six massons que la ville me bailloit, lesquelz j’ay

    pas semblables à ceulx icy qui sont telz que vous pourrez

    pource qu’on y a faict grandes préparatives. Les

    de par deça, il y a le plus paouvre ordre que jamais ayt esté car tout

    venue de monseigneur le cardinal de Lorrreyne, ce que

    plaise de les veoir et sur iceux me commander ce qu’il vous

    Monsieur de Gordes, en santé, contente et longue vye. D’Avignon,

    comme au paravant les avoye, lesquellez prins et leur

    recommandations, priant Nostre Seigneur vous donner

    Daventure il se trouvoyt à ses estatz du Dauphiné

    enquores au sceau, ce sera par la première. Il n’y a rien

    de Savoie pour vous y faire toutes les remonstrances

    mais la mort de son feu père et son nouveau mariage luy doyvent

    Monsieur en parfaicte senté, contente et longue vie. Du Chrest,

    et le roy de Navarre. Le reste de la cour est en ceste

    la promesse qu’il vous pleust nous faire, estant votre seigneurie

    a faict au roy des grandz et notables services durant les derniers

    monsieur Besson, veu la recherche qu’il vous en fict

    vous avés lettres de monsieur de Cabanes et de

    fault que je y retorne après Noël. Je n’y ay aprins rien

    il est vray que monsieur d’Apt nous a acostumer d’envoyer dez

    vous donner

    C’est que il a voulu doner ung coup de baston à ma seur pource qu’elle ne vous

    J’ay envoyé vers monsieur du Pelous pour l’esguillionner ung petit. Il m’a prié le tenyr pour

    mon frère et moy, lequel a veu touttes les lettres qu’ille feront encores tenir

    an plus l’heumeur mélanquolique an la quelle je suis

    riches ou aisés de ceste généralité à achetter jusques à trois mil

    et dict que à Berne veullent faire dix mil hommes de

    les mains, supliant le Createur qu’il vous doint

    Ledit sieur de Chastelard par sa lettre ne nous

    vous tenoyt mondit sieur de Suze à Grenoble. Je m’asseure bien que vous

    bon ordre que j’espère les luy envoyer demain matin, ayant bien volu faire courir

    par où je veoys que monseigneur le prince daufin vous veut ouster de

    mienne lettre escripte du 10 du présant par laquelle je

    sièges présidiaulx pour en faire publication ausdits sièges et pour

    mais mon bon droit luy a faict connoistre que ma partie

    recommande bien humblement à votre bonne grâce, suppliant le Créateur

    es mains de messieurs les gens du roy, charges souffizantes pour les

    à comparoistre trois jours après par devant moy, dont il y en eut quelques-ungs

    banque, ensemble des votres du XIV. Il est vray qu’il n’avoit pas si bien

    de Saint-Sernyn de Toulouse, je m’en suys enquis pour quelcuns de

    en opinion qu’avec une recharge, vous pourrés avoir les autres

    deslivrer par Gillibert. J’ay mis par le menu tout l’extraordinaire que

    plus à propoz. Ladite lettre vous sert aussy de responce aux votre du XIIIIème

    et sur les mémoires de messieurs du pays. Touttesfois, comme je leur

    et aultrement en cela et en toute aultre chose

    vous avés escript. Je me suys cependant informé de

    de Gordes pour luy rechauffer son esthomact. Je suys marry

    bon ceur. Je suis le seigneur de Lavacine qui

    de si près qu’elle soloit, et néantmoins que si elle a encor quelque opinion de

    à l’ung de vos plus affectionnés serviteurs ; et en

    soit en bonne santé ; sur quoy, actendons

    que vous est deus de reste. [souligné : Molé certifie vous estre deus

    service, que moy et tous ceulx des siens qu’il a icy délaissez, sommes prestz et

    il luocotenente che vengha ed gli altri che suono

    et voudroys bien que vous en fissiés

    Fabry puisse, par vostre bon moien, obtenir en justice la plus prompte

    m’envoyera avec ses chevaux pour le retour de ma femme.

    Brianson et aultres particuliers, mesmes du

    que myrent la meyn au epée se le cappiteyne Canbonne,

    lauteur tant par ce que ie luy en escrit que pour l’avoir cogneu

    chevaulx pour, puis après dans quatre ou cinq jours, nous encheminer

    sera cause que men remettray à luy. Au reste, monseigneur, je pense qua la

    princes le landemein des Rois en poste, puis chacun

    en cest endroict me sera fort agreable. Priant Dieu, monsieur de Gordes

    entendre aussi bien expressement par letre à

    monsieur, qu’il vous doinct en perfaicte santé, bonne longue

    Bastien. Nous sommes ici antierement en peyne de

    que landemain de notre arrivée que feust hier, nous avons heu de la neige.

    monseigneur, en très bonne santé et longue vie. De Valence, ce jour des Rois 573.

    à la fin ayant esté contrainct la veille de mort se

    A laquelle me remectant je me recommanderay sur ce bien affectueuzement

    dernyer passé, lhomme que scavés me vint

    dimanche avec eulx. Il ny en a pas ung hors d’appetit. La royne

    à La Voulte et aultres lieux sus la glace. Vendredy

    humblement avoir pitié de moy et de ma fille comme avez faict par

    et Charmes et ne panse ledit sieur de St Homer que ce n’est pour

    masseure que jeusse seu de luy la mauvaise harangue que lhomme que savés luy peult

    concernant le feu et chandelles pour

    à la feste de Toussainctz prochaine pour le soulagement de nosdites aides et paouvreté

    jamais entré dans le cueur destre autre encore que ma bonne

    troublée que ie ne savois plus que devenir. Dieu y pourvoira

    pour antandre de vous nouvelles mays le temps a esté

    requeste qui est quil vous plaise me permectre vous y aler

    pour y estre faicte semblable lecture et publication. Jay

    compaignie quil vous a pleu me donner je mefforceray de suyvre voz

    semble debvoir estre exprimée, que seroit chose odieuse en ceste

    aller voir demain les ennemis qui se sont assemblez environ XVc

    du Chastellard. Je prie Notre Seigneur, λ [λ monsieur], quil vous doint

    de ce quil ny a guières de personnes absentes sur lesquelles il

    et en envoye faire haultant incontinent par tout le

    guerres civilles, ma insité par ceste vous supplier

    dont je vous donneray advis, comme aussi des deux compaignies

    repous ung chacun en ce pays et oustera la mesfiance quil nous reste les uns avec les

    très humblement quil vous plaise eslagissant votre accoustumée

    vous povés croyre que je vouldray bien à la verité entendre toutes

    auquel je serey hobeissent et vous supplie bien

    Avinyon et ne vouleurent areter en septe ville

    Rosne et le moyen quilz auroient tenant se passaige de passer et

    Mais comme la sayson sera adoulcye il se mectra en campaigne pour attaquer

    sa magesté nous tenir en sa protection et saulve garde comme

    mesmement moy, quil ne lause manier ni regarder et ma grande amie dict quil

    danfans. Il dict bien daultres choses aussi à propolz qui seront trop longue à

    saluant voz bonnes graces de mes très humbles recommandations. Priant Notre Seigneur vous doner,

    voyant quil ny avoyt plus desperance de ce costé là, jay esté contraint

    appert par les dispositions faictes par des gens mesmes

    voir en ce cartier. Je supplie Dieu vous en donner

    quilz feissent bien leurs gardes où ilz sont commandés, car il ne se f[e]roit tant

    quy serat de mon moyen, je marcherey ausi franchemant aux

    de temps, plus pour scavoir à quoy je serei bien

    les sordas du cappitaine Coullon que fust lundy au

    le vilage nestant que dung feu et dimy et sera

    Je luy ey mandé que je ne luy seroués

    Cela mest plusieurs en gelozie qui obtemperantz à

    Votre très obeisant serviteur

    sommes retirés an se lieu du Montelimar, deqoy ie ne me repans

    venuz quelques ungs de La Rochelle pour parlamenter

    verbal de ce que se fera par cy après et sil y a opposantz, je ferè

    tenons le premier et le plus principal. Le père vous a esté serviteur et

    peu faire savoyr de noz nouvelles, je ne vous en diray aultre chose, après avoyr salué voz bonnes graces par mes très

    prie Dieu,

    monsieur je vous supplieray très humblement me voulloir donner une

    jourd’huy, au temps que nous sommes, nous aurions plus grand

    que me gardera vous en fère reditte et lesperense

    assault contre luy que contre moy et aultres par le passé,

    et ce me sera une perpetuelle obligation à prier Dieu,

    plus de soullagement quautre de Daulphyné,

    ce que je porrey, je vous suplie de l’avoir en

    quenvoyons suivant voz bons plaisirs à la cour,

    Monseigneur vous presentant mes humbles recommandations, ie supplie

    quelzconques, ne delibère de fère, dont prierey voustre

    vie. De Polligny, ce dis et septiesme jeanvier.

    de croyre que je ne me suys jamès mellé des affères

    source cest dung Charlin pourt lequel son pretandu

    de leurs biens meubles et immeubles soubz la main

    où il se doibt treuver, comme il est aussi necessère que ie

    bien tost et incontinent après que toute lartillerie qui m’est necessaire sera preste, comme j’espère

    de ce moys le temps cest tousiours adoucy, de sorte que maintenent nous

    auctorité y peult beaucoup et ne ferés peu pour le

    vous serés. Comme jey entendu que devés dessendre habas

    père dont vous savés de quelle honesteté

    de leur charge et vaccation, je nay peu dans la huictaine vous certiffier de ce que je

    mon gouvernement, je scay quil a faict et pourra faire de grandz

    assallir une maison forte sur le chemyn de

    faict quelque moleste à sa maison, il m’a prié de vous

    ne soumes ryen resanty du changemant de logys, Dyeu

    offices^ [^ qui pourrent couster trois ou quattre centz escus] de secretaire et signateurs il les faut

    marcher lors que je le vous manderois. Or ayant du tout resollu

    Tour et sa compagnie au fils dudit sieur de Tavanes. [Barré : V] Jenvoye

    de Tavanes est mort à Montlehery d’une dissenterie.

    mienne faisant mention de ce que dessus et du faict

    luy vous ey rien contre dire, mès que il luy pleit

    samedy en septe ville, lequel me dit que

    votre correction lintention de sa maiesté ne la votre nestre telles que

    tousiours esté à lun et à lautre bon et bien affectionné amy, si vous

    sans en advertir votre seigneurie. A ceste cause, monseigneur, nous vous

    baillée à La Pra, present porteur, lequel j’anvoye exprès, dautant

    y an ya au chasteau de Pippet, avecq quelzques eyssieulz, une paire de vereins, et de la

    et me presse daller pour scavoyr comme monsieur

    avecques deulx mains. Je vous supplierey de me tenir

    a au parti du roy, ayant entierement sattisfaict à tout

    la quais exprès pour nous en raporter certeines

    Constantinople par commandement du roy, et que le grand Turq se preparat fort pour l’année qui vient par mer et

    ce pays. Ledit messagier qui me lapportat me dict que

    supplier très humblement me commander que jen ferey pour

    entierement resoulu de ce dit affaire. Je larray ce propos pour vous dire que nous

    ladite nouvelle oppinion qui ne estoyent pas venus dans le temps dung

    jen fis fère publication au siège et par consequant mesme

    très humblement voz bonnes graces, je prie Dieu vous donner,

    peu fère, et ne pensoys poinct quilz fussent si aysés

    et quil ne peult debvoir que environ douze livres

    Monsegneur, en parfaicte santé très heureuse et

    neantmoings ayantz esté requis par noble nostre cher et feal vassal

    et desir de vous fère service en toutes les occasions

    quil vous eust accordée la traicte que me mandez. Je vous ay aussi envoyé une lettre pour

    endroictz que jen auray le moyen, ayant prié et receu en

    subjectz pour estre limitrophe entre ledit pays de Daulphiné et la Savoye,

    Monsegneur à sa Seinteté et de monsieur de Nevers

    bien marri de la faute quil cest trouvé en vous

    vous fère très humble service, que je ne le face. Je suis icy en madite maison

    ma laissé et enquoy jen suis, auquel men remectant, je ne vous

    avec les lettres deconomat pour le sieur de Murs pour

    vous diray je que la plus grande partie des gentilshommes de ce camp

    de mon nepveu de Laval et mien, graces à Dieu. Nous avons bien

    Daulphiné quant il sera de besoing pour

    à ses journées, jay bien voulu à la haste adresser

    quil sera contreint y employer celle quil a du roy. Je me suys

    dezir que iay destre continuée à voz bonnes graces et ausy

    sil eut dit quil san vouloit aller, il eut esté mieux acomodé

    mareschal, quatre cens à son sevrettère et cent à celuy dudit

    venuz là et à ce que on ma asseuré, il se y

    Aussi le conseil se despartira pour se rassembler, comme lon espère,

    que de me rongner les ongles de quatre compagnyes se seroit aultant de desavancement

    lever autres deux pour les remplacer, afin que le service du roy

    quantité de noblesse ensemble, comme il y a presentement avec mondit seigneur, où monsieur

    alés dissy. Lons ma asseuré que quelques ungs de ceste

    elle, pourveu que le sieur de Mures lui passent les asseurances et

    Gervès où jay laisé madame et damoyselle d’Hourche en

    monsieur, en parfaicte prosperité très heureuse et

    de lettres de monsieur de La Coste qui vous escrira bien

    le mieux qu’on scauroyt desirer, Dieu merci, comme vous dira ce porteur.

    monsieur de Chatellart. Despuis ma dernière, après vous avoir

    vous fussiez en Avignon et si je eusse sceu

    besoing de quelque chose men advertirez. Au reste, je

    le present, vous ayant escript le sur plus par ung muletier d’Apt qui

    dira plus particulierement monsieur Lyonne, present porteur, qui

    bonne part quilz se font forts de se saisir du Buys, de Nyons, et de

    ou quil a des amys. Vous verrés, monsieur, les discours que faict

    que vous estes bien adverty, me reservant aussi, estant audit

    aultres endroictz de ce royaume, cause sinistre

    en debveoir les autres lieux et places d’importance pour eviter tout inconveniant ;

    avoir bien consideré votre lettre du XVIIe, je suis contant suivre votre conseil, et ne laisser votre gouvernement despourveu de toutes forces. Partant, si mon cousin

    escripre, laquelle envoye larrest baillé contre

    avant que votre pacquet y aye peu estre. Quant au cappitaine

    Sen Endré de Rousans. Je vous suplierè très

    que povés pensser, estant desliberé plus tost me mettre

    de Coberthod mon mary, sans cause ny occasion

    bonne grace. Priant Dieu quil vous donne,

    de ladite court, messieurs [barré : Marce] de Voisinlieu et Marcel, du Boys

    aucuns secour, ce que navons peu faire. Mercredy passé

    Que ledit Michel Brassac est jeune de six-sept ans ou moings,

    mesmement par lellecteur duc de Saxe Auguste et par le conte de Mancesfel qui estoit avec

    affoybly ceulx qui continuent encores dordinaire à ladite

    Vous suppliant très humblemant me touiours

    fet la teinture, quest telemant preiudiciable à la guarde dicelle

    bons respects et occasions ayent prevalu. Outre le regret que jay du nouveau

    attacquer environ quatre vingtz ou cent chevaulx et jumentz et bien de troys

    quelques foys de ce costé pour voyr la contenensse

    quil vous veuille donner,

    mieulx que le païs soustienne une despance pour quelque temps

    Jullie de Florence et despuys prisonnier entre les mains

    le Rosne bien troys centz soldatz de ce païs de Daulphiné.

    luy apartenoit ou à quelques ungz des syens. Et si ne

    essayer de le reprendre et mectre soubz l’obeissance du roy, vous aydant à cest effect de l’artillerye

    Dampville une batterie plus furieuze que celle

    satisfaire aux debvoyrs des deniers de sa

    huguenaulx voysins ne levarent tant fort le nés.

    charge là et aussy pour estre estroppié, ne [barré : pouvoyt] pouvant ailleurs et maiant

    luy ; et à ce que se voit, les seigneurs de dellà le Rone

    despeché par ceulx de la religion au Capitaine Coste quest dans

    sans votre advys et permission, et si avons prié monsieur le vibailly et

    postes, il a entendu que le Poussin avoit esté

    angloises chargées dhommes, darmes et de vivres

    la tenture par le moyen duquel l’on pourroict

    advoyt jà desbasty lesdits molins et y travailhant

    du Poussin est advenue par le moyen et trahison des habitans qui ont

    qui venoyt de la ville. Monsieur de Lausierre, qui estoyt gouverneur

    encores ce mout par ce messaiger qui s’en allest aussy bien à Grenoble.

    je suis asseuré que me tiendrey assez pour excusé

    aussi besoing, que je prins toutes les peynes que je peuz, d’autant

    s’estande à l’endroict des generaux de Mompellyer, pour le desir que j’auroys qu’ilz bailliassent leurs

    le roy et quant ilz veulent asseurer quelque chose en

    lettres d’economat ayent peu estre scellés, encore

    sceu que monsieur de Pelloux a mys en routte

    de plus de quatre lieues, si bien que si vous ne venez bien tost, il est

    vous puis asseurer que de cela et de votre retour ne avés parent ny

    consideré me fait vous suplier humblemant ne

    et moi yrons a St Gervès voir madame

    gouvernement n’attendent que le secour qui doit venir du [barré : seu]

    je vous ay bien voullu escripre la presente pour vous prier qu’en toute

    moien de vous aider ou de conseil ou de faict en

    retiré à ungne mayson, laquelle va sur les

    prandre l’aumosne en ma maison s’il n’estoit pouvre ou mendient. Voiant

    cella vous importe au repoz de votre gouvernement.

    la poursuyte de noz affaires pour en avoir une resolution

    de cinq à six centz hommes que de part que d’aultre. Ceux de

    dont je vous ay bien voulu advertir si cela avoit à se demeurer durant

    que j’y seray [barré : icy]. Vous vous pouves asseurer que je vous y serviray de tout ce que

    puis trois jours, ledict sieur de Chattes a esté issi

    canoniquement est receu au monastere de Saint André de ceste ville dudit ordre

    lundi prochain et si ie puis passerai Ourange pour voir

    m’en vois retirer cheus moy d’où n’espère partir si ce n’est pour

    recepvoir voz commandemens. Au demeurant monsieur, j’ay estimé

    pour la reduction de ce povre peuple desvoyé par la malice des ministres

    Pasques. Je vous ay ecript du IIIIe du presant et vous

    de la part de votre seigneurie. Sommes esté aussy freschemant

    ungs, ce pendant en vertu de la commission qu’il vous a pleu m’adresser,

    qu’il eust encor munitions, ce ne seroit peut estre hors de propos qu’il y feist

    qu’ilz ne fussent traictez à une mesme condition. Au demeurant je vous

    peyne pour avoir demeuré si longtemps en

    ses compaignons d’estre [barré : je] gens de bien. J’ay bien grand desir

    amys pour metre en effect leur volunté que j’ey bien

    ny vie ne bien et tout le desir que

    ou cinq jours, ont faict assamblee d’aulcuns des

    dont pource qu’il y en a ung beaufrère et ung autre

    les champs, se sont absentés de ceste ville pour n’y revenir comme

    que six payes soient reduictz en telle extrème pauvreté qu’il n’y ait trop grande

    ledit sieur Chaponay vous pourra dire et sommes toujours prestz pour

    du tout perdue s’estant monsieur de Lauguière, sa

    bien. Mais à present tout le monde est en allarme

    ce qui en est. Un agent que les conseillers de ceste ville ont à Paris

    de plus en plus et votre petite fillole en votre endroict

    Je m’emploierey du tout au faict porté par ma commission ne desirant

    sont fortes aultant qu’il y en ayt point en ce païs du Daulphiné et

    et seure garde et ne s’aseure de beaucoup de beau coup de

    faiere des lettres par hoù il apparoyesse que vous m’avés retenu pour le

    sept ou huict mousquetz et sy vous assieure

    de monsegneur le mareschal pour regard de ma compaignie pour laquelle

    Monsieur Chapponay, l’ung des consulz de ceste ville, s’en vast par devers vous lequel [barré : fera] vous ferez

    pour ce que je trouve ladite chatellenie estre bien peu de chose pour

    don j’ey souventefois adverty monsieur de Gordes, parquoy je vous

    maux aux granges circunvoysines de Loriol et y [barré : font] vont

    ung seul poinct de ceulx qui estoient contenuz en ma commission et que si l’on

    ce 10e mars 1573.

    Si vous trovés bonn quíl hi allie et comme il vous playra

    du cousté de Suisse, l’on m’asseure que toutes choses sont

    à present et regarder bien de qui vous vous fyés et croyés

    receu une lettre de monsieur Granger escritte de Paris le VIe dont

    de retour n’en vollu fallir vous fère ce mot

    du roy. Si me survient quelque chose de nouveau,

    pense, sy mon frère de Bon repoz voloit prandre ceste peyne, il me

    vouldrois m’estre faict. Quant je fus à Loriol, qui fut le VIe

    vous plait, ce que j’escris à monsieur de Saint André. On

    en oustent ceulx qu’estoyent dedens et y anvoye XII [barré : soldatz]

    j’espere en avoir ma raison et d’y employer mes amys et

    de janvier. Hyer matin comme monsieur le garde

    et quant et quant vous prier de me mander incontinent ce que vous [barré : semble]

    par charretes pour estre distribués [barré : com] à ladicte compagnie ou aultres au pris

    Maugeron veu mesmes que monsieur le mareschal

    s’il pasoit auiourd’uy, je m’an irois le landemain.

    et prie Notre Seigneur qu’il vous veuille donner

    coté de Roanne et suys esté contrain de

    audit sieur de Mures les dix et sept mille livres qui lui vienne pour sa part en

    il est bien necessaire que vous esciviez à leurs majestés.

    l’autre ville. On m’a dict que monsieur de Mandelot disoit comme avoit ecrit

    de la faire ainsi. Cependant je prierey le Createur,

    Si cela est et que vous pensiez qu’une compaignie

    Createur,

    dans les fauxbours attendant s’ilz faysoient poinct de sorties pour entrer

    suis tousiours atandant le pasage de monsieur d’Antrequasteois [= d’Antrecastreau]

    executé, anssemble des courtes et quelque beche. Vray

    pour ce que nous avons resolu de faire garde

    mener, nous vous prions de permetre la sortie de dix livres de pouldre,

    advanthier. Je pense que ceulx de Sommières parlamente à ce que jey entendu se matin, toutesfoys

    que mondict seigneur en ha assés descouverte par ses lettres que j'en ay n’aguères

    bien juger que les traictes de La Rochelle sont fallis, avec ce

    la responce dudict gentilhomme, ce que je feray aveq volonté

    gardes. Nous vous prions tenir la meing si entandés

    lequel commande dans la dite Villeneufve, je lavoy prié de sy

    bien honneste. Jeudy dernier, ceulx de La Voulte prindrent

    chercharent par lesdites maisons et ne treuvarent

    veullent baptiser leurs enfans, et en sont mortz troys

    mont mieux faict dourmir ceste nuyt. Et à ce que jay

    de Gordes et de ladicte ville, fère augmenter

    jespère que par mesme moyen, il les inspirera de reprandre aussy

    Monsieur, en très bonne sancté très longue et très heureuse vie. De Baiard,

    de votre part suivant le vouloir et intention du roy que vous avez cy devant

    supplie humblment me faire ce bien me permectr

    proveu que se soit aveq votre bonne volunté et di congé, qui me faict vous

    jamais en ma puissance. Il est survenu

    des gardes ce randent fort plainctifz et sil estoit votre

    Jentens que ce fust le Xe en une sallie que ceux de La

    Ie prie Dieu les vouloir preserver de mal et leur donner la grase

    de quoy, aiant treuvé credict et faveur envers les gentilzhommes de votredicte

    ce neantmoingz je scay que cest à vous à qui il me fault

    et biens pour la tuition et conservation de [barré : ceste] votre ville en lobeyssance du

    aydant, lequel après mestre très humblement recommandé à votre

    en tel equipage, que vous connoistrés le desir que jay de vous fère

    que suivant ladite commission quil a de sa majesté, il vous plaise commander que

    syl ne vous plaict dy pourvoyr ; et daultant, monseigneur,

    pouvre ville fère telle fourniture, encores que notre

    leurs laborages et mendians çà et là avec leur familhe ; d’ou

    son service. Je masseure tant de vous que vous

    pareillement de ne sortir de votre gouvernement où votre presence est très necessaire.

    pour nous et pour la reputation de notre roy, mesmes

    commissions en lune ou en lautre sorte, ainsi que vous les ledits commissaires adviserez

    à prezant, il est venu commissaires {barré : pour] en ce pays pour faire porter vivres

    de guerre sans vous avoir parlé. Mais il ne ma semblé à

    que sy ce estoit quelque choze de meilhieur

    bouger dicy jusques à votre arrivée; et parce que je crains tumber ce pendant

    le fonds des magazins sera grandement diminué et affoibli, lequel, par

    en sa sainte garde. Escript à Fontainebleau, le XXIe jour de mars 1573

    suyvis; toutesfoys il y a une douzaine de vous soldatz sur ledit basteau qui sont

    ayant plusieurs advis que lanemy advoyt grande anvie

    unt bras amporté [barré : et il]. Illa passé aut jourduy unt corier par icy qui tient

    nouvelles ceans le samedy veille de Quasimodo. Sur ce, faisant fin de ce mot, après

    fort qu si ceulx de [barré : Gap] Champsor remuent comme [barré : me] monsieur le vibaly [barré : ma escript]

    entre lesquelz nen recognoissant de plus grand zèle et

    sans vous en advertir comme je masseure, que sera lendroit,

    nouvelles de monsieur de Leugières avant la resception de la presente

    Sy[barré : sy] pourroient soubzlever en cedit pays, mesmes à la conservation dicelluy. Je [barré : velle

    de decembre dernier, on auroit procedé à la saisie de ses biens et estat

    vous mande que vous puissiez prevenir que telles et sy pernityeuses intentions

    Ung quilz avoient tellement parfonde dans leau quon na sceu empescher quilz ne layent

    subgectz fugitifz se preparent pour venir secourir mesdits rebelles et leur promettent

    ne vous feray la presente plus longue, sinon de prier à Dieu, monsieur de Gordes

    deus heures davantage sus le bort du Rosne où jestoys,

    les autres en devoir et de faire cognoistre comme leurs entreprises sont

    remedier de telle façon que ceulx qui les favorisent y preignent exemple,

    occasions que jay eu de continuer ledit Maestral à Valence, cest que je

    ne vint à effect que uune sus Orpières, lieu quy est au prince d'Orange

    certains prisonniers que je tiens pour après le vous fère scavoir] et comment

    prye, et neantmoins ordonne, favoriser et assister de toutes les

    grand exploict sans moien de souldoier et faire des forces. Jay bien desliberé aussi

    ce faisant, nestant la presente que pour accuser la reception de votre dernière,

    et daussy bon cueur que me recommandant à votre bonne grace, je

    nommément ceulx qui avoient le plus doccasion de louer Dieu et se contenir doulcement

    le XXIIIe jour d'avril 1573.

    et ne peuvent les bateaulx fayre que deus l[i]eues le jour

    avoir entreprins sur icelle, estant telle la volonté du roy monseigneur et

    jay advisé de vous supplier [barré : très humblem] comme

    mais les traistres qui sont par nous nous empecharent ;

    les brèches ; cant à votre meson, ilz ny ont peyer

    de lesmotion naguières advenue en Daulphiné ne autrement en quelque sorte

    mandé retenir près de vous, ainsi vous y pourvoirez ; et neantmoings, affin de

    madame, intenter le procès. Si il vous plait faire que

    executez par justice lont confessé allant au supplice. On ne laisse dy envoyer

    estre ou soient advenues, tant par emprunctz particuliers sur les ayses et ceulx de la

    troys jours il a fayct semblant de licencier ceulx

    dautant quele na bougé et est presentement au service

    et ranforcé des quelzques hommes [barré : les voulant readvictualler] voulant encores porter pour le besoing [barré : où ilz]

    comme ilz ont faict jusques icy par le bon ordre que avez donné. Jespère

    de Neufville s[ecretair]e

    et asseurer qu'en tout ce qui luy sera ordonné pour le service de sa magesté

    presque ruyné et à la fain et pys sera sil na le support de quelzques bonnes forces

    sur tant que vous desirez le bien et advancement de noz affaires, vous aiez à tenir

    por passer en Daufiné ; de quoy je vous ay bien

    se vendra et que je faiz lever sellon la vente et debitement qui sen faict; et

    porter grand preiudice en tout ce pays de Royans ;

    monstre aussy tost que nous aurons eu responce de mon filz le

    dheureux succez. Je vous envoie le sieur d'Ourche auquel mondit frère a donné congié

    artifices dont ung appellé Gay avoit usé pour les incitter et precipiter, lequel

    des guerres ou par leur commis, affin den tenir et rendre compte comme

    toutes les louanges à Dieu, feuz de joye et autres demonstrations dallegresse quil a esté

    on surprend tous les jours quelques lettres et a lon

    et se contiennent doulcement affin dessayer si cela ne seroyt poinct pour servir

    ayt en sa sainte garde. Escript à Montceaux, le XIIIIe jour de

    aysement sellon lesperance quil men donne ; que me semble ne vous debvoir

    ung peu froissée, dont jay grande occasion de louer Dieu de lavoir ainsi

    Createur, monsieur de Gordes, quil vous ayt en sa garde. Escript à Lezigny, le

    mandemens par le roy de Pollongne ^[^ avec les Rocheloys] et que luy avyés envoyé votre edict de pacification [barré : pour] et mandé [barré : de]

    en Daulphiné. Monsieur d'Embrun y met tout lordre quil est possible

    du Lyonnoys pour men survenir avec autres ses forces, sellon la bonne

    quil a receu devant La Rochelle. Depuis et le jour dhier, le sieur de Virieu ma rendu

    marechal des lougis de sadite compagnie // [marge gauche : // qui est au camp près de vous] de men amener cinquante sallades

    aux autres despens que estes contrainct de faire. Il fauldra mesnager le tout le mieulx

    à qui je prye Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa sainte garde. Escript au

    Caterine

    ou ayder à la justice de sa cause, jay quil impourtoit beaucoupt

    Rochelle, avecques les depputez de Montaubain ayent supplyé le semblable estre

    et ey envoyé à monseigneur de Nemours la lettre que il vous à pleu

    autrement, à ceste cause, je vous ay bien voulu escrire la presente en sa faveur

    Pour ceste cause, luy commandoit expressement par ledit porteur que non seullement

    embrassant le repos qui leur est offert et asseuré ; toutesfois, nen ayant aucunes nouvelles,

    que je vous puisse par effect faire congnoistre le desir que jay à votre advancement

    daoust, comme il ne pourra semblablement faire durant la presente année

    de quoy je desire que vous soiez assisté et favorisé des forces tant de cheval

    davantage. Je vous priray seullement de vouloir suivre

    la coppye de mon edict de paciffication, lequel je vous ay mandé leur

    oppinion ledict de paciffication dont vous a esté envoyé coppye,

    date de réception : non

    à jeudy pour sassembler et men fère entendre leur deliberation, je

    je fayz aussy de la responce que je leur ay

    tous mes subiectz de votre gouvernement de ne rien atemter ou entreprendre sur lesdits

    de laquelle je [mots barrés] envoye coppie à vostre dite

    à mon authorité et à ce que je desire ; car il remect à vous rendre responce

    le XIIIIe jour daoust 1573.

    prie Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa sainte garde. Escript

    exactement observé et que les contrevenans soient rigoureusement pugniz

    et ce que vous avez congneu deppendre de son service, que je ne vous

    henry

    le XXe jour daoust 1573.

    mienne ; toutesfois, je desire tant soulager mes subiectz des fraiz de ceste

    Ilz me demandèrent delay de quelques jours, ce que je leur

    escript ce quil entend estre faict pour le regard du recouvrement

    puis lon pourvoira au reste, ne pouvant faire refformer ladite commission

    peu et sceu et suis grandement despleysant, syre, que je

    dont je suis très desplaisant ; et daultant plus, par ce quil semble que

    despeche, arriva le commissayre Faure avecques lédict de paciffication

    retirer en leurs maisons, dont je suis très deplaisant ; et d’aultant

    contenue en icelle lettre, dont, me reposant sur vous, et masseurant que

    seront leurs demandes, neantmoings, syre, ung mien amy

    tousiours en sa bonne volunté, de lavoir en toute la particulière recommandation

    nous sommes de mectre fin aux troubles de delà ; qui me gardera de men estendre

    de votre experience et sage consiferaton que en cela ny autre chose, vous nentreprendrez

    septembre 1573.

    daultant que la volonté de sa majesté, il vous plairra

    Gordes quest de fournir promptement

    seiourner quil eust à nous faire marcher pour vous joindre en Languedoc encore que ce nous

    de Provence la compagnie de notre aymé et feal cosin

    nen pretande cause dignorer ce que vous ferez en mon

    peult faire, atendu que lez ennemys du roy ont grandz

    tout le mieulx quil nous est possible, ainsi que la chose est très importante au bien

    conserver en notre voiage. Touchant le succès de notre negociation, vous aurez

    que pendant certain procès par devant vous

    et en ung instant faict rouler de la montaigne en bas, cassans

    de la nouvelle opignon pourroint avoyr faict sur les aultres villes

    Vallence : XXXm p. XXX p v. – f. : XVIIIm p. X p. v.

    Ledit jour que ledit sieur de St Romain avec madamoiselle sa femme, accompagnez

    retraite de larmée et pour asseurance de ce dessus, ilz mettent deux cappitaines

    employé en ladite pacification, ainsique par votre prudence vous verrés

    Genève, là où je ne fus pas plustost arrivé que lon me vint

    à raison de trente livres tournois pour chacun

    rebatu tout ce qui a esté possible, mil escus

    la fourteresse aport darquebuzade et an prindrent yer

    de forces en viron huit sens hommes et quen peu de temps

    la compagnie de monsieur de La Sallette à

    de Laval, lequel, pour et au nom dudit sieur Du Pègue, commandant pour

    je me vins rendre icy penssent avoyr faveur du susdit gouverneur,

    de passer deça le Rosne et tascher par tous moiens de surprandre

    accourdée par monsieur le mareschal et par ce quil nest pas possible

    avec le Turq en si bon accord, par ce que

    larmée de devant Florensac et Pommerol, ladicte assemblée na voulloir ny

    en la maison de monsieur le cardinal de Grand Velle jusques à ce que ledit

    pour aller essayer de rabiller tout. Si leffect en ensuict, ce sont

    jour de decembre 1573.

    ilz randent en leurs charges, silz sont joyssans

    occasions. Et pour plus grand asseurance, leur avons donné notre

    par la cité de Valence, elle qui est absente, seroyt travailhée en

    savoir que ceulx de la nouvelle oppignion

    le monde que cest de notre auctorité et consentement dont ayans ung extresme regret

    nyère en bas et Banne nyère en sus à ceux de Mens (et tire plus)

    ce froid plus propre aulx deliberations qu’aulx

    asseure que si je puys, je me y retireray pour le service

    Item de laultre cousté de ladite salle, une aultre petite case matte

    commandé au curé de Villarbonoud du Versour de

    galère davant garde, à quoy commande le seigneur d’Onchenchio comme

    Le corps de son armée est composé de soixante une gallaire, assavoir dix sept

    de tout le Dauphiné et ayant experance de votre bonté

    monsieur de Chastel, presant porteur, vous fera entendre plus au long de mes nouvelles

    envers luy que le plustost et par la voye amiable, il fasse restitution desdites

    l’auroient oultragé et voulu tuer environ le temps des Estatz et que n’aviez faict

    supplie me faire ce bien de my voulloir dispercer

    en ceste ville, aient veu retenir les bages. De celles de Monsieur, il

    monseigneur, que en saincté, vous donne longue vie. A

    toutes lesquelles remontrances ont esté trouvées de tous fort bonnes et plus que

    de votre faict et que le pape, pour le present

    monsieur vous donner et maintenir en sa saincte

    que je ne say. Je vous feray cervisse et daussy bon cueur que

    monsieur, que en sainté vous done longue et eureuse vie,

    les consulz de Pierrelatte, lesquelz recepvent et deslivrent ce quilz prirent

    respondre aux villaiges ; et quant à la cotisation, ledit mareschal

    pour vous faire tenir, que jay envoiés à monsieur

    je vous ay jà escrit quelles sont toutes cassées. Ledit sieur de Chastellard sollicitera par tous les

    à la quotyzation que pourer monter leur lyer.

    Il y heust grand secours et ledit sieur coronnel avec ses soldartz y

    que nous eust esté possible. Je pense que madame

    faisant le dessus de sa lettre y mettant monsieur de

    monsieur, en parfaicte santé, longue très heureuse vie. De Gargas, ce XXVIe

    faire la reverence, je ne vous feray la presente plus longue que

    le cardinal avoit envoiées à notre seur que jay

    à monsieur de Savoye que Beaufort luy mène, lequel

    lhivert. Monsieur de La Coste y ha aussi esté

    et le tout est en bonne santé, Dieu graces. Il ne nous

    la commodité sen presentera et vous advertiray de ce que

    somme de XIIIIm VIIc IIIIxx III L. ne se pourront paier que deux mois aux compagnies

    à Beaucayre comme jey aussi faict, cognoissant

    et à mon retour, iestoys deliberé de satisfaire à ce devoir là, mais monsieur

    asseuré et tenir la paix, veu laffection que le roy a

    Noël dernier ; et fismes ung autre compte sur cette

    de Gordes a doint selui que me mendrés à monsieur

    faire nous vandanges, esperans le revoyr encores.

    quil nen peult faire sa provision au pays de provence. Sil vous plaict luy

    ad havoyr tout le payement de trois mois, tant de mes compaignies

    Suze, et pour avoir lettres de leurs majestés aux seigneurs du

    recomandé à mon acoustumée bien humblement à votre bonne

    IIIIc l[ivres] que monsieur le tresorier de La Gorsse a esté tenu court de son

    sept galliottes, il cest resoullu de prendre son adresse pour là, seclarssir de la verité,

    prochein en porroient prendre ung sestier

    monstre pour troys moys et que les deniers en sont prestz.

    contraire, lon disoit que ledit André

    toutefoys que je vous suplye bien humblement que pour vous

    Navarra, come la royne mère estoueyct partie de Paris aconnpagnéé

    cause comme très favorable et à luy fère briesve justice

    partement, ledit sergent m’a dict suyvant ce dont n’a guières vous ay

    greffier des estatz qui la ma renvoyée. Despuys,

    solz avecq une charge de boys, au sergent major ou à son hoste

    regard de monsieur de Bayanne et de ma seur, les choses en sont encor

    belle et sage. Ie vous puis adsurer, monsieur, que le plus

    à tous les pays circonvoisins, et singullièrement aux pauvres catholicques dudit Aurange,

    lyver. Je ne vous scarés dire le regret que les

    qu’est cause il m’ont prié le vous faire entendre et que

    très humble serviteur et daussy bon cueur que je supplie

    à votre seigneurie, priant Dieu

    votre faveur. Il est bien fort jeune, mais il la bonne volonté. Jespère

    tantost monter à cheval avec monsieur André Ageron

    ai escript, suis esté seurement adverti quons à cassé trois

    mais sy la court est plus esloignée, je prendray le droict

    votre arrivée, men revenir pour vous baiser les mains

    vous plesze de tant monorer que de continuer

    vous asseurant, monsieur, que les paouvres gens font

    font beaucoup de maux en voz boys,

    trouver ce jourdhuy. Il ma promis vous bailher ung

    de [barré : leu] la main et artisfice de leposée. Après vint monsieur de

    luy bailhay, quand il allat à Bully, ung extraict du

    reservé pour votre venue, ou de madame. Quant à ceulx

    qui monte deulx cens vingt livre. Avent que partyr, jay poyer tout

    Monseigneur, je me recommande très humblement

    faire, et en estant averti, monsieur, je vous en dorray advis.

    peu de seiour que le roy a faict a esté cause que despuis ledict lieu

    Lessin par ce quil a subject dailleurs estre employé

    venu devant, despeché par monsieur de Lessins. Au reste,

    ceste prochaine sepmaine à Chambery, et parce que jay entendu

    propos avec ung nommé Larballestier, qui est tout ce que je vous

    rivière en vous prez, et mys ordre de faire faire

    et après, vous en resouldrés à votre voulonté, massurant, monsieur, que

    lettres mardy de Monsieur et de messieurs les mareschaulx

    payez pour trois mois à la somme de XIIII m[ille] CLVII L[ivres], comme il a esté porté

    six jours et quatre nuictz icy, quy est plus tost que nous nestimions.

    plesoiet luy ant mander quelque

    santé. Et sela nous sera nouvelle obligation à prier

    de Lisle, comme vous maviés ordonné, que hyer tant ceullement.

    et lon dict quil est parti soubdain ; toutesfoys, je verray

    vous asseurant que je les reputeray comme faictz

    charge ; laquelle, avec le temps, leur pourront estre in supotable

    obtiendrey commandemant et le despecher, après lequel je

    ce seroit la ruyne du paouvre peuple, notamment des lieux

    Le grangier des Granges ma promis de me venir ayder,

    bien tost, et verrons ce quil dira. Je ay balhé myle escus dor sol[eil]

    jours pour sen aller en court. Et voilla toutes les novelles

    scay comment je doibve fère trouver bon à

    je suplie me doner la grace de vous povoyr fère

    justice et des ministres d’icelle quilz ny estoyent allés.

    de le perdre par occasion des ditz inpostz ; et ce

    portes, tant pour adviser aux vins que de y donner

    novelles, et poynt à moy ny à aultre. Passant par la mesme

    me comander ; et vous mercie très humblement lhonneur

    qui vous escrira bien au long des novelles

    ayde d’auculns de lieux circonvoysins, que pour lexterille recullye [i.e. : la stérile cueillette] quilz ont

    bien humblement et en me recommandant bien

    sergent Marchant, auquel aussi mondict sieur de Nevers a faict

    sergent Marchant, auquel aussi mondict sieur de Nevers a faict

    defaicte de sarra Martineigue, de la prinse du

    Monseigneur, je me recommande très humblement

    dire de bouche ; mais, men estant encores survenus de nouveaux,

    lentement. Ledit sieur Ruffin me dit que son altesse seroyt

    sera dimanche prochain. Si plus tost je leusse entendu, je

    pour son contentement, esperent aussy quil luy raportera

    augmenter tousiours de plus en plus lobligation

    fort bonne grace. Il est vray quil me bast quelques fois, de quoy je suis bien marrie ; quest tout

    venu voir son père, vint voir ausy mes susdites dames.

    lordonnance de maître Jehan Guilhen qui feut ces jours passez à Gargas

    de Gargas. Tout, graces à Dieu se porte

    quant futez icy qui nest dedié que pour vous. Je vous

    Janctant mesmes que mondit sieur le conte a assuré monsieur de

    de monsieur de Blanieu le pacquet quil mavoyt

    Vostre très humble serviteur

    dudit pays, quest la cause que avons advisé de vous faire

    offencé, je noseroys requerir voustre favveur et ci vous

    avions jà sceu par ung filz de + [+ monsieur de] Buoulx quest page de

    de son altesse, je ne me povoys resouldre daller. Jespère

    et Conton pour donner ordre de lavoyr, qui sen sont

    voz bons plaisirs ; cest, monseigneur, que ce pays et bailliage

    ne partira de Gargas quelle ne soye purgée. Monsieur

    de St Julien par ses excessives offres ne veult rien

    mays je lay continuellement faicte meyntenir avec arches et

    ou eslongner sellon ladvis quil vous heu pleu men donner, ce que

    le permest, de vous trouver à lassemblée qui ce

    supplie très humblement, monsieur, luy vouloir despartir

    monsieur de Bressieux ; pour ne sourtir guères et parler à

    Toutesfois, je me suis pensé quil seroit bon vous en advertir et supplier

    envoyer mon paquet, car monsieur le president Bellièvre sen

    treuve bien. Monsieur de La Coste passa dimenche ysy et me

    que passé la minuit ; et madamoiselle de Bonrepos at

    ainsi faisant, je serois punissable. Quoy voyant, j’ay monté à cheval

    [barré : d] tailhes neuf mois en prison à Grenoble, et navons heu moien de pouvoyr

    recouvrer deulx [barré : perdrix] perdraulx, mais je nan ay peu

    apporté moy mesme, ne fust lenpeschemant de ma fièvre tierce

    que luy ont esté escriptes, il est aisé à veoir que celles que sont

    estoyt mort. Nous allons ce matin assister

    Quant aux substitutions à lheritier universel ou de celuy que en tiendra le lieu,

    hier mattina in concistoro nel modo che vostra segnoria haura inteso

    receu nouvelles de monsieur de Montbrun touchant la suspension

    lesquelles choses truvons bien estrange, tant que

    commandez et presentez de votre part, vous assurant que cest une

    ladite compagnie establye ausditz

    de racompter à vous, madamoyselle les insolences quilz y

    debvoir au service de sa majesté, je memploierey daussi bon cueur

    quil y a aux gens des communes, si nest entent que

    de Morineau avec un sien serviteur, avecques ces pistolez,

    sieurs si difficilles comme ils sont en semblables

    pour ledit marchant, tellement que le ministre qui debvoyt

    feront une trouble mine » ; celuy-là feust reprins par ung aultre qui luy

    faict ou voullez faire levée de gens pour aller en ladite vallée Querascq ou en

    octroy impotz du vin et deniers demandés pour le voiage du roy de Pollogne ; plus davoir paiement

    on nous avoit faict entendre), est arrivé le messagier dudit

    luy sont aggreables et recommandée au roy et à elle ; touttefoys, on ne parle

    car long mas assuré que nostre

    qui sont dans le château les gardent bien de monstrer le nez.

    ici de pencer le cors et lesperit. Par mes dernières,

    sur les retenus pour le privé conseil car monsieur de

    novelle elevation darmes ez provinces de par deça. Je croie

    ne ma vie, ne mon bien. Vous entendrez par monsieur

    avant que passer plus oultre, jay avisé vous envoyer ce gentilhomme

    se XXIIIIe janvier [barré : 154] 1574

    de m’aider) que fère fère la cedulle concistorialle (que sert de signature et

    fournir lesdits cent hommes par rende ; lesquelz, despuis ceste

    en recompence du dit cheval, et quatorze florins que

    intention est de amener sahault la pluspart de leurs forces

    adverty comme Les Degueres et Bastian

    monsieur en parfaycte santé longue heureuse vie. D’Apt, ce XXVIIe janvier.

    monsieur, en parfaicte sancté longue heureuse vie. D’Apt, ce XXVIIe janvier

    et vous maintenir en la santé que desirés. Jay veu ce que

    à vos secretères quil noblient mon paquet à la premie-

    Lorrayne se trouve quelque peu mal d’hyer, de sorte qu’aujourdhuy, il garde la

    dans la cave vielhe et me semble le trouviés bon. A presant,

    plusieurs autres chatholiques acoustés par

    propos dont mescrivés au neveu de monsieur le premier president, il na rien

    debvons entrer au faict de telle negociation et despence pour en après la jecter

    ayant esté depeché il y a plus de huict iours, il a esté mandé

    Il me reste encores à luy fournir de tous les acquectz que javois de la depense

    après luy, reprennant tous les pointz et articles dudit caiet, tant seur la

    que le vicaire [barré : de Thoulouze] lequel lon doit envoier ici de

    ville de Moyrenc, jay treuvé plusieurs particuliers, lesquelz se chargent du desmantellement

    ce que pour quoy jestoys venu, cest que ceulx de

    comme plus amplement vous dira ledict gentilhomme, qui me

    temps ce approche de y pouvoir travailher. Lon a faict noveaulx

    tellement quil ne souffict à payer les charges ordinaires qui sont

    Senesran jusques à ce quil eust de mes lettres. Jay presentement

    faire prolonger le congé du cappitaine La Coste, ce que

    et se portent, Dieu graces, très bien. Je vous mande le roolle de voz

    Au demeurant, je suys très aise, monsieur, que vous ayés escript à notre vibaly de faire chastier

    de commander que le pacquet

    Senesran jusques à ce quil eust de mes lettres. Jay presentement

    votre très humble obeisant

    ne se presente en ce pays pour le service du roy,

    du XX. Jay faict rendre voz letres à messieurs de St

    plus sages [barré : se] suyvant la volunté du maistre fesoient toute

    guerre que à la paix. Je prie Dieu qui nous

    que au Puy feust print et exequté ung espye qui dict, entre aultres choses,

    des estatz de ce pays A [(A) lesquelz], comme nous estimons, vous

    escrire à monseigneur de Gordes quil soet de son plesir

    peisans dudit lieu hon testé ses iours audit

    avec une cy grande quentité de nèges quon ne peult

    le passé à les secouryr ; car la persuasion que telz desesperés font au peuple de seslever touche generallement à

    quelque trahison dans Avignon. Toutesfoys, [barré : que] nous ne le tenons que des passans qui nen parlent aultrement,

    Createur vous aveoir en bonne santé et longue

    qui seront nommés à cest estat prochain ne le soit allé treuver

    Il masseure que le duc d’Albe devoyt arriver à Chambery

    autres ; celles de la Perrière et St Laurentz sont gardées la chacune

    jour arresté par messieurs du conselh de ladite ville de

    communicquerey le voloir de sa majesté pour cest

    en la personne de monsieur de La Tivolière, chevalier

    vous verrés ce que men escrit le sieur de Monbrun par la coppie

    alloyt fère baptizer ung filz à Gouvernet et

    à sete houquasion, je prins lardiesse vous fère ce mot pour

    vous envoier à Valence le men faisoir de puys duquel

    à laquelle je ney pas encores faict travalher par ce

    Mogeron est à Vienne, où len dit que porte la pais. Voilà tout

    foulé et mangé ; quant à la compagnie de cavalerie, vous men

    ma dit quil y avoit troys centz chevaus des ennemys et certayne troupe darquebusiers qui passarent vendredy la

    la lecture desdites lettres que le roy a derogé à toutes ces ordonances

    par ung petit mot de voz letres que je puysse, monstrer opportunement

    et cependent, puisque par voz lettres du XXVIIIe du passé qui me furent

    je me rendray hobeissant et en tous aultres vous comandementz comme celuy

    voz bonnes graces par mes très humbles recommandations, priant Notre Seigneur vous donner

    de ruyne et incommodité pour moy et mes enfans ; dallieurs, il me seroit du tout

    Mandés moy sil vous plaict si vous

    au roy, il ny a heu ordre, dautant que lons avoit jà oui

    sembloyt quil faisoyt faire de deux choses lune : ou bien conserver

    lesquelles y estoient, me gardera vous en faire plus

    Champsaur se assemblarent tous lungdy dernier à

    requis, avons veriffié que dans ladite ville

    la garde de notre ville ; et ains suyvant ce quil nous avoit mandé

    de ce passage et de la vallée de Queras, que seroict

    venyr ataquer dans peu de jours et se promectent le chasteau et lartilherie, disant

    bien reconu, je vous puys asseurer quil ne depant

    ce lieu envyron trèze harquebuziers à cheval venantz à travers

    larrivée dudit sieur de Rousset en ceste ville, la suffisance

    Jey presté le serement et caution certiffié à la

    passé par la valée de Queyras et montaigne de La Croix , arrivez

    pour y donner ordre. Je vous en ay escript par

    dautant lennemly. Ilz viennent du cousté de Ribiers

    recours. Je masseure que avant que de les vous mander, il y aura mis

    en ce reaulme, voz actions precedentes et la grande fidelité

    plus parfaict et asseuré amy que vous aurez jamays, ainsy que plus

    monseigneur le prince, desquelz je nay aulcunement entendu que par votre

    bonne volonté que très humblement je vous bayse les mains

    feront tout leur possible à les empecher, toutesfois

    dira comme je masseure que scaurez faire selon que

    à ma table et neanmoins, sans occasion, il me vint presenter son congiet et me pryoyt par mesme moyen de luy

    ce VIIme febvrier 1574.

    est allé dès hier à Paris, dont vous advertira ausy

    ay nommé ung audit sieur de La Tyvolière, duquel je masseure que vous aurés

    vous pouvez promettre que ledit sieur cardinal Ursin sera tousjours et bien

    et après sen va au lieu de Chorges à

    querir de gens à la Val d’Angronegue .Ceulx

    à Teux et Val Souze là oùt ilz ont excerssé toutes les meschanstés

    Nous verrons dans deux jours sy ce sera verité ou mensonge. Bien ay je opinion

    advertiray de toutes choses que jestimeray dignes de vous à mesure quelles

    le commandement exprès quil vous a pleu lui faire de

    greffier de Laval, ce quil ne povoit car cella est à votre vollenté et bon pleysir.

    les gallères de Marcelle se souviennent de son oncle nommé le

    Mon depeche ne segare ; et me reserveray à les rendre

    monseigneur, en longue vie lentier accomplissement de voz desirs et

    advis, le plus seur moyen pour metre luy et son reaulme

    responce quil ny entreroit point quil ne vid ledit La Balme

    contantement et de celuy de madame la grand. Je ne me doubte que

    de temps sera ung peu adoulcie. Après, je vous

    proumys de tuer son mestre, sa fame et aultres de la maison

    bien esperer que sadite majesté efectuera ces louables desliberations. Jay veu la lettre que le negotiateur de la paix

    qui prindrent cellui quon nomme Merle, et Redon se saulva, lequel avoit

    dentretenir personnaiges suspectz avec luy a permis que on aye

    attendent vous fère responce, quest cause que ne

    des mains denviron six ou sept cens hommes harmez tant à

    et mesmes pour ne mectre en danger les troppes

    Prachoran et blessé son frère quilz saisirent et menèrent lautre

    le pourrés faire. Ma petite compagnie se porte, Dieu grace, le

    nous ne nous trovons tousiours à propos, mesmes quil loge

    Lavoypière

    dressez à Vienne et à St Saphorin ; si bien que

    puys deux jours. Je vous leysse à pencer comme elle peult

    sellon que treuverés estre raisonnable. Sur ce, nous prierons le

    qui est cy enclos. Je suis marry, monseigneur, que je n’auy peu

    six solz pour recompence de leur peyne. Lesdit consuls

    son sont [sic] doné par les jours. A cause de quoy, je

    son sont [sic] doné par les jours. A cause de quoy, je

    nos dessaings. Jay bien affères à les rendre capables

    sais bien la maison et ny trouveroys pour le regard

    et nia encor rien par deça quy merite vous fère entendre, si ce nest quon fortiffie

    les sus dis Desmarés manipulés et deliberés de me tromper,

    pour venir en ce pays, je la luy envoyerey, sy vous

    santé, prosperité et longue vye. De Grenoble,

    assailly, quilz ayent moyen de pouvoyr combattre ; ce gaillant qui cest

    château ne se peult garder avecq le nombre de quarante

    m’a promis infaliblement de me despecher. Dieu les inspire de

    de lamitié de monsieur mon mestre et vous le fera aparoytre

    lui a faict tenir par ledict contorroleur Lionne, et cent quil en

    donner,

    donner,

    que monsieur le visconte de Cadenet vous

    de mon neveu Balthezard. Et surce, je me recommande très humblement

    estre sur la fin du temps de suspencion darmes vous puissiez

    est prisonnier et laysné blessé à Chorges par ceulx de la

    Dieu veilhe quilz se monstrent plus obeissantz

    de mon neveu Balthezard. Et surce, je me recommande très humblement

    pour X m[ille] L. ts adressant à monsieur Moisi. Et si heusse

    letres ou nouvelles de mon nepveu Laval,

    de ce que ie me proposois me trouver à Grenoble pour adsister

    là, car le nombre se augmente de jour en jour,

    quil vous pleusse me donner commission de quelques souldartz tel

    comme il y a quelques [barré : art] arquebusiers des ennemys dans une isle entre Sainct Laurens et Condoullet, estant

    estrangers, des suspectz et adherans aux sus n

    nen aient bien necessitté, mès cest

    pourrois escrire. Il m’a bailhé X escus, la somme que luy

    advertis que le seigneur de Montbrun faict paier à chesque viage passant sur

    Jay receu une letre de monsieur de Maulgeron du VIIe.

    de Queyras, au moings les jeusnes, si la guerre continue, delibèrent de ce declarer

    la cocte que monteroit vingt huict sestiers froment,

    sera conservé, reconnoysan bien que mes parties tienne bride

    advis à monsieur de Gordes.

    quon avoyt des aproches de lennemy et particulierement

    atacqués, ce que ne mesbaye en rien car je me sentz assez pour me bien

    en icelluy sans lettre pattentes du roy, quoy que vous aye escript

    leurs depputez en Guyenne et lautre en Daulphiné, je les ay bien

    devers les sieurs de Montbrun et Miribel conferer du lieu et du temps

    se mien service vous seroit agreable,

    pourveu, tant pour celluy du roy que de madamoyselle de Beaulmont

    se pied à lestrieuf lons couppe ici dans la

    [barré : la prié] luy a dict quil y avoit encor quelque chose

    sa majesté men face appeler, iespère luy remarquer si bien le lieu,

    quelque aultre chose de noveau ; et ny a que moy en Molines

    hier au matin environ les deux heures avant jour pour sen aller à Dye

    monsieur de Maugiron. Car quant à ceulx de Languedoc, ilz n'ont pas

    ou autre superieur, se desbandarent et furent trouver ung de la pretendue opinion

    et de ceulx qui se sont meslez bien avant de leurs affaires.

    doné de mesmes comme pourés voyr par sa

    dactendre le temps de troys moys espiré, ou pendant

    Nous avons, monseigneur, ces jours passés volu conférer avec monsieur Lyonne

    monsieur, en bonne santé, longue et heureuse vie. Escript

    hier matin et est retourné ce jourdhuy après disner portant lettre audit sieur de St

    satisfait à mon espeoir comme auparavant je husse esté

    de tout mon povoir. Je vous remercye bien humblement

    et munir de vivres et soldardz leur eglize et

    voyr, me chargea de vous dire quil vous est très humble

    advisé que sil vous plaisoit escripre au comte de Beynes que sy on

    pour avoir du charbon pour luy faire tenir aussi. Jespère avec layde

    accordé audit sieur de La Meaulce prolongation de trefves pour quinzaine pour les

    de Vileneuve quelque choze pour vous dire. Je me

    qui leurs seroit une bien grant perte, accompaignée dune manière de desespoyr ; et neanmoins, il fault couryr les fortunes

    très humblemant à votre bonne grase, pryant Dieu,

    lieu de Grane, disant ce jourdhuy

    Villeneufve passa. Ar soyr, ainsin que malloys

    retour dune mesaigier qui doit venir à nuyt qui est

    dans une grange, là hoùt ly ont prins sesdits

    ferons de toutes aultres choses que surviendront pour lenvy

    pancer et retenu le paquet qui [barré : y] venoyt à vous

    cestiers deulx cartaulx trois cars daultre,

    sil y pourroit avoir moien de leur donner quelque extraicte. Je croys que

    Je le fus veoyr hier quil fut de retour en ceste ville.

    repoulcer aurions besoing destre mieulx armés que

    Martin de leur secours et desliberation. Cependant,

    et, avoir faict toulte dilligence, avons entandu que

    la porte où j’ouys de diverses nouvelles. Tantost les ennemys

    par ces costés, je me tyendrés tropt hereulx quil vous plust

    nous eussions aussi bien le moyen de nous guarder à la pleyne car, à la verité, je crains denvoyer mes gens de piet hors

    quelque aultre chose que ne vauldra guières. Je ne

    employés, mesmes monsieur de Sanct André lest allé visiter

    attaquer La Mure que je ne cuyde pas pour estre le lieu tel que jestime

    sommes asseurez de la part des sieurs vicontes et de Serignac ; car, quant à monsieur de St

    par mes humbles et affectionnés recomandacions à votre bonne grace

    ditz ennemys estoyent mespartys en troys troupes, estant environ soissante hommes à cheval et quelque nombre

    la venue dudit sieur Draqui ; de quoy vous ay bien voullu

    et de frèche memoyre, ayant demandé, oultre ceulx de

    heusse votre dite depeche. Mais je scai bien quelle ha esté

    arivée an ce lieu an fort bonne santé, graces à Dieu, et toute ma

    avec leurs magestés et à monsieur le chancellier qui

    Jay apprins quelle est en querelle avec monsieur de Chevrières

    et ce pendant je men iray actendre mondit sieur le marechal audit

    resoys tant de bien de monsieur [barré : Bl] Brunel que je ne depans autre

    la cour du XVI et XVII. En somme, je voy que lennemy se

    ou quatre hommes passans, entre lesquelz y estoyt

    nous ferez netendre votre volenté. Je mande par la vallée de

    commander, je feray fin à la presente par mes très humbles

    Je metrey peine à scavoir quele fin ilz auront

    commandementz, ausquelz nous obeyrons, après noz très humbles recommadations

    scaurois escripre. Jentendz que et [barré : comme] ledit le [sic] brevet le porte, les deniers

    rien espargnez. Il ny a poinct de canons comme

    du roy et du repos public. Toutesfois, je n’en asseure rien pour le peu de foy que lon peult

    partis, je croy quilz y fussent demeurés silz eussent pensé

    de faire payer les [barré : compai] sèze sallades du sieur Jehan Baptiste

    Je suis ici atandant le premier ou II jour de

    service du roy et comme elle est dezirée des ennemys de sa maiesté

    quant à le mettre à rançon, cest chose que je nay

    d’Ambrun. A cest heure, lon debat à qui seront les chevaux de

    en très bonne santé très longue et heureuse vie. De Grenoble,

    mander coppies de deus lettres contenans lesdicts advis, lune desquelles

    bonne grace et prie Notre Seigneur vous donner,

    par ung de mes admys de la novelle opinion quil an avoyt

    receu voz lettres, et suis bien jouyeulx que ayés receu voz letres de

    devra et neanmoyns guider et fère bien son devoyr si

    comande à Mens et incontinant que de ce jeuz advertissement, je me

    et ledit sieur de La Tivolière ont estés davis de’nvoyer [sic] Le Vent [Du Vant] à

    peuple. Lon feict courre le bruit que Monbrun a esté tué et

    commandemant et intension. Insi le dit il. Je le vous

    ce quil me promist faire. Tous ces messieurs mont commandé

    de vous en fère le debvoir et vous demeurer

    trover moyen de fère ungne bougne trève jusque à ses que

    pour assayer de rompre les mollins, attendant comme il

    certains aultres est encores dans une

    commender à ce bal ; sur quoy, voiant limpertinance, mondit sieur d’Aurilly ne sceut faire

    par escallade et ont tué le curé avec ung aultre

    prins mon postilhon et le chival et deux paquetz que

    là leur magasin. Despuys questes party

    si je nen suis bien forcé et contraint, car jespère avoyr assez dargent pour

    que lennemi veult venir assieger ceste vile et pour ce,

    ceste ville et est sortit par le moyen de troys soldat

    poinct, quy nous dist quil vous advertiroyt du tout. Despuis,

    incontinent vous advertir. Je suys esté contrainct vous

    puyssance les en enpecher, comme bien scaict monseigneur de votre

    incontinent prisonniers. Nous sperions de fère leur

    mirent le feu audict village et se vindrent camper à St André.

    bien affectionnement luy vouloir donner ledit passeport afin qu'il

    bien besoing. Et sil ne vous plaict dainsi le faire, vous supplye

    donner votre commandement que nous suivrons

    scay bonne grace. Je me recomande de bien bon cueur à votre

    partir pour vous venir trouver, mays le roy ne la volu pour quelque

    soit devant Ambrun avec XV c[ent] homes comme lon

    coumande ; en mesme instant, madame d’Ourche ma

    febvrier 1574.

    remostracion que je leur fasse, pour quoei je vous voudrès

    vous en ay ouy dire. Jay occasion davouer quil y a [barré : une infinité de] plusieurs

    De vostra eccelenza

    sua eccelentia mia chommandatto tire se quelli del

    chevaulx légers

    Beson, mais aussitost que nous l’aurons trouvé, je vous

    nous retint au disner. L’après-disner, nous alames veoir monsieur le

    et recommandé. Je n’ay poinct donné ceulx de messeigneurs

    mon fait de Dieppe ; si ne peut-il plus guière tarder

    que ce n’est à faulte de bonne volunté en vostre

    l’ayder à sourtir de mesme avecq monsieur de Monestier et sur

    qui m’aprent, quoy attandant, je supplieray le Cre[a]teur vous donner

    non plus esté payées. Si vous n’aviez receu sa lettre, ie vous

    de poursuivre l’effect de vozdits premiers mémoires que

    là, je vous diray des nouvelles. Premièremant de monsieur de Garguas et de messieurs

    a prins chemin et que le seigneur Jehan d’Austrie n’est

    places frontières, en quoy les compagnies ordonnées de leur cousté et les légionnaires

    dites navires. Si cela a lyeu, j’estime que c’est la bonne prise. L’on tient pour vray la prinse de

    sans les novelles que l’on a receu des levées qui se font

    et ne scavoit qu’il eust esté faict aucun nouveau reiglement là dessus,

    de quoy j’ay esté estrêmemant aise, estimant une grande

    si incertaynes et variables. Je vous advertissoys de la desfaicte du duc de Medinacelly. On a despuis

    trésorier de l’espargne dict qu’il luy

    après avecqz luy en l’acceptant après son décès en son lieu et

    de plus grand cas, vous scavés qu’il ne va pas loing du calcul

    asseurer avec le sieur de Molard, car ce sera tant moins de procès

    Je scay d’ailleurs de bonne part que l’on pretend que

    d’Espagne se fortifioyent tous les jours et demeurons

    et l’on dit que la pluspart de la cavallerie

    de la poyne en laquelle m’escripvez qu’estez

    boticques estantz au près de la sienne, portantz tous l’espée au

    par esdits plainctz, mais sommes tousiours aux despans

    plaira doncques me faire responce et me commander comme

    le roy de Navarre y arrivera ausy, qui sera

    estrophié, comme je suys sans moyens, sinon que

    le roy d’Espaigne. Ceus de la religion desireroyent bien que les choses ce passassent aultrement.

    Monsieur, vous donner en santé bonne et longue vye. De La Tour du Pin, ce

    armée navale qui est à Bourdeaux et an Brouage, doit faire voyle,

    en dira comme sont allées jusques à présent, ne vous en voulant ennuer par lettre ;

    quil vous plerra me fère. Au reste, Monseigneur,

    faisans bruict que larmée estoict sortie du port de Messine et

    grand nombre de bestail par voye dhostilité et quil

    de Romans, saydant d’une provision de monsieur le legat d’Avignon,

    tiramnizés en leurs maisons. J’ay veu aussi par letre escripte de la cour

    pour fin de laquelle, vous avoir continué mes offres de

    apprendre quelque autre chose, ne fauldray vous en donner

    de parfaire l’armée du roy catholicque, néaulmoins, on ne

    bien et d’honneur que moy et les miens vous en demeurerons à jamais

    faire avancer monseigneur et madame de Lorraine, qui ont promis venir pour

    que lieux circonvoisins, à coy je m’employerè de toute

    Monsieur, en santé bonne, longue et contente vie. De Saluces, le VIme

    à Messina et despuis allé à Corffu, ayant emmené

    pour ceste année, revenantz à VIII XX VI l[ivres], XIII s[ous] IIII d[eniers]

    madame la contesse sa femme. Madamoiselle

    [ligne barrée] ne fut avec termes si

    navoie rien de nouveau digne de vous, sil nest

    vous diray pour recompence de ce bon ofice, sinon que nous vous en demeurerons perpetuellement obligés.

    grarderey tougours ung bonns cheval pour se

    que je ne fusse poinct amoureulx, [barré : comme] joseroys

    on participé avec grands trihonhofes, lesquels je

    chemin, soyt que lon prends le chemin de Voyron ou de

    ma commission donnée, je commence en ce lieu à dresser

    monsieur, receu de la mesme bonne façon que

    chescun jour. Il vous plarra nous advertir du

    ung pacquet de monsieur de Nevers que celluy des cappitaines de monsieur des Adretz

    Andrea Doria attendoit à Gênes pour aller

    Monseigneur en sa sainte grâce, vous présentant

    eydes à cause de leur paouvreté et qu’ilz ont esté ruynés par

    eschaufée en ce pays yci come elle a esté. Il ne

    moyen, comme j’en hay la volenté, je n’espargneroye ni la

    qu’il ne fault poinct faire penser de conduyre gens par deça s’ilz ne sont payez et

    de Mondragon s’abillent tout de vert comme font

    à Dieu. Je vous ay faict une despêche et adresse à

    ausdits lieux avec leurs chevaulx, lesquelz

    a de présent en mer 230 gallères et 100 galliottes touttes

    qu’avés escrites à ma nièce, madamoiselle d’Ouches, j’ay seu de

    à vous faire long discours des novelles,

    et partiront ung jour de ceste sepmayne.

    Ceulx de Vivarois se doibvent venir joindre

    de ce pays de les establir aux lyeux accoustumez en ce pays. Il nous semble

    à Famagoste, en qui y avoit esté prins, pour la rançon duquel en avoit demandé aux Vénitiens troys

    et de ce je vous en asseure. Monsieur, le procureur du roy de

    Truchon, mesmes que monsieur de Serrin, mon beau-filz, m’avoyt

    la pareille à messieurs du pays) devers monsieur de Sauve.

    de Condé, monsieur de Guyse et aultre jeunesse gailliarde, sont allés à Sainct

    de Suze, ce XIIIIe de juillet 1572.

    à Uzès avec charge de faire quatre mil hommes, sans que l’on

    me dict quil ne faisoit effacoit le plaisir quil faisoit à prester pour redemander

    avoit quatre mille hommes de pié et cinq ou six sens chevaux

    qu’on ne l’eust peu porter sans l’offencer pour sa

    mande quérir. Pour ce, je vous suplieray monseigneur,

    qu’il ne fault poinct faire penser de faire passer gens par deça sans argent ou s’ilz n’ont

    qu’il n’y a dangier de rupture de paix entre

    passer en Briansonois où je feray quelque peu de séiour.

    d’Ourche, comme le devoir me conmende, ie vous supplie très humblement daviser comme ie

    Votre très humble et à jamais serviteur

    volloir ayder de votre faveur et quil eust expedition car le

    moyen, je suis résolu de faire faire monstre à touttes les compagnies de deça ;

    fin par mes recommandations à votre bonne grâce, priant Dieu quil

    lundy au soyr, mès je luys dys la voz envoyer ce quil

    André à La Bucxière. Je supplie le Createur vous donner

    lettre quon ma escript de Parys, pour quoy fairey

    vous prieray, monsieur, de commander sil vous plaist, que mon pacquet

    la tierce à Miribel. L’on m’adiousta qu’ilz avoient la nuyt

    ma montre que pour nantrer poing en Piédmont en desordre

    tragédie, il vous plaira entendre qu’environ le commencement du mois

    vous obeyray et daussy bon cœur, que je prie Dieu

    Monsieur, voz tenyr en bonne santé et longue vye, me

    tenir prestes les monitions et lougies

    qu’ilz ont tousiours fait au commencement des troubles passez ;

    de vostre faveur en ce faict ycy de faire dire à monsieur de Mures par

    l’arrivée de Balthazar et de ses compaignons à Paris

    quelque chose, que je m’asseure que vous le scauryez. Ilz en sont

    vous en estes quittes pour X mil IIIIc LT. Je loue Dieu du bon

    advis que jen ay euz, suyvant lesquelz je delibère me tenir sur mes

    Je feus hier à Gordes où tout

    doler, que celle que me povoit causer

    les endrois où vous plerra m’employer. Au reste, monsieur, je ne

    tous ceux qui vous apartiennent par deça en sont exemptés. La jambe

    disant que ce nestoit que les traictes et estappes acoustumées

    Je ne fauldray, si je passe plus outre que

    et tous nos aultres bons parans. Je vous suplieray, monsieur, me voulloir tousjours tenir à votre bone

    je vous ay, par ma dernière, faict un petit discours, verrez quelles ne

    n’empêchent beaucoup de bonnes et sainctes entreprises qu’on avoit

    fauldra que trois aillent à Carmagnolles et puis l’une d’icelles de là

    Nous n’avons icy aultres novelles, sinon celles dont vous devés estre plus tost

    La despêche a séjouné es mains des secrétaires de monseigneur

    dit que leur armée a levé le siège de devant Castelnovo, par ce qu’ilz

    Vallence, ce XIXe juilhet 1572

    encores, et estant par moy examiné sur ledit

    ça compaignie, vray que ie crois quil nont

    Il dict toutes les sebmaines trois foys messe. Je vous laisse penser quel

    en si grande perplexité que je nay peu maquitter de mon

    ce sont passées avec l’advis et conseil dudit sieur Bellièvre, comme ledit sieur de Chastellart vous escrit,

    faire mettre monsieur le président Bellievre son frère en son estat

    est sortie. Je vous en porrei mieux asseurer par monsieur de La Coste

    Monsieur, vous donner en parfaicte santé, heureuse et longue

    pour sa décharge davoir excédé voz commandemens. Beaucoup de

    huyt jours. Monsieur de Corbans doibt aussy estre de

    affection ce qui vous touchera en particulier ainsi que le

    lettres adresante à vous monsieur, je ne faudrey les vous

    suivant la volonté du roy, la nomination vous eust

    panssions pas ; durant lequel tamps et jusques au

    les mains et recepvoir voz commandemens, je ne feray ceste plus

    à aultre, mais elle nous ha souvent esté rabatue par le bruict commung, mesmes

    que le filz de monsieur d’Eseazs a esté tué

    Monseigneur, en parfecte santé, longue et heureuze vie. De Lyon, ce XXIIe

    quil a esté possible, comme jespère vous dire bien tost ; a quoy je

    reiglemens, n’ay jamais séjorné une seulle heure, l’intention de monsieur

    que ma joye a esté bien tost suyvye d’ugne tristesse,

    a tousjours le ventre gros comme si elle estoit preste

    je ne la feray plus longue pour ceste heure, si ce

    assés bone esperance. Mais jay veu par une lettre du XIXe quaprès

    parties, j’en estimerois le plaisir de tant plus grand. Je

    son dit frère qui est isy à la suicte de

    laquelle je pour suis et espère avecque layde

    domaige que soyt foulle et à peyne se remectra

    le nom de barron des Adretz et la dessante de ses troupes

    Marc Anthoine Colonne et au providadeur des Venitiens

    ses parties adverses, ains quil aist temps et loizir pour preparer

    mains et suplie le Createur quil vous doint en par-

    eu en leurdict du voaige de Angleterre, duquel

    Et si tant est que sa commodité ne luy permecte d’y

    esté cause que nous avons esté contrins par lespace de

    dequoy il lest. Au demeurant, nous avons resceu tant

    gendarmerye de Naples vient par la Lombardye, et que

    devotion, je men voy recommander très humblement à vostre bonne grace et

    je vous envoye et sur le poin, je lay regardé. Torcheffelon me vient

    très aise, car laer vous y sera plus propre. Jay bien

    des hommes] faire descente dhommes pour les envoyer

    visite à lendroit de Monsieur le conte de Vantadoul, lequel est arrivé à La Voulte despuis

    ne vous seray ennuyeux de plus long discours, si ce n’est

    à la bonne vollanté et aussy regarder syl y a chose en ces

    sy jay moyen vous pouvoir fère service. Je vous despecheis

    letres de monsieur d’Evenes confermatives de ma prediction,

    a tant affligés – de laquelle vous pouvés estre et juge et tesmoing pour

    vous anvois ; présentement il ne me mandent chose que

    servyttude que je vous ay voué et quant il vous

    humblement à voz bonnes graces et prie Dieu vous donner,

    daultant que les aydes anciennemant accostumées

    très longue et très heureuse vye. De Grenoble, ce XXIXe

    le pain aulx mulletz et le tout ferés escrire au petit

    des peisans de Meilan, que nous estoit de grand prejudice.

    estat, encor que ayantz banny l’estat ecclesiastiq de leurs

    presence de la reyne sa mère et de mondit seigneur son frère. Au demeurant, le sieur de

    retour de ce porteur que je vous envoye exprès. Et sur ce, après m’estre affectueusement

    vostre très humble filz et très obeissant

    bien et prant gout à la viande ; et que depuis

    escript, je puis dire navoir heu bon jour despuis

    Monseigneur, vous donner en santé longue et très heureuse vie. De

    fais es prochains jours acheminer ma compaignie ordonnée pour faire monstre

    de bon matin. Dieu a pourveu à vostre contentement

    troubles, ma maison de Marches fust volé par aulcuns dont

    mes très humbles recoummandations et à madame de Gordes, priant

    fins de vostre maison de Laval, ce que je ne refuse, mais ce sera après

    que ie tiens pour resu, si tant estoit quon me tint

    plaict quon meyne ledit cheval lahault prez de vous où il pourra

    en cest endroit, ayant salué vous bonnes graces de

    chevaulx et je men yray à Laval, Dieu aydant,

    ma escript pour luy prester ma littière. Jey dit à d’Aragoin quelle

    quil nia rien desseuré en ce monde, sy ce nest quil

    masseurant quau plaisir de Dieu, bien tost, serez

    portent lintention du roy catholicque audit sieur Don Jehan de tout ce

    ne vous en mande rien, ayant desja douze jours. Si je recoy

    repceu monsieur de St Cerni et moy vostre despeche

    que ne trouviez là-dedans toutes les particularitez des advis qu’il me donne,

    de Matz y a esté, le sieur Fortias d’Avignon et Alixi Geoffroy d’Aix sont aussy

    service de sa majesté. Tous les preparatifz qui se faisoient

    altération et les troys jours ensuyvans de mesmes, jusques à la

    de tous coustés de lever companies, nonobstant

    mareschal desdits logis pour avoir moien entretenir les soldatz qui sont

    qui luy est deubz de reste desdits quatre moys, tant

    esté et estre assez mal traictées. Je y remedieray pour ma

    vous aura faict entendre de ses nouvelles, comme il

    la verité, c’est tout ce que je dezire, vous

    toutefoiz receu cette gratification de vouz quil vouz

    estés tous desfaictz, ormys ledit seigneur de

    marry, Monsieur, qu’elle i vint pour vous

    comme est pourté par ledict denombrement, je

    ay incontinant faict coppier et les envoye audit sieur

    hommes vollontères où il y a beaucoup de Grandz d’Espaigne,

    presque faire un tourt de schanbre quil nayest quelqung

    je feray fin par mes bien affectionnées recommandations à votre bonne grace,

    à credito siamo pur troppo lontani dalle nostre

    esté deux ou trois jours bien fort tormenté, car la challeur

    à servyr ; et pour garder que monsieur de Laurys nobtienne

    ha faict de son estat avec monsieur le viballif de

    de vostre guerison. Ie remés à vous fère paroitre

    d’Herbeys ne sont guières scavantz, ne expertz, ni les

    faict pour la Sainct Luc. Je vous supplie aussi faire mectre sus ung

    du nombre et souffizance des serviteurs que

    Je m’asseure aussi, Monsieur, que vous aurés esté adverty

    ce quelle contient. Je obliys par cy-devant, vous escrivant ce

    par jour à laide de quelcun de nous aultres qui le tenons soubz les bras.

    avés esté tropt mieux informé, je ne vous en feray aultre

    rien à la susdite depêche pour ne pancer avoir

    comme je le supplie ne sera de durer. Mon

    de plus ; touteffoys, monsieur de Veynes a fait venyr

    Monseigneur en santé longue et heureuse vie. De Lion,

    daultant que la monstre a esté remise à aultre

    une grande fascherie car à mesure quilz prenoyt mal, il me falloit

    en ceste court qui ne sont guyeres assurées ; encores

    lenvie que jay vous faire humble service, comme jen ay beaucoub

    La despance que j’ay faicte là en faysant la levée [de] mes conpaignies, la

    quil est exent de fiebvre ; et sans ycelles, je

    que j’avoy baillé ung maistre d’escriture à monsieur de Gargas et à ses

    ladite pretandue religion et pour les rumeurs qui ont cours, tant pour la

    mesme etat, ne pouvant avoir les papiés qui luy

    eu trois ou quatre acsès de fièvre tierse du XXII

    deliberations de ces choses se traictent comme ceux des fames en Terence :

    neveu, monsieur de Laval. Nous luy

    hyer par icy le duc de Montalte, nappolitain,

    jusques à ceste heure, neuf, tellement quil na disné de si bon appetit

    avoir presenter mes très humbles recommandatiosn à vostre bonne grâce.

    despleysant comme aussi je suys, de ce quil ne peult

    une lettre à monsieur ladvocat general qui a mes procès

    matin, il montat sur la petite mulle pour prandre lair.

    très humblement

    Brianson, encloses dans ce pacquet, pourrés entendre

    depuis trois ou quatre iours, à maller promener le matin à

    qui a promis de le faire conduire seurement

    en fort bonne disposition, feut vouer madamoizele

    faisant, oultre lobligation que ledit sieur Dubosc vous en aura, je le receuvray

    allé ung sergent du cappitaine Pellisson, lequel a desbouché

    et de cellui de madame de Gordes et de mes nepveus

    votre dit paquet. Nous navons chose de noveau digne

    ny sejourner vostre compaignie. Monseigneur,

    guerre et quil ne veult que paix. De Lyon, ce

    justiffication que de la droicture de voz actions qui

    sen sont allés et ung en mourut lundy dernier et quil

    pauvreté et pour estre exemptez, sil estoict possible ; je leur ay

    comme vous vertus et services meritent, il vous faille defendre de ces

    demain le matin à Allières voir monsieur de St André

    là jusques à mardi pour sen aller demeurer deus jours à

    salue votre bonne grâce des plus humbles recommandations

    Le Mazel, disant qu’il ce tenoit en Daulphiné au prieuré

    comme je luy ay faict entendre jà par deux lettres. Aultrement,

    Ledit marechal des lougis me parla que ses gensdarmes seroient

    ainsi de bout et me sentant assez mal pourveu, combien que

    digne de vous escrire, qui sera occasion que ne la vous feray

    pour faire tenir par lettres de change en Flandres ;

    president Bellièvre. Je vois bien quil tascheroit de prendre

    et du mandement pour le faire signifier et ayant receu la partye vous

    our nous en revenyr le jeudy icy, de nous en cheminer

    Monsieur de Montleue est ordonné commissaire pour votre compagnie

    par sadite lettre que je vous renvoie. Je loue Dieu quilz laient regretté

    de retour, ledit Roucoulle me monstra le[s] cicatrices

    fère response à votre seigneurie et masseure que

    Jaunage ; bien pretandons nous mardi aller à St Prie et revenir

    je me sens touts les iours renforcer et treuve fort bon

    je me sens touts les iours renforcer et treuve fort bon

    oster ma cause du grand conseil, en ayant charge lon a les

    faire ceste faveur solager notre ville de ladite charge, joinct

    est querrée de present en ses mains et y sera jusques à ce qu’elle soit

    plaisir que en considerations des troubles passés

    lequel doibt faire le payement de vostredite compagnie à Moyrens.

    de leurs serviteurs qui venoit querir des vivres

    Monseigneur en parfaicte santé très longue vie sa grace.

    tenir l’ediffice couvert, y comprenant ce qu’avez ordonné de

    notre frère de Lyon le IIIIme, jay seu la convallescence de mon neveu

    Mures qui est ici. Monsieur d’Hourches y est [barré : icy] aussy despuis

    de mon neveu et ie nen ay receu meins de ma part ; ie loue Dieu de sa

    santé et tout le reste de sa conpagnie, dont ien loue Dieu et le

    de la presente pour vous supplier, comme je faiz bien humblement d’avoir

    passera, je ne feray faulte den conferer avec luy. Je suis en oppinion

    qui les entretien plus en esperance dudit voyage. Jay oppinion, mon seigneur,

    hocasions quy le faict contenter de ce quila.

    ainssy et par ce moyen vous advés contanté lu[n]g et satisfet

    Votre très humble et très hobeissant serviteur

    pansant aller treuver moy mesme, je ne vous ey pas anvoyé si

    memploier. A quoy je suys tenu des long temps.

    de ceste pour vous supplier comme par icelle nous faysons

    Dieu le vueille, entre les mains duquel la disposition

    les palephenières. Je suis estée en grand peyne ayent entendu

    Ie suis esté trèsaise d’antendre la guerison de mon nepveu

    Son commis a dit à monsieur de Chaponnay quil pence que

    mais mesdits seigneurs, par plusieurs bons respectz qu’ilz m’ont

    Monseigneur très heureuse et saincte vye. De Grenoble ce XXIIe jour de

    bonne volanté pour leffect, laquelle ne sera

    fournir pour votre pention (comme il ma dict) mil livres vous en

    jespère que dimenche ou lundy au plus tard, Dieu aydant,

    qui me pria de se faire. Je nay encore receu

    mais en tout ce quil vous plairra me commander et

    prethendue reformée, combien quil est à croyre

    monsieur d’Allières et ma seur sont tombés malades

    disposition en laquelle il est maintenant, esperant quil sera de jour à

    Chastellard et ay grant regret que je ne suis encore en disposition

    recepvoir voz advis et commandementz.

    vouloye faire et fère gaiger aulcuns de ceulx qui

    me tenir tousiours en votre bonne grace, à laquelle

    peuple, car le septier se vand jà deux escus. Je

    serviteurs que vous ayés. A present, navons rien de nouveau

    plasse dhome darmes, que se soyt mon nepveu de

    vous die que ce pandant que jay esté ça hault, lon ne ma guières

    mescredy 27e jour daoust 1572

    Savoie, lequel puisquil at prins le chemin de Paris,

    les Reynaulx, comme je fus sur le ponct du Rosne à

    que partir pour men aller à Allières où je vois disner, les

    à leurs amys quatoliques de peur que soubz le preteste de ceste nouvelle

    de monsieur de Suze est ordonnée en garnison à Pierrelate et mont prié de

    ous avons treuvé qu’on l’a très mal faict exploicter

    clerc qui se rua sur les Suisses assés indiscretement, mès

    vous a pleu m’envoyer, pource qu’on ne trovoyt home allant

    gardes que nous y continuerons jour et nuict,

    aultres armes n’estans guyères loing d’eulx, attandant votre

    formée ; je ne veulx oublié vous advertir comme j le jour

    les consses de septe ville furet averty de seus de

    de soldartz ; et nayand treuvé personne dedans

    Je n’ay poinct heu de responce de Monsieur de Rosset,

    avoyt faict entendre, il alla coucher lundy de Chambery et que

    à lautre. Je ay trouvé à mon arrivée deux despehes votres

    le luy voulloir ainsi permettre, comme jestime que le

    les [barré : uys] trois cent livres pour lesquelles Mizaud mavoit

    chemin et mon incomodité my font beoucoup

    avant, qu’en brief, je pouray avoir recouvert ceste perte, que sera l’endroit

    celluy quil treuveront bon, je prandray car puis quilz sont

    estat que les desains quon prandra de sy long tamps

    lundi prochain et la fera siner, à ce quil ma promis. Pour le faict

    pour le servisse du roy, monsieur de Sauve ma

    si jeusse plus tost trouvé la commodité d’ung porteur pour prandre mes lettres,

    lofficio ch'io havea deliberato di fare subito doppo il mio arrivo a

    monsieur d’Aix en faveur de ma ditte tante est sinée ; il

    le marechal de Danville pour navoir mon cas prest

    à sa magesté, et à vous et ne se treuvera, comme pourront tesmongner

    à laffaire de St Sernin, quest ce quay advise pour

    prouchasser, vous suppliant, monsieur, de croire qu’il n’y

    troys jours, sur paine de la vie. Il a faict constituer

    le tout, en leurs en rendent bon conte. Comme ilz auront la vollonté meilleure pour le service du roy

    deux beaux motons pour descouvrir de moy s’ilz auroyent

    de tout ce que il vous dira de ma part, car par

    tant dhonneur que de me viziter ; et vous puis bien

    ou cinq jours pour ce pendant donner ordre à tout

    de lanvoyer querir vers vous car je le leur balheroy

    commandé et par mesme moyen esté respecté d’eux, je vous vouldroys

    la soudayne mutation de temps que nous avons eu en ce pays et des froydes et grandes bises

    prestz faictz au soldart, il sen sont dispencé et le luy

    conte qui dict que monsieur de Valavoire a esté tuhé dans Paris

    et prudence. Bien vous diray-je, monsieur, que

    aussi hors de paye et dont je suis prest en lannée dudit compte

    vous navez personne en ce monde qui desire plus les

    sy vous y faictes sy long séiour. Surce, me recommandant à votre

    vous plese me tenir à vostre bonne grace, à

    derniers troubles, il auroyt suivy le party de ceulx de la religion

    que ma compté Collin, lequel vint au soyr

    sy jeusse sceu quelque chose digne de vous et aussi que

    suivi les trouppes et porté les armes ès derniers troubles, ce

    son chemin par terre suivant le conseil de monsieur de Sainct

    estre interessée en ce quilz ont [barré : h]en leur pouvoir ses maisons

    auquel estoit Don Joan quand il partit de

    ces desseings. A present, nous attendrons à veoir ce qui surviendra, et pour ce que je ne

    charrettes, batteaulx et aultres choses dont ilz auront besoing pour

    suivant votre commandement, lequel à notre très grant regret n’avons ousé exeder.

    envoyé, comme vous verrez par sesdites lettres, coppie des lettres que le

    est allé à Napples pour negossier quelque

    depesche que je feis lors que je le vous recommanday. Messieurs

    parce qu’il est si grand que pour s’y garder de surprinse, il

    suramant sans luy donner cete dépanse quy luy

    dicelle continuer comme jay veu par plusieurs foys

    d’Amville, lequel je vous envouye. Seus de

    sepmaine prochaine. Surce, me recommandant bien humblement à votre

    voir plus tost que je ne feray puis quil nous

    bon voloyr de [barré : ne] vous, monseigneur, et le nostre

    Nous avons bien d’aultres passeportz par vous sur ce expediez, mais parce

    porta hyer au soyr, que je luy renvoyay incontinent pour ne

    con effetti il molto desiderio c’ho di farle ogni

    tendans a mesme fin, ne portent tesmognage de voloyr oublier

    l’authorité qu’on veult dire que je me suys attribuée

    les autres pour leurs amis, autres pour moy et à mon refus pour leurs

    que puissiés mettre en effect votre dessaing. En ces

    de peur de me travailler. Je ne laisse pas pour cella

    monsieur de Mandelot à ce qui sera necessaire, et de là m’en aller par

    face merci, car je massure que monsieur de La Coste nobliera rien

    de Provense que de Dofiné o[u] Contat, et de quelques

    bayla et que depuis je fus à Laval et ne me

    la damoiselle qui les chante si bien. Je ne scay rien de nouveau

    la moindre surcharge du peuple que se pourra, de quoy, monsegnieur,

    charger noz grephiers d’en envoyer [autant] par toutz les balliages,

    ne fère ce quil doibt à mes enfens que je l’y veulx

    le mareschal de Dampville, je ne fauldrey

    anquores prest. Nous irons bien an plus petites

    dicelluy. Il reste que votre bon plaisir soit

    leur en avoyt sucitté ung aultre de plus grand callitté,

    de Lyon, mès le devoement que jay heu ses jours passés

    car je n’ay plus que cella qui me fasche de la suite de ma maladie

    recomendations. Priant Dieu

    assurement advis comme l’armée chrestienne avoyt entierement

    ne dautres particularitez. Je ne vous en puis [barré : rien]

    et chevaulx tous prest car y se fault metre en campanye et se amasser

    à votre bonne grace, priant Dieu

    en payant raisonnablement. Je vous prie dy envoyer,

    que vous n’en serez jamais payé sans leur mander despence à bon

    votre seigneurie y adviser et me conduyre suivant vostre

    honcle qui est malade. Et si ce pendant, il surviendroit

    que monsieur le cardinal d’Armagnac a advisé ; et

    nouvelle de telle importance, je vous en ay bien voullu

    Là où je nay encores peu entendre quel seiour il y

    je ne creyns que Lourioul, sy par fourtune hon n’y

    Et quant encores mondit sieur de Rosset meust plus tost envoyé

    huguenaultz, et moy, sentant la furye du popullas et entendent

    ilz mont leissés. Jay coumansé quelques purgations et regimes, dou je ne serey

    il rompit une fenestre ferrée. Je l’ay faict suyvre de tous coustés pour le faire reprandre.

    ier, les messieurs le conte de tende, de Joyeusse et de

    une letre de monsieur Gentil une heure auparadvant, que hyer maîtres

    une letre de monsieur Gentil une heure auparadvant, que hyer maîtres

    recommandations à votre bonne grace, comme je fais aussy les

    ne debvoit arriver que jusques à dimenche prochain à Lyon.

    que, avant que davoir donné ordre à mes affères et mesmes à certeynes requestes que jey près

    Saou, et me le mena en ce lieu ; lequel je interogey et

    jour esté saigné à rayson dung catarre quy mestoit

    malade, et ung prebstre fort homme de bien et bien catholicque,

    mieux, Dieu graces, se est-ce quil est à la main destre et ne

    la maison de Tournon pour le recepvoyr et ay advizé

    quavés faicte dresser sur la lettre que dictes, monsieur, avoir resue d[barré : e vous]u roy,

    me de Gordes soyés en bonne santé comme aussi sommes nous

    droicte, de telle fason que à peyne pouray-je signer la

    le depart de mondict segnieur Alphonce allant vers vous. Monsegnieur

    faire tenir le pacquet cy enclos, car je nay point moien

    vous asseurant que oultre que vous satisferez en cela à lintention

    Bien tost après, nous receumes les letres de messieurs d’Argentenant

    que prierè Diu

    feu monsieur le conte de Tande. Je vous puis assurer que je

    graces, les quelles je salue de mes très humbles recommandations, priant Notre Seigneur vous donner

    moyen de vous faire très humble et aggreable service ; à quoy je seray toute ma

    s’ilz eussent aussi impourté tant soit peu le service du roy, je ne me fusse point faict ce

    hier à Gargas, s’en allant vers vous en poste.

    Je vous supplie luy envoyer ma letre que luy escrivois

    pour luy et pour moy, que pour veoir son ficce qui y feust le vielle.

    demeyn à Saint Poul trichasteau. Il pretans

    commandement de laquelle les lettres se dressent, avec experance que

    advient tous les jours quelques maladvisés se pourroient

    respondu à la lettre que monseigneur le mareschal de Dampville m’escrivit

    necessaire repparation deppend de ce que il vous plairra de commander, encores

    ejourné deux jours ou environ à Maroles chés

    Votre très humble et hobeisent serviteur

    peys par la poste. Ne scavons si lavés receu

    que le verrés, je ouvris sa letre où, comme se vous a pleu

    recepvoir voz commandemens, mays la diète ma

    Il a esté extremement plent et l’est encores bien

    escript Villefranche, je ne me puys

    service que je desire luy faire toute ma vie que je

    et me mectant en debvoir de faire ladite creue, jaurois esté attainct

    de loger lesdits soldars ny aultres gens de guerre quelz quilz soient

    peu en ce quil vous ha peu me commetre et dezirent bien

    pour vous dire à Dieu et vous suplier très humblement que ie aye tant de bien

    graces de mes très humbles recommandations, comme faict ma seur et mon frère, priant nostre Seigneur vous donner

    pourroy jespère venir meller icy en possession

    à messieurs d’Evènes et de La Roche que

    L’ons m’a script plusieurs foys que à La Breoulle y advoyt

    ay tenu propoz, nayant volu laisser en arrière le service de sa Majesté soubz coleur de leur

    letre que je receux hyer au soir de monsegneur le duc de Savoye du

    comme jay entendu du Cheilard qui sest gecté dans Nismes

    par trop retif ; oultre ce quil est bien à craindre que telle

    que je me debvois pulger a cest aucthonne. Pour cest effaict,

    ung autre pacquet cy encloz, avec la lettre quelle a receue de

    sergent majour d’Ambrun, desquelz, monsieur, il vous

    impossible d’en revocquer le peuple. Et leur

    les deputés de Nymes, ausquelz il a envoyé sauf-conduict. Ilz

    ne voys plus que je y puisse longuement endurer, mesmes que ne scey

    afin de prendre garde à vous, mesmement aux passages

    Marcieu et à moy de ce qu’aurez aprins de nouveau en votre voyaige,

    Vostre très humble et très obéyssant

    Je reseus je voustre paquet adresan à

    deceus qu’ilz sont en France. I’espère, Dieu ay-

    de vous une sauvegarde, laquelle je vous supplie

    que les uguenaudz qu’avoyent peur, s’en debvoyent

    Monsieur, qu’en parfaicte santé, vous doint

    m’an vois demain à Bonnevau avec le seigneur du lieu

    dit mardy dernier à vostre disné à Montoyson. Pour n’avoyr aultre chose qui mérite vous escrire

    me renvoirés Lainnette, laquelle pourra raporter de

    pourter l’obéyssance à quy l’on doit. Vray est qu’en toutes les

    que, en ce lieu d’Orpiarre, toutes choses y sont

    par terre demain pour le jour. J’ay heu plusieurs plainctes et requestes pour sauver

    Laval, je m’en iray là unne mastinée vous béser

    réduitte à huit moys. Quant au nombre des six vintz soldatz, je

    lequel a passé pour s’en aller en Provence et me

    à lentour de ceste ville, tellement que monsieur du Chastelois, visénéchal

    messegneurs de parlement en la première chambre, contre ung de

    roy, mais je tiens pour certein que ce

    prompt à ouyr et tardif à croyre l’ung, sinon ne pouvez vous refuser ;

    la veniés voir, mais que ce soit asteure là, ce sera moins mal.

    très humblement de la bonne souvenance qu’il vous plaict avoir

    et heureuse vie. De Paris, ce XVIIIe novembre 1572.

    n’ayant les moyens comme vous scavés se pouvoir

    trouvé que depuis le septiesme de septembre jusques au

    comme me semble l’est nécessaire. Monseigneur a, ce jourd’huy

    six jours à revenir. Monsieur d’Evènes et moy demeurons à cause

    pour ce qui a esté nécessaire à monsieur de Gargas comme livres et

    du roy, que le commung disoit estre party pour leur laisser

    playra. La Provence en faict autre quatre et le

    partie. Nous avons à faire à un conseiller Clausonne, qui est un terrible homme,

    l’esmotion qui est pancé survenir ici despuis le partement

    porroys estre informé par aultres que par ledit

    Dieu de la continuation de vostre santé et de madame

    responce de cela qu’il vous a pleu m’escripre du VIIe du présent

    tousiours en alarme et comme scavés trop mieulx les

    sieur de Pierregourde la luy a baillée pour la porter et randre au sieur de

    l’affection que j’ay de vous faire très humble servise, et mesdits

    petit mot. Dieu grâces, en ce pays, tout le monde

    de sa magesté que por le votre. Mosieur de

    très humblement les maintz, priant Notre Seigneur vous donner

    priant Notre Seigneur vous donner

    voldrois ne ozeroys escripre s’il n’estoit bien verité et [effacé] moingz

    communautté et le sieur Chapanay notre second consul y estant que ainsi le trouvés

    quar le Ronne e[s]t sy petit que il fust gameys.

    précédente, je vous direy qu’il n’y a peys ne prouvinces

    présant porteur, pour vous suplyer bien humblemant, Monsieur,

    non plus que du dépêche que je receu naguères du roy pour aller

    que j’auray affaire pour le service de sa maiesté. S’il m’apporte quelque

    à respondre de sa charge. Il a à rendre compte de quelque partye

    Monsieur en très bonne santé, longue et heureuse vye, saluant voz bonnes grâces

    ensemble la patente de sa magesté que l’on fera publier ce jourd’huy. Je vous

    de son monastère, votre cousine la conselleire et moy en

    et instance que j’aye sceu faire devers noz consulz de faire couvrir

    d’en disposé en tous événementz, comme il vous plaira duquel datte.

    trouvera jamais maulvays ce que l’on fera pour son service, et ne seroit pas temps

    vous donner

    bonne santé. Je crains fort que les grandz froitz qu’il

    de ne m’opresser de si près comme ilz font, joinct aussi que

    entendre. A tous coups on nous donne des allarmes de

    quy hont esté jusques à présent avecques toute la vigillence que

    le mareschal Dampville, suivant ce qu’il m’a mandé,

    papiers de lamonytion despuys que voz fustes à La Coste

    novelles que madame la duchesse d’Uzeys serat

    suplier lur donner homme por lur commander

    tenent six souldats ordinairement audict chateau, à quarente

    a fleue de l’esgout des

    qui se présenteront, scoit pour le service de sa Majesté

    soulaiger qu’aucun desdits habitans, encores qu’il soyt de la nouvelle opinion

    aussi se tenir prest chacun pour la levée de quelque nombre de

    infinye vers vous deux. J’auray donc, Monsieur, seullement à vous

    faire service à sadite Maiesté et à vous, lequel i’espère

    soit paié l’argent s’il en aura à faire pourtant me pourrés mander le

    advis audit Grignan à cele fin que je vous atande

    lesquelles vous pauvres subgetz vous remersient

    cent hommes bien armés et vieux soldars desquelz

    très humblemant, Monsieur, croyre tant ma lettre précédante, que la créance que

    après m’estre humblement recommandé à voz bonnes grâces, vous donner

    vois avoyr me le faict juger. Je n’ay point encores reçu des nouvelles

    possible, mais tout est si extrêmement cher qu’il n’est

    courtoisies que vous luy avez faictes, qu’il vous en demeurera toutte

    continuer à la forme de votre ordonance. Je fis incontinent retirer Galhardi suyvant

    et hors de commerce, nous aurons peu de commodité recepveoyr

    puysse icy quelque chose pour le service de sa magesté

    et des Cantons, et la responce ambiguë que vous a faicte le sieur de Montbrun, que

    vollentiers la requeste que je leur en fais ; ce que me

    bien assaillis et défendus. L’on a faict aussi de fort belles masques et

    pence que monsieur le présidant Belièvre vous

    le mareschal de Montmorancy qui a perdu sa fiebvre.

    ma fame est réduicte et constituée, l’ayant trouvée

    pour tout ce qui vous appartiendra. Sur ce, je prye le Créateur, après

    XVI livres et huict soubz la charge. Je n’en ay encores point vendu, n’est

    et mesmes comment il s’en vont à demye poste

    tousiours qu’il vous plaise nous faire ce bien que

    lequel, sy je n’avois cogneu très affectionné à vous,

    vous discourira la teneur de la dépesche dudit sieur de Lombes et mes résolutions, auquel

    L’armée turquesque, estant assiégée soubz Modon, sceut

    vous supplier me permettre d’en faire tirer ung ou

    Monseigneur en parfaicte santé longue heureuse vie. De Gargas, le Xe décembre

    tousiours de son papa, qu’est tout ce que je vous puys escripre pour le présent

    de Laval troys cens frans que monsieur Maniquet s’en allant

    d’aussy bon cueur, comme je prie le Créateur

    d’Orenge, et moins d’auctorité la mettre en ses mains, car

    vous serés. Monsieur, je vous suplie très humblement

    Monsieur d’Apt ne faict qu’arriver ici d’Apt où il avoyt

    amitié qu’il vous plaise me porter. Vous

    ce que ne lui ay peu refuser, bien que

    mettent en poine et les leurs, Dieu seul y peust

    et viend lire à l’heure qu’il luy plaict et s’en va de mesme. Le voyant de si bon

    vous et madame de Gordes continués tousjours en bonne santé,

    me recommanderay très humblement à votre bonne grâce et à celle de

    l’affaire ne soyt retardé, ay laissé ladite lettre au logis de

    le bien ecclésiastic, car il n’y en ha ung seul qui n’en

    receu elle que vous dittes m’avoir escrit par Bourgel. Quant

    service. L’on faict icy forces levées et préparations pour combattre ce

    faict payer aux communes portées par ladite commission.

    veoir par l’extraict cy enclos. Touttesfoys, ceulx qui ont donné

    Genevoys luy avoyent mandé deux gallères à Florence

    le paouvre peuple est entièrement ruyné, mesmes tous les villaiges

    j’ay faict pource que l’on sceu en ceste ville que vous

    plaira à quoy je ne fauldray d’obéyr. Au surplus, il

    ce XVIe décembre 1572.

    baillès la commission qu’il vous avoyt pleu me

    Monsieur, en très bonne santé, longue et heureuse vye. Au Monteilhimart, ce XVIe décembre .

    pour entendre de luy si l’aura agréable ce que

    de nouveau deça, fors la continuation du voiage de

    nécessaires pour mesuis nous en pouvoir estre advertis

    bien servir d’excuse en vottre endroict. Je me recommande bien humblement

    ce mardy IXe décembre 1572.

    ville où le roy sera de retour demain, comme l’on estime. Ses

    dernièrement en ceste ville, nous permectre et octroyer traicte

    troubles, pour recongnoissance desquelz sa majesté luy a accordé le

    comme vous m’avés escript du VIe. Sy d’aventure vous

    monsieur de La Coste qui n’oubliera à

    de nouveau qui ne vous soyt vieulx ; et sy y laisser monsieur

    pastés toutz les dimenches. Si ma santé et le temps le me

    monsieur en parfaicte santé, longue heureuse vie. De Gargas, ce XIXe décembre

    a poinct voulu escripre pour luy. J’escripvis à monsieur le président Truchon par

    excusé s’il ne peult présentement satisfaire à ma sommation, d’aultant que son honneur

    pour vous asceuré. Notre Seigneur veulle le tout conduire. S’il vous m’encroyés,

    et m’y vois plongé pour le reste de mes jours avec

    livres de rentes sur la recepte généralle, à raison du denier douz,

    pied, et que à Genève en font quelque nombre ;

    monsieur, en par faictte santé, longue très heureuse vie. De Gre

    donne aultre advertissement que de nous asseurer du sel

    n’estes pas si soudain que quant bien vous ne recevriés si tost la

    ceste-cy par les postes pour vous donner advis que je tiens d’ung parent du sieur

    ceste peine. Mais nous craignons que cela apporte longueur à

    vous faisoys antendre come monsieur Maniquet nous avoyt

    procéder contre les désobéissantz comme contre criminelz de lèze

    avoit tort, encore qu’il aye son serviteur. Monseigneur, je

    monsieur, qu’il luy plaise vous conserver en la sienne, avec très parfaicte santé

    garder de faire les mauvais, qui seroint comme je pense bien aisées

    qui y vindrent avec une requete soubzsignée de tous les autres, par laquelle ilz me

    conservé celle de banque que les votres, car la pluye l’avoit touchée ;

    mes amys qu’ont cognoyssance en semblables affayres, et je trouve

    desdites compagnies. Il y a quelques jours que vous letres de

    j’ay employé pour monsieur de Gargas. Je vous l’eusse envoyé comme

    du présent, de sorte que vous demeurez jusques à présent du tout satisfaict

    escris, les affaires du Languedoc sont les mesmes affaires

    Recepvoir vostre commandement daussi bonne

    monsieur de La Voypierre qui est aussy banquier, lequel m’a dict

    que je ne me treuve en ce pays pour vous acompagnier et

    amena l’artilerie // [// de Lion] avecque monsieur de

    mon amitié, je ne luy voudrois conseiller chose ny à son désavantaige, ni

    attandant que les chemins soient plus deslivrés, pour vous

    d’en avoir en brief d’autres novelles,

    deux moys de ladite année, Bragelone le quartier d’octobre

    appareillez de luy succéder en cela et de vous faire tout le service qui sera en notre

    absenti subito arivati faremmo la mostra, è il

    cette grâce de me mander de vos nouveles

    et briesve expédition de sondit procès que faire ce pourra et de ce en parler

    Je m’asseure monseigneur, que vous n’eussiés trouvé bon que je m’en fusse

    capitaine Marc Virgile qui, avoir ouy

    il arivat tout in continant et les separat. Il ny

    à Tholose d’où il est. Il est à present encor en Alemagne où il fut

    audict voyage, auquel jespère (avec l’eyde de Dieu) que tout yra

    fin je seray contraint demployer la lettre de banque que m’avez en-

    s’achemine selon que ses affaires leur peymetent, vous

    vous tenir en sa saincte garde. Escript à Paris, le IIIIe jour de janvier

    monsieur de Sainct Sernin et monsieur de Cabanes

    et très hereuze vye, me recommandant humblement à votre bonne

    scavoyr comme cest que nous avons à tenir scachant

    Toutesfoys ne demeurons pour cella à faulte de bons passetemps

    Votre très humble serviteur

    contenir dans le lict le 3e jour après environ les sept

    à votre bonne grace, priant Dieu vous donner, monsieur de Gordes, en

    parler à la Grand et ma dict que le

    mère est toujours en sa chambre mais nous esperons la voir

    dernier, monsieur le conte de Ventadour heust une

    le passé, daultant que je nay aultre appuy ny aucune esperance

    empecher la descente de lartillerye quon faict descendre de

    avoyr faict. Il y a assés temps pour en estre entierement esclarcy affin de decouvryr

    la garde dicelluy, sy bien quil se treuve avoyr

    qui estoit en eulx, de laquelle nous desistames suyvant votre bon voulloyr, et

    volonté mayt cuydée estre très mal recogneue ayant passé les

    si li plaict par quelque bon moyen que sera la fin de

    sabàs sy extreme quil nestoyt possible de voyager.

    faire la reverance laissant icy ung de mes gendres accompaigné

    despuis informé avec plusieurs notables personnes contre

    commandementz comme je n’ay jamès eu autre volunté et prieray

    cour et encor plus en celle de Rome. Nous en somme allé parler

    hommes de pied et IIc chevaulx près des notres qui sont à Covisson,

    le bon jour,

    convienne faire telles procedures, et moings que leur bien requière

    ressort, sperant ny havoir holmis peyne à lexecution

    très humblement de les pouvoir de quelques aydes,

    que je suis après à faire dresser aux despens du pays suivant la

    aultres, sentent pour le reguart de la noblesse de la nouvelle opinion et de ceus qui les

    liberalité, nous octroyer ladicte permission et traicte de bled, faisant cesser

    choses devant [barré : que] quen ordonner ; ce pendant je vous prie [barré : cri] fayre

    humblement en dire à mon frère de Monfrot votre

    et alarent quocher à un port de Souyon. Ung de

    repasser la rivière à le voullunté, qui me faict vous prier bien

    quelques lieux, ainsi qu’a faict du cousté de Thoulouse monsieur l’admiral qui a

    le bon plaisir de sa magesté a esté tel vous en fère la declaration

    est si sage et de si bonne grace et quil y fault en cores donner ung an à passer son

    escripre qui me fera fayre fin par mes très humbles recommandations à voz bonnes graces. Priant Notre

    Madame, en parfaicte santé longue, heureuse vie. De Gargas, ce XIIIe janvier.

    de prendre mil trois cens livres suivant le contenu de laditte lettre de ban-

    du Daulphiné, lesquelles lesdits conseillers eschevins vous

    la commodité. Je vous diray, monsieur, comme les estatz

    de bruict, frappementz, batteries, blesseures et aultres choses qui se commectent en ceste

    oquations quy seront de son contantemant que pour aultre de mes

    pour vous y fère service que pour aultre affaires que

    au souer que il[s] chargarent aucuns marchans

    une grand aumosne et sollagement pour les pouvres

    forny plus de vims arquebouziers que il ne

    la volunté de sa magesté ne se peuvent asseurer

    Aymar de Chaste

    poinct et sepandant il vous pleira me commander et croire

    avecque sa magesté, mais lon ne scavoyt encores

    procès verbal de leurs oppositions et puis vous renvoyerè le

    les enfentz vous feront service ung jour, Dieu aydant. Je vous supplie

    humbles recommandations, priant Notre Seigneur vous donner,

    Monseigneur, vous donner en sancté, heureuse

    patante addressant audit commissaire ou aultres deputés par vous ou

    besoingt de support, faveur et ayde que jamais. Car les grandes

    que me donnés par toutes vous lettres de y estre bien

    chose que je neusse jamais attendu deux. Attendu mesmes

    monsieur, quil vous doint en parfaite santé, très heureuse et longue

    et qui daillieurs voz demeurera toute sa vie

    singulière recomandation et me tenir en votre bonne

    auxfins quil vous plaise en ordonner à voz bons

    le Createur vous donner en sancté, heureuse vie. De

    seingnorie dantendre que cest et me comander

    Vostre très heimble et hobeisant

    de la guerre avec les aultres et moyens de conseil

    archier sollicteroit lhors de lexcès commis contre moy,

    du roy. Ce faict, jay arrenté pour ung an au plus

    my treuve. A ceste occasion, monseigneur, ie vous suplie très

    qu’elle sera dans peu de jours. Venant icy, les ennemis s’estoient mis en campaigne, feignans

    sentons bien peu de froid, estant toutes les neiges et glaces fondues,

    contantement de leur majestés de y intervenir,

    au Vallence, ce sera mon droict chemin pour allé voyr

    il a usé à mon endroict qui macroist

    aurois fait ainsi que par vous m’est commandé. Nestant toutesfois cependant en sejour,

    frais et despences, je serois bien content et me feriez plaisir si par

    Villeneufve de Berc à Aubenas. Il y a perdu quelques

    supplier luy faire ce bien de luy donner une saulvegarde

    me[r]ssy. Yl la fet le puls est[r]eme fret quet posyble pour

    paier. Vous savés que monsieur de Suse [barré :les] a obtenus à

    de ne perdre plus de temps, je vous prie donner ordre de les me

    à monsieur de St André la copie d’une lettre que j’ay receue de mon frère

    Au moins asseure il qu’avant son partement de la court,

    de Clansayes, des Torretes et de Roynac. Despuis suis esté

    avoyr preseance jesques je husions esequte la

    lartillerie de Lyon devoient de party lundy, elle

    de voulloyr comprendre iceulx ou semblables esdites saisies ; sur ce je

    avez receu fascherie et desplaisir de lune, que vous recevrez par le

    supplions nous advertir de ce que nous aurons à faire audit faict

    que je n’ay eu le moyen d’abandonner mes homes et je mesforceray

    corde à mesche, les consulz dudit lieu ne mont vouleu aulcune chose bailler sans

    de Joieuse se porte ; tellement que sy ce nest que

    tousjours à votre bonne grace et croyre quil ne

    ce quil a peu pencer estre agreable à sa maiesté

    nouvelles, que ie prie Notre Seigneur quelles puisent estre telles

    par terre. Monsieur de Mandelot ma monstré la copie dune lectre du Jeune du Bourg à monsieur le

    sa majesté avoyt envoyé à monsieur le premier president

    y obéyr daussi bon cueur que je veulx faire en tous

    demeurons aulcunement en peyne de la santé de madame de Gordes, et nen serons relevé

    aultre edict du roy publie en ce siège et quil y en a aulcuns qui

    publication a esté faicte par les caresfours de ceste

    monseigneur, en parfaicte santé, très heureuse et longue vie.

    à ramadouer, car au paravant que men escripvissiés, ilz men

    de reste. Lon pourra voir par son compte en quoy elles

    longue vie. De Gap, le XXIXe de janvier 1573.

    le seigneur de Cugiez, de lettres et faveur et recommandation

    qui se presenteront. Sur ceste confidence, monsieur, je

    la Seigneurie de Gennes affin daccelerer la levée des Corces quilz ont promyse et mande

    très bonne part tout ce que mavez mandé, et garderay soigneuzement

    et que en temps de guerre mes subjectz ont accoustumé se retirer en ladite

    à ses parens et amis suivant votre intension. Vous

    letres de Grane, bien que jespère que asurement monsieur

    de Cugie, en laquelle je pretens resider quelques années, ayant pour cest

    feray autre discours que pour vous dire que jatendz voz compagnies

    trois moys, tant seullement mais nous les ferons bien

    ont demeuré sur les galères depuis quatre ou cinc jours en ça jusques

    regret que naions moien vous escripre plus souvent mais vous nous

    son service en payant raisonnablement. Sa

    cesteci à monsieur de Langes, m’assurant quelle vous

    tousiours tant asseuré, monseigneur de votre bone faveur

    pour satisfère au coumendement quil vous plait me fère

    quil nest. Toutes fois, comme je leur ay dit, il ne luy

    seigneur de Carcès. Monsieur D’Entrecastraut a 10 livres tournois par tout

    amasse beaucoup de gens. Se ne sera où je le

    à Chartres. Je nay poinct de novelles du camp puys celles

    pour n’avoyr le moyen d’en entretenir si grand nombre comme elle me sont bien necessaires

    ne fust retardé et que les desseins et entreprises que jay faictz

    de Monluc regente, quar monsieur de Tavannes ne si est peu randre à loccasion de sa

    provinsse veulent revenir et bien tost jespère estre

    promesses dont on luy a escrit aussi quil soit maieur car autrement

    bonne santé et man suis veneu en seste ville

    très bonne vie et longue. Du Montelheymar, ce XXVIe

    au long de toutes novelles et de nos estatz,

    Je me suis tousiours doubtée que mal aysement vous poryés resouldre

    assuré de la continuation de la santé de mon nepveu de

    la maison de votre maistre, je vous eusse

    vous prye escripre ung mot à monsieur de Pierre Gourde

    partit le XVIe, qui me fera fayre fin, après vous avoyr baysé

    me gardera vous en faire plus long discours. Sur ce, en

    Mirabel, pour des inteligences quilz ont dedans, et mesmes de ce lieu

    monsieur le president Myllet en sa lettre cy joincte, où il ny a pas

    lieu de Montellimard, à vous en escripre. Presentant sur

    oppinion aux catholiques de ceste ville, tellement

    Pourquoy lon se remect à vous de ce que vous estimerez estre affaire en votre gouvernement.

    le marechal de Dampville mande toutes voz quatre compaignies de gens de

    lesdictz Arerés ; et vous peux bien asseurer que

    Alleret, jay opinion quil a receu la votre dans Pierrelate,

    humblemen de me vouloyr esqueser si je ne

    aux granges près le bord du Rosne, hou aultre que

    quelconque, je nay peu avoir aultres pièces

    monsieur en santé, bonne et longue vie. A Saint Leger, le dernier jour de

    avecq’ eulx pour secretaire ; lequel conseil sassemblera dordinaire

    à laulbe du jour, il y entra quelque nombre d’hommes

    nayant jamais pourté les armes et ne faict aulcung acte

    feu monsieur ladmiral. Le dit Rosne asseure aussy que larmée de mer du prince d’Aurange

    garde ayant esté requis par lessudictz consulz et en vertu

    comander et vous feray humble service

    quavec une eschelle de douze degrés on pourroit facilement

    soucy que cela vous apportera, avec travail et despence à notre pouvre

    à quatre cens hommes de pied, lesquelz se myrent en debvoir me forcer,

    de ceulx du Pousin et tacher de [mot barré] savoyr [barré : sy] sy je puys

    monsieur en parfaicte sanctée, longue et heureuse vie. De Baiard, le

    que destre atandant une entière ruyne et perte dicelluy.

    des Turcz et ayant esté rachepté par ceste dernière

    Quoy entendu, je ney vollu faillir de vous le fère

    fust larrivée de la Motte et d’Ercules qui est celluy qui

    que vous avez à Grane et de deux compaignies quil y a en Viverès soubz la charge du sr de

    de laultre jour et pence que cest à Uzestz

    majesté en aultres charges pour son service comme

    Je suis en lieu bien muni de telles gens et

    bien asseuré cedict mien amy que ceulx de la religion ont intelligence

    ne sont trouvé sy empêché, conbien qui soient en montagnes

    Horenges pour entendre de luy sil vouldroit prendre la charge

    procureur de roy audit siège reserver des plus ci[g]nallés de la nouvelle oppinion

    pris par les huguenotz qui le tient en grand

    et se dict que se sont Anglois foruscilz et François

    facillement dresser une escallade ou sappe de ladite

    fesant mine de voloyr passer ; quoy voyant, j’ay

    coupé la gorge à leur garnison. Surquoy l’on peult approprié le common

    du bas Vivarès estoyt dedans ce qu’il se pretira dans une mayson

    Lesdictz huguenaulx du Pouzin ont assemblé quelque pionniers

    estant au lieu où je suis, car on n’y a pas touttes les

    qu’il ne s’en trouvoit rien sur les registres de l’espargne. Pour entendre

    conciences aussi qu’ilz s’acquitassent des [barré : selles] sollennelles [barré : p] promesse lesquilz ont faict à monsieur

    moqueries, ils disent « foy de roy ». Je me suis informé plus

    qu’il y aye ung secretaire de la chancellerie qui en a pris

    les huguenaulx qu’estoient allés devant Challançon

    à craindre que vous ne soyez en grande peine, veoire telle que vous

    amy qui en reçoyve plus de contentement ; et monsieur je vous remercie

    trouver mauvès si je man vois quant et luy.

    et madamoiselle d’Hourches et là,

    cousté des Suysses et de Genève et m’a dit qu’il tient le

    dilligence vous assembliés tout ce que vous sera possible et

    chose du monde, vous assurant ma seur Margerite

    murailhes de la vile près de l’ugne des portes et

    que les riches et personnes aysez y accoroit et desfraudoit les povres

    Vous n’ignorés leurs deportementz et rusez et

    dont je n’ay voulu faire grande instance icy pour nous y estre

    Sancerre demeurent en semblable obstination qui n’est pas la

    que j’y seray [barré : icy]. Vous vous pouves asseurer que je vous y serviray de tout ce que

    me sera possible et de très bon cuer. Je n’ay sceu autrement scavoir

    de retour de Thoulouze où il fault qu’il retourne,

    de Saint Benoist où avait le sieur abbé d’icelui monastère apperceu sa suffisance

    si porrai avoir quelque chosse de ce que vous est deu.

    faire service à mes seigneurs don vous tiens des principaoulz.

    estre très bon vous advertir comment n’a guières de jours que

    et maulvais predicateurs, qui ont esté souffertz et tollerez en ce

    mandois que lundy monsieur de Cabanes et moy esperions

    advertiz de monseigneur de Rousset, de la rage de nous

    j’ay faict contraindre les contribuables de l’estappe ordinaire à ung homme

    monter ses forces avec tant d’artillerie que ce fust assés pour en delouger

    ay escript par mon courrier exprès pour le secours du sieur de Logière qui sera

    Savoie, aiant trois mois qu’il est abaz et n’en

    d’entendre des novelles de ceulx qui sont au campg de La Rochelle.

    volu les accompagner de ceste lettre pour vous rendre tesmognage

    j’ay et de faire chose qui vous soit

    chefz avec leurs ministres se rejouyssantz

    cosin de ministre Perron, principal conducteur

    ils disent et le font entendre en mandant querir et enlever leurs

    asseurance de quelque inconvient, s’il n’y est bien tost pourveu. J’estois sur le

    recepvoyr vous commandemantz, à quoy ne voulant riens obmectre

    femme et le sieur de Montault saulvés. Quoy estant

    tellement que ceulx des villes qui ne sont allez

    leur escrit du IIIe que ceux de La Rochelle offroyent de se remectre

    à qui elle a sy bien servy et l’esperance que j’ey de

    rien plus que mes actions et services vous puissent estre agreables.

    ung aultre larron qui estoyt avec luy ; et non contant de ce, ilz sont

    gens qu’il ha par le monde. Asseurés vous que ce que je

    servyce de sadicte maiesté en ce peys, nobnobstant que je me reserve de me treuver

    monsieur que je doubte fort La Voulte car

    si je ne me trouvoys angaigé de despence comme je suys pourveu

    entendre l’estat de ceste ville et pour le regard des gardes lesquelles se font la plus

    ledit de Beaulmont, et d’ailleurs que je suis de jour à aultre attendant

    supplie bien humblement m’aider et à ces fins m’expedier la comision

    à trompe qu’on ne les en peult garder à faulte d’advivres.

    ne vous ouvroit les portes dudit Vallence vous ferez tenir les champs à votre

    Votre très humble et

    comander à luy et à moy, serés hobey.

    quant à present en grand repoz au païs des Ligues s’estant depuys

    que je [ne] vous dictz pas cecy sans en estre bien certain ; et

    je vous envoye l’extraict qui nous corrompt toute nostre joye et

    avec le double de la lettre que m’a escripte

    je ne fairey faulte vous en advertir et en cependant

    semble qu’il seroit bien propre pour cest effaict. Je ne luy en ay

    de ce moys, monsieur du Rousset trouva bon que je dressace

    nous dict icy que le pape a accomodé le duc

    arqyuebusiers de ceulx du cappitaine Coulon. Je voys audit Montelheymar

    tout ce que j’ay en ce monde. Cella me faict que m’augmenter

    des sceaulx pensoit sceller, il fut mandé et tous messieurs

    semblera dudit advis, et plustost par homme exprès pour me donner ocazion

    et cours du marché, lequel mondict segneur de Rousset treuvent excessif, je crois

    l’a pressé fort s’acheminer vers luy et aussy

    Puis que me mandé, que ne pourés desandre an

    monsieur en très bonne santé, longue et très heureuse vie. De Bayard,

    passé par votre gouvernement ^[^ pour serete] pour gaignié le Pont

    luy faisant par ledit sieur de Mures les promesses qu’il desyroit avec cautions

    Je vous ay escrit du jour d’hyer amplement par l’ordinaire

    quelques lettres puis quelques temps des quelles il n’avoit point de responce, dont

    monseigneur, vous donner en perfaicte santé, longue et

    de gens de pied fut bastante pour ce faire, il en y a icy

    monsieur vous donner en santé, heurese et longue vye. Du

    pelle melle avec eux, mais ilz n’ont jamais heu le ceur de sortir, vous

    pour soudain m’an aller an Provance car pour le premier

    est quils nont peu tirer le bateau du port pour estre

    pour en attrapper quelques ungs et les vous

    vingt livres de plomp et de corde à lequipolent que nous envoyons

    je ne fauldray incontinent vous en tenir adverty. Le porteur qui est monsieur de Davit,

    receues ; et si votre bon plaisir est les exempter de la contribution ordonnée

    que monsieur Brulart escrit du Xe que depuis monsieur d'Aumale y a esté tué

    de vous faire toute ma vie tous les servisses quil vous

    aultres chose à nous en avertir, come ferons à vostre endroyt.

    acheminer et y employer ses credit et faveur pour la dellivrance

    le bestailh du Pousin et le menarent à La Voulte. Sabmedy,

    que deux ou troys bastons ferrés et deux

    ou quatre sans baptesme, que est treuvé une chose

    entendu de luy, lestat des affaires des rebelles est bien

    la compaignie desdictz Suysses de cinquante

    lhobeissance quilz doibvent à sadite maisté. Je menvoye faire ceste

    le XVIe de mars 1573

    tousiours congnue estre telle que la despence extraordinaire qui ce faict audit pays

    den achepter et sortir de votre gouvernement deux

    suplier très humblment, monsieur, quil vous plaise [barré : luy] macorder ung passeport

    que je suis interrompu de ce myen dessing par

    bon plaizir de escripre ung mout à nouz aidés de nouz

    Rochelle feirent pour enclouer lartillerie, où monseigneur de Guise

    de revenir comme tout seux qui les aiment desirent. Iay esté

    compagnie, je faictz tout debvoir dacomplir ma promesse et ne leur mentir

    tenir comme je faye, ayant assez dexperience comme ce quil

    roy; et pour ce, continuons la garde et faisons reparer les murailhes

    bone grace, je prie Dieu qui vous done

    très hu[m]ble et affectionné service sous lequel je veux finer ma

    ladite provision de salpestres luy soit deslivrée sans difficulté, attendu que

    que les cappitaines desdites compagnies ne vous advertissent

    volunté aye toujours estre employer et vies et

    nous croyons quavez esté informé par monsieur d'Heyllins ; pour

    y ferez tout debvoir, et que vous nous ferez souvent

    Je me repose sur vous de la conservation et garde de mon pays de

    si on accorde es villes quilz tiennent exercice de

    pour le myeulx, y usant, pour eviter longueur, de toutes les contrainctes necessaires

    au Montelimar. Cela estone fort le peuple pour estre en saizon extroicte

    propos den faire semblant sur mon depart audit seigneur. Je plains

    à quoy peussions pencer que votre seignorie print

    en peine de mondict procès et que, en mon absence, lon ne y fasse une

    leur advis et deliberation en ma presence, feust estimé necessère pour la

    Charles

    venus de Lyon et sen iront jusques au camp. La compagnie qui vient de Lyon

    datraper Grane, je y fus avantièr, hou trovey monsieur de

    les mesme novelle [barré : et]. Inia novelle sa bas qui merite vous escrire. Les huguenos estoyt

    avoir presenté mes humbles recommandations à votre bonne grace et à celle de madame

    de Gap ma escript quilz en font contenance, ou quilz leur vinst

    affection de se conserver et garder des surprinses des ennemis

    monseigneur, que je sallueray voz bonnes graces de mes très humbles

    par une despeche que vous a fet auiourduy madame d’Ourche tou

    de tout mon pouvoir] la supplie très humblement croyre que je y velle de tout mon

    desquelz on ne luy veult donner main levée que premierement il ne se soit

    ne se puissent effectuer en votre gouvernement. Il vous a très volluntiers

    Depuis soubzlevé et sen servir [barré : et dy entreprendre daventaige, il me seroit impossible] jespère neantmoings le leur

    de venir quatre mil hommes de pied et environ mil chevaulx, ramassez tant à Berne,

    quil vous ait en sa saincte et digne garde. Escrit au camp de Nyeul près

    javoys tous ceulx de la nouvelle oppinion de ce païs sus les

    esvantées. Il ne fault toutesfoys donner occasion à ceulx de ceste nouvelle

    sans toutesfoys mectre en oppinion ceulx qui sont demeurez en leurs

    suis constreint de accommoder les viles de votre gouvernement des

    et neantmoings en Daulphiné, le quel vile et chasteau estoyent

    que ce soit, je vous peulx asseurer, sire, quon ne leur en a donné occasion ne

    forces que vous pourrez le passaige dudit sel, affin que mesdits

    de vous en secourir au plus tost, mais, cependant, en ceste necessité, il fault

    et vous prie, comme je faictz, avoir loeil si ouvert en tout ce qui depend de

    prie Dieu vous donner, monsieur de Gordes, la sienne

    en leurs maisons, joyssans de la grace faicte à eulx, indignes dicelle, ainsi que je

    Caterine

    et bien souvent moings, de sorte, syre, que par mon advis, puis quil

    frère dont, pour lasseurance que jay de votre consonance à son intencion, je

    je faiz très humblement la me vouloir accorder

    et là, je feus blessé dune arquibusade au travers du

    bouye ; quant à la promesse de monsieur de

    ou manière que ce soit ; et vous me ferez en ce faisant saingulier et agreable

    soullager le pauvre peuple et eviter les crieries et desordre, je desire et vous prie

    je sois payé, je ne poursuivray plus ; et quant à la

    gens pour en descouvrir quelque chose. Je vous envoye la copie dune lettre

    nouvelle oppinion et autres tendans au bien de voz affaires et soulagement de voz bons

    de Provence, Contat et Daulphiné quil avoyt receu

    [barré : pour ceulx que jay en ce pays, car autrement il seroit impossible de les]

    et necessité où [ilz] en estoient les assiegez et y conduisant une bonne trouppe auroient eu rancontre

    que ilz ne recevront grand secours desdits de Geneve. Je vous avoys escript

    il sen acquictera comme personnage vertueulx et très digne. et ne vous

    mesmes de gens de chaval pour tenir la campagne et leur ayder à faire

    main forte à lentretenement et exercitation dicelles ; priant Dieu, monsieur de Gordes,

    volu advertir, afin que en doniés avis à ceulx

    de scavoir dire à combien il pourroyt revenir et quon pourroyt tirer dudit

    et par consequent approuchant la ryvière, ilz se

    duc d'Anjou, auquel nous avons escript pour cest effect. Je prie

    de sen retourner. Vous regarderez de vous en servir et lemploier en tout ce que vous

    Gay auroit esté depuis executé à mort en ensuivant le jugement donné de ma

    il appartient. Vous me ferez scavoir comme vous en usez, vous priant faire

    possible ; et pour ce que ce bien, grace et faveur advenu par la bonté de Dieu à mondit frère,

    des advis quilz nattendent que leurs commodités pour

    à les retenir en quelque sorte, ce que je vous prye de considerer et adviserey par

    juing 1573.

    celler, sire, le bon debvoir quil y faict pour votre service, sellon les bons

    miraculeusement preservé et quil soit aujourdhuy en la mesme bonne santé que

    XVIIIe jour de juing 1573

    madvertir de ce que jauroys à faire. Ce que [barré : jauroys] ayant faict entendre par ledit sieur de Virieu et sieur de

    pour deffendre le passage avecques les forces quil a

    volunté quil en a, qui me faict vous en supplier de rechef très humblement,

    autres votres posterieures et du XIIIIe, portant creance quil ma faict veoir par ses

    je masseure quil y satisfera très voluntiers au contantement de mondit

    que pourrez eu esgard à la necessité où je suis. Je suis bien ayse que vous ayez donné

    château de Boullongne, le XXVIIIe jour de juing 1573

    de neufville secretaire

    à votre service de vous informer au vray de la qualité et condition

    accordé pour tous mes subgectz qui ont prins les armes pour mesme cause que eulx

    luy escrire pour estre renforcé de sa compagnie. Le seigneur

    et vous prie, monsieur de Gordes, de tenir la main et faire en telle sorte

    il eust à se departir de telle façon de faire et mieulx user de lauctorité quil luy avoit

    jacoyt que mondit frère ayt pource faict depesché vers eulx, je me suis advisé de vous

    et contantement, pryant Dieu, monsieur de Gordes vous avoir en sa sainte garde.

    estant sur le poinct de retourner audit voiage, qui ma meu descripre presentement

    que de pied que je vous ay cidevant mandé mectre sus, aiant à ceste cause

    le contenu en icelle et tellement exhorter lesdits de ladite

    communicquer, je desire scavoir quelle resolution ilz auront prise sur icelle

    vous asseurant que je serois très aise de scavoir quelle resolution

    lieu de réception [coordonnées géographiques] : non

    leur ay accordé par ladvis daucuns seigneurs et cappitaines qui sont près

    faicte et ne scay pour quoy le seigneur de Virieu vous a proposé

    païs de notre Sainct Père sur peine de desobeissance, ains se comportent envers eulx

    magesté a [marge gauche : a metre la lettre du seigneur Montbrun], la suppliant tres humblemant me

    absolue de son intention après que les depputez quil a envoyé à

    Vostre bon amy

    à Paris, le XIIIIe jour d’aoust 1573.

    et chastiez. Nayant rien qui me soit tant recommandé que destablir par le

    en feray plus grande recommandation, vous pryant seullement user en cella

    Caterine

    guerre, remectre ledit pays en repoz et donner occasion à ceulx de ladite nouvelle

    accorday et prolongey la suspenssion darmes. Mays hier, ilz

    de largent quil fault pour faire faire monstre aux deux compagnyes

    comme vous requerez sur lallienation de mon domaine, pour le dommage

    ny ay [barré : p rien] aucunement proffité et si nay rien innové qui les aye

    la licence a prins telle habitude et auctorité, ou que la negligence soict telle

    que je ney esté davis quil portat à Grenoble, attendu le

    plus par ce quil semble que la licence a prins telle habitude et auctorité

    ny ferez faulte, je supplieray le Createur en cest endroit, vous donner,

    ma donné advis queles sont si dereysonnables quilz nespèrent

    et ce qui viendra de sa part que vous avez tousiours en ses semblables et ceulx qui

    icy davantaige que pour prier le Createur, monsieur de Gordes, vous avoir

    jamais riens que au grand avantage et bien de mon service. Par la dernière de vosdites

    Votre bon amy

    me mander promptement ce que trouvés bon que je fasse,

    la somme de huict mil livres t[ournoi]z ez

    ait esté chose dure à executer, ce neantmoins dautant que le service du roy nous

    le sieur marechal de Retz, gouverneur et notre lieutenant general

    gouvernement, de manière que le voulloir de sa majesté soit suivy ;

    desseings sur ledit lieu comme en temps de trefve ont faict

    du service du roy monsieur mon filz qui a estimé devoir donner la charge dudit

    peu entendre comment le roy a depputé meseigneurs le marechal de Dampville, duc d’Uzès,

    entre ledit feu Guillaume de Chaste, en son vivant

    teste et tout de mesme accousté le capitaine Montz et saisi

    dudit peys appartenantz à nostre Sainct Père et estans soubz [barré : lasile]

    Chateauneuf d’Izère : Xm pains XXV p v –

    De XX ou XXV chevaulx, passèrent sur les dix heures de la nuict

    en ostaige entre les mains de monsieur d’uzès sur la parolle duquel nous

    estre plus expedient et opportun, masseurant que vous luy ferés tel

    prier de prendre la charge de Languedoc pour estre leur

    feu et pour chacun moys et à ce ne ferés

    pistolletz, lesquelz vous nous envoyerés

    ung [barré : f] qui est frère de votre baille, lequel ilz veullent fère

    ilz seront plus de deux ou trois mylle. Le capitène La

    cinquante hommes que a faict coucher sur lestat

    le service de sa maiesté audit Taulignan et ayant commandement exprès

    lequel au pourchas des henemis qui luy dirent que jestoys riche et

    et se saisir des villes et lieux fort des environs dicelluy pour

    que le gentilhomme ny aultre que je pourrois commettre sceut

    Mustapha Bassa, plus docte qu’accuse le Bartole,

    paix, ny surceance darmes. Toutesfois mondit seigneur a accordé de surseoir

    duc d’Albe soit sorty qui debvra estre à ce que lon discourt par tout

    bonnes nouvelles, autrement je crains que nous ne tombions de fièvre en chault

    Charles

    de ce qui leur appartient, ou en trouble ;

    foy. Fait à Orange, ce XXVIIIe desambre 1573.

    la personne de son procureur et negotiateur pour payer promptement

    que sont à Fressignière sont descendus et ont

    sommes contrainctz d’importuner noz bons amys, et entr’eux particulierement

    Pour Orpierre : la compagnye du cappitaine Bragart : C XX hommes

    executions, seullement sommes nous attendants

    de Dieu et pour navoyr nul reffuge, secours, ny ayde

    dung sept ou huict toizes de myrailhe qui rejoindra ladite

    donner de les crier qui les vouldra arrenter.

    general des galères d’Espaigne, vingt deux gallères qui marche

    gallaires davantgarde, ausquelles commande le seigneur don Chenchio general des

    et pitié avec effect en plusieurs sortes pour vous supplier

    et comme toutes choses passent par deça, ie ne vous ennuyeray de plus longue

    terres commil appartient, autrement où il usera de dissimulation, je prendray

    grant compte de sa plaincte. Lesdits articles contiennent aussy comme lon m’a dict

    de votre faveur aulx replicques quilz pourrons

    ne sen palle pas beaucop. Lon atent le retour de monsieur de

    Lyon, le XVIIIIe aoust 1571

    raisonnables et m’ont promis de me bailler assignation pour vosdits estatz pour

    en feroit difficulté, mais que sur la nomination

    grace. De Sallon, ce XXe aoust 1571

    je salue vous bonnes graces de mes très humbles recommandations et

    à Lyon, le 23 d’aoust 1571

    des villaiges, sans que je m’en mesle en rien. Quant au denombrement

    de logis dict quil la leur laisse faire entre eulx. Mais

    d’Arces à faulte de meilleure commodité. Je

    moyens de recouvrer quelques estatz de gardes des petis seaulx pour deux des votres.

    Davantage, vous honnt fet antandre que les feus

    firent leur debvoir. Le temps estoit calme. Sans ce, le feu [barré : est] heust faict

    de Gordes vous escript bien au long de ses novelles, que

    Glandaige pour vous, combien que par le discours dicele,

    d’aoust

    pour prier Dieu

    ce matin mandées à Gargas et receu celles quon

    repassera par icy à son retour. Monsieur d’Ourche a

    tant que ma dite dame y a demeuré et

    mande rien que notre fille soyt grosse. Vous n’aurés point dez

    jen auray apprins. Sinon, je massure que lon vous

    et trois tant pour les estatz du seigneur Alphonce que des pensionnaires ;

    quil y avoit plaisir, encores que monsieur de

    de Carpentras et mon cousin de Saincte-Jalle me forcèrent de passer par

    à leffectuer et antretenir, Dieu le veulhe. Je ne sache

    année que je luy fis vente dung molin que javois

    le conte de Grignan et le lui porte se laquai de

    Jay trouvé icy monsieur de Craponne qui masseure

    faire ce bien et faire adresser la commission à maître Repara procureur du roy au

    que pensionères. Il est vray (comme je pense que ledit monsieur

    conseil qui sont à [barré : Chen] Bloys pour nous expedier promptement

    grace et souvenance, suppliant mon Dieu vous donner

    assignation par monsieur le tresorier de lespargne sur le donné à entendre

    afin que si ses advis sont bons, il puisse audit Gênes se fortiffier pour la sceuretté de

    de farine de seigle la hault quilz apporteront

    Monseigneur, je vous supplie commander à celluy qui ne

    Dorie ni alloit point, qui fut loccasion

    en avoyr dernyerement parlez et faict entendre la nececitez en

    de Monsieur qui pourtoueyct les bagues et aloueyct trover

    [barré : et] oultre le respect que jauray tousiours à tout ce qui sera

    donné advis quil y avoit de nuict plusieurs coureurs de pavé parmy

    de jour à aultre, je suys adverty de continuation

    à raison de deux solz et an chacung des hostes des caporaulx et

    en assés bons termes. Nous scaurons en brief à quoy l’on en sera. Dieu par

    grand desir que iaye sest davoir se bien de vous voir,

    lesquelz, comme jentends, ne se veulent pas tant fier dudit de Barchon, ny du commandement

    huguenaulx de ce pays ont de la mort de Piegros

    je vous ay despeché le sieur de Gessant avec que ung des leurs

    nostre seigneur vous donner

    monsieur, vous maintenir en santé et vous

    q’ung jour il fera [barré : ch] quelque chose de bon. Je nen sentiray bine fort

    que je meyne avec comme procureur de Gap à Agnières

    compagnies de celes du Languedoc et les cinc qui restent sont

    chemin et diray à Dieu de loing. Je ne puis departir de ceste

    et recepvoyr voz commandemens daussi bon cueur

    an mon androyt la bonne voulonté et afesion

    plus quilz ne peulvent. Ayant par cy devant faict appeller

    se vollant approprier ledit boys ; et à ses

    pallier de pailhe pour vous chevaulx. On naura troys

    Brigandières, monsieur Faure et Lobsenoé, vestus en mariniers qui

    comte de vous rantiers que je apportey lors que y

    de La Terrasse que vous sont venuz parler, je

    ce que mes souldas debvoynt et comme jay pryer le premyer conse

    à votre bonne grace et supplie le Createur

    Et en tous endroys que je auray comodité et moyen de

    ne avés receu des miennes, mais estant arrivé icy à Bleis où je ay trové

    à son service. Mais parce que ce matin celuy qui faict

    passant par les villages et villes de votre gouvernement,

    monsieur, qu’au partir dicy vous voulliez aller à Thurin pour

    en peux escripre. Je masseure, monsieur, que par lecttres de messieurs

    les reparations plus commodes et fort necessaires

    vous serez tres aise d’acommoder mondit sieur votre frère et moy comme

    de Montmorancy et de Dampville, escriptes à Chenonceaulx

    par icelluy, affin qu’à mon retour, je le puisse trouver en cestedite ville,

    Et pour le plaisir que je massure que vous aurez de savoir des nouvelles

    chose, je croy que nous ant serions plus

    Dieu pour votre santé et prosperité, que nous le

    Monseigneur, je panse que votre exellance ne trouvera pas mauvais

    de latrapper pour luy baiser les mains, quest tout ce que

    à moy mesme, et men sentiray tenu en votre endroict

    silz nestoient aulcunement soulaigés. A cause de quoy et veoiant

    macheminerey incontinent et cependant se je aprens quelques

    du passaige des gens de guerre. Et actendant sur ce votre responce,

    lequel est feable pendant que nous vendangerons

    à monsieur de Cabannes que sont deux myle que na heu, quest

    que nous havons par ces quartiers pour le present. Jay mandé

    madame de Gordes, ce sera par le moyen

    service, vous supliant davoyr pour jamès mon

    Dieu par sa grace le veulhe amander et vous donner

    pardesa jearey moien de vous fère service, vouz

    ordre [barré : se] pour iceulx presser, car je me crains

    rue, je trovay une dame qui me voloyt dire je ne scay quoi

    quil vous a pleu nous faire destre venu sceans, vous suppliant

    quil ara apprinses en Avignon, mesmes de

    eue ceste année de bled et vin à loccasion quilz n’avoyent peu semer

    humblement à votre bonne grace, je supplierey le Createur

    entendre ne la [barré : laisser] licentier et debander, ains adviser

    entendre ne la [barré : laisser] licentier et debander, ains adviser

    Dolcigno et du danger au quel est [barré : le] Catane. Pour la

    à votre bonne grace et supplie le Createur quil

    et telz quilz ne me permettent si promptement partir disy, je nay

    aujourdhuy à Chambéry, dont jattendray aultre novelle

    neusse failli de vous en advertir, comme je ferey en toutes

    grant fruyt et que Notre Seigneur le consservera

    que nous avons à vous faire service ; qui sera

    ce que je vous puis escripre, après avoyr prié Nostre Seigneur vous donner

    Madame de Gordes, coume pouvés pancer, trouve le

    pour la veoir. Notre frère, monsieur d’Evènes, est aussi après à se purger.

    bien. Madame de Gordes, par advis

    supplie très humblement, si lavez trouvé bon, de ne

    Nevers le trouver en chemin. Le sejour de cinq ou sis jours quil

    envoyé, et nay peu vous escripre parce que javoye

    G de portes

    la presente et vous supplier très humblement les faire

    plest de moy aider dicelle, ce me sera un argument de prier

    monseigneur de Nevers, que vint voyr son père, que

    quil m’advertira de rechef du premier seiour quil fera à

    allez en bas à ces fins ; et lors quilz seront de retour,

    de Briançon, en toute lestendue de notre ressort, a très que

    de Nevers me dict en Avignon que monsieur de L’Aval

    fère de ce dont vous le requerés. Quelque aultre

    deffence de terre, laquelle par troys ou quatre foys leaue ma [barré : t] enmenée ;

    je ferey encores si ssainsi vous plaict men advertir par ce mien laquès

    fera pour les obsèques de feu monsieur de

    de vostre faveur à ma requeste, encores que je

    peu de gens, je ne scay rien que vous escrire, sinon

    pour me tirer hors d’icy, me renvoyer devant quelque autre, ou bien,

    volut bien charger expressement et il y avoyt une miene

    lessa des lettres pour vous, lesquelles ie vous envoie.

    aussi presque senblable fiebvre ; et madamoiselle

    [barré : et] pour parler à mondit sieur de Mandelot, lequel, avoir veu

    treuver argent en ce paouvre païs icy, mais sommes allés à Thurin et

    trouver. La vieillye de la trezorerie a achepté ung

    comme est bien adverti monsieur de Chaponay ; que sera pour fin,

    en un mesme fueille de papier sont dun mesme

    à lanniversère de feu monsieur de St-Marcel. Si je y

    il les a couchées et estime que quant vous y aurés pensé, vous ne voudrés

    pero fallio fini’ desiderandole ogni contente. Va di Roma

    darmes, laquelle je ferey observer de tout mon povoyr,

    soumes ; et sy votre seignorie ne leur comande tenir les

    chouse de grand poix et faitz insurpotable [sic] à ce

    lieux, comme sensuyt, faict ce VIe

    font, mesmes quilz prennent les femmes aux maisons où ilz

    que en cest endroict, me remectant de ce que je pourrois

    lesdictz de la religion ne vouloyent obtemperer à icelle

    bon catholique, lequel se retire en sa maison à Tharascon,

    mattières, me fera vous suplier de ne demeurer

    estre cejourdhuy eslargy, sera encores detenu, attandant

    dict : « vous nestes pas saige de parler de cela ». Lors il se teut et par là ne

    aultre endroict à leur dommaige, ilz vous veullent aller attendre entre Ours

    de la partie de XXVm livres prestées au roy par les ayses en lan 1567 ; de regler les nouveaux

    seigneur César pourtant une lettre du sieur mareschal des logis

    point de vous ayder de moiens pour mestre fin à la guerre que vous avés

    tresoryé seras icy dans j[e]udy. Je

    Le Fau est blessé, de quoy est fort fasché monsieur Du Puy.

    je vous escripvois quavois receu letres de monsieur de Langes

    Chiverny n’en est pas, ouy monsieur levesque de Paris et

    sans cesse pour occasion du sejour que les companies de gens

    le consellier Emé comme lesdits de Mollines durant ladite

    avec copie du procès verbal que jay dressé sur ladicte reparation

    votre plus humble à vous fère service

    sur laquelle fault qu’on extende les bulles en cancellerie) et ycelle fère

    ordonnance, il ne y a heu moyen havoir et a falu que

    leur fut prins qui ce despartirent entre tous, dont

    pour vous travallier davantage que je vous ay bien volu

    ont mené la plus part du bestailh du

    Votre très humble et très obeissant serviteur et filz

    votre très humble et très obéissante fille

    mescrivés touchant Gargas. Je vouldroys que ce fut dez demain

    re depeche que luy ferés, et sy tant est quil feut

    chambre. Il a accreu notre court qui nest pas petitte, car reste monsieur de Nemours

    il est très necessaire de ce fère, car si lle temps ne

    mesme forces bien [barré : int]injustement, et Dieu sait

    faict en cela, sinon pro caetera sua sapientia. De ma part, j’ayme mieux estre

    sur luniversel, dautant que cest plus tost charge du roy que du pays. Toutesfois,

    pour revenir et quil r’apporte depeche contraire à la sienne première.

    qui sest faicte pour la guerre, outre ce qui a esté ordonné par messieurs du

    prompte resolucion que sa magesté devoit prendre . [ajouté : .ou] pour restablir la paix dans le

    Thoulouze, ne aultre, ne vous feront dommaige. Jait

    de ladite ville et en balhent si peu de proffict revenant bon au roy, que je ne le vous ose escripre,

    la nouvelle oppinion et catholiques se sont bandés

    faict ne vous en faire discours par ceste, laquelle, pour navoir

    consulz en ce païs icy ; et ci treuvés bon men rescripre ung

    dessus. Dallieurs, sa majesté nest informée de la valeur et importance

    receu voz lettres du jour dhier et rendu celle quescrivés à

    mes affaires ne peuvent comporter, par quoy je

    pensions et de celles que feu madame ma laissées ; vous povés,

    ce meschant traicte de Château Rodon qui voloit si bien traicter la ville d’Ambrun, car notre dict

    si joinct soyt mendé seurement

    receu voz lettres du jour dhier et rendu celle quescrivés à

    servyteur

    voulloir donner conger à ladite compagnye

    André et du pays, envoyé le sien à monsieur de monsieur de Laborel,

    aultre contenance, je pensoys beaucoup plus de leur conduyte

    soyt en ayde, car vous ne serez sans poyne,

    quon avoit desseing de prendre la Chaise Dieu, Arlenc et Ambert, et que cela se debvoit

    en escripront assez. Surce

    me renforcer de gens, car en despit de tout le monde,

    Poet et sont dessus là, que parlamentarent avec

    aller par ses montaignes. Ma fille de Balançon [barré : est]

    toute la noblesse. Ceux de Saverne que le duc de Lorrayne deffit peuvent servir dexemple à ceul qui voudroyent

    si non que cest le commun bruict. Lon mat asseuré que ceus du Contat ne veullent donner point dargent

    vie. De St Saph[orin], ce IIe febvrier.

    pour entendre les derniers arrievantz de noz affaires, nous offrons pour

    le mardy IIe du present. Ce sera lendroit où je

    par quatre, assavoyr ung chanoyne, ung des gresfiers de la

    recepvoyr audit chasteau cinq soldatz catholiques, gens

    effect comme la rayson le veult. Et à tant, je

    de lordre du roy, gouverneur en ceste ville de Grenoble

    de sa lettre que je vous envoye. Et ce jourdui, monsieur de Rosset sen

    bien tost après, le Mas passa allant bien

    vous supplier très humblemant vouloyr fère ce bien à monsieur

    je vous avois parlé ; toutesfoys avant que

    que ceulx de ceste ville ont esperance obtenir de

    ce que je vous dirè, fores de me recommander humblement à votre bonne

    discourés bien à la verité par votre dite lettre et veu le païs, il sera très

    Durance pour aller faire une extraicte à la compagnye de monsieur le mareschal de Retz ; mays ladvertissement du

    et aux derrogations des derrogations et ne lerra pour tant de

    à messieurs les gouverneurs et commandantz aux gens de guerre de deçà ;

    rendues hier vous m'en demandez mon advis, il me semble que vous en

    qui est votre très humble serviteur et sera, priant Dieu

    monsieur, en très bonne sancté, longue et hereuse vye. Au Mon[telim]ar, ce Ve febvrier. Voycy la deuziesme que la

    impossible de vaquer à ladite charge où vous mavés ordonné, laquelle jestime mieux

    en entendés rien à Lyon.

    et respondu à tous les deputés des provinces qui estoint

    et remectre en deffence lesdits chateaulx, ou bien les desmanteller de

    longue lettre. Et nayant aultre chose en ce pays par delà

    Mens, qui sont environ cinq ou six centz. Ilz saccressent

    na aucunes avoynes et bien peu de foings et chairs

    du vingt seysiesme janvier dernier pource que navons argent

    grand preiudice pour le servisse du roy. Et si la guerre

    que cella leur est assuré et promys, ayant desjà proveu, si leur cas sexploicte

    que de // [// lintention] de quelques ungz des soldatz que y sont quil ne

    champs du costé de Combovin, sans sarrester sen sont retorner par

    desquelz nous gardera vous ennuyer de plus long discours

    chambre des comptes et au parlement. Je les vous

    au fort de son haultesse appellé la Tour de Myrabouc quil a

    monsieur le conseiller Emé du XXIIIIe du passé

    et sont logés à Thens et Remolon, en nombre de

    au dessus ses lettres dattache et quil vous a couché les gages sus son

    et affection quavons consneu en vous durant tout ces

    particulierement jay prié ledit sieur de Montatayre le vous faire entendre

    lettre ; et sil vous plaict me fère tant de bien et faveur de me mender

    et prye le Createur,

    que sy cestoit votre volonté, ilz soffrent de tumber

    congnoistrez lintention et service de sa majesté ; et en cest

    volloyr signer, ce que je fis, me disant au surplus que si ce nestoit quil ce presentoit une occasion pour son advancement,

    Votre très humble et très hobeissant serviteur

    de toutes choses. Il y a deux jours que le roy garde

    contentemant et luy avec. Jestime quil vous faict bien particulièrement

    affectionné à vous honorer et faire plaizir ; et de ma part, je feray

    cause que certains soldatz de La Bastie

    de Mollines ne cessent se fortiffier dans

    et rançonnement que personnes peuvent fère à landroict du pouvre

    Qque ledit sieur de St Romain nen a esté consentant, mais je ne scay sil sera obéy.

    succederont. Sur ce, me recommandant humblement à votre bonne grace et priant

    nabandonner poinct mon faict jusque à ce quil en soit

    Aussy en y a aultre que messire Estienne Belle, prebtre jà dès long temps decédé,

    patron Pellan je luy auserois fier jusques à mon honneur,

    De bouche et plus à luy fère service comme jay mon

    en après sa grace et à moy la votre. A Grenoble, ce VIIIme fevrier 1574.

    en repoz, car ne voulent les fouls ce chatier par

    et cognoissant que son entreprinse estoyt decouverte, deulx

    dune modiffication, mays cela ne seroyt suyvre lintention du

    feray scavoir quelle responce je auray eue.

    pour randre le chasteau. Il a esté exsecuté. Aulmoings de

    vous ha escrite. Vous avés bien des frères qui marchent en votre endroict de meilleur piet que luy. Je pensoys que le

    aposté six soldatz acoustrez en paysans qui se debvoient rendre

    desplanché du tout ledit château et rendu et rendu par ce moien inhabitable.

    vous importuneray de plus long propos, vous suppliant

    cheval que à pied, lesquelz puys le septiesme de ce moys

    que vous porriés envoyer sahault. Si de voz troppes

    audit lieu de La Bastie neufve où il a esté despuys detenu

    mieulx du monde. Vous verrés de leurs lettres. Je vous envoie une

    à Poissi et va par fois à Paris don il vous en a

    les paouvres habiyantz dudit villaige sont reduictz

    estre , elle ayant receu voz lettres, cella la fort rejouy de façon

    Createur,

    plus tost satisfaire à voz vouloir et commandement, mais

    disent quils mettront de leurs catoliques au lieu

    pense, sauf votre correction, que vous ferés justement

    pense, sauf votre correction, que vous ferés justement

    de ce qui en est. Je men vay en une journée qui se

    de ladite maison à redire. Reste le [barré : tresp] bas aage

    tousiours Nihons avec extreme diligence, où monsieur de Montbrun fet fère une belle exploitation

    ancores que autans leurs autres afères hisont contrées sus la

    le trovés bon ; e[t] mesmemant sy la trève est prolongée,

    ce XIe de février 1574.

    randu aynsi meschament, faict beaucop de dessaingz. Toutesfoys, jestime

    cinq soldatz quil avoyt au paravant. Messieurs du païs

    bien faire. Jay envoyé votre lettre à madame la grand et par mesme

    en tottes les ocation que se presanteront, come

    reapura par la lettre de monsieur Fortias seront IIII cents despuis le

    monseigneur, en parfaicte santé, heureuse longue vie. D’Apt, ce XI febvrier.

    monsieur, [barré : m]en santé longue heureuse et contente vie. D’Apt, ce XIe febvrier.

    tinst de monsieur de Sainct Martin et de

    à votre bonne grace et prie Dieu,

    faire quelque difficulté de les laisser passer, ilz mont requis

    Bastie Neufve. Comme lon dict, cest à vous dan fère

    à icelle quilz ne sont bon observatuers de la trefve.

    à votre bonne grace et prie Dieu,

    heu loisir, vous en heusse mandé ung double. Il en

    nous en faire part, car seit chose que je

    audit estat, encor suys ie contrainct pour le peu de temps qui sera

    et viennent là tant de Mens, Serres que aultres

    nombre quil plairroit à votre seignorie ordonner pour metre

    en nombre de deus centz, dont certains marchans avec leurs bateaus et marchandises ont estés prins et saccagés.

    ommez ; et avant-hier à nuyct, estans les consulz de ladicte vallée

    pour la consiquance, javès acttendu

    aviés presté. Nous sommes après à relever les dettes

    la rivière du Rosne quatre livres pour muy, quest ung grand

    Jay mis ung mot de response dans ce paquet.

    pour le service du roy, encores que jusques à present, ilz se soyent renduz et

    vingt huict sestiers avoyne, dix charges et demy de

    à leur movèze volonté pour le respet de vous et n[barré : efe]

    Ilz doivent passer en Freysinières pour

    dentreprise sur la ville, nous ont prié pour lundy

    deffandre. Bien vous diray je, monsieur, que quant il vous

    monsieur de Chastellard, car cest directement contre les ordonnances.

    voulu accompagner de ce mot pour vous prier de me faire entendre

    quon porra negotier. Encores monsieur que je vous supplie de

    comme ie le desire. Son mal ha esté

    et y avons mys cinquante soldatz, sans y comprendre le cappitaine et son

    besogne comme lons veult sans sen querir des

    à luy faire entendre et la prié de retourner devers luy

    le temps, ses parolles et touttes les circonstances quelle sen pourra

    en poyne par les gens de la novelle opinion car, après cestre

    et vous pouvons asseurer, monseigneur, que nous avons presentement

    encore (que je saiche) resolu la conferance en laquelle je debvoys faire

    qui les attendoit à St Germain qui delà les mena en Angrogne où

    Je tiens quil leur peult persuader une bonne paix que Dieu

    letre. Sil en est quelque chose, je veulx masseurer

    icelluy, envoyer à la court pour obtenir seconde jussion,

    notre receveur, quelz deniers pourions avoir en fondz pour soustenir la despence,

    à St Germain en Laye, le XIIIIe jour de fevrier 1574.

    Romain, de la substance que verrés par le contenu de celle que mondit seigneur le marechal vous

    requis dy employer se peu de povoyr que soit en moy

    des nouvelles quil vous a pleu me faire scavoir. Le procureur

    clochier, quil ny a poinct de faulte, quest la cause

    et affectionné serviteur et de vous resouvenyr de ce quil vous

    avoyt besoing de [barré : faire] sa compagnye au premier mandement que nous

    de Dieu quelle se portera bien. Je masseure que monsieur de

    diocèses de Nysmes et Uzès aux fins de la conference. Mais la quinzaine sera

    recommande humblement à votre bonne grace, suplient Dieu

    qui en despendent comme la saysie [barré : de] que les ennemys en pourroyent faire, laquelle oultre la callomnye quelle

    monseigeur, vous tenyr en parffaicte sancté, longue et

    au matin à porter … audit Grane,

    coucher, madame de Soyon et madamoyselle

    conduite par quelques ungs de Tain. Ce qui en sucedra

    pacqués et en sa presance houvers et desserés ;

    quavons vous faire très humble service en tout ce quil vous

    ou à monseigneur de Gordes, et menassent de plus fort.

    vin vingt cinq charges, foin [barré : cinq] cent quintaulx,

    les compagnyes de messeigneurs de Savoye, prince daulphin, comme aussy celle

    Il me dit que jeudy, ilz porront regarder à ma

    ne sommes, car la première excuse que nous mectent

    je vous supplierey me donner les moyens de resister

    pour certain vous advertissant à jour prêt compté

    venoyent assieger Grenoble, tantost Gap ou Ambrun ; une foys

    venyr prandre votre meyson. Et nestant ceste à aultre

    dicy pour sembusquer entre Denmons ou Alleyrac, sachant bien que les ennemys nont faulte despion et que leur

    vous ferey plus long discours jusques adce que lon

    et offra tout ce quest à son povoir, tant du votre que du scien.

    quilz ny feront que perdre gens et temps. Jay veu ces jours passés que

    Romain, il semble qu’il y ait bonne volonté, comme jay veu par les lettres qu’il escrit à

    et prie Dieu vous donner,

    de genz de piet qui demeurarent long temps en notre boys [barré : dud] dauprès de Sainct Gervays, dont le dit sieur de Vesc mat

    advertir pour en fère ce quil vous plarra me commander.

    sa garnison, vingt homes de renfort, lon luy en ha

    lue devant le roy et les informations mises en meins

    compagnie aussi. Et a esté nostre voyage bien heureus, car nous

    ma bien sceu dire que son filz archevesque de

    le jeune, quelle pretent luy avoir promis mariage et avoir,

    Beaucaire, tant est contrainct pour la continuation de

    vivres an sette vile que des voutres ; aussi an voutre faveur, lon

    prepare de toutz costés à la guerre et la font. Je croy

    ung de Guylhestre venant de Grenoble, portant quelque

    Graisivodan de faire assembler des melheurs soldatz que

    recommandations à votre bonne grace, priant le Createur

    faict et incontinent vous advertyrey. Jay prins

    à voz bonnes graces, nous prierons Dieu,

    provenuz de ladite allienation du doumaine estre affectez au payement daulcunes

    vous scavez quilz ont esté envoiez à monsieur le

    mectre aux hommes durant ce temps miserable. Au demeurant, j’ay sceu dudit sieur de

    y profiter. Nous avons doné alarme à toute la valée. IL ny

    comme les aultres qui sont en ceste ville. La dificulté na procedé

    caresme pour aller à St Germein recepvoir les

    qui ont praticqué et praticquent ordinèrement les catholicques et jusques

    oncques pencé ; et quant [barré : il] adviendroit, ce ne seroit

    ceulx qui sont prisoniers dont leur capitaine me vint hyer fère

    ce 21 febvrier 1574.

    est dune grande dame habitant hors ceste province adressé au sieur

    monsieur, en prosperité, santé, heureuse vie et longue. De Grenoble,

    unne trahison dans ce lieu de Taulignan et que ne

    la chatellenie de Grane. Jey adverti ceulx de Chechilienne de payer leur cocte

    loccasion sy presente. Mès, je pense que ledit sieur Du Van

    saisiz desdits soldatz, dont il y en a troys de Savoye, lung

    messieurs le conte de Beynes, marquis de La Chambre et de La Roche pour

    quatre ou cinq aultres entre Tain et Sainte Agreve. Des mulletiers

    recommande monsieur, comme ausi feis je moy humblement

    de pourter les lettres quil vous a pleu escripre à monsieur le

    serviteurs ; qui me fet vous supplyer

    Dieu nous aye donné la grace que nous soyons en

    vous plairra puis den fère. Jey ouvert la lettre que monsieur

    tour que combate. Les cappitaines de ceste ville

    de moins que de luy dire quil estoit ieune et mal appris ; à quoy le susdit ieune et

    prestre et ung nommé La Gerbe et Bertrand Bouquet

    vous anvoyez, ung à monsieur Mestral et à ung monsieur

    de Vallence, ilz nont falhy jour de battre le

    mon retour duquel je ne vous puis rien mander d’asseuré jusques

    monsegneur, quen ceste dite ville i a peu de gens et mal armés

    qui lon envoyé queire la ranson dun prisonnier qui tienne,

    hyer sur le tard, heusmes quelque advertissement que le sieur

    envoyer mon laquès par ce que les consulz ne mont poinct

    compagnie, monsieur le consellier Emé, encorres que nous

    prossès pour le vous envoier pour y prevoir comme [barré : bon]

    Je nay peu descouvrir pour encores leurs desseingz. Ce pendant,

    puisse faire conduire plus librement et en toute seurté lesdites leynes

    très humblement commander à ceulx de Donzère ne les mettre en despant

    de tout notre pouvoir, vous suppliantz considerer à

    bone grace, priant Dieu qu’il vous douint,

    affaire que sa majesté a, de laquelle elle l’en veult charger pour en estre

    ma escript, où sil ne peult venir à son deseing

    mandé aussy par ung de vous subyectz de Seynt Gervays

    Royse.

    seuplier très humblemant vouloeir leur escrire pour commander aus

    choses rares et principalement de belles femmes, et à bon

    Mandés moy, sil vous plaict, si vous

    humile et perpetuo

    detto locho di Grenobel non mi tratavianno chomo

    cinquante chevaulx légers ordonnés pour demourer

    en advertiray et du commencement que je donrray à

    conseiller de Bellièvre qui a présenter audit Gargas tous les plaisirs

    les maréchaulx de Montmorancy et Dampville car monseigneur

    et crois que dans dix ou douze iours, i’an saray ce qui

    endroict. Je ne vous feray narration des advis

    tout voloir tenir la main quand l’affère passa le plus doulcement que

    Monseigneur, en parfaicte santé, très longue et heureuse vie. De Paris,

    prie le me faire entendre affin que ien aye une autre

    pourtoint de déclairer qu’il vous semble raisonnable

    ses compaignons, qui se portent bien à soulhaict, Dieu mercy. Sans ung malheureux

    encores party et qu’il attend l’armée d’Espaigne. J’ay taiché

    louez par monsieur le baron des Adretz se pourront sentir.

    Lisle de Mille de bourc où Beouviés estoit dedans, gentilhomme flamant fort estimé et aymé du

    au Milanois. Plusieurs me disent par ceste court

    me priant vous en escrire affin qu’ayant égard à telles raisons en

    paine d’avoir prousès ; Ie ne vous escripray aucunes

    esté asseuré qu’il n’en n’estoit rien ; bien tient-on pour certain que les navires du prince d’Aurange ont

    suffist vous payer de son année

    à la coustume des ligues, usitée en tel endroit en touttes

    de maître Girard. Outre l’incommodité que ce vous eust couté

    et tant moins entamer votre terre. Nous avons eu icy les mesmes

    certain personage espagnol a demeuré

    par nos tems sur nos gardes sans toutes foys

    de Naples marche en ça. Mercredy de

    d’en scavoyr ce qu’en est. Ceux de ladite religion

    poyng, m’est venu demander si j’estoys le cappitaine Chastellard et

    de messieurs de l’Albert, qu’est la cause

    j’ay à me conduyre en leur endroit, d’autant que

    cause, à mon advis, de retarder [barré : mant pour

    une pouvre pay de roy. Au reste, monsieur,

    Je larray ce propos pour vous dire que la reyne mère du roy ce pourmenat yert longuement avec

    [barré : p] second juillet 1572.

    mais cest sans dire non plus que jusques icy quelle routte

    et aussi comme après avoir cherché tous les moiens de paix pour éviter

    vous entendrés du sergent Père et de Bolomeau

    à la vite est rentrée dans ledit port ;

    y a en lestat de [barré : Milan] Milan XII m[ille] hommes de pied

    est venu à troubler sa possession et le deposseder par force et

    de son altesse à monsegneur d’Ambrun, qu’on estime que les rumeurs et

    perpetuelle servitude, je prie Notre Segneur vous voulloir

    advis. Ce pendent, sil y a chose où je puisse servir

    scait encores en quoy il pretend d’employer ces forces, ou bien

    très humbles serviteurs. Et sy le tresorier qui a porté ladite adsignation

    le mariage de Madame. Le roy de Navarre arrivera mardy, aiant couché

    ma puissance, pourveu, comme j’espère y veulhe tenir la main

    jour de juillet 1572 .S.

    les Allemans et Spagnols qui nous avoyent donné quelque

    pour moys. Je scay bien pour certain que l’estat de

    d’Ourches ma niepce nous a faict part de

    creus comme je mestoys oublyé à le vous escrire quar je vous respons sur mon honneur que leurs

    quil est arrivé ung gentilhomme revenant de

    Je partz ce jourdhuy de ce lieu avecq madamoyselle d’Ourche ma filhe, pour mener ma filhe de Penet

    rendre en lendroet houe voutre companye

    dyre que je tiens ormis celles que je doibs [barré : reserver] respeter,

    remetz aulx escrips de mon frère de Bressieu qui vous

    Moyran ; si vous partés ung peu mattin, nous aurons

    ma compagnie où aussi tost marriva bien bonne et grosse

    désiriez et que jesperois. Sil y a autre service que

    jour de despart des compagnies de monsieur des Adrés

    qui est tourné devoit apporter de la court avec une lettre que mondit seigneur de Nevers

    treuver la susdite armée, ne bougeroit de

    mes très humbles recommandacions à votre bonne grâce

    la tempeste il y at deux mois, il ne pourrons fournyr mesmes

    se parle à présent que d’accompagner monsieur le conte

    personne ni le bien pour le secourir. Si je n’avoys promis

    s’ilz n’ont moyen de vivre pour les raisons que je vous ay escrittes par autres miennes

    aussy tous les aultres. Quant à moy, ie yray si je puys,

    notre fille, madamoyselle d’Horches, pour la mettre à la

    font le service et portent pacquetz

    armées, mais que pour ceste année, il ne fera rien par

    voz nouvelles et de celles de madame de Gordes et de toute votre

    les remettant à monsieur de La

    Monsieur de Montbrun les doibt conduyre

    avec heulx. J’ay parlé à homme qu’il n’y a que

    que ledit seigneur du May ne se soucie guières de nostre Daulphiné, se contentant

    villes d’importance. Il a semblablement relaché pour les mêmes considérations trois grandz seigneurs

    Romans ma adverty que quelques remonstrances quil face,

    adverti qu’il estoyt guéry. Quant au faict de la justice,

    Lesdits seigneurs m’ont escrit n’avoir receu ma depêche

    -Germain en Laiz despuis troys jours pour courre le cerf et aussi pour

    Votre plus affectionné

    scache pour vray le lieu où ilz doibvent estre employez,

    le sien avant le terme escheu. Il est à excuzer, daultant quil me mande

    prest dudit lieu de Montz et que ledit duc d’Albe esperoit

    foyblesse. Je suys tousiours atendent voz comandemens

    favouriser de tant mondit sieur de Ballagny et moy

    d’eux mesmes le myen de s’entretenir et vivre. Je ne saurois, sinon vous réiterer

    luy et nostre roy, ce qu’il a faict semblablement

    Cependant, si estant audit lieu ou aillieurs, il vous plaict

    my dois conduire. Elle fet bien son conte que ie vous yrey voir après les nosses de monsieur

    du teil

    terme est court et monsieur le comte et moy mettrons ceste

    et nayant autre chose à vous dire pour ceste heure, je feray fin par mes

    vous doint

    ma redys. Cyl estoyz autre mens, il vous plerra à men

    monseigneur, en parfaicte santé, heureuse vye et longue. Du Thouvet,

    fin, après vous avoyr supplié me commander

    soit couru en toutte extreme diligence. Je vous advisay hier de larrivée

    fossoyé le cimitière de Chereyn et mangié ung corps y enterré.

    et mal accompagné, non poing que je ne

    de mars dernier passé, s’adressa à nostre maison ung de Sainct

    Monseigneur, vous donner en santé ce que desirés.

    recomendant très humblement à voz bonnes grâces, ma

    à ce lieu de Vizille, pour les recepvoir et

    désirant à ceste cause ledit seigneur de Joyeuse scavoir de moy ce que

    quelqun des votres, de recepvoyr son argent moyenant laccord que nous

    et prye Notre Seigneur les volloyr tenir toutz en bonne santé

    bien fort en alarme. Je croye que ce sont quelques particulyers

    pourtement de monsieur de Gargas et de sa compaignie.

    gardes ; et en ayant autres, je vous en despartiray et actendant men veoys recommander

    va bien et y attend-on une bone récolte. La sepmaine

    mon impaciente. Si et-ce que ie fey ce que ie

    vous scaurés dire l’aise que j’ay receu des bonnes nouvelles que

    de monsieur de Cabanes nest encores fermée, toutesfoys, il ny

    avec ung reffuz du séiour qu’il prétend fère audict Brianson en

    dela, à vous tenir adverti de tout ce que je

    grâce, à laquelle, très humblement, me recommande et à celle de madame de Gordes, come faict

    sont entièrement conformes, donnant à penser qu’il ne se fault pas

    deliberées. Je prie Dieu quil y veuille mettre la main, et y donner

    à Savillan, esquelz lieux elles ne peuvent aller sans passer sur

    et myeulx adverty ; à scavoir que l’on branle tousiours en court sur la paix ou sur

    le prince daulphin. J’attens l’opportunité d’en attacher leurs

    ont veu que ce lyeu nestoit forçable. Ç’a esté toutesfoys sans

    Vous très humbles et très obeyssantz serviteurs

    faict, il a advancé que du temps que ledit sieur de

    ancores beaucoup profité à l’estude et nont

    contentement je y recep[v]oys, Dieu me doint grâce de bien le

    debvoir et bonne volanté et ma constraint venir en ce

    à la suffisance duquel je me remetray quar il a eu le loysir de vous en escrire au long, aussi que j’espère en brief

    de premier président, et monsieur de Pressins en celuy de tiers, d’autant

    qui me dit au soyr qu’il despartiroyt dans quatre ou cinq jours

    vie. De Brianson, ce XXIe jour du moys de jullet

    plainctes me sont arrivées à loccasion des aides qui refusent de

    la partie si ses trobles ne l’empêchent. Je

    mien propre les effectz vous asseureront [barré : tousiours] du désir

    mander et me recomandant très humblement à votre bonne

    esté renvoyé libre pour la faire par-delà en faveur de qui

    lundy 21, nous avons gardé le médecin de Monluel

    longue que pour vous salluer de mes très humbles recommandations à votre

    des plus grands, que le voyage estoit rompu, et sans la venue de monsieur de

    à Marches, incontinent men suys encheminé illec

    juillet 1572

    neusse failli, neust esté lindisposition de mon père, que jay

    des Adrés estoit les faire passer en Piedmont sens séjour, comme, monseigneur,

    mays jespère, à layde de Notre Seigneur, que vous en serés

    à acoucher, de facon que les médecins ny scavent

    n’est pour me recommander très humblement à vostre

    sestre mieux porté, son mal avoit rangregé. Je vous promets

    vous prie dong de faire en l’ung et en l’autre tous les bons

    monsieur lamiral, est sur le point an

    Dieu et de mes bons seignieurs et mestres des-

    il jamais, toutesfoys, je y fairey tout ce que

    faict remuer terres, bastines et bastions par l’Itallye et ung chascun

    que, par resolution du roy Philippe, il ne pouvoit passer

    et avoir les moyens concernens la justice de sa cause, vous

    faicte santé longue et heureuse vie et que nous

    je me taix car leurs responces ne sont

    venir quil vous plaise d’y commectre ung commissaire extraordinaire ;

    troys jours, avouer troys medecins pour le pansser. Mais

    dhonetetés et courtoesies de monsieur et madame la generale

    sestant desparty, ledit Dom Jehan d’Autrye assez soubdainement,

    prie, Notre Seigneur, quil vous doint

    voyr et heumes de grans proppos ensenble. La fin a esté quil

    voulu vous le renvoyer pour vous tenir tousiours

    en Flandres. Voyla tout ce que je vous puys escripre

    quinze jours en sa. Au retour delà, jen useray de mesme à lendroit de Monsieur de Suze, je

    pour me recommander très humblement à vostre bonne grace,

    quartiers oùt je vous puisse servir, me faizant cest honeur de

    dernierement ung pacquet par la poste pour response dune vostre,

    lesquelles je vous envoye dès maintenant avec une depeche

    en avoir plus senti au cœur que tous ceux qui ont perdu en leurs biens

    ne saches, qui me ferat finir sete par mes très humble

    playra den faire la preuve, vous le cognoistrés par

    Monseigneur, en santé et contente vie. De Lyon, ce XXIX

    à contribuer en ceste vallée ez estappe de Valcluxon

    juilhet 1572

    messire Pierre et retirerés sil vous plaist ladite clef ;

    Il faloyt faire une henqueste qui heut acés couté

    republiques et semble n’y demeurer que deulx estatz, car

    Chastelart vous escrit pour le regart du cayer que Cavaignes a produit au conseil dont je

    recommandé à vostre bonne grace, je prieray Dieu vous donner

    serviteur

    hyer, nous avons donné congé à nostre medecin ordinaire,

    que y suis que despuis deux que prins une

    Valence, ce dernier juilhet mil cinq centz soixante douze

    en Daulphiné. Je vous prye estre gracieux envers icelle en ce que vous pourrez.

    et au mien, à la santé de monseigneur le president Truchon,

    ung nommé Pierre Crestin dict Berchet et quelques aultres

    Dieu

    que jauray ung peu gous[t]er de lair de St Jehan de Moyrene et du Thouvet,

    promese, ie navois qua fère dan fère venir de dela sur

    susiourner, on y fera aussi aller le mareschal et le plustot

    mes très humbles recommandations, ielle suplie de bien bon cueur qui

    lequel après vous avoyr bien humblement baisé les

    nest encores de retourt, davoir amené vivres. Iay tant la teste

    nia aulcu[n]g contentement quil ne soyt suyvy de bien

    debout ; et sy vous plaiseyt venir icy changer

    quil a affaire, faisans courre bruict que cest pour marcher en Levant.

    quelques nouvelles de ma part, ne feray faulte de vous en advertir

    du XVIII que monsieur de Cabanes lui a

    je ne vous en feray plus longue lettre, estimant que d’ailleurs vous estes adverti

    pour auditeurs. Et monsieur ladvocat Joannés a esté choysi pour curateur en ce faict.

    à Milan pour le doute de guerre sont esvanouiz, comme aussi

    nuict venant au jeudy que vous suâtes fort, que à mon advis

    que nous ayez escrit cy-devant que les companies seront bientost

    icy barré : ass av], lequel en façon que ce soit ny a voullu entendre et

    en unze cens livres que ce pays luy a presté que en

    part en ce que je pourray et sy croys que cest lalarme

    commence à se bien porter et en esperance de monter

    estimant tel seigneur que vous ne voudryés

    est pleu en cella vouz souvenir de moy sans i havoir

    Genly qui cest saulvé avec tout cinquante ou

    y eneuier et contre vostre bone volonté,

    panse quil ne se parleroyt daulcung geulx à

    president par le maistre de la monnoye dudit

    entre aultres le duc de Nagero, lequel sen va

    auprès de luy ; et bonemant, ne ce peult il remuer.

    priant Dieu quil vous doint

    case é dove potiam noi sperare d’havere haiuto

    estoit si grande, ne pouvant sortir, quelle luy randoyt une

    une evocation contre moy au parlement de Dijon,

    Vienne, pour la somme de quinze mil francs. Ce

    la voullonté que jey de vous fère très humble

    drogues des appoticquayres. Si je me tiens ung peu

    bateau les grosses postz de la grand’porte que vous avez faict faire

    vous y avés à commandement, il vous plerra

    de la poursuicte que font icy les deputés de ceux de la

    que Marron, secrétaire de monsieur de Joyeuse, m’avoit

    Il espère ung de ces jours estre assez fou pour se promener sur la

    discours par la presente pour ne vous servir danuy. Jay treuvé

    rien oublier et fineray ceste par mes plus humbles

    nepveu de Laval se porte tousiours de mieulx

    icy la mulle que luy avés ballyé pour le faire commancer

    VII daoust 1571 [sic]

    temps. Monsieur de Montleue nous escript comme

    loyer des chambres pour les separer, qui est grande despence. Il ny a plus

    na guyères quon a faict mort monseigneur le comte de

    dobligation à votre endroict. Monsieur de Bressieu a, ces jours

    somme n’et pas si grande qu’elle me puisse beaucoup endommager, et ne cera

    demeuroys en ceste peyne de le croyre toujours fort

    compagnons, qui leur vient monstrer en chambre tous les jours à ung

    seureté de ceste ville que aultres de ce païs. Quant à ce qu’il nous a

    faut, ausi ne veuti debourser un sou. Iay ofert argant

    du pasé, ce me sanble. Le tout me tient an une

    « modo pax bellum pax cursum ». Ce qui nous tient toutefois en plus desperance

    en sommes en toustes les peines du

    revenant d’Espaigne, qui confirme la deffaicte de

    quil avoit faict ces jours passez. Nous verrons comme il souppera bien. Ledit

    De Grenoble, ce XIe aoust 1572

    estre expedié maintenant pour le desir que nous avons de vous

    rièrre luy pour conclure et qui me garde mon bon

    Il est encor ung peu foyble, dequoy ne fault estre

    Monseigneur, de commander que la justice en soict

    les contracts ausquelz ne [barré : avons] a esté faicte response,

    cheval et me sens renforcer, Dieu graces, touts les jours. Je com-

    et avec telle escorte qui sera necessaire, voire

    sa fame pour la remercier de tant de biens et

    à singulier plaisir, dont en autre endroit, je me revancheray daussi bon

    quelque troupe des soldatz, deux [barré : jours] ou troys jours (barré : avoir]

    et niepce. Nous en sommes de mesmes, Dieu graces,

    vous estre escripte. Monsieur le premier president

    monsieur de Laval ma mandé par monsieur de

    XIIe jour daoust 1572

    les convaincra assez et le tesmoignage de tant

    avoit despeché messagier pour en aller querir en leurs places

    dict quilz se retyrassent à vous et que silz vouloyent, je vous en

    calumnies. En quoy neanmoins vous avés la fortune comme à plusieurs autres

    qui y est despuis hier. Nous ne fairons faulte de

    Seinpri et trois à Jonnage, pour puis continuer leur voiage.

    de ma femme et miennes, priant Nostre Seigneur vous

    de monsieur de Sansac à Salèzes ou bien à la maison

    je ne le pourray faire pour la grande charté qu’est en toutes choses,

    contrainctz tenir les champs en Daulphiné si cela advenoit ; il

    lon face courir bruict daller entreprendre sur Alger ou Thunys.

    plus longue que de mes bien affectionnées recommandations à votre bonne grace,

    l’aultre partie ha esté pourtée avecques

    encores le terme de toussainctz prochain. Quand il sera icy,

    fournir lesdits mil livres deubtz pour les six mois de vostre estat, à quoy

    le vandredy ansuivant à nostre voyage de France et

    et pour celle de monsieur de Maugiron. Je ne scay le nom

    vif. Quant à sa santé, elle est maintenant meilleure quelle na

    pour scavoir si on y pouroit remedier pource quelle

    bien tost vous en aurés de novelles, que sera cause

    ici jeudi matin pour tout ce jour là dire nous adieux

    goust aus viandes et au vin, ayant bon appetit et, le ventre

    goust aus viandes et au vin, ayant bon appetit et, le ventre

    moyens et que pour plaider au grand conseil javeois assés

    que par lordonnance du roy, ledit sieur de Bellegarde nest nommé

    levée par mandement du trésorier ordinaire des guerres duquel, si le

    et des grandz ruynes et pertes par nous souffertes,

    Monsieur de Montleuc en doibt faire les monstres comme je vous

    qui me donna volonté de aller audit Montavil

    De Grenoble, ce XVIIIe daoust 1572

    nouveau y estre acreu. Et pour le bail des pris faictz, commys

    de Laval de sorte qua ceste heure, je panse quil soit du tout bien

    dimanche au soir et partira après disner

    bonne convallecence et le prie le voulloir conduire et lavoir en sa sainte

    supplie quil me fase sy heureuse de fère perpetuelle demeure

    pityé desdits pauvres et pour cest effect qu’il vous plaise accorder

    que ceulx de la religion pourront obtenir une chambre en ce parlement,

    que cest pour les tenir encores ensemble, affin dattandre sil se presentera aulcune

    Au demeurant, monsieur, je nay heue aulcugne

    lautre. Vous porrés dire audit sieur de Veaulne que ayant

    De Rame

    toust que je devoies et nayant pas veu homme de voustre meson

    Et nestant ceste pour aultre, je prieray le Createur

    très humblement, de pourvoir sur ce audits de Cesanne, aynsi que

    de toutes choses demeure. Monsieur, ce ne vous est

    la maladye de Laval, mais Dieu ma faict tant de grace

    Charles et aussy de monsieur le president Trouchon ; monsieur

    pour le jourdui vous recevrez mille francs et que

    declairé et que vous eusse escript s’il fut esté besoing,

    [barré : me] daoust 1572

    jamais aultre que pour vous faire service et en cest

    pourrez faire sollicyter. Je vous supplie mon seigneur me mander

    je me pourroye acheminer à Moyrens si le contrerolleur

    mon asinassion, vous assurant monseigneur que

    daussi bon cueur que je supplie Nostre Seigneur vous

    quilz n’ayent point de religion car silz

    et mesmement ma seur, laquelle est au lit despuis

    aultre de bien en mieulx, tellement que jespère entre cy et peu de

    de veoir tels fascheux articles et de vous dire sur chacun mon advis,

    Icy n’a passé aulcun d’Orenges qu’on aye peu scavoir.

    sont obligés particullierement de leurs grains et meubles

    je me recommande aussi humblement comme je prie

    feray fin à la presente par mes très humbles rescommandations

    de part de ça digne de vous escripre. Surce que prions Dieu

    Chasteauneuf, pour advoyr esté de votre compagnie

    bien faict besongner à Grignan. Vous cognoissés la facillité du personnage,

    Vostre perpetuel, humble et très asseuré

    nous narons de long temps en ce pais ; cestoit bien

    huict heures de matin, trouvey qu’on fermoit les portes de ville

    lesser à monsieur de Pressins, mais sur ce est

    mutation, il n’i eust quelque contrevantion et vindicte partiqulyère, voyant

    vous suplier les vouloir faire exempter du rolle de la contribution. Je vous en ay

    de luy avoir faict donner adjournement personnel contre

    ce que ledit clerc est catholic rend le faict moyns maulvais.

    à Dye, j’ay employé le vicayre de monsieur de Grenoble à

    actandantz aultres commadementz de votre seigneurie ;

    ommandemant. Et despuys monsieur de La Tivollière arrive

    que vous depa[r]tistes dicy, je fis entendre à maistre Girard votre

    Vienne de premdre guarde de leur ville, quoman il

    à qui parler, ay faict lever la sarreurie. Ce que jen

    lacquelle j’attans tous les jours et mestonne de sa longeur.

    monsieur de St André l’avoyt dissuadé de prendre leau, luy

    du XXVI aoust, ausquelles ne se feit autre response pour

    trouverez bien raisonnable, dont il vous aura obligation

    baillé un lettre adressante à un banquier italien. Jay prins

    panser, sans les dangés qui ce peut presanter sur

    où je prieray Dieu

    icy je ne feray rien que par leur λ [λ advis] et commandement. Au surplus

    ce pourront bien rompre. Ie voudrois bien quavant le

    d’Apt, je ny ay encor rien fait, mais je commenceray

    dit que lons vous les envoie, si est ce que en

    vous suppliant bien humblement madame que jaye cest honneur que destre

    Carpentras, di visitare per hora vostra Eccellenza con questa mia lettera, et offerirle

    est vray que je ne l'ay peu encores recouvrer, mais

    et ausi quà sy grande troupe ie heuses [barré : peu] bien me trover

    beaucoup de gentilhommes cathollicques, que par nous s’en soyt ensuyvie

    le mieulx defort, que ne pance pas que la pièce

    aura jamais gentilhomme en France qui vous soit plus

    prisonnier à Suze ung soliciteur de l’admiral qu’on dit avoir

    qu’ilz n’ont faict paroistre jusques asteure, il me semble bon de les contraindre de fournyr en leurs

    dangier ; ce que luy remonstrais sellon mon oppinion le mieulx qu’il

    la fiance que jay en luy, ne vous en ferey ceste plus

    asseurer, monsieur, que je ne leur ay veu aulcune

    ce quil ce porroyt présenter passer par le Dalphiné

    yssy et le surplus, je vous envoyerey ; au demeurant

    et ay desiré et désire vous obeyr daucy bon cueur et meilheur que

    dont [barré : je] plusieurs ont estées surprins. Je vous supplie très humblement monsieur ne vous en

    ont empourter entièrement et pansant avoir repondu

    et trahiné et gecté dans la rivière comme aussi monsieur de Cuges et

    sil nest ung peu mercurialisé, il tiendra

    et pour tous autres deniers, il ny a à employer audit faict de la

    accomplir que moy quant il vous plairra men honorer,

    bonne grace et à celle de madame de Gordes et priant le Createur

    laquelle presante de bien bon cueur mes humbles

    reformée, contrainct à ce faire pour evitter et se saulver de quelque

    de la court mès je masseure que vous

    en ce peys toutes choses y sont transquilles, ormis que

    neantmoins ne revellent que d’espées de nulle valleur, et

    André et addresse quil luy a baillié pour avoir chevaulx et

    chateaulx et forteresses et y ont libre accès à toute heure, ayans

    Messine. Le sieur duquel vous escritz dernierement

    veulx retarder le partement de ceste depesche, je remettray à une autre fois

    cest effect, en poyant de gré à gré ; et ce sera augmenter de tant plus

    Vray est que nous estions resoulus de noz dispancer de les arrester icy, vous

    roy luy a escriptes depuis son partement de la court, desquelles

    chose avec monsieur le cardinal de Grandvelle.

    d’Argentenant et Catinel vont ce jourdhuy coucher à Romans pour

    fault faire deux sentinelles, l’une sur le dehors, et l’autre sur

    et tant grande, cont y seret ancors de porson et vous

    que j’y ay esté ; et mesmes le jour de la sainct

    Nymes veullent fere les facheus et se

    bonne grace et à celle de Madame de Gordes et priant le Createur

    fault tenir pied, mais attendu que dieu m’en [barré : feyst] donne

    par vous commandementz à luy faire tout honneur

    qu’ilz sont surannez, et que de noveau la France est troublée, j’ay

    trover home seur qui alla, et me doutant, pour avoyr veu les

    piaceré, et con questo me le offero et prege ogni conten

    le passé et rabilier le present ayns à chatoulier et movoyr

    d’eslargir quelques prisonniers de ceulx de la pretendue

    amis touchant ledit office. Je verray ce que le roy en ordonnera. Vos lettres

    cartiers, Dieu graces, tout y passe doulcement [barré : ma]

    de me trouver très bien, graces à Dieu, mais cest que

    votredit pays de Dauphiné, pour aussi ensemble y donner ordre

    de vous escrire. Bien vous assure que jen suis esté bien fort fachée

    troupes qui sont asembles alés.

    sovins pas de le vous dire, il me bagla cent et

    qui soit digne de vous escrire, sinon qu’à Nismes font rompre

    je vous tiendrey adverty de lieu en lieu. Je n’ay fally rendre

    combien que cela ne serve guieres pour ce païs. J’en feray de

    ouster tous moyens de mescontentement et sous le

    vous aller trouver pour vous faire compaignie

    iournées qui ce puise dire anquores ne say-ie sy

    ordonner suz les reparations très necessaires

    qu’ilz seriont tous bien hereux ; et voyant cella, j’en advertis

    ma causé une grande lasseur avec ce que je lay heu telle

    et me semble que ce rheume me retarde de me renforcer. Surce,

    Monsegneur vous donner en bonne sancté,

    rompu l’armée turquesque, ne disant aulcune particullarité.

    mander aucune chose mais ce sera au premier jour que jen

    fort a Montbrun". Je ne scay out veullent aller et que veullent faire

    [dessin d'une croix à six branches]

    sil vous plaist incontinent la presente receue, affin quau plus

    essyent, ce que je suis d’advist que vous faictes ; et quand ilz

    volonté, attendant laquelle je ferey seiour près le Rosne pour

    quelque'aultre chose de nouveau, ce neantmoins monsegneur

    après, entrerons dans votre gouvernement vers Pierrelatte.

    advertir en l’absence de monsieur Boyvin et n’ay voullu

    pourra faire ny moins quel jour certain il pourra

    remuet en Douphiné. Il font pluzieurs asamblés

    d’argent, il eust fallu pour ce faire quil en eust envoyé

    leur intention, me suys forcé qu’ilz ne fissent aulcung desordre

    dehors de quelques jours, si se n’est que vous vinsiés en sa et que estimisiés

    Monseigneur, ceulx de la relligion de ceste ville ont faict une cotte entre eux pour paier

    Suze, arrivarent en ceste ville, d’où monsieur de Joyeusse

    Fustier et Rossignol, estans à Saynct-Martin veirent passer quinze

    Fustier et Rossignol, estans à Saynct-Martin veirent passer quinze

    miennes très humbles, priant le Createur vous conserver

    Monsieur le conte est encores malade à Barbentane, sans fievre

    la court touchant mesdites affères, je vous fusse allé trouver, mais jespère que je

    recogneus fort effrayé et ce contrariant en presque touttes

    tumbé sus lespaule droicte, de laquelle jestoit

    qui estoyt tousjours près de luy. Je n’ey failly à luy dire les

    porroyt tenir la [barré : de] bride de sa monture. Je vous laisse

    dattendre scavoyr quel chemyn il prendra vous

    non plus est elle avec la lettre que mavés envoyée pour le vibalif de

    tous par deça, attandans larrivée de mes petis neveus

    présante, tant san fault que je puisse monter à cheval ;

    le cardinal d’Armagnac a dressé notre chemin par Moutier et de

    de ceste ville de le luy ranvoier. Je vous supplie aussy

    de leurs majestez et de mondit seigneur et obligerez à vous ces gentilhommes,

    et de Catinel avec advertissementz du costé du Valentinoys

    Monsegniur vos doner eruse é longe vie.

    suis bien fort marrye à pryé Dieu luy doint son St reppos. Je vous

    Monsieur, en parfaicte sancté, longue heureuse vie de Gargas ce XIIIe octobre

    vie deseyé d’essayer, nattendant que votre heureulx commendement, saluant en ceste

    tourt de les vous seller. Quant aus passions siennes et de ces semblables, je me fie que

    Je pense que monsieur d’Apt vous escrit par luy. Il

    à son prieuré de S. André de Rousans ou à Voppais. Vous

    A la mesme heure, jay envoié ung des miens vers monsieur de Carces

    que vous le verrés de meyn ase que il mat

    trouverés le jour bien pris aux fins que ung chacun avant festes se

    ruer sur ce qui mapartient encores que vostre intention fut

    de Moulins et par mesme moyen faict response à la votre escritte

    que par provision, ung chacun sesvertue de faire tout le posible. Toutesfoys,

    monsieur de Saint-Mesme, houncle dudit sieur de Bonevaux ;

    Geyssans

    Monseigneur, nous prions le Createur vous tenir en sa sainte

    me mander se treuve plus de menasse que deffect.

    rendu si debile que je ne puys me tenir, qui servira

    fort de la noblesse en se païs. Sa mort fut

    persuader que l’oncle de mon beaufilz soit

    vous supplie luy presenter de ma part et prendre pour

    dune fievre que mauroit contrainct denvoyer au cappitaine Mornas mon

    heu esgard a ce que se meslans des affaires publicques comme ilz

    vous satisfayre, monsieur, du mesme coeur quil vous ha

    et heur que destre tousiours à vostre bonne grace eet souvenence et me comander

    Monseigneur en parfaicte santé, longue heureuse vie. De Gargas, ce XVII

    monsieur de Vivyers pour ne scavoyr quand

    jay laissé à cachiet overt pour cest effet ;

    eu nombre de troys hou quatre centz. Je vous puys

    paovreté ; comme mesmes je ne y espargneray jamais ma propre vie ny en tout ce

    XIIIe, contenant l’equivoque de la prise de Magayer, qui se retira

    où je pense quil achevera sa malheureuse fortune. Je

    contumace n’augmente en mon absence dicy à Grenoble où jespère

    jey envoyé querir monsieur Thomas qui me

    monsieur de La Coste, quelle a bien vollu que je aie veu avec

    plairra de prouvoir du remède que vous cognoistrés

    ayant desclairé qu’ilz seront enfermez s’ilz

    luy ont envoyé une lettre plaine de passions et de bonnes parolles.

    quel moyen tenir pour y entretenir les soldatz, estantz en si peu de nombre

    du Rosne, parce que, comme ilz se ventent, ilz espèrent

    nous le recepverons à grand honneur. Sur ce, presentant mes humbles

    Filz et à jamays serviteur

    monsenyeur le maréchal Damville, le quel

    dant, de prandre dimenche mesdessinne

    très humblement luy vouloir accorder et faire expédier. Nous

    aller [à] Orenge, portant (vigilate nescitis dies

    longue et heureuse vye. Du Sainct Esprit, ce

    atandre de vos nouvelles. Le séiour ne m’est veneu

    je salueray voz bonnes graces par mes très humbles recommandations, priant Notre Seigneur

    cel II esminnes, les quelles pourrés fère prandre cheux

    partz que je serey, vous pourrés adseurer d’ung vrès, bien

    conduictes avec telle modestie que, loué soit Dieu,

    soixante ou quatre vingtz maisons appuyées aux murs, desquelles, j’ay gardé le nombre

    les mains et à madame de Gordes. Et en attendant

    vous estime si homme de bien que je n’en doubte poynt, aussy avey-je

    mande par icelle que le roy a porveu aulx

    de nostre compté seroit bien nécessaire ça bas. Par une aultre miene

    mes subjectz de Pradelles bien turbulant et vicieulx, lequel,

    qu’ai demandé en votre nom vous sera outroié.

    mais la persuasion en demeure après subgette aux preuves, ausquelles

    Les vins blancs s’en feront cepandant plus clercs. Je vous suplie

    de moy, ce m’est tousiours renouveller l’obligation que j’ai de vous

    Vostre très humble et très obéissant filz à jamais

    par trop fendre en despence, aussi qu’il n’en désire avoir que

    quatorziesme de novambre la depanse cest monté

    enquores proumis à monsieur de Causeins et moy que ie

    que mon attirayl n’est pas prêt pour n’avoir charre-

    accoustrementz et de qu’il a despendu en sa malladie la somme

    faire. Mais, Monsieur de Nevers, qui estoit demeuré

    Lyonnois deux. Le roy veut que leur payement se

    comme vous pourrés cognoistre par des responces qu’il a faictes à monsieur le sénéchal

    de leurs magestés, de laquieulle l’ons parle diversement.

    monsieur le vybaly, qui ne sont pas si bien

    de Gordes, ansamble de l’arivée en mesme

    que j’ay repceu despuys troys jours, en la quele vouv vous

    surprinses soint dangereuses et ne peult l’ons à

    Montbrun, avec exacte deffence ne la bailler à aultre que à luy.

    nepveus vous demeureront perpétuelz serviteurs. Je acompagneray

    y est en bon repoz. Les huguenaulx de Charmes s’en

    Vyviers vous escript se qui se présante en ses

    Monseigneur, en parfaicte sancté longue, heureuse vie. De Gargas, ce XXVIIIe novambre

    Monsieur en parfaicte santé longue, heureuse vie. De Gargas, ce XXVIIIe

    impportuns par ma prière, sy n’estoit la spérance que j’ay que

    bon le pouvoir advancer à l’assamblée des estatz leur souffizance, nous fère

    Le cappitaine Coullon e[s]t arivé avecque une bonne

    dans se royaulme quy se puysse dire hors

    croyre que j’ay bonne sovenance de la promesse que je vous ay fait

    en Suisse. Nous attendons deshormais d’heure à autre le retour

    chose digne de vous, je ne fauldray de vous en faire part.

    pour le regard du péaige et aultres droictz de Baix et pource que sa

    par mes très humbles recommandations. Au Montelhimart, ce XXVIIIe nouvembre

    promectz, Monsieur, que je tiens advys d’ung grand nombre de bons lyeus que ceulx

    pareil estat par sa grâce, comme sont mademoiselle de

    et accomoder les lieux des corps de garde d’icelles), il est

    Touttesfois, je vous supplye très humblement me faire advertir car ma

    de les lever quand la nécessité s’en offriroit, qui est évydente, car maintenant nous

    Monsieur, en très perfecte santé, heureuse et longue vie. De Viene se

    faict despuis jours ne vous entetiegne daventaige là-ault.

    je n’ay pas le revenu en ce pays pour porter une telle charge.

    la surprise de quelque ville en Daulphiné, hyer de Pierrelate,

    je i hey peu employer, hont esté tousjours si foibles et innutilles

    et me hasteray le plus que je pourray pour estre

    Saint André en l’an 1568 ; povoit estre que monsieur

    bien tost en se peys. Monsieur les conssus de

    avecque le nombre de vint hou vint et sinq

    huict livres de gages tous les mois, oultre le bois

    couvertz des meson et grange y appuans ;

    ou vostre, désirant vous faire parestre de la affectionnée volunté

    et si obstiné et partial qu’il n’a espargné son bien ny ses moyens pour

    gens, et ce pour les soupçons en quoy ilz estoyent entrez les ungs

    supplier comme je faiz bien humblement, voulloir entendre de madite dame

    aussy fidelle qu’homme qui soit de ma

    nom s’il vous plaict. Cependant, luy pourrés escrire que ayant à faire de

    labàs, hou que je vous alhe trover à Grenoble

    humblement, lesquelz prient Dieu continuellement

    vous pourriés estre mieux servy que d’autres deux

    je donnay à Bompar, qui la pourta au deffault de mon juge qui ce trova mallade,

    Monsieur, en très parfaicte santé, longue et heureuse vie. De

    de monsieur de La Coste, ny argent, ce que je désirerois bien. Je me serviray

    possible ; de plus, j’ay fait une cédule audit sieur Maniquet

    sa vie fort redevable serviteur, comme personne qui n’est poinct ingrat

    votre volunté. Je n’ay rien faict faire au chateau de Pontaix pour ce que Achiles

    voz commandemens et vous donner advis de ce que se présentera

    et pour le vostre, je m’y employerez fidellement et voluntiers

    sans plus tarder vous debvez faire levée de six compaignyes. Le roy ne le pourra

    promectant de votre bonne vollunté et n’estant la présente pour

    passé ces troys de jeusne pour le jubilé le caresme prenant est

    aura adverty de notre voyage de Beaucaire.

    Lesdits seigneurs de Vènes et de Laval sont en fort

    en une telle extrémitté que les médecins ne savoyent

    avoir présenté mes humbles recommandations à votre bonne grâce, vous avoir

    point pour faulte de marchandz, mais je suis résolue n’en vendre

    à plus de soixante dix chevaullx, que sera

    de nous y acheminer de bien en mieulx par vos très

    je cuiderois qu’il veust le vous faire trouver

    m’en remectant, je n’alongeray la présente que pour vous pryer de vous approcher

    si bien prendre l’occasion de se retirer, qu’encores

    deux de mes gens desquelz je respondray, attendant

    Votre très humble et très obéisant serviteur et filz

    [après] avoyr pryé Notre Seigneur vous donner

    en Dauphiné luy a délivré espérant que luy seront

    Monseigneur qu’en santé vous donne très heureuse et longue vie.

    nous craignons du cousté d’Allemaigne, où ceulx de Naussau

    de ne prendre en mouveyse par sy je

    demuré despuis le St André, ayent ung fort bon prescheur

    me feriés tort de penser que ie [effacé]

    scai n’en aie de besoing, où il faira ce

    remédier et changer leurs cueurs et qu’il vous

    naturel, je luy donne toute la liberté qu’il me demende en ce qui ne luy pault nuyre.

    dequoy j’en loue Dieu et le prie vous y conserver bien longuement.

    madame de Gordes et de notre frère monsieur de La Roche qui se

    monsieur Dumotet qui la vous présentera et retirera la responce

    soit frustré au moins qui ne fait profession de la

    aux moyens que monsieur d’Evènes mon oncle a de me fournir ar-

    pays de Viviers, ce qui me semble qui se pouvoit faire sans se

    Le chasteau a esté esmantelé du costé du levant

    cest advis à mondit seigneur d’Aumalle pourroyent prendre plus

    et l’ont receu fort honorablement jeudy dernier

    aux envyrons des villes come de cestecy et des circonvoysines.

    désirés d’en estre adverti ; et n’ayant de quoy vous faire

    n’est rien survenu puys mes dernières lettres qui soyt digne

    Vostre plus affectionné, perfaict et antien

    bailler, affin qu’ilz sceussent par icelle et vissent

    Vostre très humble et très hobéyssant filz et à jamays serviteur Hourche

    j’ay fait en cedit pays touchant sesdits affaires et s’il escrit

    La Rochelle, où au plustart Monseigneur s’acheminera au

    des agentz dudit seigneur, lesquelz n’entendent tel

    à votre bonne grâce et à celles de madame de Gordes et de notre

    Vostre perpétuel, humble et plus obéissent serviteur

    jours passés, on estoit en quelque bonne espérance que monsieur

    jusques à la quantité de mil asnés bled du païs de votredit

    contenu esdites patentes et oultres cela encores une pensions ordinaire

    avés ordonné aultres deniers pour cest effect, vous

    vous advertir de toutes novelles et de sa

    le conte de Carssès et madame avec fort bonne compagnie

    permet, je suis en propos d’aller faire ces bons jours avec

    Votre très humble et très obéissante fille à jamays

    votre dict laquay, qu’il sera cause qu’il n’aura poinct de mes lettres maintenant ; et n’estant

    luy commande de vaquer à la charge du Hault Vivarey que monsieur le mareschal de

    vous donnerés ordre que l’abbaie nesse perde, car avecques le tans vous

    juste et grande ocasion, tellemant que, anquores que

    qui sont trente six mil francs. Mais ladite recepte est jà sy espuisée

    et ne scaict-on pour quoy c’est. Que sera la fin,

    noble, XXe Xbre 1572.

    si ce n’est qu’on faict préparations pour le siège de

    présente, vous voulussiés vous haster de ce fère. Je vous en

    de Montbrun qui a esté avec luy deux jours entiers, qui m’a dict estre tout certain

    la levée et que les compagnies n’en seront pas si belles, mesmes

    forny quatre cens livres au moyen desquelz nous

    majesté ; et combien que je pense qu’en vouldrés conférer avec messieurs

    ne m’en yré poinct de se Paris que je n’em porte l’assynasion

    loongue vie. De Lyon, ce XXIIe décembre 1572.

    à exécuter. Vous userés en ce faict des sages résolutions dont vous

    supplioient, non seullement de leur remettre et pardonner la faulte qu’ilz avoient commise,

    toutesfois elle ne lairra pas de servir commes m’a asseuré

    que ladite abbaye à Rome, elle est en taxe quattre mille ducats délivrés

    don de Granes sont sur le sceau, mais monsieur le président

    je vous avois escript sans ce qu’il vous pleust m’escripre que vous

    à ce que vous pouviez désirer en voz susdites dépesches. Vous n’aurez lettres

    du Daulphiné où, si le danger de noz villes ne nous arrestoit

    Volunté que je prye Dieu

    qu’elle est en taxe à quatre mil escus ; quant aux

    servir quant vous estez allé bayser les mains à monsieur le

    Size et je vous montrè deux cegret

    pour l’esloigner. Il l’a prins ne plus ne moins que vous faittes, et m’a dict d’en

    aller saluer de plus près, nous vous baisons les mains

    priant le Créateur sur ce

    68] [ainsi l’ay vérifié par les mémoires de monseigneur, escrites de sa main, expédiés au sieur de Gallifet le 30 d’aoust 1569. Par lesdits mémoires, il est deu six moys de l’année 1568], [souligné : Petremol les quartiers de jullet et octobre 69. Quant à

    pouvoir, ce que nous vous prions bien fort de croyre, d’en voulloir faire estat

    paese sara remborsato è se il tesorier lo vole

    et si vous viendrés poinct à la court ce

    et de vous anploier de ma part auprès desdits sieurs presidentz, advocat

    retourné sans congé comme je n’en heu jamais fantasie quant

    la lecture de ce que dessus, m’a dict que

    heut parsonne de blecé ormis ung manteau dung

    envoyé après lexecution de ceste ville du quel costé on [barré : m] n’a rien

    bien pour vouer nostre petit equipage asés en bon ordre. Depuis

    voyée de XIII cens livres car monsieur d'Evènes mon oncle qui devoyt re-

    assurant bien qu’il y en aura trois sepmeines après

    1573

    ce que mes dictes pour le leur fère savoyr, dequoy

    grace. De Chabeul, ce Ve de janvier 1573.

    aulcuns des plus factieux de ce lieu s’estant catholisez

    et treuvant le sieur Denizet Dauzet s’en aller vers vous, n’ay voleu perdre

    Francois Joubert juge mage de Valence

    heures de nuict trespassa et hier 5e de ce moys,.

    bonne santé heureuze et longue vie. De Beaucaire ce VIe

    gentilhome l[u]y avoit mandé prier quil tint

    bien tost. Au reste, monsieur, jay bien le playdoyé par

    grand alarme. Pensant que ceulx de Pryvas voulussent

    que de vous. Ma paouvreté est si grande quil fauldroit tout le

    Lyon. Comme la descente se fera nous le favoriserons de tout

    ceus qui sont doubles, et par mesme moyen faire estat deus à ladvenir comme ilz meritent.

    à Vance quelques deniers à l’exateur diceulx, desquels

    du despuys par aultres raisons que vous pourra dire ce pourteur, Et parce,

    dangers que jay passez, lesquelz ont estée en bien grand nombre et

    ma letre sinon pour vous suplier me commander et

    Lesperence que jay advoyr ce bien de vous voyr bien

    dune belle et bonne trouppe de soldatz dignes de commander.

    ceulx de la novelle oppinion qui hont absanté puis les

    Nostre Seigneur,

    ce matin à monsieur de Villeroy, lequel a trouvé ce moyen trop

    feignans de voulloir venir au combat, et de voulloir advictuailler

    Votre très humble allié et serviteur

    d’y employer gentz ainsy califiez si nest le sieur de Saincte Colombe,

    pource que, en ce bailliaige, je y cognoys le monde

    comme il vous a pleu de pouvoir en daultres lieulx,

    commission que le roy men a envoyé, de laquelle je vous envoye

    adhèrent lesquelz persistent plus que jamays en leurs oppiniastreté et reverye. Je vous envoye ung

    une infinité de prinses de tous vivres, jusques aux œufs et beurres

    de sorte que le service du roy ny soyt aucunement interessé pour

    bonne volenté, à laquelle ne veulx deshobeir sy-

    Teyn nomé Rosset avecque qinze sordas en

    affectionnement denvoyer demain icy de bonne heure le plus darquebouziers

    prins Malauze et Belleperche qui est sur la rivière de Garonne, et est allé

    quil vous pleust mescripre et le communiquer à monsieur de Saint

    temps et seront VI ans quil aura ; il me semble que sest trop faict car

    Seigneur vous donner,

    Madame, avant la reception de la votre, je vous avoys faict ceste petite despesche dictée de [barré : moy]

    que, lesquels je menageray le mieux quil me sera possible. Au demeurant,

    envoyent. Et parce que cest chose qui est contre les edictz

    de ce païs avoint esté mandés le VIe du present à Aixc, et

    ville et jour et nuict sans le mauvais traictement que leurs hostes en reçoyvent,

    amys. Et nestant ceste pour aultre, je supplyerey le Createur quy

    je y aie ; de quoi monsieur il vous plairra madvertir,

    se retirant en leurs lougis et sem trovat ung

    jans et seront tenus à prier Dieu pour vous, et

    me fist faute pour la guarde de septe

    sinon que lon en facent justice, ce que je me

    quil ny a seigneur an Franse à qui ie fase de melleur ceur servise, vous

    quilz vouloyent dire. Tout hier les huguenaulx furent

    tout. Nous ne avons aultres nouvelles ycy dignes de

    monsieur les havoir pour recommandés. Aussy vous vouldrés bien fère

    monsieur, en très bonne santé, longue et hereuse vye. Au Monteilhimart, ce XVIe de janviert.

    et longue vie. De votre maison de Montorsier, ce

    par votre commandement, à celle fin quil me laysse mon bled votre

    charges et succides que nous avons ordinairement tout

    tost sera cause que je vous y attandrey, sil ne

    que leur fin ne tend au service du roy et asseurance du repos

    vye, vous beysant bien humblement les meins. De La Coste,

    très humble, très obligé et très obeissant serviteur,

    grace, à laquelle je me recomande bien humblement,

    voulontés, peult estre plus prolixe que voz

    Lyon, le XVIIe janvier

    ce que me faudrè fère, ne faudrey à vous hobeyr,

    serviteur

    ne deliberé de fère, comme monsieur de Grenoble et

    du quel je demande reparation ; lequel procès ledit

    offrant et dernier encherisseur au proffit de sa

    humblement ne treuver maulvais si pour quelques iours

    de voulloir combatre. Mais m’estant presenté et entré bien avant dans leurs limites

    qui me faict esperer votre arrivée bien tost pardeça Je panse que les

    affin que leur intention soyt en ceste endroit

    monsieur de Saint Chaumond, comme Il vous a pleu maccorder

    ladictte obligation pour vous supplier

    ains faisant procedures contre certains non toutesfois en grand nombre qui estoient

    votre moyen et en ceste consideration, il pouvoit estre recogneu de

    ungs et de ses gens et ny a rien faict. Lon ma

    et exemption de son logis affin que sil vient quelque

    XV jou[r]s, mès mey[n]tenant le vans [= vent] set byen fort adosy,

    celles de Viviers qui montent bien aultant en ceste

    envoyer le plutost que vous pourrez, pour le moings quelles soient dans

    le XVIIe de ce moys qui me faict resoudre à lattendre si je n’ay

    le dit sieur estoit jà si bas que son filz aisné estoit

    adverti que aulcuns vivandiers du champ de mon seigneur

    santance arbitrale ; que ne puys fère à lamiable

    ne[s]t point arivé en septe ville. Je pence

    prie Dieu vous donner,

    contraire joye et plaisir de lautre. Partant, monsieur desirant

    et nous comander, à quoy nous hobeyrons daussy bon cueur

    de satisfère à voz comandementz par le service très humble que je

    votre comandement, quelzques remonstrances que je leur aye peu faire, exhibé mon

    je vous puisse faire quelque service, je delibère de

    se presentera jamais chose, non seulement pour le

    et à tous ses ministres de justice ; et neaulmoings pour

    que ie dezire. Et en cet endroit, ie sallue voz bonnes graces

    duc d’A[n]iou escritte à Venise le XXVIIe decembre par la quelle il advertissoit lesdictz sieurs des affères

    unne commission pour allienner troys mille frans de

    autres Commandementz vostres, et prie Dieu pour

    que par le retourt de mon laquay que je vous envoye expressement. Je masseure que vous

    qui se sont retirés après le temps dudit premier edict, toutesfois

    ville et aultres lieus du resort comme vostre seignerie

    De Gap, le XXVIIIe jour de janvier 1573.

    avoient desja faict parler, et me mandarent si je leur

    ont esté employées, dont je ne fauldray en retirer

    Vostre très humble et plus obeyssant

    à vostredicte seigneurie addressantes, tendantes aulx fins que vostre bon plaisir

    vous diray que monsieur de Cugy qui est vassal des

    aux sieurs de Carces, de Gordes, et Mandelot quilz me feront service très agreable se

    votre lettre pour me representer à toutes heures votre bon advis

    forest nayans aultre refuge plus commode ny asseuré, joinct que sil

    mexcuserés aurreste monsieur, si n’avés despuis notre

    de Chatellart remediera à tout et donrra ordre

    effect envoyé querir ma femme et mon mesnage, vous suppliant derechef

    de Daulphiné en bonne devotion avec celle de monsieur de Maugiron à ce

    renoveller comme iespère. Jay aussi les lettres de

    à hier, que tout se desembarqua parce que [barré : dura] les quinze jours durant,

    excuserés sil vous playt nous ne l’avons moindre pour ne pouvoir

    majesté vous en escript. Lassurance que

    sera seurement adressée. Je pance que nen aurés

    que quant il sera besoing joindre la votre avec celle de mondit seigneur

    par vottre lettre que ie vous tinse adverti des nouvelles

    manquoit rien. Il nous est veneu bien apoint de

    acompaigné du sieur de St Estienne aultrement le terme, Rogiers

    pense sans saquager tout ce quilz pourront de

    que ie receus et vous envoya le XIIIe de ce moys. On tient

    aux despens de ce pais ; et voilla pourquoy sa majesté vous en a voullu escripre comme à

    ne puissent entrer en excuse que les commoditez que jesperoys

    maladye, nestant encoures hors de dangier. Je vous asseure que lon bat vivement

    certayn de ce quil en est dens deux jours, surquoy je vous

    son conseil porte quil ne se doit tenir à lobligation dun mineur

    parse que monsieur d’Antrequasteau et de Moisac sont

    de febvrier 1573.

    qui me gardera vous fère cestecy plus longue,

    de vostre partement. Il sera quand il plairra à Nostre Seigneur.

    Laval, comme entendrés par les sienes, je vous dirai

    envoyé quelque chose, mais je ne vous envoyeray

    disant que, quant mon filz de La Roche partist de sa maison,

    très humblement les maintz. Priant Notre Seigneur vous donner,

    attandant vous commandemens, je prie Dieu,

    icy qui ne leur sera mal aisé pour estre la pluspart de la religion.

    grand-chose ormys des aprectz de la Ligue. Et en escrivant la presente,

    ce mes très humbles rescommandations à votre bonne grace.

    que nous serions dadvis, soubz votre bon plaisir,

    Priant Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa garde. Escript à St Leger,

    pied, et si le pays consent lentretenement de deux autres pour departir aux lieulx

    ce fust ung malheureux acte et vous

    parquoy je pence que vous pouvés tenir asseuré de sa

    puys si tout partyr por aller resevoyr vous

    je troverey plus propre et fère aprocher la compagnie du

    sinon lextraict dung arrest portant condempnation

    fevrier 1573.

    deulx fois la sepmaine au pallais en la chambre St Louys

    passant la rivière près du pont en un endroict où lon

    dhostillité ou guerre comme aussi ne pourroyt ou

    est merveilleusement fourte, et que le dit prince d’Aurange ha des reytres et lanssequenetz

    de la commission quil vous pleust m’adresser advant

    daussy bon ceur,

    monter sur le toict dudit bastimant et dudit toict presque

    province de Daulphiné. Je suis infiniment deplaisant pour lamour de

    mais avec une petite trouppe des gentilzhomes de ce pays, nous les

    de leurs dessayns au moings et leurs forsses, et du tout

    premier mars 1573.

    Je suis certain quilz suivront et en cela et en toutes aultres

    batallhe, vous priant très humblement, monsegneur, me volloyr

    entendre. Et aussi comment vous scavés trop mieulx que le

    conduict ledefice de ma mayson, qui arrivarent quelques jours

    Laugière y usant de la plus grande dilligence quil vous sera possible, me tenant pour asseuré

    ou à ung chasteau qui est à une lieue de là. De

    de tous temps nous desire de nostre

    en grand nombre qui toutesfoys ne font nul

    sur ledit lieu de Pignerol, quilz le tiennent pour tout asseuré à

    car y ne lesse dy fère la guerre et courre et prandre

    du gouvernement de Pignerol, layant despeché ceulx de ladite

    et qui nous ont tousjours donné maulvayse conjecture deux par le passé

    peine, ne sachant ce quil peut fère pour se rendre

    qui sestoient retirés audit Angleterre. Toutesfois,

    maison ; que comme au long vous en advertissent

    anvoyé à ungne compagnie ung nomé La Croys qu’aloyt

    proverbe que d’une buze l’on ne fera jamais ung bon esparvier. J’en

    dans ladicte ville qui e[s]t à monsieur de Laul[ ?]. Je panse qui soyt

    faisant le bruict de volloir passer en Daulphiné. Cependant ilz les

    commoditez qu’on pourroyt bien desirer ; mesme depuis

    que montoit leur paiement et n’en sceuz jamais riens scavoir que sur

    le president Bellièvre. Je vous plairra aussi d’user ung mot de recommandation pour ce dit affaire

    particulierement de leurs actions presentes pour la crainte

    la charge. Elles ne peuvent plus guières tarder à estre

    et en a esté tué bien six ou sept vingz et d’aultres

    n’y donerez pas ordre quant vous vouldrez. Et parce que je m’asseure

    de la bonne souvenance qu’avés eu de moy et de l’honneur

    Toutes fois si vostre volonté est autre et qu’il vous

    nous prendrons deliberation de nous en aller

    secours aussy seur comme Dieu est en paradis, qui est

    passant par Vauvet qui n’est qu’à troys lieues de là, vous

    que le feray d’aussi bon cœur que si c’estoit pour

    tient encores là dedens et monsieur de Montaut

    et pour mieux establir lesditz reiglementz, la cour avoit enjoinct

    comme on s’y fier. Je [barré : v] prie Dieu vous y assister

    ceste air contraire. L’on faict courir bruit depuis deux

    guerison de nos misères. Madame Bellièvre, son filz et sa fille

    me sera possible et de très bon cuer. Je n’ay sceu autrement scavoir

    le temps qu’il pretend estre icy pour y pouvoir aussi envoyer de votre

    et avant partir par l’advis dudict de Chattillon,

    l’auroit peu après envoié à Chamberi pour poursuivre en leur procès contre un certain

    J’ai trouvé icy madame d’Horches et toute sa compagnie

    Vous me ferés s’il vous plait monsieur, cest honeur que de

    ung nommé Robert que m’avoyt esté serviteur que votredit cognoist bien,

    royaulme à notre grand regret. Au surplus parce que vous ne nous

    partir disy pour Prouvanse. Il fait bien son conte de

    circonvoysins rebelles et de ce qu’ilz tandent contre nous. Monseigneur

    pour feu actandant ce qu’il vous plairra en ordonner, pour estre la

    les rebelles, ruiner ce lieu (j’entens les murailles) et chastier bien les coulpables.

    cause que je ne vous en feray autre redicte masseurant que vous y

    avoir heu que une lettre, et à ce que je puys

    Je prye à Nostre Seigneur les volloyr tenir en sa sainte garde et protection

    [barré : moings] coment ilz ont fayct toute diligence

    agreable. J’espère, mès que Dieu ne m’oste

    de quelques nouvelles qu’ilz avoyent receus

    de Pragella, il en a mandé les premières

    meubles qu’ilz ont dans icelle, et encores [barré : pour] vous dire monseigneur

    poinct de vous donner aussi advis qu’il y a quelque entreprise sur le château

    ains y amployer du tout notre pouvoyr pour la maintenir à l’obeyssance

    adverty, je feus yer matin au Montelhymar me

    à la messe sont serez aussi bien que du commencement.

    en l’obeissance du roy, chasser les ministres et vivre catholiquement,

    vous voyr bien tost en ce pays me faira faire

    Monseigneur je prie Dieu vous donner en très bonne sancté longue et

    dessenduz la mesme nuict par [barré : dessus] les murailles ^ [^ de la ville] et comme ma

    vous en dis ne sont point fables. Je ne vous en direy aultre

    auprès de vous quand il il vous plaierrat me appeler et aultrre le servyce

    ses jours passés il c’est trouvé par dedans

    que [barré : je] ce fut avec vostre contantement je quicteroys ma plasse

    partz par des paysentz qui fault qui allent au travail le jour [barré : aque] et en tient assés

    l’expedition et fin du procès desdites terres (du moings une main levée

    que je vous envoye pour avoir argent pour soldoyer huict soldatz

    Ledit sieur de Rosset m’a envoyé ce jourd’huy en ceste ville

    compaignye et [barré : la] vivre à discretion, chose que je ne veulx vous celer

    hobeissant serviteur

    Je vous ay bien volu advertir come mon frère de

    naguères tenus une journée à Lucerne par les huict cantons

    asseurés vous que cy vous n’avés loelh ouvert que vous

    esperance. Et toutesfois, le courrier qui estoit party de la cour

    le seigneur Carlo, vous suppliant humblement

    vous supplie me commander votre vouloyr pour

    jamais parlé. S’il vous plaict monsieur, de l’entendre de luy et de

    ma compagnie à Allez et que luy envoyasse douze soldatz pour

    d’Urbin avec ses subiects pour assoupir un feu

    pour voyr et pourvoyr à tout ce que je porrey. Il seroyt très

    la vollanté que j’ay au service du roy et votre en tout ce qu’il

    du conseil pour aller trouver le roy à Chanteloup

    et moyen de pensser à temps à ce que j’auray à faire, par ce que ledit sieur

    que il y mectra taux raisonnable que le soldat puysse s’entretenir pour empescher

    que la vostre comme m’advés script sera tantost

    Prouva[n]sse dequoy je suis bien marry car ie

    le XIIe de mars 1573.

    St Esprit là où j’entre dans le gouvernement

    jusque à ce qu’il eust son adiudication de decret. A quoy iceluy sieur de Mures

    de la poste. Je vous envoye la quittance de

    je vous ay bien voulu advertir.

    hereuse vie. A Lyon, ce XIIIe de mars 1573.

    une qui vient d’arriver pour aller trouver mondit sieur le

    Mazel, ce 13e mars 1573.

    assurant monseigneur que s’il heussent faict que ledict Pouzin n’eust pas cousté

    coup c’est par trop visite son ostesse. Je ne say que l’on poura

    enffonssé et enfiché dens le Rosne et aussy que le jour

    mener, nous vous prions de permetre la

    querir par ce pourteur exprès, et seroit bon que le cappitaine chanteperdrix

    qui vien du camp, vous fera entendre le surplus, attendant voz commandementz, je supplieraye

    par monsieur de Moydieu pour lentretènement de voz gens de guerre au camp

    dun coup dartillerie. Monsieur de Mandelot adjouxte que monsieur de Chavigni

    plairra me commander ; et sil vous plait de voir les

    Lhome qui nous a averti e[s]t home de credit e de nostre

    desditz enfans, cequil ma accordé, prouveu que se soit avecque votre

    monsieur de Rosset et le cappitaine Mestral firent rompre

    arquebuzes, que le tout ay faict remettre entre

    scandaliseuse.Et nayant aultre chose pour le presant,

    reduict au petit pied. Et parès vous avoyr presenté très humble

    Suysses pour le service de sa magesté.

    sepmeyne saincte au lieu que vous treuvates propre pour faire pasques,

    Votre très hummble allié et serviteur

    soit comme en autres manyée par ses commis et clercs et les acquitz dressez soubz son

    cens boeyseaux, et en recognaissance je vous

    bien ample, car ledit sieur de Roisse ne voudroit sy acheminer autrement pour

    divers commandemens que jay receus du roy

    seconder de quelques nombre dhomes pour quelques jours pour obvier

    fust fort bien pour les soustenir et receut une harquebouzade

    auiourduy à Sainct-Gervais où iay laisé madamoiselle d'Ourche ma

    une seule heure. Allant au Montelymar le jour des rameaus, je fuz à rencontrer

    vous plait descrire se treuve tous jours veritable. Au

    dicelle à toutes dilligences quil noz est possible et pource que le temps

    Monseigneur très longue et très heureuse vie. De

    vie, en suppliant le Createur vous doner

    cest pour le service de sa majesté. Cedit pourteur porte ledict du roy faict

    jamays qu'ilz ne soyent arrivéss en ce pays et quil est

    biens pour le service de sa magesté, avons

    à quoy, monseignur obvyer, sera votre bon playsir y remedier et

    scavoir de voz nouvelles. Pryant Dieu, monsieur de

    Daulphiné. Je suis aussi aseuré qu'i [sic] ferez tout debvoir pour empescher

    la pretendue rellegion.

    que verrez pour le mieulx, comme très bien le scavez faire ; de quoy vous me donnerez

    et aussi quilz tiennent la cotte fort grande, si bien que ce povre vilage

    et crains monseigneur le mareschal que ce malheureux Sommières

    plaisir, en ferions de mesme, priant le Createur

    surprinse, je vous supplie pryer messieurs les presidens men garder.

    moindre charge que vous peult arriver sur les bras. Monsegnieur, les

    Pinart

    cest couché ceste nuyct à La Vache. Je nay poinct heu encores nouvelles des

    Briansson qui sen vouloyt aler à grenoble. Je larrestey jusques

    à soyr aut près de la Bastide de Cussol, quatre anseygnes [barré : de gens] et quelque cavalerie.

    de Gordes, et prie le Createur

    quelque force sus les bras quilz ne se treuvassent bien estonnés

    que ceulx dudit Estoylle qui, à ceste occasion, ont

    recommandations, priant Dieu,

    touchan quelque chose pour ledict sieur de Leugière. Ie vous

    pouvoir de façon que jespère elle en recevra contantement.

    presenté par devant vous suivant icellui edict; et dautant quil est en ceste

    accordé leconomat dont luy avez et à moy escript pour six moys, encores

    [barré : sire avec si peu de forces que de troys compagnies quil vous a pleu me laisser] fayre rompre comme les autres. Jay au reste à toute

    Genesve, que es envyrons, dont le sieur de St Romend doit estre chef; et doyvent

    La Rochelle, le IIIe jour davril 1573

    bras, comme votre magesté pourra veoyr par une coppie de

    oppinion, lesquelz sont demeurantz en leurs maisons de penser que lon leur

    maisons adhérens à leur oppinion que lon veille rien entreprendre au contraire

    cappitaines queles ont pour agreables, attendu que le païs porte la

    desmantelés, mays à la preservation du seigneur de Vilefranche quy avoyt

    faict on encores à ceulx qui se trouvent en leurs maisons [mots barrés] dont le nombre est bien petit

    rebelles ne sen puisssent saisir et soient contrainctz mesdits subgectz

    mettre toutes pièces en oeuvre et faire de façon que vous aiez moien de

    la conservation de votre gouvernement, quil ny puisse advenir aucune chose

    saincte. De Paris, ce XXIIIe apvril 1571

    voy maintenant à mon grand regret. Vous aurez veu par mes precedentes quelle

    de Neufville

    vous playst me commander de le vous fayre entendre, je ny voy

    ne vous en feray la presente plus longue, sinon pour prier Dieu, monsieur de

    pour ung mien serviteur nommé Jehan Rivat

    pied, de la quelle, à leyde de Dieu, espère bien

    Roysses de me baylher ung cheval, il na jamès

    plaisir pour lamitié que je porte audit sieur de Bellegarde, qui de sa part

    et ordonne que vous madvertissez au plus tost du nombre desdites compaignies, quelz

    reconnoissance, je prieray mesdits sieurs et dame

    que le sieur de St Romain ma escrit. Ce pays faict tous les effors quil peult

    subiectz ^[^ et despenses quil y a soustenues] et desquelz il auroys cy devant pleu à votre magesté me donner esperance

    là, mays ce a esté pour renforcer Montbrun

    car autrement il me seroit mal aysé

    desdits rebelles qui les ont chargez et mys en routte, tellement quil [barré : y] en est demeuré

    par ma dernière et avoit esté respondu à Chastellart sur les memoires

    estant la presente faicte à autre intencion, je prie à Dieu vous avoir,

    prochaine recolte qui me faict] je vous supplie très humblement, sire, [barré : quil luy plaise]

    quil vous aict en sa garde. Escript à Fontainebleau, le XIXe jour de

    dudit La Sauve et St Nazaire, lequel St Nazaire

    impost, on ne [barré : le] scauroyt, si non en tant que la verité sen faict, tantost plus

    pouroient saysir des bateaus qui sont encor sur

    Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa sainte garde. Escript à Fontainebleau

    estimerez quil sera plus utille et propre pour le bien de mon service et auray

    court de parlement ; et pour ce que je suis aucunement meu de faire grace ausdits

    le meilleur mesnage que vous pourrez. Vous avez bien et sagement faict de

    suivant les grandes merites et valleurs augmente aussy beaucoup à ma reputation par toute

    remuer. Quant à ce que votre magesté se repose sus

    ensemble en lestat où seront reduictes les chooses lors de son arrivée par delà, ce qui

    Caterine

    moyens quil y a, qui me faict supplier très humblement votre majesté luy en toucher

    si la chose nestoit point advenue. De quoy jay estimé bien requis de vous advertir

    Caterine

    Geissans, enseigne de ma compagnie audit sieur de Montbrun et autres gentilzhommes de

    assemblées là hault, qui fut esté mal aysé à autre que à luy

    sire, et vous redire et asseurer que si ainsi est votre bon plaisir,

    instructions ; et sen est allé devers monsieur le marechal Dampville dou il

    sieur de Savoye // [marge gauche : // au quel je suplie trèshumblement votre magesté luy en escrire] pour laffection quil a au bien du [barré : votre] service de

    la charge de gens de pied au sieur d'Ourches, estant asseuré quil sen acquitera fidellement.

    Charles

    desdits estatz, qui est quilz pourvoient ordinairement aux charges et

    et tout ceulx qui sont de leur oppinion ; toutesfois, nestant si bien asseuré

    de Lestan, son lieutenanent, est depuis XV jours icy, avecques

    qu’aucuns desdits gens de guerre, ne aucuns quelz quilz soient n’entreprenent de loger

    donné ; mais davantage, ne faillist à faire restituer tout ce que par luy ou les

    envoyer la coppie dudict eedict affin que vous puissiez communicquer à ceulx à qui il

    Escript à Gaillon, le XVIIIe jour de juillet 1573 .s.

    aux chanoines dudit chappitre à ce quilz ayent à lexcuser et dispenser de

    advisé vous envoier, comme je fais presentement, ledict et lettres de commission necessaires

    nouvelle oppinion quilz reçoipvent les conditions portées

    avant que de vous renvoyer ledit sieur de Virieu, souhaitant grandement quelle

    il auront prise sur icelle avant qu’on vous renvoye ledict

    date de réponse : non

    de moy et de [barré : luy] ung conseillier de votre court ; car, à la verité, syre,

    permetre ausdits de la [barré : relligion] novele oppinion depputer [barré : vers vous]

    comme envers les miens, et en cas quilz en voullussent user autrement, et pareillement

    faire entandre sa volunté et bon plaisir

    Montauban où il se faict une generalle assemblée de tous ceulx de leur

    henry

    Caterine

    moyen dicellui un repoz très asseuré par tout mon royaume œuvre

    de la dilligence possible et de croire que vous luy ferez un service très agreable

    De neufville

    pretendue religion destre assurez de leurs vyes et de lobservation de mon

    mescrivirent et prièrent de la prolonger jusques à la fin

    dhommes darmes qui sont près de vous, à quoy je nadjousteray

    que j’en recepvrey ; pryant Dieu, monsieur de Gordes, quil vous

    peu aygrir ni alterer et tant sen fault que jey creinte, syre,

    que personne singère dy remedier, comme si tout estoict habandonné et

    reffus que font [barré : les] les susdits de la novele oppinion dy obeyr et

    ou que la negligence soit telle que personne singère d’y remedier, comme si

    monsieur de Gordes, ce que plus desirez. De Paris, ce VIIe septembre 1573.

    pas les obtenir, mays que ce quilz en fait ce nest

    ont en pareille devotion que luy, asseuré que vous ferez chose qui me sera

    en sa saincte garde. Escript à Paris, le XXIIe jours de septembre 1573

    lettres, jay entendu comme votre deliberation sur ce fait estoit rompue au moien de la tresve

    Henry

    aussi, monsieur, de faire dilligenter largent de Thoulouse

    meins de monsieur maître Sebastien Lyonne

    doit estre en singulière recommandation, craignans en icelluy negliger quelque chose,

    audit peys et admiral de Levant qui est de present

    à quoy masseurant vous satisferez ; je prieray Dieu vous

    apparoyr et que audit Dye y a peu de personnes #[# habitantz dudit lieu apprové] desquelles

    licenciement à icelluy sieur de Mandelot puys quil se doyvent aprocher dudit

    de Caylus et president Truchon pour conferer avec noz depputez de toutes choses

    heritier de feue damoyselle Françoyse de Culain

    ses armes et dict quil les prendist, sur quoy a respondu quil

    protection de sadite magesté.

    Chabeul : IIIIm p. III p. v. – fourny : IIIm pains

    Du XXVie près La Voulte, sen allant au Pouzin.

    nous reposons entièrement. Monsieur de St Ravy partira demain matin avec les

    accueil et traictement que les gentilz hommes et autres mes subiectz de sa

    chef, ce que jay refuzé, ne desyrant pour lors que de vivre

    faulte, à peine que vous serés visités par

    dans huict jours, à peyne de nous y

    ransonner à cinquante escus au solheilh ; et oultre cella, prindrent

    Garene aen voié en diligence querir de la poudre et

    comme bien estes adverti, que semble si la

    dudit sieur Du Pègue de ce faire auroyt dict et remonstré à Mathieu

    de bonne mayson les ayant constitués prisoniers les relaxa et

    troubller le repoz public et continuer leurs courses et pilleries

    scatisfaire à ce que [barré : demandez] vous demandez pour lentretien de vous

    a dict clerement à leur baylo que par la

    toutes choses pour le regard de Florensac jusques à ce qu’ait esté debatu

    le moys qui vient et pasera par ce pays.

    mal. Je continueray à vous tenir adverty de tout ce que surviendra.

    Fises

    comme se comportent ceulx de ma noblesse :

    Montbrun

    la somme de quarante deux livres en qualité daisée.

    passer la rivière à Sainct Crespin et tienent

    vous prier bien affectueusement nous obliger encores de ce plaisir icy, d’employer

    Plus XXC morte payes au chasteau

    le seigneur Don Jehan d’Austria d’un costé, et monsieur

    et bien peu de gens et moings compagnie en ce quartier.

    murailhe et flanquera et deffendra lesdits bastions pource que le

    Quant que je les bailhe je naurey bien [barré : et] la-

    avec luy et douze galères pour son arrière garde ; et les aultres

    gallères d’Espagne, vingt deux gallères qui marchent avec luy et douze gallères

    très humblement comme je puis me volloyr fère rendre

    lettre me recommendant bien humblement à votre bonne grace, priant le Createur

    ce faict en main pour en faire poursuytte allencontre de luy, comme se cela

    qu’on ne faict aucunes informations des delictz des catholicques et que les poursuites

    faire si ce pourteur en a de besoing, et

    Fois qui est allé en Engletere. Voila, monsieur, tout ce que je vous

    votre bien humble amy et

    six mois dans peu de jours, je ne les lairray en patience jusques à ce quilz

    que obtiendriés du roy en votre faveur, il y aura moyen

    votre à vous faire très humble

    suplie le Createur quil vous doint

    Votre bien umble amy et serviteur

    des vivres, je vous en voye ung double de celluy que je leur ay bailhé,

    quoy quil en soiyt, je lay chargé vous envoyer incontinent

    nay poinnt (sic) veu la (sic) cappitaine Cazette à son retour

    Vray est que ce ne sera sans finance, pource que tout tourne au prouffit de la royne.

    quy nous sonnt balglés par eydes, on leur

    plus grand domage. Priant Dieu

    me gardera vous en faire aultre discours. Nous atendons

    il semble quil heust heu parcy debvant sesdites lettres, la

    Vostre très humble et très hobeissante fille

    monseigneur, vous donner en très bonne santé très longue et heureuse

    vous escript. Dieu soit loué que vous et mon nepveu

    faict tenir lauttour que mandiés à madame de Gordes.

    la lougée en sa maison. Vous aurés par ceste

    lettres de votre frère Evènes pour maintenent. Il est parti ce

    y fera issi bonne justice. Monsieur de Mandelot estoit

    vous suppliant en cella, monseigneur, commettre commissaire et contreroolleur pour faire

    Sainct Goart feust venu le rencontrer à Ambrun

    chez eulx, m’allegantz que je voyois plus souvent madame de Gordes que je ne faisois eulx,

    chose digne de ce costé de vous estre escripte, fors que

    tout auprès d’Albigny, tellement que je ne devrey

    monsieur d’Ourches. Messieurs de La Coste et d’Evènes

    partira dans deux ou trois jours pour la court et

    Montellimar, il y sera pourveu de telle facon quil ne se commectra aulcung

    Froument vous aura adverty) que nous a esté retenu par monsieur

    et favorablement sans s’arrester à aucune difficulté

    monsieur, en parfaicte santé, heureuse, contente et longue vie.

    du prest que vous avez ordonné de semblable somme voire plus grande, ne sachant

    son pasage ; sepandant, il a prie des fregates bien armées, lesquelles vont de conserve

    aussi pour mesler avec du froment pour

    Desirera jamays que d’obbeyr à votre volunté et de telle

    que je nallay point jusques audit Gênes,

    laquelle je savès en estre, je me voys cy infortuné que cella

    le roy qui deyia estoueyct aconnpagnié des princes de Navarre

    recommandé de votre part. Lon ne parle que du triumphe

    ceste ville, et partant je continuerey monseigneur sil vous plaict vous

    de plus grandes pertes, tellement quil nest

    aultres sergentz le semblable. Pource mesmes que les aulcungz

    sa grace conduyra le tout sil luy plaict. On ne parle en ce pays que

    quoy attendant, ie vous supplie très humblement me tenir

    quil a de les traicter doulcement quilz, ou la pluspart nayent abandonné leurs maisons

    qui trepassa hier, vous asseurant que leur

    pour vous rendre conte plus particullièrement vous asseurent quil

    Monsieur, hureuse santé, très bonne vie et longue et à moy

    donner très longue et hereuse vie. De Pierrelatte,

    tenu à vous,

    pour ung boys que jay là, quon me depopule.

    esté envoiées sur les frontières d’Espagne, que sera cause, sens

    que environ le XVe de ce moys et ne masseure destre à Grenoble

    que je vous supplie me tenir du nombre de voz

    quil vous plet avoyr à landroy de monsieur de

    tous les consulz desdits lieux pour adviser tous les moyens

    fins, se y transporter avec monsieur le juge

    ou quatre charges. Il peult valloir quinze francz.

    cherchoyent par leurs escriptz une nimphe nereyade que Neptune avoys perdu

    fus avant Pasques pour voyr le donaige [sic] que vous

    ne scay pas en quant de jours nous porrons

    avent que ma compaignie soyt sortye voyr par le quartier, cy quelqun

    quil vous donne en toute prosperité, très longue

    vous faire service, je me employeray de aussi bone volunt

    celle-ci si commode à vous scripre, ne ay voulleu faillir vous advertir des

    [barré : m] voz affaires par deça ma dict que nen aviés aucunes

    tant à laller quau retour, jay treuvé que toutes choses

    le voyr, vous aurez moyen de le voyr plus près de chez

    de Grenoble et de Bellyevre vous aurés antandu les masques qui

    en vousdits prez, aussi en lesgluse de votre molin ;

    ung de vous plus antiens serviteurs et affectionné à faire service

    le vingt et sixiesme du passé et ne ly parle que

    et qu’à ceste occasion, je puisse acourcir mon voiage de France, duquel

    de mondit seigneur, à ceste cause, je nay voullu faillir, soudein estre desembarqué,

    tot paier et le peys dechargé de

    supplions vous vouloir longuement continuer

    si je prens quatre ou cinq jours pour aller jusques à Lyon fère

    je vous puis escripre. Je fus dernièrement à Gargas pour

    pour memploier en ce que vous touchera. Et sur ce, je

    que ce temps de vendenges est plus commode à ceulx qui vouldroient

    novelles autres que celles que vous pourrés entendre par

    nous finerons par noz très humbles recommandations à votre bonne

    aux Coustes. Quant aux thoneaulx de Lambin et

    V myle et IIII sans lyvres. Je panse acheté, sy blet à Dyeu,

    lez souldartz que votre exellance mavoit commandé au Montellimard

    qu’adviseront messieurs de Sainct Savin, de Cabanes

    humble fidelité et servitude pour agreable, comme

    Monsegneur, en parfaicte santé, très heureuse et

    povés asseurer, monsieur, que je continurè allanciene

    quil ne le failhe tirer ceste nuict mesmes

    qui ne vault guières de la cour. Jentens sur ce mot de discorde

    ne perde la volunté de y retourner quant il vous plairra

    ce quil ara entendeu dez gentz de monseigneur

    ne cultiver ne les terrres ne les vignes pour le temps de guerre

    vous donner

    lentretenir pour encores, attendant la responce quil en aura

    lentretenir pour encores, attendant la responce quil en aura

    defaicte dudit Sarra que partye de larmée des Turcs

    vous done en toute properité très longue

    voulu faillir vous fère entendre par cettecy les propos quil me

    dudit sieur de Montfort, bien croy-je que darriver, il vouldra

    choses estant dignes de vous, me recommandant en cest

    aussy bien là qu’alhieurs. Monsieur d’Ambrun ma script

    pour fin de ma lettre, apprès m’estre bien humblement

    Monsieur, en parfaicte santé, très heureuse et longue vie. De Gargas, ce XVe ceptembre

    dit voiage bien estrange et le remet souvent

    Jay veu par la lettre que vous a escrite monsieur de Lessein, le voyage

    de maître Jehan Guilhen comanse ce jordui

    lespargner. Je vous en heusse mandé, mais je crains

    a faict en Avignon [barré : est] a esté pour attandre quelque atgent

    céant madame de Sassenage. Je receu harsoir une

    vuyder hors dudit pays, sacheant que telle est votre

    Dieu pour voustre grandeur et prosperité et de toute voustre

    nous dict que Laval sestoyt embarqué pour aller

    Chambery ou au près si lors ne l’avés encores veu et

    je vous advertirey de ce quilz auront faict. Il

    mal recuilhy et mesmes en grains. Et touteffoys lavarice

    avoyt entreprins ung voyaige oultre sa vollonté et que

    que vous monseigneur, luy eust dict pour le restreindre

    et il a environ quatre jour quelle me en a faict aultant, tellement

    que je vous envoye exprès. Au regard de mon filz de Pomet, Dieu

    Bressieu mon père. Monsieur, je ne veulx oblyer

    ne vous aye jamays faict service ; mays si jamays

    que ce matin monsieur de La Frette mest venu veoir si doulant

    monseigneur, me permectre de prandre dans le pacquet ma commission

    letre sur laquelle jattendoys response de votre volunté.

    Ie suis bien marrie que ie ne les vous fis tenir ; quand

    d’Anbel at passé deux jours sens fiebvre, quest

    votre lettre, accorda au sergent qui conduysoit ladite trouppe, huict

    lavons prins à quinze et sèze pour cent. Jay escript à monsieur le prieur

    quartyer de veau et une portrine, qui me sanble estre fort

    priant le Createur vous doner en perfette santé

    style et trouve la lettrine bien forte, eu esgard que dun

    entens quelque chose de nouveau, je ladjouxteray à la presente.

    appeler vous segondz filz a seulement au cas que laisné venu à deceder

    a VIIII di genaro LXXIIII

    vous priant bien fort en faire le semblable et de regarder

    treves, jay peur quilz ne nous contraignent à nous

    pouvre pays come vous plaira antandre par ledit

    de janvier 1574

    ne peulvent aprehender les hommes, icelles lyent et attachent

    vous escrire à la suffizance dudit sieur Durozier, je prie

    suspention et se compouter sellon son contenu ; auquel cas,

    parquoy gardés de luy faire, ni souffrir luy estre faict

    pas en si beau chemin et redoubler vos prières

    le traictement qui sera faict audit marchant, pour

    se peult entendre que ce soyt aultre ville que Grenoble. Despuis, en aultre lieu

    et Sezanne, à lendroict de ceste petite montaigne et boix où il y a maulvaiz

    officiers qui pretendent avoir privillège dexemption des tailles ; le faict des evocations et

    des Italiens, contenant comme monsieur le gouverneur de Grenoble

    sur les bras, ouy [sic] bien pour sacheminer une paix qui estoyt la presence

    suis bien merry que je ne pourrès

    Jay parlé à voz officiers et, à mon retour, qui sera dymenche,

    et que nestois enquores resolu de parler au frère et père

    celuy d’Auxerre, grand aumosnier. Jespère que monsieur

    de cheval font en Daulphiné, mais ie ny puis faire autrement

    suspension ont saisi leur eglise et comment ilz la fortiffient

    pour vous faire eonnoiste de quelle façon je y ay proceddé et

    Laborel

    voir à monsieur le dataire, layant ainsi vollu ledit seigneur cardinal, ce que nous

    ceux de la ville ayent faict la garde avec le peu

    les charretiers furent contemps. Au demeurant, monsieur, le

    dire pour advis et parce que cela a retardé ce gentilhomme

    chamsaul a mené à Mollines aussy ont

    Charles de simienne

    Marguerite de simienne

    que vous y puyssiez venir faire residance, on ne se hactera rien

    parti ou an chemin , je vous prie faire adreser mon

    et les princes qui sont allez en Poullongne, tous les autres y sont. Le roy veille

    se change, lon ne se [barré : peult] pourra de fère des greins que sont

    quel tractement ilz font fayre à notre bien, tant à

    comprins au nombre des presidens et conseilliers quil menace que s’il m’en

    ledit pays y a tousiours interestz en ce que ceulx des bonnes bourgades

    Je laisse la depeche à messieurs du pays ouverte afin que vous

    pays dont je leur compteray les roolles des monstres de deux mois

    pays, ou pour donner moyen à son lieutenant general de sasir de lafaire et de

    despuys communiqué votredit affère à monsieur Montellon,

    parce quilz offrent huict ou dix livres de ce qu’a cousté de faire deux ou III m L.ts. Toutesfois, sest

    contre moy et ne veullent obeir, et masseurant

    chose digne de vous escripre, je fineray par presenter

    petit mout pour les fère parachever, car ladite reparation est

    de la chose donnée do[n]t besoing seroict quil en apparut par les

    madamoiselle d’Abbeau avec laquelle jay discouru sur le faict duquel

    vous supplie très humblement luy faire trouver bon quil

    monsieur, en faire estat comme de votres. Nous ferons de la

    vibaly est ung peu tymide et necessiteux. Dieu veulle quon luy ayé donné la tourture pour

    et vous mobligerés beaulcoup

    madamoiselle d’Abbeau avec laquelle jay discouru sur le faict duquel

    Geysans

    de se retirer et où il y auray je vous

    auquel jay aussi escript et faict tenir une copie de la

    que de mon discours, et vous diray seulement ce mot

    et vouldroys estre sy heureux de vous pouvoyr

    faire par des gens du pays. Lon ma dict au jourduy que Montjelz estoit avecques

    monsieur, nous prieront le Createur vous donner en santé

    les gens de Toulignan cens allarent parlementer en nonbre

    les huguenaux comme verrés par les informations

    mest veneu voir. Son mary sen retourna son chemin

    reprendre ces mauvaises toisées. Et si tant estoit quil y en eust encores dulcerés qui fussent compousées dune si

    pour avoyr la tresve avec les huguenotz. Jattens ce jourdhuy icy le sieur Du Pelous à ce quil mat mandé,

    Votre à jamays obeyssant

    cesdits estatz faire toutes remontrances pour luy, tant en general que en particulier,

    supplieray le Createur,

    cour ou des comptes et deux des citoyens marchandz, ainsi

    responsables et habitans de ladite ville, en ensuyvant

    prie Dieu vous donner

    et balliage de Graisivodan, par les causes resultantz

    va au Crest pour entendre du seigneur de Mirebel ce quil

    viste, qui alloyt à Pontaux et ne voullust

    de Tancy mon nepveu ayant espouzé eugne de mes niepces de

    partir, jen donnay mesme charge aux consulz dudit

    vous, monsegneur, quelle ne soyt poinct abattue,

    grace, suplient Dieu vous donner longue vye. De Tournon, ce IIIe

    requis de les accompagner de quelque nombre darquebuziers, mays

    dit seigneur de Carces vint si à propos à monsieur de Momperon quilz eurent moyen de ce retirer en lieu fermé. Il ma

    representer aultre règle demain, non obstant les conclusions de

    ne voulant sur ce poinct obmectre de vous dire, monsegneur que sans

    devez faire bonne lettre de remerciement qui soit en françois, attendu que le

    monseigneur, vous donner en santé hereuze et longue vye. Du Montelimard,

    marée nous ha manquée. Ma femme eust yert ung accès de fiebvre bien fascheus

    aveq le bien de la patrie que non cent francz quon me voudroit donner pour la susdite

    On assure aussi que à la fin

    icy, comme vous aura fait entendre monsieur de Chastellart

    tout, mesme que nestant que bien peu ouvertz, ilz se pouvoyent

    qui merite vous advertir, je prie Dieu

    tous les jours, car tous les soldatz qui sont estés

    à cause que les habitans dicelle ne les ont

    luy mandasmes deux de la ville avec procuration pour lun

    dure, cela importeroict grandement au bien de ceste

    bien, dun gentilhomme de leurs pour gouverneur dudit chasteau ; et si sont resolus

    le randent à lanemy, oultre la volonté du cappitaine,

    le mesme chemin et ne scavons quelles gens sont. Nous faysons bonne

    si nest pour prier Dieu

    ferey tenir au plustoust que ledit sieur de Granieu

    faict faire en teste des valez de Benby et Engrongne à leur frontière

    en confiance quil vous en aura informé plus

    six ou sept cens, conduitz par Ferrier et le

    estat, comme ainsi il le ma faict entendre et quil vous en a escript.

    troubles, nous asseurent assés en la responce que ferés

    sur lequel me remettant, je prie Dieu vous donner

    le lieu et ceulx qui ont commis les faultes, puys que vous ny voulés

    monseigneur, vous donner en parfaicte sainté heureuse et longue

    une tour que y est encores, laquelle est facille de

    endroict, je supplie le Createur, après mes humbles

    quil ne me larroit point pour ung aultre, mays que je ne seroys pas marry quil allat prandre lenseigne du cappitaine La

    De menon

    le lict pour cestre ung peu morfoundu, [barré : mons] la royne sa

    entendre comme le tout a bien succedé par bonne fortune et lentreprinse

    aussy pour votre service et pour les vostres tout ce qui me sera possible

    Neufve sont venus treuver Pierre Chaurain

    leur eglise comme vous escripvis dernierement,

    peuple, fors que de meurtres ilz nont rien oublié et à nuict

    Cependant, ledit sieur de St Romain escrit de rechef à monsieur de Lhospital pour le faire

    le Createur,

    venu à bout, dont ie vous suis perpetuellement obligée ;

    tenoit soubz le vocable Sainct Jaques, que fauldroit aussi provoir

    et vous supplie croyre quil nen feit jamais consentent,

    Devoyr et à sa vertu et à tout ce qui vous atouche.

    Votre très humble et très obeissant serviteur

    doulceur, il fault les fère sages par forces. Dieu veuilhe

    heures après minuit, il sortit du château faignant allé en

    roy. Je nay poinct sceu des novelles de madicte dame despuys

    Monseigneur, je vous mercye des nouvelles quil vous a

    mes gens passent par là veirent les eschafaulx

    susiourt quil ha faict à la court reformeroit son bizarre et incivil estille, mays je voys bien que cest une

    à la porte dudit Chantejol comme il saisiroit ladite porte, mais il se trouvarent

    Il se veult excuser quil ne pouvoit contenir ses soldars,

    très humblement croisre que je ne ay rien tant en recommandation

    se sont gectez dans ce balliage d’Ambrunnois, continuant tous

    estoient arrivées à Ambrun, je panseroys bien avec

    prisonier sans quon fasse estat ainsi que jay entendu

    lettre du chevalier de Caumontz. Il me semble, monsieur, quant vous

    fayt quelqune. La miene dernière feut avec une de

    à toute paouvreté et necessité par le moyen des

    quelle pretend que cella sera sa guerison, et vous remercie

    monsieur, vous donner en santé, longue et heureuse vye. De Grenoble, ce

    quelque diligence que j’aye sceu faire, ne m’a esté possible le

    desdits defailhans comme ils soloyent faire avant quil y

    dordoner qu’elles seront mises es mains du

    dordoner qu’elles seront mises es mains du

    tient à Bade où je ne faulliray pas den estre

    de madite damoiselle votre fille. Ladite damoyselle [barré : c]est

    des arbres quy estime autour une harquebusade près ; où sera lendroit qapprès [sic] mes très

    pasation dune tranzation que nous havons paser an esequtant

    de quoy je vous supplie me fère entendre votre

    Votre très humble et hobeyssant

    et vous puys presques asseurer que sa meschanceté ne reussira que à mal

    et moy lavons augmenté de cinq soldatz davantaige, quest

    escrit lestat de ses affaires, actendant davoir arrest, duquel aussi

    aussi vous puvés prometre de moy come de vostre affectioné

    moys de juillet quil en aura eu et enfin despuis le premier de

    Votre très humble et très obeissant filz

    Mon frère Laurens salue voz bonnes graces de ses très humbles

    moy, desquelz je me sens la conscience bien

    monsieur, quil vous doint la sienne et en parfaicte santé longue

    vous faire la presente à vous supplier affectueusement leur permettre

    raison et nom point quilz la facent deux mesmes. Laisant

    car, à quoy que le sieur de Monbrun vous aye escript

    monsieur, quil vous doint la sienne et en parfaicte santé longue

    faudra advertir le dit Moisi. Le tresorier des

    desire de tout mon cœur antandre quil soit

    entre cy et là demeurer [barré : enco] bien que iaye faict partir mes coffres

    pars ; et ont envoyé par tous nous villages des

    dans le château ; vous assurant, monseigneur, quil seroit aultant

    Je nay encoures peu apprendre par quelz moyens ilz ce sont gettés dans ladite isle, aussi ne vouldroys je donner

    logez à Arvieu, veneutz en ceste ville pour pourter les

    vous escripre pour vous y pouvoyr

    le plus que lon peult, mais n’estant les bleds

    suscide duquel ilz pourroyent faire grand force contre sa magesté et ce

    Je vous supplieray humblement au premier depeche que

    monstrés refroydis, quelques commandemens que lon leur ayt faictz. Et pour

    vin, douze quinctz troys vingtz livres chers et

    hoze si apertenan declaré ; et puys qui vous plet savoyr

    [recep]voyr quelques hungz d’Angrongne

    et mardy matin sursoyr la tenue de laudience,

    plarroyt me donner aultant de moyen pour les offancer que jen

    Ledit sieur de St André et moy avons advisé, sil vous plaict ainsi, que en

    comme vous vous gouvernerez en Daulphiné pour le regard de la surceance

    menvoyer ledit saufconduict et commander quon laisse le nom

    une fièvre continue iusques au iour

    enseigne, que faict le nombre de cinquante deulx. Monsieur du

    comodités quil y a. Jen ay dit mon advis à monsieur

    demain. Monsieur de Villeroy luy en a dict de mesme

    souvenir, et la royne sa mère, de la plaincte que ie luy en allis

    saysis de leglise, lavoyr pertusé à plus de vingt ou trente

    bien besoing de forces, actendu les menasses et grandz preparatifz quilz

    trouver quelquun des miens pour traicter de cest estat, comme j'envoyeray

    incontinent ung nommé La Forestz et trente autres de ladite compagnie les vindrent

    nous veulle donner à la gloire et grandeur de notre roy et

    que chacung fera son devoyr, excepté que si

    ce que facillement elle peult faire. Toutesfois, cela despend

    laquelle avons supporté puis environ une année pour ne estre en poine telle

    Votre bien humble et affectionné

    escrit, laquelle je n’ay voulu faillir accompaigner de la presente à laquelle je mettray

    pour la garde des chasteaux de La Mure seux qui ont

    Fleury qui fut prisonnier le jour que Maubec et

    pour limportance que je cognois estre dudit lieu,

    dict à Manas. Je vous fusse allé très humblemant beizer

    luy ferions, de faire remonté sa compagnye pour nous en servir en ce

    Villeneufve vous en doibt entrorer [entretenir ?] par ses lettres. Je ne meslognerey

    passée avant que les vicontes et le sieur de Serignac en aient eu nouvelles

    vous donner, monsieur, bone vye. De Tournon ce XVe

    ammerroyt lincommodité qui sen ensuivroyent aus lieus circonvoysins seroit imtollerable. Jay, avec la votre deuxième

    eurresse vye. De Chateauneuf du Mazant, ce XVI de

    avoir envoyé troys pacquetz quil

    d’Amauze me mandarent le filz de monsieur du

    vous serés adverty, me recommandant humblement à votre bonne

    et an apretz ilz hont panser prandre le sire

    plairra nous commander. En cest endroict, nous

    Nous donrrons ordre de faire obeyr à ses consulz pour

    cher moytié beuz et moytié mouton treze

    de monsieur le compte de Beynes, avoyent commandement de vouez soy

    perte, laquelle a esté depuis une année de [barré : s] vint

    avant ses comunes, mesmes à ceste heure en ce lieu

    à leurs desseigns [sic] par interim. Je me servyrey des

    le 16e febvrier doibt entrer au lieu de Freysenière

    ilz estoyent toutz assemblés à Corp, une aultre foys à St Bonet.

    fins, je saluerey vos bonnes graces de mes très humbles

    retraicte leurs est grandement incommode, daultant que certain nombre de cavallerye les desferoit. Je salue voz

    saiche leur resolution. Je supplie le Createur vous donner,

    Je ne faiz faulte de laller veoir tous les jours et luy offrir tout

    nous y avons esté quelques ungz avec moy, le desordre qui a esté faict

    mondit seigneur le marechal. Le château de Montferrand est tousiours tenu par celuy qui la

    asseuré les avoyr veu et de plus près quil ne volloit. Tout ce que nous craignons en ces quartiers, cest quà

    Monseigneur, a bien que monsieur Froment ou Barjot ayent

    mandé doze, choysis sur les deux compagnies. Sil faict

    de monsieur de Limoges. Jay plusovent parlé à leur

    avons heu le plus beau tamps quil e[s]t possible. Il e[s]t vray que an

    Vienne luy avoit bien dit quil avoit heu advis que

    au preiudice de ladite promesse, contracté avec la fille du seigneur

    ma maladie de seigiourner en ceste quatre jours. Je

    asr hoté les Suysses quetoyt logé sus ma chambre et monsieur

    que sans prejudice de la paix, il se fault defendre et voy

    pacquet, et tachent en toute fasson de nous fermer

    nous y pourrons treuver, lesquelz se tiendront prest au premier

    vous tenir,

    de la poudre du magasin. Il y en a encore asés,

    monseigneur, vous donner en très bonne santé, longue et très heureuse

    compagnies dordonnance, les mandements nen sont encor icy arrivez [barré : que] vous

    mareschal Dampville, mais bien ya quelzques

    Saulsac ce quil avoit à me dire pour le païs de Velay ; et selon cela, j’escriptz au sieur de

    aura grand mal pour les fère tenir sur leurs gardes et

    que pour craincte de nous dispenser sans votre ordonnance. Vray que

    comandements de leurs magestés pour aussi tost

    aux consulz de ce lieu pour me surprendre soubz colleur de belles promesses

    sans vous en advertir premierement et conserver en cela

    une alarme, mès je luyabregeay que cela nestoyt de mon

    Votre très humble et très houbeissant

    Loys Raimond, lung des consulz, lautre est de monsieur le prieur de St

    ce XXe fevrier 1574.

    soyt vray, il ly a heu durant troys ou quatre soyrs de

    du maguesin de ceste ville. Jey offert les lictz de canp à ma

    nestoyt presques departi dauprès de vous que, par les

    desquelz est à Mens et laultre est de Saluces. Je leur faictz

    leur porter vous lettres et se tenir asseurés deus de leur volunté et de

    venent de ses coutés le confirme, mès lon saict comme

    à votre bonne grace, suplient Dieu vous donner, monsieur,

    marquis de La Chambre et aultres pour scavoyr leur bonne volunté

    bien humblement, monsieur, les voulloir

    quelque bougne pais, ou bien de tout à la guère. Pour

    le president de Portes vous escript, ensemble celle de

    avec de leurs soldartz y sont allés

    voirement mal aprins docteur ne respondit rien, mais deux iours après qui [barré : v]

    et ung aultre quelle ne sè le non et dict ladite

    de Madellot ; tellement que le postilhon cest treuvé

    chemyn de Chabeulh à Crest et de Crest

    à ce que je voye quel parti prendront ceus qui ont accompagné le roy

    et qui ne font la garde que par force et aussi que les villages

    beaupère dun // [// païsant] de ceste ville ; lequel mesagier jé bien

    de Mombrun avoyt passé par le pont de Bairet, venent en çà

    vollu fournir dhomme et sil vous plet les en escriprés ung

    soyons plus en peyne à present que navons estés ces derniers

    ceroit advisé par V. S. et ce a esté la cause principale

    je sommes en nos gardes et ferey tout mon debvoir, estant

    et oultre que vous obligerez ledit Sauvin, vous me ferez à moy ung

    et ne les constraindre que de tout le besoing ny soit. Cepandant, ilz

    notre misère[barré : té] et desolation que nous est mandé

    monsieur, très bone et longue vie. D’Apt, ce 26 fevrier

    porter de par deçà, ainsy quil me la faict entandre. Ledit sieur de Beloy

    pour le prandre, pour le moingz sasseurent de

    quest le consul, comme les dyctz enemys ont delyberé

    consulz an vouloeir feire achater à seus qui aront le moeyen, masurant

    marché. Vous pouvez croire asseurement que ce na poinct

    en entendés rien à Lyon

    affectionatissimo servitor

    la ragion chonporta chomo fanno per che nommi [voleno]

    audit païs dont a charge le seigneur Julien Centurion

    mes estudes, quoy attandant, je prieray le Créateur

    qu’il luy pourroit faire. Le jourd’huy, j’ay prins une chambre

    de Montmorancy estoit party pour aller faire son voiage

    en doit estre et si ie an suis prouveu, il m’y faudra

    que sa majesté a du cousté des Pays Bas pour

    fère se pourra. Monsieur de Saint-André m’escrit qu’il veoyt qu’il

    Ce XXe de juin

    de luy ; aussi tost que le capitaine Spily fut arrivé, ie parlès

    que ledit procès feut évoqué du parlement de Daulphiné

    mal de dentz qui m’a faict garder le lict troys iours entiers, je leur eusse faict

    par tous moiens estant en ceste ville, d’appoincter monsieur

    Sadite majesté fut lundy à l’hostel de ville, honorer de sa présence les prévost des marchans

    duc d’Albe. Il endura quelque assault et en après rendit la ville par une composition fort belle

    que de grandz affaires vous tumberont sur le bras si

    légitimes excuses lesdites balles luy soient restituées ; à quoy je

    nouvelles, se n’est faute de suget, mais, ne voiant

    desfaict quelques marchans pourtuguoys qui avoyent dans leurs navires afforces marchandise et

    et qui ne peult réparer les faultes

    guardes des princes, tant en France que ailleurs et mesme ne

    d’avoir un parier en ce lieu de Laval surtout à la maison,

    nouvelles de Flandres qui vous ont esté escrittes ou à autres de

    à Tholose par quelques jours en habit deguisé practiquant

    bouger pour encor n’y d’une part, n’y d’autre.

    l’autre sepmaine feust faicte grande

    ayant veu la responce de monseigneur le cardinal

    je luy respondis que ouy, alhors ledit Guillaume Brunat avec

    Monseigneur, que vous prie nous y faire faire fournir

    je désire de vous obéir et ne ferey jamais chose

    moy] et sy né aumoins ie crains fort quà

    je me recommande humblement, à votre bonne

    dans le jardrin des Tuylleryes, seule avec monsieur lamiral. Ce pourmenoyr dura deus grosses heures.

    Votre bien humble allié et afesioné

    elle faict. Si nous perseverons en paix, il y a grand

    de faire ung voyage à la court, je suis contraincte en fin de le faire pour ne

    comme tout cest passé, lesquelz ont esté davys

    Les gallères du duc de Savoye sont à Gênes ;

    de guerre et que la cavalerie [barré : qui est à] de Naples y doibt

    violence darmes, accompaigné de plusieurs entre lesquelz, ainsi quon

    preparatif qui se font en Piedmont sont pour donner et courir sur le

    donner

    de deçà, vous me treuverés tousiours à votre bonne grâce

    pour la Saincte Ligue, ou sil les vouldra dresser ailleurs. Au

    feut passé par Lyon sanz que personne leut veu, vous seriés

    à Palezeau. Sa trouppe est de deux mil chevaulx, comme l’on dict, et sera receu

    et fère son debvoir, à coy je vous suplye très humblement

    Votre plus affectionné à vous faire service.

    craincte de guerre. Nous avons nouvelles que en la

    monsieur de Joyeuse en est de mesmes. Vray que il a

    celles que vous et monsieur d’Evènes luy avés escriptes

    dites magestés trouvèrent fort bon de la fasson que je leurs parleys comme plus amplement

    Naples où il avoit esté envoyé par monsieur le

    en son mesnage. De là, nous en alons droict à St Gervays d’où madite filhe d’Ourche partira dans quelques

    senchemynerat et atendant que quel que

    quil ny a pas une femme de bien en Angletterre.

    en mande par le menu, en attandant lhissue de ceste

    fayct une promenade autour de ce lieu, attandant le

    trouppe de soldatz, pour lesquelz entretenir, vous a pleu

    je vous puisse faire, me commandant, vous trouverez

    à celle fin que nous puissions donner ordre de fornir

    escrit audit seigneur des Adretz, laquelle je luy envoye à présent par ung pacquet à part,

    Espagne soubz couleur de voulloir aller en Argiers.

    de La Tour du Pin, ce XIe juilhet 1572.

    que je scey qu’il n’y at poing de vin ou bien peu. Je vous supplirez

    notre gouverneur en Avignon et jusques à Caderousse

    demain à ceulx de Vaulnaneys où je vays faire ma visite,

    dont je ne vous feray icy reditte. Je viens de recevoir présentement des novelles qu’a eues

    mais que je ne soys occupé à aller à la rédition des

    poste au Montillimar touchant l’affaire de Cabanes.

    que y sont adressés, sans qu’ilz se

    mer ; que monsieur d’Ax ha heu crédit de sortir de

    compagnie, dont je loue Dieu que tous estiés en bonne santé. Nous

    Coste. Nous sommes encores attandantz

    et ceulx de Vivarois se vont joindre avec heulx.

    douze jours qui est party de la court

    seullement de penser à la France qui est cause que beaucoup de couriers

    chevaliers de Rodes, qui estoient à la chesne et a permis audit seigneur d’Acx rachepter trente chevaliers de Malte,

    le juge tache par tous moyens le faire relayer, pource

    j’ay estimé qu’estant notre compaignie si bien remplie, il n’y

    du XXIIIe, par laquelle ie vous envoyais leur cation

    prendre une certaine beste qui a mangé et deffaict beaucoup de gens. La reyne

    et obéissant

    chose qui mect en admiration les peuples de deça et me

    quil est en bien grande necessité. Voz aulmosnes et charité seroient bien emploiées

    mestre pour tout ce mois aien les Alemantz trente mille

    auquelz ne fauldrey toute ma vie obéyr et vous

    comme vous m’avez tousiours promis. Ce présentant

    le mesmes et vous dire que je sois bien d’oppinion que ledit sieur des Adretz

    entendre au gouverneur de Milan. Les nouvelles que

    de me commander quelque chose, le me faisant entendre,

    de La Bastie. Sil vous counoisiés que ie ne la deuse lesser, vous men advertirés sil vous

    obligation avec une infinité daultres que vous en avons. Il na pas

    affectionnées recommandations à votre bonne grâce, priant Dieu

    Monsieur, en santé, bonne, longue et contente vie. De Saluces,

    avertyr ; et cy voz ne voz enuiés, je vous resouviendroys

    ce XVIe jour de juillet 1572.

    votre voulloyr pour icelluy toute ma vie a-

    icy des deniers pour le payement des compagnies de monsieur des Adretz, dont

    A présent, maître Veran Paschal vichesteleyn dudit Saynct Geoyre

    voulusse suyvre vous commandementz autant que je

    Laurens nommé Genton, frère à Bonaventure Gallifet dudict S. Laurens

    De Vizille, ce dixseptieme jour de jullet mil Vc septante

    pauvre mallade et ma mère voz suplye resevoyr les leurs

    trecter suyvant vostre ordonnance, laquelle

    ceulx de ladite Religion font en ce mien gouvernement où comme je luy

    fismes à Heyryeu et de observer icelluy advant de recepvoyr

    et en sa sainte garde et protection. Madamoyselle d’Horches a envoyé

    qu’ilz se veullent acheminer en Flandres, car sy la chose estoit

    Je désiroys d’entendre par mesmes moiens des nouveles de mon

    très affectueusement à votre bonne grâce, en suppliant le Createur vous donner

    que monsieur d’Evènes partist d’icy, j’eus trois fois

    puis pour prendre tout en pacience. Ie m’assure

    avés eu de mon neveu de Gargas. Je prie en Dieu l’avoir en

    sent aucunne douleur. Madame la contesse de Grignan ma escrit

    protestation de lexcès de voz commandemens et ordonnances et

    porray scavoir. Et por ne [barré : scay rien] scavoir autre

    pareilhement madame ma révérente mère abbesse et notre bone niepce de La Coste, laquelle, avecquez

    endormyr en centynelles, qui me faict juger que les bandes levées

    le remède quil connoit y estre necessaire. Sur ce, je me recommande

    les terres de monsieur le duc de Savoye où il ne fault qu’elles

    la guerre. Lon tient quen cas de guerre, monsieur d’Acier doit venir en ces

    magestés de bonne façon. Ce matin, monsieur le président

    aulcune perte des leurs. Le seigneur Don Johan d’Austria

    Les conssulz de Vallence

    Chastellard estoyt en garnison en ceste ville, logé

    fait election du colège où il doivent aler. Il

    recongnoistre. Nous faisons toutz deux ici notre petit mesnage. Il

    païs du Conté en ma maisons pour me purger, où je assamble

    le vous faire entendre verballement. Le roy est party à ce matin pour aller courre le cerf du cousté de la Brye.

    qu’il vouloit, lorsqu’il s’agissoit de voz mémoires, laisser

    pour s’en aller en Daulphiné ; à tant vous présenterey mes très humbles

    Votre humble allié et afesionné

    contribuer nonobstants voz mandemens et ordonnances, notamment

    vous anvoye letre de monsieur d’Embrun, lequel

    et affection que jen ay, qui seront tousiours conformes à votre

    grâce, je prierey le Createur vous donner

    bon vous eust semblé, m’asseurant qu’en eussiés trouvé

    qui la servy fort fidèlemant et par le conseil

    bonne grâce et prier Notre Seigneur qui vous doint

    Clermont, nous l’eussions presque tenu pour asseuré, mais despuys dix ou douze

    pour surprendre iceux qui auroient faict lomicide

    Votre très humble filz et très obeissant

    entendu par ung mien frère, le quel sen est allé avec ses trouppes,

    dès hier, vous en feis la despêche, et les forriers partirent pour

    tost dehors, lequel je supplie vous donner

    que dire, craignant plustost de sa vie que dung

    bonne grâce, pryant Notre Seigneur qu’il vous

    que je ne prieray jamais Dieu de meilleur cueur ce me semble

    offices dont vous pourrez vous adviser, et le Créateur

    faveur de mon dit seieur davoir une

    quels je vous tiens du nombre, l’autenir en breif.

    je y pourrey. Monsieur, le jour que mondit homme

    se fortiffie. Il estet an asés male oppinion en ce pays destre

    plus oultre pour aller en Levant, estant contrainct

    asseurant, monsieur, que je me ressantiray de la faveur

    ayons bonnes novelles de Laval. Cest à Grenoble XXVIe

    guyeres perhentoyres mais le succès quil en

    ou me faire entendre vostre intention par cedit porteur. Vous

    la grace à Dieu, nature i luy a si bien aydé avec le

    Grolyer, que à la verité, monsieur de Laval leur en demeurera

    soubz umbre de peste qui estoict en leur armée, il a offert

    Monsieur, en toute prosperité, très longue et heureuse vie. A St Gervays, le

    vous et affectioné servitteur quant jaurey se bien que de vous

    adverti de lestat de mon nepveu, lequel, graces

    pour le faict de larmée ; qui me fera changer de propos

    vous supplie recevoyr mes très humbles recommandations, priant Nostre Seigneur vous

    en laquelle je vous supplie me tenir et je prieray

    le fère scavoir, y serés hobeye daussy bonne vollanté que je

    touchand les trois mil livres, sur quoy jespère despecher au

    de Laval mengarde que je ne vous puys fayre plus longue

    – pour la grande bonté et vertu desquelles Dieu vous a pourveu, oultre une

    recomandations à vous bonne grases, je suplie le Createur

    effect et ce sera byen daussy bonne vollanté que

    juillet 1572

    ont difficultierses à fornir suyvant leur rolle

    Votre très humble et très hobeissant serviteur

    et en cest endroict, je me recommande très humblement

    et estoit fort douteuce. Il i avoyt deux lautz de quoy

    les ministres sont encor trop petitz compagnons pour y tenir

    ne suis que bien ayse quar la fin en reussira à vostre grandeur, veu limpression, estime et

    Monsieur, en bonne santé, heureuse et longue vie. D’Avignon, ce XXXe de juillet

    De Simienne Alleman

    lequel touteffoys [barré : lequel to] na point lessé de

    legière medecine estant auparavant travalhé

    Voz très humbles et obeissans serviteurs

    Et sur ce, je pryeray Dieu vous donner, monsieur de Gordes, en santé ce que

    mais si autrement feust advenu, je loue vostre

    en furent prisonniers par auctorité de monsieur de Chatelar ou bien

    Monseigneur, vous donner en santé très longue et heureuse vye. De Paris,

    qui me semble n’estre du tout sy penetrant que celluy de Laval. Quant à

    quoy le plus tost que pouray, vous en donneray avis ;

    sera le meilleur, et feroyt-on mener le cheval en main à cause

    vous diont en parfaicte santé, longue et heu-

    mains, je le supplie vous donner

    ronpue que pour asteure je ne feray ceste plus longue. Lon ma

    près de plusieurs tristesses. Je me resoulz que Nostre

    dair, se me seroyt ung grand plaisir et honneur.

    Ilz sont bien marris que le sieur Andrieto Doria soit party avecques

    incontinant. Et surce, faisant fin par mes bien humbles recommandations

    mandé où jay heu pour ma part cele quil

    de la defaicte de Janlis et de ceulx qu’il mennoit avec luy pour entrer dedans

    Puys quatre ou cinq jours, nous travaillons en la veriffication des meubles

    sont ceulx que faisoit son altesse pour se garder dinconvenient.

    sera la détermination de ceste fièvre, si plaict à Dieu et

    en Piedmont de monsieur des Adretz ; si n’ay-je laissé encor

    nous laisser largent entre mains de personnes de ce pays, vous

    IIm VIc livres que monsieur Le Febvre a advancé audit sieur

    du retour de ceste armée de Dom Jehan d’Austrye don

    bientost à cheval, qui me gardera vous en dire

    desguizer une choze de telle importance, m’asseurant

    esté provoqué par aulcune prière de moy, je ne

    soixante chevaulx et quant à ceulx qui sont

    mès au contrère, bien aise pour vous y

    dix lieux près de Flandres. Sur ce, ayant presenté

    Grenoble qui me vint arsoir trouver pour me

    embassadeur prez du pappe, et le duc de [nom en blanc]

    Je ne scay si je en acuseray le tamps pour raison des

    Monsieur, en santé, bonne et longue vie. De Pinerol,

    se non da sua eccellenza ; tutti gli soldati et io

    fiebvre. Maintenant, elle commance à sortir et il prend ung peu

    qui me sont troys grandes impassiences. Au reste, jay

    sera une perte inestimable à ceste court de perdre

    service en quelque meillur endroit, vous supliant

    mieulx, demain ou après demain, je mi en retournerey.

    à Laval. Il ne se dict rien icy, mesmes de la guerre et est

    me tenir pour ung des plus seurs et

    nouvelle religion de vostre gouvernement ; vous ne y aurés pas

    dict vous advertir que ce grand qui mande de lever gens

    gallerie et à la fin de ce moys prendre lair des champs et non plus

    icy à mon arrivée deux lettres de monsieur le president Bellièvre.

    recomandation à vous bones graces et prier à

    en mieulx ; vray est quil est enquores bien debile

    demain à se promener à cheval, et come nous verrons quil se

    Vostre très humble filz et trèobeissant serviteur

    [barré : ilz] il y tiendra la main ; regarderons de faire

    que La Coste que je n’attends que lheure quil tumbe. Jay retenu

    Vantadour, ces estatz donnés, ces jandarmes à

    passez, obtint de Monseigneur frère du roy pour nous faire faire

    point trouvé desraysonable à ung conseil privé. Si ce commandement vostre

    malade ; mays je loue Dieu quil en est quite

    escu le moys pour chescung. Je vous supplie m’advertir si les ferei continuer

    dict et don nous avons ouy parler des bledz levés par Lyonnois et

    au cenc pour i anvoyer, il nan a point pris, il ma baillé

    extrème peine et prie à Dieu que bien tos tian

    de paix que de guerre est lambarquemant de larmée de mer que le roy

    monde ; si pense ie aiant veu ce que monsieur

    Jehanlys, disant quil y avoit beaucoup de catholicques

    sieur maistre Nicollas dict que ce flux de ventre nest rien et quil ne durera plus

    Vostre très humble serviteur

    faire, et à tous les vostres, très humble service. Et après nous

    droict et abreviation de justice, priant Dieu

    esbey pour avoyr heu une si grand fièvre et soy estre

    faicte ; et oultre ce que ce sera le service du roy pour

    attendandz si [barré : en] vostredite seigneurie en a receup aulcung

    mence à faire mes visites. Je ne fauldray de voir Arnolfini

    de gentl gentilzhommes si besoing est. Aussi

    honestetés quil la reseu de monsieur le general et delle.

    cueur comme je me recommande affectueusement à vostre bonne grace, priant

    après quil ont tiré la paye du roy ; et si ledict sergent avoict

    et mon nepveu se ranforse de jour à autre et repose

    at esté fort travailhé dun mal de ventre qui at

    Chapponay que sy vous me mandiés de luy a

    d’aultres personnes et de tant de sortes que le

    et que estans venus, ilz firont monstre tout en ung coup

    escriproys. Je ne scay silz y seront allez, mais je vous asseure quil

    grands personages, lesquels, quelques sages et advisés qu’ils soyent en

    vous aller faire la reverence dimanche prochain.

    Je ay opinion que monsieur d’Ourches les trouvera à Lion

    donner

    de monsieur de Maulcuite. J’ay faict expedier pour voir

    comme vous entendrez par monsieur d’Ourches. Voylà tout ce

    s’en ensuivroit ung trop grand desordre, duquel au fort il

    Mais pour cela je délibère me tenir sur mes gardes et ne

    priant Dieu quil vous doint

    eux en Levant, où ilz sont allés pour se joindre

    je suis bien content de remectre le different audit sieur Bellièvre

    monseigneur, il vous plaira tenir la main pour eviter à toutes longueurs

    esperant de faire cy petites journées que il parestra

    du contrerolleur. Presentement, messieurs du pays m’ont

    esté depuis huict ou neuf jours, naient plus que ung peu de flux

    estoit mal reparés, à cause que la racine des

    que je finerey la presante par prieres à Nostre Seigneur

    et vendredi aller à Vilefranche. Jespère en Dieu que nous

    bon, je dors fort bien la nuit. Nous sommes resolus de partir

    bon, je dors fort bien la nuit. Nous sommes resolus de partir

    y envoyer mes pièces et homme suffisant pour faire la formalité

    au roolle, du moings pour faire sa monstre en notredite ville.

    tresorier de votre compagnie a son assignation, il n’y a nulle doubte que les

    notoires à chascun dentre nous rabattre quelque partie

    ay jà faict entendre. Je ne scay le nom du contrerolleur.

    où hier nous demeurasmes à disner et souper et

    Vostre humble serviteur

    ledit sieur de Brianson avec le chastellain. Je feiz davantaige,

    guery et quil commance à se renforcer, Dieu luy en face la grace,

    en poste pour vous aller voir, qui me

    protection et sauve garde et vous en donner tout le contentement que vous

    en vos bonnes graces auquelles ie presente mes très humbles recommandations,

    une permission de pouvoir extraire des terres et lieux de votre

    comme ilz ont en Languedoc. Mondit filz vous fera veoir une

    occasion de les employer. Mays cependant, ilz depandent beaucop et font bien

    de vous nouvelles puys le retour de mon laquey. Je

    antandu ce quil mavoyt dit, quen advés porveu monsieur

    an ceste ville pour vous la fère tenir, mon dict frère mescrivoit

    Monsieur vous avoir en sa saincte grace me

    par cy devant, il vous a pleu en faire pareystre et entendre

    pas chose nouvelle que la folle que le pouvre lieu de

    quil ma faict entendre sa convalescence. Jay de ses lettres

    le consellier Vidal lavoit faict mort par tout ce pais.

    lui mandiez. Jay eu recours au payeur de votre compa-

    ont esté d’autre advis, avec toutesfois ung retentum qu’estant

    Votre très humble et obeissant serviteur

    endroict, je saluerei vous bonnes graces de mes

    quant delliberez faire votre dite monstre. Sur ce, je priray Dieu

    qui a le despartement de votre compagnie ny est arrivé,

    je ne fairè faulte vous en avertir incontinant

    donner

    en eussent eu quelcune, ilz neussent pas

    deux jours. Je suis en volonté de faire partir demain

    jours, le veoir aux champs du costey du Thouvet et Barrault. Sur

    combien que la rectitude et lintegrité de voz actions porte tousiours

    Bien dict l’archier qui ha esté audit Aurenges que Pierre Sené

    de ce qui reste des XVIIc[ent] livres contenues en la dernière

    prie [sic] Nostre Seigneur vous donner

    à vostre bonne grace, en suppliant le Createur

    Monseigneur vous donner en parfaicte santé et prosperité très heureuse

    dès le commenssement ; et pour advoyr laffectionée

    il ny a que ce remède de patience ; aussi bien si je ne fusse venue

    serviteur et comme filz

    tousiour votre oppinion puisque ainsi est. Je vois icy

    et levarent le pont-levis ; et par quelques-ungs qui en

    arrivé ledit chastelain, auquel je les donne pour

    desjà plusieurs se remuer – j’ay, soubz votre autoryté et pour le dheu de ma charge

    bien volu faire très humble requeste, aveq protestation, toutesfois que je ne voudroy

    la teneur des lettres de relief d’appel, lesquelles ne portent

    Une maulvaise novelle est tousjours prevenue par ceste beste que nous

    les fère tenir par home exprès, dont monsieur de Grenoble

    et y mettrons tout tel ordre, Dieu aydant, pour le

    en ceste pour y commander de vostre part et ordonne que

    procureur que jestois prest à fournir la partie de IIm livres. Moinsieur

    firet et myret guardes au pourtes ; le cappitaine Lourian

    ay faict sest cregnand une première saysie, que

    Nous sommes au temps que si je ne fais faire des habitz à

    avoyt asseuré les chemins par terre, lavoyt accompagné de quelques

    estre survenu ce qui est. Despuis en ay receu une du

    bien grande, En laquelle vous partic[i]pperez, aussi tout

    les escus pour cinquante deus, car ilz ne se mettent que

    les chemins. Lon dit que monsieur le marechal

    Monseigneur, vous donner en parfaicte santé, longue et heureuse vie.

    je vous asseureray de nobmectre rien du debvoir que je doibs à

    partemant de mon dict sieur Danville, nous husions de vos

    un de ces jours et ny épargneray aucunement ma peine,

    parlant à la royne, elle me dit quil nestoit

    commandé de vous pour me donner plus de moyen de vous faire très humble service

    la persona mia con tutto quello ch[e] ne dipenderà sempre al servitio suo.

    aussi tôt que je lauray, je vous lenvoyeray. Jay prins

    des plus mal logés ; si est-ce que ce nest là locasion que

    aulcune desobéyssance, ne que ayons aulcunement contrevenu aux

    se puisse esgarer ; quand au fait de monsieur de La

    serviteur que moy, ny que de meilheur cœur vous face

    esté à Grenoble. Je ne scay quel il est. Il passa hier icy

    tour d’un bon souldat catoulyque pour faire laditte guarde, et ne ce fier guières d’eus, encoure

    feust possible, mesmes qu’ilz avoyent besoing de cesser les presches,

    longue, priant Dieu

    armes quune arquebouze, de laquelle ilz ont

    pour porvoyr avec vous à tout ce qui sera necessaire

    monsieur je ne vous veulx dire le contentement

    je ne fistz jamais à eulx ; et me sembloit que, quant j’eusse

    metre en peyne quar jespère aydant Dieu, quelle naura que les deus accès quelle a eu. Je

    à monsieur des Adrés pour le moingz de cela, il sa-

    a eu une lettre de monsieur de Vins, disant quil a esté bien découpé

    tousiours ceste pauvre vallée où il est

    guerre que Vm VIIIc l[ivres] provenuz de limposition du scel vendu es villes

    oultre ce que le debvoyr me commande pour avoyr toulte

    Monseigneur vous conserver tous deux en sa sainte garde.

    recommandations, priant Dieu

    querelle qu’il avoyt ; non par intention qu’il eust de vivre

    les scavés comme luy et mesmes monsieur

    en Triesves, lon dict quil y a des volheurs lesquelz, à ce que

    aulcungz du tout rien ; et encores certains aultres, tant pour

    recepvoir bon traictement par les chemins ; ce que ayans entendu,

    la garde des prisons y estantz, dont, au temps des troubles,

    ha faict bonne responce, se remonstrant avoyr

    à vous envoyer ung chiffre, vous priant de commander, s’il vous plaist, que

    mon obligation à m’employer pour vous quant le moyen s’en presentera à celluy

    attendant, n’eust esté les advertissementz qu’avons en ce pays, comme plus amplement

    j’ay bien voulu vous envoyer semblablement le double et

    Ceulx de la Relligion de Nysmes s’en sont allés

    le faict que scavés ; et pource quil ne se presente aultre, je

    la ville, delaquelle je me doubte le plus, pour estre plaine des

    pleset men charger, je vous an randré conte

    Michel m’y suis transpourte pour raison de quelque

    delybèrent de guarder leur ville. Monsieur

    Monseigneur vous conserver tous deux en sa sainte et digne garde.

    le moien. Je vous suppliera ne mesloigner non moins

    possible à ceste province et dans icelle; ayant

    estimé qu’il seroit meilleur de les renouveller, pour obvier aux difficultés

    paraphes mis à la superscription qu’il y eust chose hastée.

    to. Di Avignone à III d’ottobre LXXII.

    ceulx qui se contienent. Quant à mon frère, je ne fays doubte

    religion sans l’advis et commun accord des consulz et

    ont esté rendues à ceulx que vous remerciés pour le regard de monsieur

    mais par voz lettres, je congnois et vois à mon très grand

    depuis ma maladie, la jambe menfloit plus quau

    suivant le voulloir et intantion de sa magesté, que plus amplement

    nous y avons perdu ung bon seigneur. Il sen fault toutz aller les ungs

    Monsegneur, je vous avertys que le peuple de se pays

    vint et [barré : sinq] six escus, cent et quatre pistoles et vingt

    les faulxbourgs et semble qu’ilz ont envie de se faire battre.

    voz lettres à Madame de Sainte-Clère en Avignon, laquelle

    mesmes pour le regard de l’extraict de la letre du roy à vous escripte

    tems hou nous sommes qui est asés mal asseuré, je [barré : les] luy

    et très humble service. Monsieur Il ny a

    ie y pouray fornir sans seiourner. Ie serois bien aise

    pour la retraicte et demeure des soldatz dudit

    incontinant monsieur le vibalhi à cause de Gap, messieurs

    tout lesté que au lieu de vous y fere service, je ne vous

    me recommandant humblement à votre bonne grace et priant le

    longue et heureuse vie. D’Orpierre, ce

    Je n’ay voullu fallir, oultre ce que vous en escrit mondit

    seray plus amplement informé, en attandant je prieray

    vous asseurant que ce que je vous scriptz contient verité et assurés vous

    Monseigneur vous donner en senté très heureuse vye. De Paris, ce VIe jour

    tost ilz puissent desloger de ce pays suyvant la volunté

    payeront, ne fault que vous oblyez de vous faire payer XXVIII soulz

    en après, suivant icele, me conduyre et gouverner. Je

    par ce qu’en samblables affaires occasio est preceps

    Surquoy nayant autre chose pour remplir la presente, la

    faillir de vous en en [sic] expedier le porteur expres,

    arriver en ceste ville pour ny estre encores arrivé aucun

    du couté de Viverés. Je ey entendeu que

    davantaige, car la plus grande partie de ceste somme

    dans la ville ; avec les principaulx d’icelle, n’avons sceu si

    que je pusse vous servir en quelque chosse, où je ne fallirey de mon moien

    les soldatz qui sont icy pour faire la garde pour eux, laquelle est faicte ordinairement

    ce jourdui est parti pour sen aller à Nismes où il

    chevaux de marque prenantz le chemin, par notre valée, de Domène,

    chevaux de marque prenantz le chemin, par notre valée, de Domène,

    Monseigneur en sa très saincte et digne garde. D’Avallon, ce

    toutesfoys, ayant mal dyeulx et une poulx que les medecins

    dorrey ordre en brefz pour vous aller veoir et nest jà besoing envoyer

    les demandes que je luy faysois. Il me confessa d’avoyr esté

    du tout estropié, sans men pouvoir ayder. Je ne

    bruitz que l’on faysoit courir de luy, et que vous en estiés

    penser si jen suis en peyne, joinct beaucoup daultres que

    suppliant, monsieur, commander à votre secretaire men

    Viene. Jay bien fort grand regret que je naye se plaisir de vous voër et

    et nièces, et suis esbahi quilz mettent tant à venir, si

    conbien que Dieu grasses, despuis troys jours la postume

    là à Pioulenq dont jespère venir jeudy aidant Dieu avec ces dictes

    de commander qu’on baille seurement ung pacquet que jenvoie

    je tiendray le support et faveur quilz recepvront de vous

    que pour seur ceulx de la novelle opinion s’eslevoyent et qu’on

    de Gargas, le 13 otobre 1572

    puis assurer que noz enfens ne me scauroyent de rien desacommoder

    Votre treshumble et très obéissante fille

    androyt voz bonnes graces de mes très humbles recommandations à votre bonne,

    le temps les fera meuryr. J’ay faict tenyr seurement toutz les paquetz que m’avés envoyé à ceus

    a eu, à ce quil dict, meiher nuit quil

    aurés seu par le seigneur Alphonse la mort de monsieur

    qui estoyt parti d’Avignon le vendredi precedent pour aller

    dict. Hont mast averty que monsieur de Myribel

    puisse retirer en sa maison. Hier au soir avons receu ung pacquet de

    de me le conserver et aussi que mondit seigneur sestant liberalement

    à Voyron. Je ay baillé mes lettres à ung gentilhomme de la

    le premier de vous commandemens sera plus tost executé que la bonne volunté

    et de la ay-je heu letres d’eux. Mes nepveux

    garde. De Vienne, ce XVIe octobre

    Nous avons leu les letres de messieurs d’Argentrant et

    sil vous plaict dexcuse et je prierey Dieu

    fort soudeine, et par le raport des médesins, qui

    si fol de se remuer ; et fauldroit bien qu’il jouast

    excuse les occasions que vous dira ce pourteur,

    enseigne du païs de Vivarois loriginal de madite commission et ayant

    font soyt pour le maniement des deniers, administrations et

    pleu de vostre movement vous servir de quoy vous baysent

    en tous les endrés où auray moyen vous faire service et ie vous obéiray toute

    octobre

    en aurons peu avoyr le loisir et aussi

    et commandés sil vous plait que ledit paquet

    asseurer que tout cella est faulx, qu’ilz n’y en a heu

    que pour le votre particulier, je me pourrey emploier. Je leur avois persuadé de

    de ceste ville après ce dernier bruit de Paris : voylà le secretère de

    receuz hier une lettre de monsieur le president mon beau filz,

    men aller de brief. Ce quattandant et voz commandemens

    ordonnera ce quil men fauldra, que je ferey, Dieu aydant,

    mon filz. Je suys en peyne pour nestre encores arrivé

    convenable. Bien vous recommanderey-ie le pauvre

    n’obeyssent et qu’ilz seront privez du commerce de tous

    Nous en atendons les effectz, comme nous faisons encor de ceux

    et la paye reduict si bas et aussi qu’il vous a pleu nous hoster

    que Monbrun yra se joindre avec eulx. Au demeurant,

    recommandations à votre bonne grace, comme faict aussi madame

    Hourche

    je balles au chevaucheur pour le fère quourir.

    pour cest effet, ie fois venir monsieur Toumas et

    n’avons icy rien de nouveau, en attendant d’en scavoir,

    ne que horans). J’ay entendu que monsieur de

    XXIIIIe octobre 1572.

    mal à propos, car i’étois bien las et mon palefrenier qui

    vous donner

    ceus qui en fournissent qui est les iubers poulle et l’on

    affectioné et fidelle serviteur, vous suppliant, monseigneur, de

    toutes choses y vont bien. Quant aux autres

    de huict ou dix pour ne pouvoir aider ou nuyre à affaire quelconque

    que j’aye ce bien, je me contenteray de prier Dieu

    volu envoyer un commissaire conterroleur puis que vous

    estaz du feu conte de Tandes, c’est-à-dyre

    lettre, vous avois escript que ung de Privas de la nouvelle oppinion,

    combien que je ne luy aye oncques donné occasion, a dict beaulcoup de

    Si voullés donner plus avant, j’en feray comme

    les ennemis dudit sieur viseneschal ne scauroint venir, mais au

    bien humblement, monsieur, de vous contanter de faire mestre à la

    faire servir, de laquelle déserant m’en aquiter, vous suplierai

    B. de Simienne

    par vostre moyen et commandement. Il vous contera toutes les

    pour jour y comprenant le louage du logis

    seroit sous monsieur d’Hourches. La nomination des cappitaines

    te ni cheval pour la tirer, mais j’espère d’en acheter à la

    de VIxx XVIII Livres ou environ, ainsy qu’appert par les parties que j’en ay

    en ceste ville, manda en son lougis, dans le Louvre, messieurs

    lève sur lesdites provinces à la charge d’en estre remboursées

    de Grille. Je n’en espère pas grand cas, parce qu’ils se sont déjà bien

    Le roy en a esté mervelheusement courousé, comme

    certiffiés que l’ort que a peu veoyr que le

    estat de monsieur de La Roche notre frère. Nous avons,

    pleignés de n’avoir heu responce de celes que aviés escript à

    point nomé c’estre advert de ce qui se demande

    Il est vray, quant à la coulpe ou innocence dudict pourteur, qu’il nous

    ce mot de lettre de vous assurer que ceulx de Nions font

    allèrent lundy. Je ne scay demeureront guières, car

    cartiers qui me gardera vous annuyer daventage,

    Votre très humble et très hobéissant serviteur et filz

    Novanbre

    vous en aurez pityé, s’il vous plaict, et vous puys bien asseurer que leur

    faire la présente avoyr prié Dieu

    troupe de sourdas et feyt la guarde au long du

    et plus net de tous meurttres et scandalles

    despuys le commancemant qu’il vous pleust m’escripre ; or à touttes

    de monsieur de Lombais. Je suys bien ayse de l’ordre que vous

    Cependant, je me recommanderay sur ce bien affectueusement à voz bonnes

    présence nous est grandement requise par deçà pour la conservation

    Votre très humble et très hobéyssant filz et à jamays serviteur

    de la saincte religion de ce pays n’attendent que leur heure et adventaige pour

    Cazeneve avec toute sa bonne compaignie de messieurs mes

    impossible de le y faire tenir et arrester en temps de

    charge est de tenir registre de toutes choses semblables qui passent

    pouvons croire que nous sommes à la guerre ; et tant plus nous allons en avant, tant

    premier désanbre.

    Il est ici bien fort extrème et havons désja heu de la nège ;

    Vous savés aussi, Monseigneur, quelle ouverture c’est

    aujourd’huy de Valance. Si telz bruictz vont jusques

    qu’elles ne peuvent aller pys. S’ilz vous plaics, monsieur, apoincter

    prest à vous faire compaignie quant il vous

    de Brianson la leur povoyt avoyt par toute ou bien

    septe ville hont coutizé monsieur de Gillie et

    sordas et s’èt por la sureté de leur ville et pays

    et les chandelles, et avons faict quatorze escouadres,

    et faict prandre la muraillie en

    que j’ey de vous faire très humble service, et pour fin de

    entretenir et certiffier à son povoir l’exercice de ladite novelle opinion jusques

    des autres. Et n’y a pas guères que j’ay receu des lettres de monsieur

    le tout, et puis voulloir si à propoz desployer toutes sortes d’armes pour moy

    qualité et au contentement du païs, encor que i’aye

    toutte ou d’une partie de ladite somme, s’adresse à Parys à Jehan Estratta duquel

    et j’oubéyrey à ce que m’en comanderés, estant

    pour vous, actendu les grans biens qu’ilz resoyvent

    centz nouvellement dressés ; ou bien, monsieur, sy tant

    que ne seray aulcunemant double mais poursuyvrai ma première résolution et dellibération

    La Tour d’Aigues, ce IIIIe décembre 1572

    de ce que j’ay receu dudit sieur Maniquet pour luy faire quelques abillementz,

    pour laditte somme. Je n’escris pour asteure à mada-

    des bienfaictz qu’il reçoit. Et sur ce, je prie Dieu, mon cousin, vous

    David me dict qu’après votre lettre escripte, en aviez faict dresser la commission

    de par deçà s’il ne vous plait y provoyr par les adresses

    en recevant l’ordonnance et commandement de vous, attendant

    trouver que bon, comme il faict toutes choses qui sont faictes pour son service ; et

    aultre occasion, me recommanderay sur ce bien affectueusement à

    ouvert, encores que nous soyons devant Noël. Il ne se dict aultres

    Despuys, j’ay esté à Aix et porté lettres et commission

    bonne sancté. Monsieur de Lombes passa hier

    plus à quoy recourir, quy sont presque les ordinayres

    Monsieur, en sa saincte et digne garde. Escript à Paris, le VIIIe

    point jusques à Pasques, mesmes que les povres gens n’en demandent

    l’endroit que je supplieray le Créateur

    advisés et prudens advis et commandementz, mais

    bon. Monsieur de La Coste est à Leurmarin à la conclusion

    de deça après voz estatz finys, affin que plus facyllement nous puyssions conferer ensemble, sellon les occurances qui nous survyendront ; et que de ma part je reçoipve

    que la chrestienne n’en fut qu’à ung mille, la nuit

    plus ample permission de sadicte majesté, à laquelle

    Charles de Simienne

    Monsieur, en parfaicte santé longue très heureuse vie. De Gargas, ce Xe

    ranboursés de par della si esté pour la crinte que mondit sieur

    De Lyon, ce XIe jour de décembre 1572

    ont grande part ; tout ce que on en pourra rapporter sera

    ey donner un coul de prézen jusques

    qui presche tout l’Advent. Il a esté bien travailhé (et est

    toutes chosses que vous ne scaviés comment

    qu’il ha proumis à une infinité de ségneurs

    doint avecques sa sainte grâce

    Au reste monsieur, je vous puis asseurer qu’il ne fut jamays plus playsant ny de

    Par sa grâce, nous sommes tous par deça en mesme estat. Vous n’aurés

    contera s’il luy plaiit de cecy pour response à sa lettre car je luy

    qu’il vous plaira faire ou tenir aux juge d’Ambun à fin qu’il

    relligion nouvelle au découvert ; et si est certein

    gent, je n’y en voy guères comme je m’asseur qu’il vous

    mettre en si grand peyne et despence. Toutesfoys, je pense

    et bize les murailles abatues ; de focez a comblé environ

    avant que ceulx qui m’en donnent, qu’ilz soyent pour passer en voz quartiers

    et monsieur le marquis de Mayne est passé Ferrare,

    Les ungz massacrez, tuez et plilhes tant d’ung party que d’aultre que

    ceste plus longue, je l’achèverey par mes bien humbles

    de la faire plus longue, ce qui me faict supplier le

    amy

    votre intentin. Estre venu ung sire François Abel,

    Je supplye les bonnes grâces de madame et de monsieur de La Roche de recevoyr mes très humbles recommandations.

    à la court, que lesdites lettres ly feussent randues

    comancement de caresme. Messieurs de Biron et

    desbordement estre fait par ce pays, lequel nous

    frère monsieur de La Roche, en priant Dieu

    et comme filz Deurre Doncieu

    de La Noue negotieroit heureusement la réduction de

    gouvernement, afin que, par votre moyen, nous puissions estre secouruz

    par moys pour luy donner plus de moyen de vivre et s’entretenir,

    en userés de ladite lectre ainsy qu’il vous semblera

    demeure à Lourmarin. Quant à ma senté, je

    de gentilzhommes, vray est qu’il y en y a autant pour prossès

    ledit monsieur d’Apt et mener toute la petite trouppe. Madame

    Marguerite de Simienne

    ceste pour aultre, ferey fin par mes très humbles recommandations à voz bonnes grâces comme faict

    Danville l’a pourveu. N’ayant aultre chose digne de vous, je salueray voz bonnes grâces par mes

    leur en pourrés ayder. Monsieur de Chessan vous vat trouver, qui est

    j’ay mis douse ou trèse ans sans venir par de sa,

    qu’il n’y reste pas pour payer les officiers ordinaires.

    après m’estre recommandé très humblement à votre

    Votre très humble femme et très obeyssante amie

    La Rochelle, encores que le sieur de La Noe soit entré

    envoyeray néantmoings deux doubles. Je n’ay encor receu les lettres du

    qu’à mesme temps que ledit sieur marechal fera ses effortz par deça, les rebelles du

    s’il envoye des gens qui ne soyent du pays ou que n’y ayent crédit,

    avons commanssé à dresser nostre équipage pour La

    de la court avant qu’envoyer lesdites coppies, toutesfois ce sera besoigne

    pour le payement de votre compaignie pour le quartier d’octobre,

    Vostre très humble et obéyssant serviteur

    estes costumier, lesquelles je m’essayeray accompaigner du service que

    ais de leur permettre qu’ilz continuassent à faire leursdits presches ainsi qu’auparavant.

    celui à qui elle s’adresse. Je m’asseure que vous aurez receu

    de la court de Rome, et que les bulles vendues en ceste ville de Lyon pourront

    n’a cellé despuis quelques jours à cause de sa maladie

    vous contentiez que mondit sieur d’Evennes le veit. Si j’eusse sceu le

    de la royne pour ceste foys au moyen de quelque petite indisposition d’une

    nous debvrions tous courir comme au feu qui, s’il n’est arresté,

    Monseigneur vous donner en bonne santé

    nouvelles qu’on a en ce lieu, c’est que le lendemain des Rois, Monseigneur

    cardinal, cependant monsieur, vous me comanderez et je vous

    de qoy vous me reconute bien dont je

    faire dresser la responce ; et de fait, encor que je désyreroys bien qu’elle fust de

    et à madame et vous supplions de recepvoir nous

    monseigneur, vous voulloyr conserver

    70, Le Febvre dict vous avoir payé pour toutte l’année.

    et nous commander, comme à personnes qui désirent vous obéyr et sur qui vous

    remborsare adesso, ch’ io mi contento sia remborsato

    pandant que ie y serè car en quelque

    et procureurs susditz, dont je me ressailliraye comme de plaisir qu’aurez

    ores j’eusse veu icy quelques danger. Mais je veoy bien que monsieur de

    en tout notre bailliage de Brianson ne y avoit aulcun

    equollier que se perdit. Je en fis infourmé

    à craindre pour la guerre, s’estantz despartis les ambassadeurs

    nosdictes dernières lectres, nous avons recouvert le palefernier breton

    cevoyr quelque somme de deniers qui sont deus à mon oncle monsieur

    mal prests à desloger. [barré : Mes] Mon nepveu et moy

    Caterine

    ils vous en peuvent avoyr escript quelque

    Votre serviteur à vous obeyr

    pour le peu d’asseurance qu’on ha pour encore d’iceulx et

    ceste commodite pour vous fère entendre de mes novelles et vous

    fust solennellement mis en sepulture avecques grand regret

    janvier 1573.

    pié à sa mayson et que à leur avantage pour

    escrit de que monsieur ladvocat Ruzé entend faire contre

    surprendre sa ville et que ceulx du lieu leussent

    pappier de ceste ville pour vous en faire le discours, et mesmes que

    ce que nous pourrons. Perrionis de Loriot me vint trouver

    Au demeurant, monsieur, je vous remercye très humblement de la peyne quil vous a pleu

    pour les avoyr distainctz dudit Crest et bailhés en

    monseigneur, que messieurs les commis aux comptes du pays nous pourroyent

    aussi perilleux quil est possible de dire ; toutesfoys Dieu ma faict

    narés iamais parante qui vous fase de melleur ceur

    tost et pour ne fère tort à la suffisence dudit

    En attendant ce bien, je supplieray tousjours le Createur

    derniers troubles de Paris. Et icelle information veue et

    Monseigneur, vous donner an parfète santé très longue et très heureuse

    meilleur davoir une procuration de mondit segneur de St Sernin pour

    le château dudit Covisson. Silz veullent atendre, il ne tiendra pas

    G. Davanson A. Dambrun

    pour raison duquel, en ceste et plusieurs autres considerations,

    assés saige, graces à Dieu, jusques à present, auquel

    pour ce que est ung lieu de paissaige ; et vous promectz

    coppie comme aussi de l’estat suivant lequel elles seront payées

    double de lapointement des cappitaynes Gobert et La Bastye. Si ny eussions promptement

    que aulcuns qui se disent avoir charge de ce faire viennent arrester

    aucunes passions particulières. Je despechey votre homme le lende

    non à vous fère très humble service, comme bien

    furent averty et prirent Bonyface et devalysarent

    que vous pourrez, car qui leur donnera loysir de se retrancher,

    assieger Terride lequel lon dict, que le sieur de Savignac luy mectra en main

    André pour le me fère antendre et du tout asseurer, dont ce peu

    maintenant il debvroyt estre sage selon mon jugement. Et nestant ceste pour

    Monseigneur, en parfaicte santé, longue heureuse vie. De Gargas, ce XIII janvier.

    moy mesmes. Mays par faulte de comodité, ne la vous ay peu mander plus tost. Jay esté

    monseigneur, je reconnoys bien que la depence que jay faitte depuis

    du roy faitz pour le regard du trafficque et commerce

    le IXe y estent vne bone compagnie de la noblesse

    lesquelz bien quilz ayent estés contrayres à notre prince, vous, et notre religion

    vous donne,

    vous asseurans que je ne fauldrey soudain me rendre

    bleser à la tête. Ayant entendeu ses novelles,

    moy de vous fère perpetuel service, vous merciant

    ville. Je ey envouyer à monsieur de Tornon

    asseure votre intention estre telle et de messeigneurs

    mersiant très humblemant tant de biens que iay reseu de vous

    au près de La Voulte. Je dictz Jusques à lescuyerie.

    vous escripre, que me gardera vous faire plus longue lettre et

    entendre comme ma mayson de Guysans où je suys à presant est yci à la

    Votre très humble, très hobeyssant filz et perpetuel

    XVIe janvier 1573.

    mary sera contrainct den achepter pour y vivre et je mettray ceste obligation

    le revenu de son abbaye ne y peult souffire. Je croy que monsieur

    mest par vous aultrement comander. Ce pandent,

    publicque, mais à leurs proffictz particuliers, comme vous

    ce XVIe janvier 1573.

    daussi bon cueur que je supplierey tousiours

    priant le Createur, par fin de ceste, vous donner,

    dignités ne requerroyent et causant que, par

    Votre très humble et très oubeissant

    ayant receu novelles de vous, vous priant

    de Polliny

    monsieur d’Anbrun vous en rendront serten. Au demeurant

    seigneur de Meyrieu poursuit contre moy soubs le non

    maiesté lesdits immeubles ; dequoy toutesfoys je

    ie dillaye vous aller trouver, vous assurant que inconti-

    avec II m[ille] bons harquebuziers pour les combatre, ilz se seroient retirez de nuict et depuis en ça

    lettres que jescrivoys à notre frère monsieur d’Evènes et à mon neveu

    suivye sans longueur et difficulté. Le tresorier

    de laller voyr et vous mercie bien humblement les honestes

    monsieur très humblement lavoir pour recommandé

    et sont absentz de ceste ville. Et pource que par votre missive me recommandés la

    quelque honnesteté par le païs. Quant à votre particulier, je masseure

    escript que vient au roy douze mil Suysses. Je ne

    compagnie audit Chabeul, qu’il vous pleust commander aux

    Dyeu mersy. Vous povés asés pansé sy je ay anvye que

    fason [barré : et a faulte] je cuide bien que Saint Veran sera

    le XVme du prochain dedeça, auquel temps je faictz estat avoir

    autres nouvelles. Jay bien opinion que mondit sieur de St André prendra

    venu demander quelque part de ses estatz, dont

    Dampville, soubz couleur des lettres que facillement ledit seigneur

    por avoyr afère à madamoyselle de Anteville et son

    que vous estes averty quomant monsieur le

    monseigneur, en parfaicte santé, très heureuse et longue vie.

    ainsi comme jay succedé en ladite charge de succeder aussi es obligations, particullierement

    monseigneur, qui vous doingt en santé, prosperité, bonne vie et

    vous doy et prieray Dieu,

    pouvoir et lattache quil vous pleut me bailler sur icelluy en votre maison de Laval,

    partyr au premier jour, toutesfoys avec votre advis.

    service de sa maiesté auquel je veulx desdyer le

    quelques particularités daulcungz ses mal veilhantz,

    de mes très humbles recommendations, priant Dieu quil ly plaise,

    de Pologne, entre autres choses que le fils du Moscovite estoit approché avec LX mille chevaux

    rante de son domeyne. Sy ainsin il est, je vous supplierey

    votre salut. De Briançon, en vous besant les mains, ce XXVIe

    estes assés infourmé de la prise de Connysson. Les soldatz qui estoyent dedans sortys

    aiant la expiration des quinze jours pourtés par le second edict,

    verra par les actes cy enclos et comme on poursuyt

    Vostre plus humble et très obeyssant

    vouloys donner assurance signée de ma main que le roy leur

    ung estat et icelluy envoyer à vostredicte

    Serviteur

    fust luy permettre libre et seure sortie et transmarchement de ses

    seigneurs du canton de Frybourg, me vint ces jours

    rendre près de vous pour my faire service. Je mande presentement aux deux premiers

    et conseil, lequel je desireroys de bon cœur avoir aussi

    advenoit une necessité, il ny a es envyrons aucuns boys qui peussent servir

    partement de Paris heu aucune letre de moy, je

    au fait de St Sernin, vous remerciant très umblement de

    très humblemant la favoriser de tant, que avec ung passport de vous,

    quil vous plaise les faire advancer. Aussi je vouldroys bien quil

    monsegneur le cardinal de Bourbon à trois de messieurs

    les marées seront si basses que le secours qui doit venir par mer

    avoir si souvent de vous nouvelles et de Prouvence comme avons

    jay de recepvoir tant de faveur de vous

    poinct de mon nepveu de Laval pour ce coup car lors

    le marechal, vous nous serés bon seyneur. Au demeurant monseigneur,

    de madame d’Ourche, laquelle e[s]t en très bonne santé, Dieu graces,

    paser le dimanche davant Le Pousin car, si nous eusions

    à VIII livres, lavocat Macgaillet a VII livres, quattre comunes à

    deça, et desià ilz en font courir le bruit qui

    pour vray que quatre naufz sont entrées avec secours

    monsieur de Carcès. Suivant cela, je vous prieray preparer les autres deux compagnyes que vous

    ny mayent esté ostées. A ceste cause, je ne vous feray autre

    Sancerre, de fasson que monsieur de La Chastre espère y donner l’assault dans deus

    advertiray promptement. Il est besoing comme quil soyt de

    pour un affère et une somme de telle importance ; et surce que de

    à Grignan et pense lon quil paseront par isy où

    Monsieur, monsieur le conte et madame la contesse

    sinon pour me recommander très humblement à

    Bien vous puis assurer que ne [barré : sceu] scaura estre si tost que je voldrois. Jay

    que messieurs de Biron et conte de Rhets honnt par

    rien que je ne scache pour certain. Mais je

    vous donna charge de escripre audit sieur de Pierre Gourde que

    monsieur, en parfaicte sancté, longue heureuse vie. De Gargas, ce XXVIIe

    monseigneur qu’il vous doinct en parfaicte sancté très longue

    Monsieur, je vous ay bien volleu parler de ce lieu icy pour m’appartenyr

    jay receu celle quil vous a pleu mescrire du vingt sixième, par laquelle

    Priant le Createur,

    faire reserrer ceulx de ladite oppinion nouvelle de

    le XXVIIIe jour de fevrier 1573.

    plus necessaires, je trouve bon que leviez lesdites deux compaignies et que ledit païs porte

    supplie bien humblement monseigneur de luy ayder

    compaignie. Jay prié mon corrier vous faire entendre

    coumandemens, lauquasion e[s]t que ma fame e[s]t alée

    segnieur Santurion. Quant au cappitaine Sainct Auban, je croys

    de mort contre eulx rendu par le souverain

    Votre humble serviteur

    pour pourvoyr aulx affères du cousté dudit Paris. Ce peult

    tenoit pour seur quil estoit impossible que secours leur

    scauroyt ;

    prestz qui font le bruit de donner en Flandres, estant aussi en esperance davoyr des Suisses

    Noel, j’ay ce pendant donné ordre d’avoir quelques ungs

    monseigneur, que supplie Dieu vous donner

    sans eschelle sur le mur de la ville et par consequant

    monseigneur le mareschal au quel ce petit villain lieu apportera

    chargeasmes si bien à propos qu’avec layde de Dieu nous les mysmes

    je vous tiendrey adverty. Bien vous direy quilz sasseurent

    Votre très humble allié et serviteur

    chose, votre bon conseil et commandemantz. De ma part, je ne

    ayder et commander se quil vous plairra, vous obeyray

    chasteau d’Armieu est environé de toutes pars de gens

    au paradvant que moy, ilz hussent mis en execution leur

    quilz y ont pour encores sy peu de commodité que difficillement pourront ilz actendre le sr

    quoy, il ne me souvient du nom. Monsieur mes

    pouvoyr y satisfaire. Et daultant que monsieur

    semblant et si suis bien mal accompagné de

    eulx en faisant grand estat pour rayson des munitions et artillerie

    et se saisit de touttes les petites bicauques et chateaux

    religion deputé à ce pour lavoyr cognu homme digne de ceste

    ce quil a faict et entre lesquelz maistre Jaques Gabet, jadis juge

    seurement la part où sera monsieur le mareschal

    la roine dudit païs dict que le tout ce faict à

    lesditz consulz, je ne l’ay volu faire abatre, encor

    au camp de monsieur le mareschal, pour le

    suis le plus marry du monde. Mais ce sont choses ausquelles,

    pris par se que la dicte mayson ne[s]t poynt forte et il ne compte

    font travallier à faire une tranchée pour mettre l’eau au tour de leurs muralhes.

    quelques jours qu’on a commencé à faire les

    la fin de ladite année [1571], que tous les deniers de l’année

    au sire Frommant receveur du dioceze de Vivarez. Le roy est encoure à Sainct Legier et tient on qu’il

    qu’il sembloit qu’on advoit en Daulphiné qu’ilz ne fissent

    scellées. J’espère partir demain pour aller la part où est

    prisoniers. Dimanche dernier ceulx du Pousin en

    que bien tost vous y viendrez donner ordre, mesmes par les lettres

    que me avés fayct de me departir de voz nouveles et ne debvés

    plaise me la fère antandre, je ne faudray ay

    en Provence. Quand à moi je serois bien content

    en nombre de douze mil hommes de pied et troys mille

    essayez de le secourir. Il y a ung bonne troupe d’hommes audit

    mon père propre, vous acertenant que vostre

    tient l’eglise qui respont à la mayson. Monsieur

    aux consulz d’assister à ladite aulmosne, ce qu’ilz ont mesprisé comme il

    et tenir en sa sainte garde. Je cuide aiés veu

    jours que ceulx de La Rochelle sont entrez en quelque

    se portent fort bien qui est tout ce que je vous puys dire.

    le temps qu’il pretend estre icy pour y pouvoir aussi envoyer de votre

    part mais j’entend qu’il n’est pas bonne que compasse ses affères comme

    il delibère tenter la voie amiable d’arbitrées

    abbé où il auroit faict si bonne diligence qu’en moins d’un mois il auroit obtenu trois

    en très bone senté, et vous attendent en bonne devotion. Mais a

    faire estat de moy comme d’ung de vos plus obeissens serviteurs.

    est venu devers Genève, où il estoyt allé à l’adveu du cappitaine

    satisfaictes pas aux aultres poincts contenuz en nosdites lettres et ne sommes

    ny faillir point, mais madame la contesse de Grignan

    d’Ambrun aussy ne nous oblye pas de sa grace et nous extimons

    ville d’Embrun voysine de beaucoup de vallées, lesquelles à ce que portent

    Pour le moins feroit il grand plaisir à tous ceux qui ont interés à ce que la navigation

    aurez faict tout ce que vous aura esté possible et vous diray seullement

    cognoistre ne le pance voir de lontemps.

    et luy plaise nous donner quelque bonne paix à son honneur et

    et se sont mis en tout debvoyr pour ce fayre

    l’entendement, faire en sorte que serés

    et entre autres choses font bruict d’ung grand

    nouvelles asseuréez par la lettre qu’il a escripte

    que nonobstant le doubte auquel nous sommes d’aulcunes entreprinses

    d’Exilles, et y a de ceulx de Genève qui y tiennent main. Je le say de bon lieu et

    de [barré : sa mays] sa maiesté et gardé votre. Et n’estant la presente à aultres

    doubtant de ce que je trovey que le peuple seroyt

    Je vous prye me tenir adverty de voz nouvelles

    c’estoyt qu’ilz ne vouloyent point de citadelle ne de garnison. L’un des

    fin, après m’estre recommandée très humblement

    heureuse vie. De Valance, ce IXe mars 1573.

    escript monsieur le vibaly d’Ambrun, en ung vilage nommé Chancela

    chose, me recommandant de bien bon cœur à votre bonne grase

    du roie, je vous veus faire apparoiestre de quombien je suys votre à vous faire

    la ville des trouz faictz à la murailhe. Il y a

    à ung autre car je voys bien que je seray an ce pays comme l’asne

    tart en garde. Ledit Chapponnay vous fera entendre les moyens qu’on peult avoir pour remedier

    generalle), joint que j’ay esté adverty que le chastellain desmis

    desquelz je me veux renforcer, car je trouve prou gens mais pas ung

    à monsieur de Moydieu pour envoyer advivres, pouldre,

    que j’ay trouvée estrange et aussy mauvaise qu’il est possible. Car il me semble

    Prunier

    Morges arriva samedi issi acompagnie de sonn frère le

    catholicques en laquelle monsieur Bellievre le conseiller au conseil

    recepvrés ung mal irreparable. Je vous heusse despeché

    ^ [^ avec depesche pour aller trouver mon frere] en parle autrement, disant que l’on y en avoit bonne esperance,

    considerer le contenu d’icelle et m’ordonner

    icelluy toute ma vie à complir d’aussy bon cueur

    luy commander votre bonne volonté, je suys asseuré qu’il ne lexcedera

    mettre aulx Tourrettes, ce que je fis ; et deux jours après

    que en [barré : va] eust peu causer un plus grand en

    nessessayre qu’anvoyssiés monsieur de Jessan en ce que porriés

    vous plaira m’envoier de vous commandementz, que sera

    près Montlehery. Ledit sieur garde des seaulx est revenu

    de Carcès dict nommément que lesdites forces se doibvent venir joindre à celles

    qu’il ne se debende comme ilz se promectent, estant poussés d’alhieurs de quelques

    sabbas. J’ey leysse le cappitaine Coulon aveques

    me prometois que vostre presance m’eut fait

    Votre très humble allié et serviteur

    de mondit seigneur marechal Davil ; et sy vous

    estoit content de satisfère. Mais pour cela ne voloit passer outre à

    Me Besson au profit de monsieur de La Coste.

    Monseigneur, je prie le Createur que vous doint en parfaite

    Votre très humble et obeyssant serviteur

    marechal, qui seroit à propos de faire cela en passant

    Votre humble serviteur

    beaucoup de le reprendre. Ilz ont tiré quelques arquebusades et muscquetades

    fère avec le dit Antrequasteois pour le fait de madame

    les y a prins. Toutesfoys pour cella je ne bougerey dissy

    sortye de dix livres de pouldre, vingt livres

    [barré : poreus] se transportera jusques yssy, de tenir ce [barré : poinct] secré, sinon

    le Createur

    à Loriol et magazin à Vallance, aussi de la garnison de votre compagnie

    y a perdu un bras, Ragni, Veins et La Molle blessés et que ce asté par une

    lettres quil porte, je les luy ay baillées exprès ; vous

    connoysance et duquel nous confions quil nous avertira

    consentement, qui me faict vous supplier bien humblement

    les batteaulx des mollins de La Voulte et les batteaulx

    les mains des consulz pour les bailher aulx

    qui merite vous escripre, ferey fin à la presante, priant

    service avec mes très humbles recommandacions à votre bonne

    A condition que le cappitaine prandra pour

    lors, monsieur, que je vous accompagnois pour aler à Chambery, où

    G. d'Avanson A. d'Ambrun.

    nom, ainsi comme jespère vous en esclaircir encores dabondant par lettres de sa

    feray service. Aussi vous supplie, si ceste année

    hoster la doubte que lon pourroit concevoir que ce fust pour autre esfaict, vous

    depuis mon partement de Soleure qui me

    à ses entreprinzes ; me semble, saufz correction votre, que lon y

    à labillement de veste qui lenfonça seulement avec un peu

    niepse et monsieur de La Roche mon cousin et toute la bonne

    à monsegnieur de La Roche [barré : seb] sebatant à cheval au chemin de Sainct Gervais,

    demeurant, monsegneur, jestime que vous aurez jà sceu

    se presente commode dans quinze jours y avoir tout reparé ce que y est

    Lyon, le XVIIIIe jour de mars 1573

    monseigneur, en prosperité, très heureuse et bonne vie longue.

    pour ce regard pour vous faire veoir, qui me gardera vous faire cestecy

    impossible que vous y puissiés envoyer commissaire pour les

    depputé monsieur Cati, present pourteur, pour vous

    donner quelque bon ordre sil y a moyen de les faire descendre

    Gordes, quil vous tienne en sa sainte garde. Escript

    les dessaings des soubzlevez. J'ay pour agreable qu'il soit donné main

    Monseigneur vous presentant mes humbles recommandations, ie supplie

    advis et du temps que lesdits deniers seront prestz et fourniz es mains du tresorier

    nen sera quite pour cent cinquante escutz, et la vile de Nions pour plus

    ne luy done beaucoup dennuy. Je crois que Mlle de St Pris

    vous donner

    Je vous diray encores que je ne me suis poinct servy de la commission

    troys villes font le nombre de cent et deux feuz ou environ, desquelz ilz

    quatre compagnies I [I : huguenaulx] qui sont della, quel chemin ilz ont prins, car ilz estoient

    à votre venue. Il luy semble advoyr fort peu de souldats pour

    Je ne scey si la prandron par se que selluy quest dedans ne sep point ancore declaré,

    monseigneur, vous conserver tous deux en sa très saincte et digne garde. De Sainct Jehan

    sans chef qui leur commanda. Vous verrés aussy monsieur, par

    supporté aultant de charges et peult estre plus quaultre

    monseigneur, vous donner en bonne santé très heureuse vie et

    supplie mexcuser sy ie ne vous ay escrit par ladicte despeche

    Sire, dautant que voz tresoriers font reffuz de payer voz mortes payes de cedit pays (barré : pour]

    armée, y faisant actuellement service et vivant catholicquement en lobeissance,

    que puis naguères il ayt faict une ordonnance toute contraire à cella, affin

    [barré : estimant que ce sera le plus que je pourray] heure advertissemens que ceulx de la nouvele [barré : p] oppinion

    descendre par la vallée de Grisvoldan pour se saysir de plus de villes quilz

    Vostre bon amy

    lettre que je luy envoye " [" en ayant rière moy loriginal] et de leur generale deliberation.

    veille courir sus et ne leur tenir les promesses et asseurances qui

    de ce qui leur a esté promis ; en quoy je masseure que vous scaurez

    despence du payement des compagnies ; et davantage, monseigneur,

    sa meyson léans. Je luy promis de fayre relever les breches tant

    et que tous moyens me defaillent pour resister à telles entreprinses, [barré : comme

    composer avecques eulx pour leur passaige, comme ilz firent une

    chastier le premier qui bougera. Cela intimidera les ungs et contiendra les

    au preiudice et au desadvantage de ses affaires. Priant Dieu, monsieur

    Votre bien bon et affectionné

    est mon intention et dont je me confie en vous. Cest en premier lieu d'empescher et

    autre moyen que [barré : de remetre] dessayer de remetre le Pousin soubz

    Gordes, quil vous ayt en sa saincte et digne garde. Du camp de Nieul près La

    qui a, depuis le temps que [barré : vous monseigneur estes gouverneur de ce païs] je suis en ceste charge

    tost guerir. Et pour raison de ce, de quelque temps ne

    tenu compte car je naurès treuvé ung et

    vous en demourera obligé, priant Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa

    bons chefz et capitaines elles ont, quel debvoir elles auront faict et combien se

    vouloir reconnoistre ce que je masseure ilz ne treuveront

    pour donner entretenement aux forces quon a esté contrainct mectre sus et

    quelle auroyt souvenance den recongnoistre icellui feu sieur de Fiansays, lequel se

    [barré : pouvoir entretenir, ne retenir les soldatz sentants que leurs veoysins

    sur le champ bien soixante ou quatre vingtz et quelzques ungs des leurs; et ceulx

    quil a presentez que je ne pourrois vous permectre imposer sur le sel parce que

    monsieur de Gordes en sa saincte et digne garde. Escript au camp devant

    ordonner les compagnies de messieurs de Maugiron et de Suze pour servir aux fins

    may 1573

    on ma dict que monseigneur de Gordes balha hier au

    ou moings ; bien est vray quil ne semble pas que voz subiectz en portent

    le port de Armyeu ; et come je croys que le sieur

    le XXVIIe jour de may 1573

    pour agreable la charge que vous luy donnerez ; me remettant sur luy du surplus, je

    Revol et Guillermo en faveur dudit Chastellard, et des services que des predecesseurs

    gratiffier ceulx du canton de Walay. Jay esté bien aise de veoir par les

    la chretienté pour avoir moyenné avec le conseil de la royne ma dame et mère ledit royaume

    moy de la dispensation des deniers quon employe à

    sera bon de faire en cest endroict pour le bien de mon service que vous scaurez bien

    Brulart

    ung mot par escrit [barré : à celle fin quil congnoisse que je ne luy celle point le bon debvoir que luy et les autres font

    de peur que si lon faisoit courir quelque bruit de mondit frère autrement que ce

    Brulart

    sa religion, pour moyenner quelque traicté au soulagement du peuple en attendant icelluy votre

    den recouvrer sy bon nombre, quil a faict car certeynement,

    que votre majesté congnoistra en cella [barré : la bonne union pour le bien de

    doibt estre bien tost de retour pour, suivant icelles et voz lettres, sen aller trouver

    votredite majesté et soulagement de ceste province, qui me faict vous

    Je nay jamais penssé de mander au sieur de Mandelot aller en Daulphiné pour vous

    de Neufville secretaire

    folles du peuple esgallent et despartent justement toutes despences

    que je deireroys quilz sen contantent jacoys que jen aye bonne esperance pour

    moy avecques une douseyne de gentishommes de ladite compagnie.

    es maisons, terres [barré : et seigneuries et seigneuries] dudit de Chapaix ne en icella

    siens pourroit avoir esté prins sur mes subgectz et autres mes voysins et amiys.

    appartiendra la teneur dicelluy et entendre leur deliberation et volonté pour, selon

    Caterine

    sadite non comparution, tant de ladite année passée que pour la presente et tout le temps pendant lequel il pourra estre absent à ceste occasion et oultre le dispenser

    pour le recouvrement de la somme de trente mil livres, faisant ce que je vous ay

    par ledict de paciffication dont vous a esté envoyé

    soit telle que la doibvent avoir tous bons et obeissans subgectz, affin de

    sieur de Virieu, pour le desir que j’ay d’entendre qu’ilz auront

    Lettre[s] liées à celle-ci

    depuis le partement du sieur de Vyrieu, partie se sont retyrés en

    ung dentre eulx devers votre magesté pour fayre leurs doleances

    ceulx d’Orenge, les en empescher par tous moiens, donnant assistance à

    là-dessus // [marge gauche : // esperant vous fayre plus ample despeche après le retour dung gentilhomme que je delibère

    opinion seront retournez. Vous regarderez à dissoudre par vives

    De neufville s[ecretair]e

    que je recongnoys deppendre après la declaration de mon voulloir de la

    de tenir exactement la main à lobservation dudit eedict, pryant Dieu, mon

    dernier edict de paciffication que je nay voulu differer davantaige à vous faire

    de ce moys ce que je ney volu que jusques au XXVe, car

    autre chose, pryant Dieu, monsieur de Gordes, quil vous

    tienne en sa sainte et digne garde. Escript à Paris, le

    que vous ne [mot barré] soyés mal satisfayct // [// de moy pour] [barré : que] la pacience

    à la descretion des meschans ; chose qui me poise à bon droict tellement sur

    ne fault pas doubter, syre, que votre court de parlement ne le

    tout estoict habandonné et à la discretion des meschans, chose qui me poise à

    Vostre entierement meilleur

    que pour gaigner temps durant le quel ilz se fortiffient

    très agreable, priant surce le Createur, monsieur de Gordes, vous avoir en sa

    Caterine

    que mon cousin le marechal de Damville leur a accordée pour tout ce moys. Je nay

    parce que lesdits Suisses nont pas un solz, de

    tresorier de ce païs ou daller tenir prison

    oultre lasseurance que de tout temps avons eue de votre entière volonté et affection

    en [espace blanc] pour faire monstre en icelluy

    donner, monsieur de Gordes, ce que plus desirez. De

    yl puisse tirer servise pour sa majesté et que le destituez

    Lyon. Priant Dieu, monsieur de Gordes, quil vous ayt en sa saincte garde.

    concernant le faict de la religion, noz seurtez, justice et pollice ; nous vous dirons

    et lauctorité de messire Marc Tribillet son curateur

    se rendoit et qu’on luy feist bone guerre ; mais come l’aultre

    Dernyerement, estant en ladite ville d’Avignon communiquère avecq

    La Bosme cornillaine : XVm p. XVp. vin –

    Le XXIXe dudit [barré : moys] moys de novembre, jeuz advis comment ledit sieur de St Romain

    articles par lesquelz entendrés plus au long le tout. Touchant lartillerie et

    religion auront occasion de se departir de la doubte et craincte de laquelle

    en repos audit Genève, suyvant le conseill de mes amys ;

    noz soldatz. Priant Dieu qui soyt

    trouvoit comme nous adviserons, nous asseurant

    tout le bestailh de Sirone et dung aultre massagier appellé

    souffre aient heu adviz quilz y vouloit ausi aller lasiéger.

    neccesité nous pressoyt mestre nombre suffizant

    Arnaud, Sebastien Giroard, consulz modernes dudit Taulignan, jehan Tourtel,

    memist à leur place sans mandement aulcung de cez suerieurs,

    à lendroict des bons subiectz de sa magesté ; surquoy, desirant prouvoir

    gens de guerre et garnisons, sans que de votre cousté y commettiez pour

    cession qu’ilz ont faicte de Chippres à son maistre,

    sil est bien ou mal prins, et quant à Pommerol, daultant quil estoit

    Le vingt huictiesme dudit, il remist son gouvernement en mains dudit sieur commandeur

    Escript à Montpellier, ce XXVIIe jour de decembre 1573.

    des querelles qui peuvent estre entre aucuns

    Toutesfois, ilz ne considèrent que ladite damoiselle est noble

    les chemins clos auquelz ne bouge, ny jour,

    voz moyens et credit (si aulcun en avez) encores ceulx qui nous ont joué ce beau

    Pour Rozans : XXV morte payes à la tour

    le duc d’Alba d’aultre, le premier venant dez

    Je vouldroys que feussent à Saincte Claire, celes que y soloys

    lieu est plus dangereux

    rons. Il fault reserver la prise des

    dix galères remoque et font escorte aux navires qui porte

    pour son arrièregarde ; et les aultres dix gallées remoquent et font scorte aux

    ce que mappartient, suyvant les editz de sa maiesté

    monsieur qu’il vous doint en pa[r]faicte santé très bonne et longue vie, de

    me touchoit particulièrement ; et masseurant que pour lamour de moy vous

    se font seulement contre ceulx de la religion. Vella ce qu’en ay peu entendre car

    vous mobligeriés grandement à vous que sera

    sarés dire, fores que je viz [barré : tou] toutes chozes disposer à la pez, me

    serviteur

    m’ayent tenu leur promesse ; je croy monseigneur que le roy vous a mandé

    davoir votre expedition à Rome et que vous povés

    service

    monsieur, en très parfaicte santé longue et heureuse vie

    Joseph Arnolfini

    signé de ma main, surquoy, se sont faict les cottizations des feuz pour

    avec ceste lettre tout ce quilz en ont faict ensemble, tant

    de Beaucaire, mais il dict au chanoine du Puy

    Je persiste à mon advis quil ne sera hors de propos que faisiés ung voyaige par deça.

    demande près de qu[a]tre vyns quyntaux de foyen,

    Monseigneur, vous donner en saincté très longue et

    dhure à aultre Laval. Je prye Dieu le nous envoyer en

    quele madame de Gordes a ouverte. Je ney point failli

    Marg[ueri]te de simienne

    vie. De Lion, ce XXVIIe d’aoust 1571

    Balthesard estes en bone senté. Iay faict mettre entre

    Je ne scay sy avés sceu commant madamoyselle

    depeche letres de mon dit sieur de La Coste.

    matin pour aller faire la reverense à monseigneur le conte de

    deliberé aller en court suivant [barré : une] la permission que

    les monstres desdites compaignies, lesquelz jactendray à Vallence où jespère

    avec commission expresse du roy pour le fère

    que si je ne la voyois là, je la pourroys bien voyr [barré : la] à Laval et en voz

    la comette quon vit à Grenoble fut veue par tout

    rien encor descheu que jusques à la feste Saint Jehan

    sont parti se jourdui pour aller voir monsieur le conte

    que infailhiblement passera par Grenoble suyvant

    abus, qui me sera acroissement dobligation pour vous faire bien humble

    le tresorier de lespargne quatre mil livres sur nous trois

    pour la quelle ilz deussent attendre la venue du roy, ny

    De la plus votre petite maison d’Allès, ce penultième aoust

    qui peult avoir donné cest advis, si ce nest monsieur de Chastellart.

    jusques audit Gênes, où nous esperons trouver encores monsieur de Laval votre filz acompagné

    faire ledit pein des ven

    affection que jen supplie notre seigneur vous donner

    ains men retournay [barré : avec] trouver mon-

    maist mys en votre malle grasse, quar jaimerès mieulx nevoyr

    et Conndé ; et quil ne se feysoueyct pouynt ho bien peu de

    de Tullins où messieurs de Grenoble et president Bellievre

    demander comme cy devant de la part de ladite ville, quil vous plaise

    sepmaine que les loups ne ravissent de

    hont tenu que pour chescung soldat soffizoit à raison de ung seul

    du prochain retour de monseigneur de Nevers, lequel doibt arriver à Marseille

    en voz bonnes grases, que ie sallue de mes très humbles

    pour aller habiter ailleurs, chose qui est bien grandement à deplorer ; et Dieu vueille

    assemblée exède bien lédit du roy, comme ilz font

    lya de la pitié de tous coustés et attandent ce que il vous

    votre bonne grace, à laquelle très humblement me recommande.

    ce troy[sièm]e jr du mois de septembre 1571

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bonne grace et prie

    De là, je men yray à Aurenge pour adviser à

    faire plus de replique, [barré : quy] ma companie prandra la routte de Metz.

    plustost que le XVe du prochain. Les royne et prince de

    très humbles serviteurs et à votre bonne grace, à laquelle

    Meulhon mon père, et lantière ammitié [barré : et lantière]

    ensamblement pour leur soullagement, comme plus

    pour y procedder. En ce faisant, on porra

    La pailhe est bonne et en lieu aysé de charroit,

    ce mot de nereyade feut mal pris de madame de St-Marcel et

    avoyent faict les eaulx en vous prés ; et estant sur

    avoir achevé en ceste ville. Toutefoys, je y ferey

    ce plainderèt ou demanderèt aulcune chose, daventaige, jay faict

    et heureuse vie. De La Boisse, ce

    que aultre serviteur que vous ayés, au nombre desquels

    nouvelles de ceste court où ons attent monsieur ladmiral dans quatre

    nouvelles, jey tout aussi tost faict renouveller ladite

    y passent et se maintienent fort paisiblement

    vous et ne passerez ceste ville ny les montz, si aultre chose

    se firent à Thullins dimanche dernier pour madame de Vyney de sa

    et ce pendant que cela ce faisoit, il a esté fort

    à vous et aux votres. Et esperant vous venir embrief, je me

    du mariage de madamoyselle de Sault et dung gentilhomme,

    je suis fort pressé. Toutesfois, monseigneur, si je pensois quil vous

    vous en faire entendre. Et actandant que jaye ce bien de vous voir, je

    la de pansse que nous fesont. [barré : S] Et ne

    monseigneur, vous presentant nous très humbles recommandations

    quelque chose que mimporte, vous adseurant que je laisserois la

    voir madame de Casanove [barré : et] madame de Gordes et messieurs

    finiray par mes très affectionnées recommandations

    entreprendre sur le service du roy et liberté de la ville pour laffluence

    monsieur de Chapponay present pourteur, je ne faudrey vous en

    grace, priantz Dieu,

    de La Terrasse, nous avons assés temps

    hune pansion asés de sanc pystoles. Quest tout se que

    et au Crest et sont estez receus des consulz desdits lieux de

    et de Veynes, ausquelz j’en escriptz presentement,

    de lun des plus afictionés qui puyssent estre à votre

    longue vie, et à moy tant de bon heur que de vous

    voulonté de vouz estre toutgior serviteur et de

    quil prent grande colleur. Sil vous vient à propoz,

    sil nen est rien, loué soyt Dieu, sil en est quelque chose, nous ne

    et je metray peyne de vous y recepvoyr et faire la

    de Nevers de mon nepveu de Laval. Je ne

    ont advisé recouvrer à vous de nouveau et vous envoyer

    monsieur, en très bonne santé, heureuse et longue vie.

    de la court ; et se trouvant ja icy ledict sergent avec le

    de la court ; et se trouvant ja icy ledict sergent avec le

    est sur le golfe de Venise, ce qui rendroye peu

    et très heureuse vie. De Grenoble,

    tint, après mavoir protesté quil ny avoit seigneur en France, fussent

    courir à son acostumée visiter les fortz de L’Anunciade et

    endroyt, très humblemant à votre bonne grace. Je prie le

    que les sieurs d’Ambres et de Crillon les jeunes

    recommandé à voz bonnes graces, je prieray Dieu

    Vostre très humble et très obeissante fille

    devant ses yeux. Toutesfois, elle sen resoult

    qu’a entrepris mon neveu de Laval. Je prie Dieu le nous ramener aussi

    à se porger. Me semble que à presant elle

    que ne layés trouvé bon. Je vous supplierey me tenir

    pour son voiaige de la court. Lon ma mandé que lon a asigné

    lettre de madame de Bressieux par la quelle elle

    intention, qui sera lendroict où, après vous avoyr presenté

    messon toute ma vie, priant le Seigneur

    trover larmée dez Venitiens. Je prye à Notre Seigneur le volloyr

    aynsi vous plait, je vous acompagneray à luy baiser les

    est bien, si lesdits sieurs de la cour des comptes avoient

    des hommes est si grande que ilz ne craignent donner occassion

    pour prière quil luy sceust faire, il ne se voulsist

    de ses trop amples ou vagues responces que vous nestiés

    que je ne veux plus differer de la reabiller de muraille et quelle

    luy doinct grace, estre tel et sellon la bonne opinion quil vous plaict

    vous mercyer humblement la bonne volunté quil

    loccasion ce presente, je vous puys asseurer,

    de la mauvaise opinion quil plaict à monsieur des Adrés

    et votre actache, qui est une chose si raisonnable que je ne feray

    Cependant, je me recommanderay humblement à votre bone grace

    monsieur d’Ourche vous escrivit se iour là [barré : if] il fut alla

    la cause que ne vous hout peu faire responce et

    jours à Annonay et Sainct-Pierre-de-Beuf, passant sur le pont

    pour veoyr sil auroit moyen de satisfaire à la partie, mais je nay

    bon, leque [barré : je p] jay ballye audict muletyer. Et

    monsegneur très longue et heureuse vie. De Grenoble, ce 26 septembre

    costé on affaire à une home de cour et supporte ; et que de laultre

    Quant à monsieur le chancellier, ce bruict pourroyt

    sans enfant masles, mais aussi au cas que après lesdits enfans masles vensent

    di vostra segnoria moi

    les moiens que jay pour vous faire service, le vous ferey

    en revencher, que sera tousiours commencement de

    seigneur de Montlehuc qui vous en dyra plus

    Pour lhomme darmes chacun jour

    et mènent avecques eulx et gardent nuict et jour en

    Dieu vous donner, messieurs, en bonne santé, longue et

    je serey tousiour très ayse qu’on leur rue sus pour les

    aulcung arest ou empechemant, sur peyne de desobeyssance,

    et recommandations tant et si souvant que

    en recepvoir de mesmes. Ledit Margailler et ministre

    feust dict par autre personnaige quon voulloyt faire ung mariaige dung lyon

    passaige à ce que porte ledit adviz et avec layde de ceulx de Pragella, vous

    celluy des pareatis ; le faict du sel pour avoir raison des restatz et deniers advancés pour

    avoit receu une lettre de monseigneur de Gordes de ne relaxer

    de monsieur de Maugeron [barré : qui] lequel estoyt envoyé tant en Languedoc

    vous aller baisser les mains, à

    se trouveront tout à Vortemyse ; et ilz font bruyt que monsieur

    du personnage qui sount en ceste court, ayant ouy quelque

    d’Ambrun est de ce nombre, que ne sera pas petit bien

    remedier que par ce que le roy vous en a escrit cy devant

    avec quelques estrangiers en sperance quilz seront secouruz

    entens proceder, affin que vous en soyés instruict amplement

    ha retardé jusques yci pour la multitude de affères dudit sieur dataire.

    de nombre dhommes quil y a. Je prierey votre grandeur me

    dit La Motte cest exampté de ce lieu et ny a remis de sa vye

    de deux jours pour donner ung peu dordre en ce lieu où ilz

    fortiffié leur eglise et y ont mis forces

    darranter Caseneufve, il y a desià un qui est bien solvable

    dict paquet à madame la contesse de Grignan,

    fort aux affaires de son royaulme et ne sest fally guères de jours depuys la

    à Gordes, et serons empechés, si Dieu veult que nous allions

    Orpiarre que alieurs, lequel ilz ont tant en leur

    avoit excepté. Je doibs avoir icy à ceste chandeleur les colonels et

    baillies en ayde supportent la despence sans expoir de remboursement sur ledit

    voyés ce que ie leur escris pour me decharger de vous faire une

    pour les chevaulx legers de Savoye, dont il ne sest volu charger, sur ce quil [barré : ne] dict

    la soustenir ; que sur ce quest de la despence supportée et des libertés et polices

    premier advocat du roy et bien scavant, le quel a bonne

    gaigner la despence que cousteroit au païs de faire la demolition dicelles ; et quant au

    que mondit sieur d’Ourche vous escripra au long,

    mes bien humbles recommandations à voz bonnes graces, faisant

    grandement necessaire et non de grand coustanse. Mondit sieur

    mesmes voyes que desdites deffences lempesche et requiers lobservation

    vous mescrivés. Il semble quelle y a une singulière affection

    envoye icy son enseigne ou aultre tel quil advisera

    quarenteine le VIIIe de fevrier, comme avés escrit et le

    descouvrir ses complices, car je me doubte fort quil en debvoyt avoyr dans la ville.

    Votre très humble allié et

    vous mescrivés. Il semble quelle y a une singulière affection

    feray humble service particullier quelque part

    letre du roy du XX. Jen ay faict de mesmes au sieur

    que sa magesté nembrasse ce faict daultre sorte. Je ne

    fère quelque bon service. Je pence bien que

    des forces à Adyacq, St Quentin, Sainct Jullien du Chasteil et quil en venoit daultres

    longue et heureuse vye. De Grenoble, ce premier fevrier 1574.

    de plus de cent, tant quatholizés que papistes. Ie vous

    que vous envoye ; yl vous hont donné en tandre

    pour aller au davent du duc d’Albe qui passoit en

    pernitieuse vollonté, ilz cen devroyent despartyr pour jamays, ayant desia estées deschargées des tailles extraordinaires

    lequel men dirat toutes nouvelles. Je salue voz bonnes graces par mes très humbles recommandations,

    serviteur prest à vous obeyr

    selon les memoires quil nous mandera quant à ce que les

    monsieur, vous doner en santé heureuse et longue vie.

    quest contenu au reglement jà observé des deux moys ; tellement

    lordonnance sur ce faicte par monseigneur de Gordes,

    monsieur, en santé très heureuse et longue vie, et

    des actes, avons icelluy La Barre condempné

    veult fère du jeune Truyère et du consul de Chateaudouble

    passer à Guysans. Ilz menassent aussy fort

    La Tour, de prier le dist sieur de Sainst Rens lan vouloyr

    St Vallier, ne scachant si à ce ilz ont

    ny les pans de lenceinte de leurs muralhies, semblablement

    jour de fevrier 1574

    vous voyés la seyson et aussi monsieur, quon est sus quelque confference pour

    encoures faict entendre que si ledit seigneur ne ce fut trouvé ces jours passés à Aix, quil y avoit une eslevation

    ces messieurs pensans y avoir esgard de passer oultre ; et sil

    quil vous plaise nous despartir quelques forces de cheval pour nous

    roy escrit ce mesme langaige et que les princes escrivent aussi en françois

    ce IIIIme febvrier 1574

    Vostre très humble filz et très hobeissant serviteur

    administration, laquelle occasion aveq lesperance que jay de votre bonne volunté

    monsieur de Farx est allé à

    par celluy qui estoit ici pour le Comtat qui vous aura randu ausy

    dans bien peu dheure fortiffier et mectre en deffence. Toutesfoys,

    monseigneur, quil vous doint santé, longue et heureuse

    licensiés en Provence se rendent avec eulx. Ilz

    peu avoir de ceulx des montaignes engagez à

    passer obligation des arreyrages luy debvions, nayant peu

    province. Je vous envoie les lettres que les cappitaynes

    qu’encor que le jour les surprint ou quilz fussent descovertz dautrement et nous forcèrent

    lequel couche au bas, là où lons met ceulx de

    garde et navons besoing de forces quand à present car sont arrivés

    monseigneur, quy vous conserve en très parfaicte santé longue

    me les aura despeché, que jespère estre faict

    et pied dicelle montaigne en lieu limitrophe), y ont tué ung

    au long et de leurs intelligences et apprestz

    cappitaine Minand. Ceulx de Chanseaulx ne font point

    Jey payé aux clercz en greffe et des comptes quatre testons pour les enregistrer

    à la demande insciville sur laquelle navez besoing

    monsieur de Gordes, en parfaicte santé, contente et longue vie. De Montpellier,

    toucher, encores que vous tenés lieu où vous avés toute puyssance ;

    vye. De Montellier, ce VIIe febvrier 1574.

    tumber, comme ma dit et rapporté celluy que je y

    recommandations à votre bonne grace, quil vous doint,

    Balme qui est dans La Mure. Jespère qung jourt le peché le menrra où il merite. Ce nest pas [barré : daultre] dauiourduy que les nouvelles

    mère le garde ausy pour quelque resantiment de mal

    que le Cadet de Voguedemar avoit avec Lesdiguyères pour leur remetre ces

    d'aussy bon cueur que je me recommande très affecteusement à votre

    le vieulx et son plus jeune frère audit lieu

    de quoy vous ay bien volleu donner advis.

    se doivent randre à Chorges et ne bougent dung lieu tant quilz y

    venir à la conference et le sieur de Lartusière sen va par le commandement de mondit

    monseigneur, vous conserver en sa très saincte et digne garde. De

    et si vous scaviés combien ce fait nous touche et plus

    par le decès dudit Belle, de laquelle je vous avois par cy devant escript

    et croy que monsieur de La Chevilliée vous en peult assurer,

    Quant au faict de La Mure, tout est bien allé jusques

    Thomasset

    asister à sa magesté de bon conseil et luy fère la grace

    son logis quil avoyt en la ville, prins ses pistolles questoient

    des dernières. Je ne scay que lempesche à mescripre, si nest le

    pleu me faire entendre. Vous scavez [barré : p] que lauditeur

    dressés. Il ce fault bien recommander à Dieu estent en ung

    maladye qui laccompagnerat jusques à tumbeau, quelles honnestes lettres que mondit sieur d’Evènes vous escrivis quil luy

    tropt tardif ; et les trouvant comme il sen fuiyoit aux faulx bourgs,

    mais pour le moins nous en debvoit donner advertissement.

    que de men retorner au plus tost pour vous hobéir et rendre

    actes contraires à la suspention darmes accordée jusques

    quelques arquebuziers que lon porroit truver icy leur

    de le relaxer, chose de très mauvayse consequence et

    arés ceste despeche ne la fault envoier icy, nestent

    monseigneur le prince dauphinnpar voie de la poste, par la

    grandes folles et charges qu’ilz ont supporté et

    bien humblement des biens quil vous a pleu luy offrir, et

    Xe febvrier 1574.

    recouvrer que ce jourd’huy, dont je vous supplie bien humblement

    eust des soldatz icy. A ceste cause, ils mont

    vychastellain et par luy employées es reparations

    vychastellain et par luy employées es reparations

    attaqué de diverses sortes. Cela a esté cause que le

    celle qui a tant dict cy devant des nouvelles de

    humbles recommendations à vous bonnes graces, supplie le Createur,

    les santanses arbitrales et leur desein etoyt de me desezir

    volanté et commandemant ; e[t] celon yceluy, je len

    serviteur Prunier

    pour luy, estant celluy qui est dedans bien homme de bien et non

    le nombre de cinquante, le sieur Lagrange et son enseigne

    ne feray faulte vous advertir. Jay esté veoir ce matin madamoiselle de

    servitur et que ne desire sinon ocation de vous servir an tus

    janvier de lennée passée seront Vic l.ts quil aura eu de moy ; et

    Charles de simienne.

    recommandations et ce plaing de ce que ne luy faictes responce de ces

    nette, comme il vous dira, sil vous plaist

    et contante vie. D’Apt, ce XIme fevrier 1574. Si la presente

    la descente et passage de leursdites marchandises, sasseurans de

    le reste à la première asseurance que je trouveray, vous baisant

    par sa lettre, le double de la quelle mavés envoyé, quilz

    et contante vie. D’Apt, ce XIme fevrier 1574. Si la presente

    guerres atant dheure à autre de recouvrer cellui

    an bonne santé. Je ne say sy monsieur d’Evènes

    et touttes mes hardes par les voicturiers de Lyon et que iaye reduict

    environs de leur porter davivres et munitions,

    ou plus necessère den avoir icy comme Embrun et à Brianson,

    telles nouvelles pour argent content. Nous en saurons bien toust la verité. Ledit seigneur de Maugiron ma dit que sil ce fut

    ducatz deubz à sa maiesté à monsieur le trezorier ycy

    mander la resolution, laquelle jey

    requis à cause des troubles, lon ne peult fère

    fortiffient journellement des soldatz quatholiques que se retirent

    luy ferés la fère metre dedans. Monsieur Du

    cest effaict, il vous plairra veoir une lettre que nous a esté escripte comme à

    quarante deux quinctz foin ; que seroit chose

    letat de mes afères et de ma santé, hobeysan à vos

    qui leur doibt venir.

    afin que librement chacung puisse vaquer à la

    ay de me bien deffandre, je spereroys que le service du roy en seroyt

    me fournissant du mandemet de messieurs les commis du païs de

    darmes. Et nestant la presente pour autre effect, je prye Dieu vous donner,

    en blanc, je vous diray que ledit trompette me rapporte

    septiesme, et depuis estoit double tierce ;

    Monestier est allé à La Mure, lequel visitera les chateaux pour y faire

    de Montmoranci et sil vient à propos en parleray à

    et luy a parlé [barré : des] dung depeche general pour la negotiation

    faire bien tost après ; je masseure que vous troverés aussi mal

    pertuys de canons et faict de barbocanes au clocher pour soy deffendre,

    font contre nous. La suffisance du porteur nous gardera vous

    au lieu où lesdits sieurs de Maugiron et Montbrun s'aboucheront, si vous

    trouver ; et despartans dudit Angrogne soubz la conduicte dudit La Forestz, passarent par

    repoz de ses subiectz. Nous verrons que prouffitera ledit sieur

    lon ne se jette dans le Graysivodan, que

    de sa volunté. Je luy en ay escript bien au long suyvant

    quavons esté si deniers manquent au plus gros de noz affaires, lesquelz

    à vous faire service Fisses.

    fin par mes bien humbles recommandations à votre bonne grace, priant le Createur

    cherché toutes les occasions de demettre cestuy La Balme

    Bourgel furent tuez, revynt hyer comme jestoys de garde

    leur accorder ce quilz vous demandent par

    les meins ou je vous heusse envoyé le sieur de Condilhac mon

    que sera de besoing. Nous avons heu aultre advertissement que lennemy se

    de ceste ville, actendant de voz nouvelles. Pour le present,

    et faict response silz seront de cest advis ou non. Je vous ay escrit que

    fevrier 1574.votre humble et obeissante

    receu celle de monsieur de La Roche. Le cappitaine La Couste, present pourteur, ma particulierement discouru de lallarme

    febvrier 1574.

    avoyt receu le jour de hier entre

    Pelloux et le petit Amauze et avoient heu

    grace, suplient Dieu vous donner, monsieur, longue vye.

    Rippert du Montellimar, quy san alloyt an poste

    prions Dieu,

    mander gens aulx avenues. Ceulx de Valoyze hont

    quintaulx trois cars et tiert daultre, que seront

    rendre icy en cas de necessité, quilz nen ferroient aulcung reffuz. Et parce

    solz tous les jours. Je dis du moyns et quant je

    du Monestier oùt ledit cappitaine et moy sommes, est

    gentz de ce pays avec layde de monsieur de La Casete,

    troys centz arquebuziers, desquelz prethandant

    Le lendemain, qui estoyt hyer, nous eusmes nouvelles quilz estoyent

    recommandations, pryant Dieu quil vous doient en sancté

    bonnes graces par mes très humbles recommandations, priant Notre Seigneur vous donner

    monsieur, en santé longue et heureuse vye. De Grenoble,

    tout ce quest à la Tresaurerie et scavoir delle si elle a faulte daulcune

    dans ce chasteau qui est tel quilz ny ont du tout rien layssé à

    surprins, lequel ne veult obeir aux lettres dudit sieur de St-Romain, ny à celles du[barré : dit] sieur de

    Oultre la garnison questoyt audit lieu de

    mezure quilz ne trouveront prisonnyers, quilz sattaquent aus meteries, laboureurs et bestail, dont la paix que

    prins des deniers en peys pour payer la compaignie que vous

    son devoyr, jestime que lennemy ny gagnera que le froit

    magestés de ce particulier que de nul autre ; de mesme

    ce mois de fevrier, il a fait de si grands frois que ma fille et

    ce nestoit grand-chose de la dite entreprise. Je ne

    de St Jeran ; toutesfois, elle ne men a riens dict, mais il

    ne faudrey vous tenir adverty de ce quil surviendra, cependant

    de Seint André me vizite tous les jours de voutre par et

    messieurs de La Tivolière et du Monestier en bone volonté

    ce passage. Ceulx de Chorges sont encores là en

    mandement. Sil vous plaisoyt de faire commandement au cappitaine

    monsieur, en très bonne santé, très longue et heureuse

    mais non de corde pource que sen guate

    vie. De Grenoble, ce XIXme febvrier 1574.

    avés à escripre à monsieur de Chart[elard] de les solliciter, car avant silz soient

    couleuvrines et balles dicelles avec environ [blanc]

    Sainct Vidal qu’il me mande les moyens quil peult avoir pour après prouvoir à la

    arières, mès ce ha esté sans despense. Je prieray surce le

    par provision actendant votre bone volunté, nous avons commandé au

    men retourner par devers vous. Monsieur de Chatellard

    quilz leur font. Qui me faict vous supplier très humblement, monseigneur,

    le droit et la raison dun chacun. Jeusse pieça suivy

    gibier. Il me dit que tout chaut il aloyt vous trover. Je

    serviteur

    Vallier adressé à monsieur l’enfermier de St Pierre. Nous avons mandé

    Votre très humble et aubeyssant

    quatre à cinq centz arquebuziers ycy au près pour me

    damoyselle et tous les meubles que avés en ceste ville, oultre le

    mienes du XX et XXI, je vous fesoys entendre comme le

    former leur procès par Bonvert dont confesse quil est vray

    ce quilz porront fère sil se presente quelque occasion à celle fin que silz

    se a esté [barré : qu] ny qu’a faict ceste heuvre. Je heus hier des lettres de

    longue vye. De Tournon, ce XXIIIe fevrier 1574.

    et à ce quilz se tiennent preparés au premier advertissement,

    en cella gratiffyer de quelque choze vers

    autent je vous prie, monseignieur, di vouloyr considerer,

    monsieur de La Tivollyère et du sieur du Monestier,

    pour les secourir. Et masseurant que

    feut hier, incité ou supporté de ie ne scay quelz, il dressa une [barré : emp] embusche en

    avoir veu mort et le nonbre de gens qui peuve

    parmy eulx sans quil as peu eschapper. Quant au courrier,

    à Vallence. Sy je ne pençoys estre importun

    de Pologne ; et selon eus, je me resoudray si ce nest, monseigneur, que

    ne me fournissent que de païsans qui nont jamais pourter les

    examiné du nonbre qui pouvyons estre et quel gens,

    avec sinq cens harquebuziers et ce matin, sur les deux heures,

    mot quil en fournisent quand sera de besoing et pour le

    troubles et que lennemy se prepare nous en donner devantaige,

    que navés plustost esté informé. Il est despuis

    tousiours prest recepvoir voz bons plaisirs, priant le Createur

    singulier plaisir pour la recommandation qui m'en a esté faicte de

    auroient moyen de recouvrer ce que monsieur de Moydieu leur doibt

    par ladite lettre. Quelcung de noz vous fust allé

    1574.

    est bien fort savant de tout ce qui se traicte à la court pour vous

    Briançon pour estre le lieu foible et mal garni de

    [ajouté : aussy] dans troys ou quatre jours ce seysyr deste vylle et de

    que ne faudront in continant vous houbeyr. Ne sachant autre

    esté sans vous en souhaicter quelqu’une, de laquelle jespere

    Corradino vacca.

    pagar le sopra detta cette celatte per questo desiderando

    faict à Blois, le XVIe jour d’aoust 1572

    vous donner

    à l’université à la rue des Amandiers, à l’enseigne de l’Autruche, en

    d’Angleterre, lesquelles je garde pour leur porter, voiant

    aller au plus tost, dont ie n’espère partir de quelques

    l’assurance que j’ay qu’elle vous en aura autant escript

    ne sera pas aysé. Je le prie surseoir l’affère sans prendre

    vostre très humble et très obéissant filz

    à Monseigneur de la levée de monsieur des Adrés pour descharger

    bien que les causes de récusations feussent par trop frivolles,

    compagnie au Landy avec ung coche que Monsieur de Montmorin me prestoit.

    de Pourrières et monsieur de Lanois et n’ay rien advansé

    et eschevins de ladite ville de Paris en leur collation qui y fut préparée et par mesme

    et honorable. On luy gardoit la foy et à toutz les Espaignolz qui estoyent avec luy ; l’on dit que le

    la guerre avec le roy catholique se déclaire.

    n’ay voullu faillir et de vous en prier de tout mon cueur si c’est

    point le cours du marché, ie n’en pourois parler

    d’argent à cinq ou six centz mille escutz. Toutz ceus de la religion ont asseuré leurs magestés ces nouvelles

    de ses compagnons. Croyez Monsieur sil

    seroit conforme à la lettre que à sa faveur sur la notre nous avez

    encore que de droit, il eust esté raisonnable de ne faire division

    Paris et de Lyon et depuis n’ont continué. Tout ce que je vous puis

    et estant festoyé en certaines bones maisons.

    solempnité en Ast avec feuz de joye et

    que je vous envoye, ne s’en contantans,

    plussieurs aultres de la religion me chargarent à coubz d’espée

    et aussy nous prolonger le temps qu’il vous

    qui pa[r] vous ne me soit commandé. je vous suplieray

    la fin il ni ara rien de bon pour moy, il faudra

    grâce, quil voz plaize davoir pitié de moy et de

    Comme ladite reyne mère du roy sen allast à sa salle pour soupper, monsieur lamiral ce retira. Ainsi

    Serviteur

    apparence quelle sevanoira. Si est ce que jentens

    laisser perdre mes droictz sur les faveurs qu’a ma partye, aulx quelles

    et moy avec eulx, de ne passer ledit Beaufort

    Les douze gallères qui ont naguières passé en Espaigne

    bien tost arriver. Les sieurs de Briquemaut, de Teliny et

    me faict entendre apparoir des informations prinses par le vibailly

    Montferrat, sur lequel elle pretend, combien que tous les potentatz d’Italie

    Monsegneur, en parfaicte santé, très heureuse et

    commandement et de la vollonté me recommander

    demeurant, Monsieur, je masseure que vous estes averty commes les

    desia esté payé des premiers, comme celluy que je dézire

    à Paris pour lieu de plus grande commodité. A ceste fin, lon desloge

    monseigneur, les voloir exorter et vous verrés

    Lodovico Birago

    dite armée, il y a oultre les armes ordinaires pour

    six ou sept mil livres tous les ans que les estatz de

    le IIIe de ce moyz, qui nous ont apporté

    je vous satisferay à mezure que jauray ce bien destre près de vous. Quant aux nouvelles de

    comte de Tende, lequel dict avoyr veu larmée

    jours après pour s’en aller devers vous et madicte dame. Je faictz beaucoup de regret que je ly ay

    auquazion se présentet pour resevoeyer vous

    Je masseure, quant il seroyt bien disputé

    assamblée du roy de Navarre qui est arrivé au jourdhuy

    disner. Et en vous attandant, je ferey fin à ma lettre

    mottroyer quatorze jours pour faire contribuer ceulx dudit

    en moy toute dévotion et obéissance, partyes que

    nous estappes et nous garder de inconvenient,

    attaché à cestuicy affin que s’il est entre cy et là, il le puisse recevoir.

    Ledit Doria ayant esté mandé pour aller treuver

    Votre très humble serviteur

    bien humblement comme aussy je fais messieurs de Laval, d’Eveynes

    au rencontre de madame la comtesse sa femme,

    je me feusse treuver à Grenoble pour veoyr messieurs les

    l’ambassadeur de Venise résidant près monsieur de Savoye, desquelles je vous fait part

    comptes de monsieur d’Aubignay touchant mes couzins messieurs

    Madame la présidente de Fuveau en demande cinq mil

    soient hencour bougés et remués ailleurs

    prison et des mains des Turcs, trois chevaliers de Malte

    sommes encores à recevoir la despeche qu’avés faicte par l’homme de

    la response de monsieur le président de

    Monsieur le comte de Ventadour doibt estre

    et laissa le roy à Mardrit qui s’en

    sont quelques foiz contrainctz d’aller à pied à faulte de chevaulx. Je

    qui semblablement estoient à la chesne, ce qu’il a faict de ses deniers, disant sur plus que son voiage

    quilz sont tous parentz ; qui sera la fin, actendant vous

    adviendra aulcune faulte et soubz ceste opinion à se, avec

    obtenue contre monsieur d’Uriage au parlement de

    -mère et Madame sont à Sainct Mort. Tout se doibt rassembler dans

    Suze

    donne soupson que ce ne soit pour ceste ville ou pour le pays du

    là. Je prieray Dieu

    hommes de pié et huit à neuf mille chevaux an canpaigne

    faire umble service d’aussy bon cœur que je prie à

    l’ocasion de m’en donner quelque village bel

    ne s’avanceast tant que premier il n’ait receu luy mesmes argent ou qu’il n’ait

    le siège aye esté levé devant Castelnovo se

    je vous obéiray comme celluy qui désire vous estre à jamais

    plet, conbien que se me seroit un gran contentement destre en votre conpagnie et que ie vous

    long tamps que jay heu novelles d’Apt. Tous se portent bien. Mon cousin

    Monsieur, quil vous doint en santé bonne et longue vie. De

    le XVIme jour de juillet 1572 .S.

    de loyseau et cy le me donnez, il sera tous jours votre ; cyl

    Votre très humble et très obéissant

    complir daussy bon cueur que me recommande

    je masseure quaurez receu ma lettre et pour cela, nayant pour ceste heure,

    m’est venu trover exprès de la part de la communauté avec

    pourrey de la mesme vollenté et affection que je

    et par luy envoié pour nous supplier de bailler la cure dudict Villette

    deux

    très humbles. De Vyfz, à votre meson, ce XVIIe juilletz

    jensuyvrey et hobeyrey de poinct en poinct

    ay mandé, il n’y a aucun de leurs cappitaines, sinon quelques

    son dict argent, lequel il recepvra, ayant faicte déclaration comme

    ici ung laquay et m’a mandé une lettre que vous luy escriviés

    généralle, vous l’auriez jà sceue. Je me recommanderay humblement

    cadet. Ilia plus de quattre moys que je n’ay aulcunes

    Monsieur, en très bonne santé, longue et contente vie. A Marseille, le

    la collicque qu’est vanteuse. Et y avoit bien une année

    piésa de fère icy les III mois qui seront

    sa sainte guarde et vouloir conduire en bonne santé messieurs

    que monsieur le president Truchon estoit malade à la mort et

    que plustost il vous debvoit avoir faict entendre celle resolution

    digne de vous estre escript, je finerey la presente

    moy est en fort bone sancté, grâcez à Notre Seigneur, lequel je prie vous doner, monsieur, en très bone

    en votre gouvernement pour Piedmont ne seront si tost licentiées. Je

    bien humblement à votre bonne grâce et prie Notre Seigneur quil

    séjournent ne aillent à la fille, sinon en trouppe et tout à ung coup,

    cartiers pour lever vingt compagnies, et neantmoings, déià soubz main et sans

    Fléhard a dict publiquement avoir heu lettre du XIIe

    est à Messine avec ses forces . On ne sçait encores quel

    Borye

    en la maison dudit Brunat, qui pour lors estoit

    me samble que ce sera bien tost. Je nay

    va voyr toutes les sebmaines monsieur de Cabans. Jay sperence en Dieu

    ce pandant tant de soldats quil mest possible ; et panssant

    La reyne, mer du roy, est partye ce mesme jourt pour aller à Monceau y attendre madame de Lorrayne, laquelle

    son frère en arrière, et ses propres poursuittes, pour donner

    recommandations, priant Dieu,

    serviteur

    de ceux de Bardonèche qui n’ont voulu obéir jusques icy pour eux

    je nay esté encores voyr. Je vous supplie monsieur,

    contentement daussy bon cueur que je prie le Créateur

    Monsieur, an très bonne santé heureuse longue vie.

    davantaige, ou que du moins le compte eust esté rond

    duquel illa esté sègné, au moyen de quoy je pance

    Monsieur en parfaicte santé très heureuse et longue vie. De Paris, le

    jours qu’il est icy, il nous en ha demy atté l’opignion, mais non toute, car

    et informer sur ce. De ce que naura esté faict

    serviteur à jamais

    vous suppliant, monseigneur, me pardonner si je me suys dispancé

    aller à Fenestrelles, comme aussy au matin quelque nombre des compagnies

    Monsieur, en parfaicte prosperité, très bonne et brefve

    enfantement. Jay entendu comme le roy met sa

    veuille donner

    que pour la prospérité de ce bon personnage. La perte du quel

    après m’estre bien affectionnément recommandé à votre bonne

    grâce pour luy. Mon dit seieur amiral

    Jay toute ma vie heu a surence que vous m’étiés

    party dicy pour aller querir loyseau, receux votre lettre

    de la Religion. Il ma fect ceste honneur de venir loger

    s’arrester pour la guarde et deffence des royaulmes

    que luy ferés comme faict à moy memes ; et là où jeauray

    jullet 1572

    adviendra sera pour tesmoinsgniage. Au demeurant,

    estes assés adverty de la publication des monstres de

    bon regime quil la tenu, que sans avouer prins aucune

    beaucoup redevable, daultant que par leur moyen,

    aulx Venitiens trante gallères avec six mil soldatz

    XXVIIe juillet 1572

    voyr je vous conterey de nostre discours ; je ne vous puis

    à Dieu, est très bon. Le jour que lhome de monsieur de

    pour vous remercyer bien humblement et aussi Madame de

    donner

    encors ung coup Nostre Seigneur quil vous veuille donner

    desire estre recommandé très humblement à vous bonnes graces,

    premier jour ung gentilhomme en court, lequel passera devers

    grace et suppliray Nostre Seigneur vous donner

    prudence et advis don[t] avons telle asseurance, que toutes leurs assemblées

    Monsieur, vous donner an pefecte santé, heureuse longue

    je sallue vous bonnes graces par mes très humbles

    Vostre très humble filz et très o

    et que mesmes au lieu de fornir font leurs

    De Rame

    à vostre bonne grace, priant Dieu vous donner

    ce sont hobligés et des arrerages. Je n’ay satisfet d’un

    rang. Nous vous avons envoyé la copie du cayer de la

    asseurance que leurs magestés et mondit seigneur ont de voz bonnes accions, comme ilz

    1572

    venyr vouer ce jourdhuit mondit sieur de Laval,

    de mal de teste et de reins. Nous

    les consulz de Valence

    plus desirez. De Paris, ce dernier jour de juillet 1572

    deliberation et que vous eussiez parlé avec celuy qui

    de messire Claude Corréa son lieutenant, les quelz, pour les occupa-

    Ce [pas de date]

    me trever en vostre logis de la Tresorrerie, jen confereray avec madame de

    et davant ne sera besouin sil vous plait vous metre

    de sadite charge ou [ennyellerie ?] et les mulletz emporteront sa scelle

    reuse vie. C’est à Grenoble, dernier jullet 1572.

    monsieur, en santé, heureuse vye et longue. De Grenoble,

    donné deus perdreaus que je vous envoie. Le cappitaine La Perrière ma dit de-

    Seigneur faict pour le mieulx. Janvoye ce porteur

    Jay veu par vostre lettre comme monsieur de Laval

    les gallaires de Genes sans les attendre ; que dans peu de jours,

    à vostre bonne grace, je prie le Createur vous donner,

    vous a pleu de mescripre, laquele et celes que

    Montz en Heynault, selon ce que m’en est escript de Paris par lettres du XXIIe du

    descris en l’inventaire, en quoy jay telle assistance des seigneurs que dessus,

    Il y a quatre jours que la fievre tierce la prins. Les accès en

    comme je len prie de bon cueur, si est-ce que jen seray en grand

    de soliciter qu’il vous feut mandé et au sieur Ludovic

    asseurant que nay voullu faillir memployer pour ce faire suivant

    Julles, que non pour labsence du lieutenant et quelque nombre

    je vous ay escript ; je ne vous responderay riens quand à la

    icy aultre chose. Au reste, monsieur, vous pourrez

    aussy que monsieur de Montbrun n’en fera pas moingz.

    puiz de moinz que de men sentir grandement vostre

    prisoniers, lon masseure que le duc d’Albe

    fère service et par vostre gré et consentement,

    mes très humbles rescommandations à votre bonne

    dire que ce matin, il va audit Montpellier après

    sen va vers lempereur. Ilz ont surgy à Sainct Lazère près

    grandes chaleurs qui ont esté en ses quartiers, ou bien

    le Vme jour daoust 1572.

    la suplichiamo per honore de Dio di volere

    plus de repos que auparavantz. J’advertiz monsieur de La Roche

    tant faict ce matin que Monsieur ma accordé de me

    ung tel personage que mondit sieur de Portes. Nous nous

    de croire que le plus grant désir que iaye

    Les novelles quon ma dict en ceste ville despuis

    lardeur de noz huguenotz presque refroidye. Je vous scay dire

    affectionnés et qui vous obéira toute sa vie,

    esté oublyé. J’en ay dict ce que m’a semblé, premièrement au

    et qui après contremande est, comme ledit Marron me dict,

    tost. Il vous prie ne prendre encores ceste peine de luy escrire des

    Lune du XXVIIIe juing et laultre du XXe jullet dernier

    Dieu de vous donner

    et si ne jugeriés pas à le voir au visage

    fortiffiera, nous nous en pourrons aller à S[ain]t Prie pour quelques

    à jamais

    mectre les acquitz en mains seures pour [barré : prys] relever

    des chambres au collège de Bourgongne qui ma semblé le plus propre

    monsieur le comte de Mallevrier, son gouvernement à

    nostre monstre de pardeca. Je croy quil vous en donne advis par les

    a esté faict par inportunité des aydes et que pour le regard de ce qu’il

    pour le mal auquel je supplie vous donner

    jusques au moys d’octobre qui sera le commencement des lescons de l’année

    aultres aux marchés de Lens et aultres qui soloit et dyscoustument fournir

    une depeche adresant au viquère de monsieur le chevalier

    puise resevoir les nouvelles que ie desire. Me

    a mandé fère puis deux ou trois jours par monsieur de St-Geran, laquelle

    d’Evenes vous escrit du XXIIe passé quil

    qui nont heu guières meilheur marché que les aultres.

    longuement que ce jourdhuy, dont je seray bien joieux, car sil ne dure

    Grolier

    estre très humblement recommandés à vostre bonne grâce

    Monseigneur, qui vous doinct très heureuse santé et

    si bien purgé, non par medecines, mais par nature de son

    lexemple, vous mobligerés toujours davantaige

    advertissement de tel passaige. Monsieur du Chastellard,

    et une infinité d’autres qui mont beaucop obligé à eus pour en

    tost quil sera arrivé, je ne fauldray vous

    Il feult cherché parelyemant monsieur de Lanyes,

    Dieu quil vous doint

    faict ce quil avoict peu pour en deboucher plusieurs aultres

    bien la nuit. Quand aux valets, nous en soumes [barré : de mesmes] comme

    commmencé à sesser. Monsieur de Beaulmont fust yer

    avansé voz estatz, sy je le feroys. Je luy ay dict

    contrère contreprisera tousiours plus que ne pourront

    pour deux moys. Nous luy dismes que nous vous en advertirions

    y a bien de la pauvreté et une extreme chereté pour estre sur

    toutes leurs actions, ne se peuvent garder d’estre hurtés et travaillés

    Cependant, vous aviserés si ie vous pourray servir icy

    car il debvoibt partir le lendemain que je partis. Tout

    Monseigneur en parfaicte santé très heureuze et très longue

    pour voyr [sic] s’il y estoit, mais il ne n’i est pas.

    que je pence que desirez scavoir pour le present,

    faudroit que le reglement sortit que seroit de faire ung taux ;

    mendormir en centinelle. Au reste, suyvant le commandement que

    Monsieur en santé bonne longue et contente vie. De

    à l’armée de la Lighe. Il s’entend que le Turq a

    pourveu que ce pendant il passe la revente. Nous verrons

    et afin que dun mesme moyen jaye dequoy payer la compaignie du sieur

    à monsieur de Laval estre ung eybat de promeneur.

    envoyé les mandements et acquits que leur doits la compagnie

    de ventre qui luy donna pour prendre congé pour ceste foys une

    dentz avoit esté offensée et commançoit en la partie

    quil luy plaise vous donner

    serons à bon port et prandro[n]s le chemin à lese entre ci

    mardi matin et aller à St Prie où nous demeurerons jusques

    mardi matin et aller à St Prie où nous demeurerons jusques

    du procèz et quant il seroit de besoing dy aller, [barré : il me]

    Toutesfoys, nous nous soubmectrons tousjours à ce quil

    deniers-cy ne luy en soient fourniz ; et si vous estes asseuré qu’il soit

    desdits arrerages passés, comme ont faict aulcuns

    On ma envoyé le despartement des compagnies de monseigneur

    après ledit La Coste et moy vynsmes coucher

    Daragon

    car je visitis le mollin dudit Granne, lequel je treuvis en

    tout ainsi que vous et tous nous desirons. Par tout ce pays y a un

    gardera vous faire autre discours,

    en desirés, ensemble de tous les autres et croyés que ie participeray tousiours

    priant le Createur quil vous doint

    gouvernement jusques à la quantité de troys cens asnées de bled, qui

    lettre que jay receu du dixiesme de ce moys, par laquelle vous

    peu pour le service du roy. Pour le regard de mon frère, je ne plaindrois pas la

    vous supplie très humblement men fère part, anssemble

    de Jessan, duquel il sera plus hayse que daultres queussiés

    que si on [barré : devoiest] fesoiest dificulté de me bagler ledit argant,

    recommandant bien humblement à la votre. De Grenoble,

    vostre intention audit La Casette et leur en donner une ordonnance

    Pierrelatte et ses aydes ont soffert pour la garnison

    escriptes de sa main du Ve du present de Lyon. Vous nous

    I’ay touiours dict que [barré : ilz] leur advient comme aux prelatz,

    gnie, lequel, par ce quil navoit largent prêt ainsi quil

    venu, il passera le guichet. Je vous renvoye la missive

    Pillet payeur de votre compagnye

    très humbles et affectionées recomandations. Je

    vous donner en parfaicte santé

    dequoy sil vous plaict, vous me ferés advertir, d’aultant

    et par mesmes le contreerolleur. Surce, je prierai

    Monseigneur en très bonne santé très heureuse et longue vie.

    offencé un qui leur havoit saulvé le gibet

    monsieur maistre Nicolas pour les aller voir et nattends

    ce poinct, monseigneur le presidant ma demandé auquel jay faict

    sa deffence, quant et soy. Vray est que jay ung peu de regret

    dit Motet, dudit lieu, luy dict [que] il vous plaisoit envoyer

    obligation de fère aussi gaiger les consulz des arrerraiges

    Monsieur en très bonne santé longue et heureuse

    Monseigneur vous donner en sancté heureuse et longue vye.

    et vie longue. De Marseille, ce XXVme aoust 1572

    volonté et moyen de vous fère service et davoir lequipage

    ça ault, jestoys si mal que je fusse tumber en quelque inconvenient

    d’Eurre d’Oncyeu

    retirer tout mon petit mesnage jusques à liver

    sont sortis, m’ont dit que c’est pour raison d’ung corrier

    vous les rendre. Nayant aultre chose à vous escripre,

    de balif et par l’avis du proqureur du roy et aultres de sa justice de ceste

    vous aulcunement importuner. Ilz sont si pouvres que cela m’a persuadé vous

    de l’adjourner à comparoir en personne ; et à ceste cause,

    appellons fama malum, car le bruit estoyt jà en ceste ville

    c’est chargé ce jourd’huy matin en la chambre, où je l’ay prié

    service du roy et votre execution de ses edictz

    tous les catholicz prinssent les armes et sur l’instant le

    d’Uriage vint et amena ung nommé Le Bastard, mitallier, qui na

    fist asembler les catouliques et firet grant guarde

    fust esté grand prejudice du service du roy et du

    ses enfens, ilz tumberont mallades. Je ay aussy quelques

    gentihomes, avoyr envoye par tout de favoriser son voiage

    premier et septe votre, laquieulle vint bien à propos car

    le corps de cestedite ville, et pour mon particulier, seray

    pour ce pris depuis lordonnance du roy ; j’en ay fait une

    de Danville san ira bien tost. I haroit grande sureté

    De Paris, ce XXe septambre 1572

    linstitution de monsieur votre filz, lequel est en fort

    letres qui nous peusent du tout arêter à ce quarois à

    laquelle je désireroys bien quelle y peut proufiter quelque

    temps enquores dy metre la mein. Je luy

    Car je n’arey jamais chose en plus grande recommandation que celuy là pour le

    pregandola ch[e] se degni accettarmi in sua buona gratia, et tenermi

    les trois cent livres que Mizaud ma fait fournir et

    ie ne suis parti et si ie man vois, ie man iray bien tost

    esdictz de sa magesté, et à ce voullons continuer et obéyr très humblement

    Roche, je vous supplie crère que je nay eslogné de

    service, lhorsqu’il vous plairra de me commander.

    ung gentilhomme espagnol qui m’asseura que Janly avoit

    qu’ilz disent s’estre catoulizées. La vérité est que jusques asteure, les catouliques ont faict la guarde

    à quoy n’ey peu cognoistre qu’ilz ayent volunté de s’en desister. Et,

    Monseigneur vous donner en parfaicte santé et prosperité

    hosté le rouet pour ne contrevenir comme ilz

    pour lentretenemant de la volonté et intention de sa

    que ce m’a esté entendre que monsieur de Vence n’a esté

    faict quelque faulte comme tous hommes sont subiectz, ne procedant

    vous tiendray adverty de jourt à aultre de noz nouvelles. Quant à Jean Grec, je croys que Dieu

    vansa de Carmagnolle, lequel tant sans fault

    et ce que dessus monsieur le conte sen va dans trois ou quatre

    chef à son pié et sans auser halener, car

    de Vienne et Vallence, de laquelle somme il a esté paié par

    ma vye tant receu de bien et dhonneur de vous et des

    De Barraulx, ce XXXme jour de septembre 1572.

    Monsieur quen santé vous doint longue é hereuse

    autrement que catholicquement ; et ne se trouvera que depuys ung

    de Sassenage trova au soyr ung courrier que

    jentendz, seront fort aysés à attrapper car ce sont de bellistres.

    conserver celles qu’ilz ont que cuider plus ayseement sortir hors

    nous sommes pensés que ung messagier à pied passant par les

    ils se trouvèrent saisis de quelques ungs desdits chateaulx comme

    toutte confiance, mais pour cella ne faict semblant

    mon pacquet soit couru en toutte diligence ; et me recommandant sur ce à votre bonne

    qui, se recommandant bien affectionneement à votre bonne grace, prye Dieu

    pourrés veoyr par la lettre que monsieur de Truchenus m’a escrit, laquelle je vous

    vous dire que tout presentement, je viens aussi de recevoir lettres

    et ont laissé les portes ouvertes. En Allès,

    feray fin par mes humbles recommandations à votre bone grace, priant le

    plus meschans huguenotz qui soient en ce pays, et dont la

    quant yl vous plarés le me commandé et a tout

    advertissement quilz avoient heu dequoy ne sorte

    de Goueuze s’y enchemynent avecque les

    De Barreaulx ce IIIe jour d’octobre 1572

    de votre bonne grace que je desire vous en faire service

    trové la commodité de ce messager de Gap, je ne

    et empeschemens qui nous pourroient survenir. Ce que je m’asseure

    Ce matin les gens du roy nous ont monstré une letre à eulx escripte

    Di Vostra Signori illustrissima

    quil obeira justement à ce que luy ordonés par votre letre.

    conseil de notre ville, je vous puis asseurer que

    de La Roche votre frere. Je vous ay escrit cy-devant ce que monsieur

    regret, les Provanseaux plus oppiniattres que les Daufinois.

    parant et de peur que cella ne continuat, jen ay

    je vous feray entendre, comme aussi elle me l’a commandé. Je

    après les aultres quand il plairra à Dieu. Ceulx d’Oranges ont mandé

    est bien fort animé contre seulx de la religion ;

    deux escus sol[eil] ; parquoy il vous plerast an decharger

    Tous les huguenaulx des Sevenes s’y sont assemblez. Quant à

    est en fort bonne sancté et ne m’a voulu honorer de ses lettres.

    tochant Romans et la defence de ne tumultuer par cy-après, mès

    heusse par ledit sieur des Vignalx anvoyés. Celon que vous

    que deulx jours que vous ayt escript

    dantandre à Lyon la part où vous serés et si voulés

    lieu et suivant votre comandement, mon lieutenant

    de Serre, d’Orpiarre et de Saint-André, car ainsi que entandons

    y ferès que donner que ennuy. Jay receu ce jourdhuy une

    Createur

    sixième octobre

    sieur, vous dire avoir veu ce que par deux lettres luy en vient

    Dieu

    bien que doibt estre au champs dans cinq ou six jours pour le plus tard

    doctobre 1572

    de sadite Majesté. Et nestant la presente à autre effect, je feray fin

    que j’ay despendu pour les mander solissiter. Ilz me mandarent que

    prierey Dieu

    et la dernière preiudiciable, je me suis resolu vous faire

    fineray par mes bien affectionnées recommandations à votre

    baisant les mains avecq reverance à votre excelence.

    de son train domesticque. Mais à mesure que jen entendray

    monsieur de Goueyeuze ad envouyer ung genthelliomme

    se despendra pour accoustrer ses enffens en habitz qui leur

    bien faire qu’il n’ayent tué Le Bury de Vaneau et sa femme,

    et dausi bon cœur, que je supplye le Createur

    par les catolicques, desquels le nombre est assez petit, oultre ce que ce sont gentz mal propres

    espère entrer sans difficulté ; et monsieur de Suze part

    Versol [barré : ted] et tendant à Savoye, et que certeyn hoste avoyt [barré : dellibe]

    Versol [barré : ted] et tendant à Savoye, et que certeyn hoste avoyt [barré : dellibe]

    XIme jour doctobre 1572

    ne trouvent pas fort bonne. Monsieur de Carces est parti pour aller

    aulcungs de voz chevaulx puis que je ne soye en deliberation vous aller trouver,

    en plusieur lieulx, et toutz suspectz, pour le commandement

    scay si la nouvelles de la mort de mondit sieur le conte

    assés adverty et messieurs de la court, et ly ey remonstré

    vous povés pensser. Dieu en soyt loué, jatendz noz enfens de jour

    donner adviz, vous remerciant très humblement vous

    beiser les mains, si tant est que passiés à Viene, mais je serey esq uzé sil

    nest à cause du séiour quilz peuvent faire avecques

    cest ouverte et comence fort à se purger. Jay remis

    troupes au lieu de St Pol forvoyant Pierrelate ; et prenant le chemin

    au seigneur Guiot Henry. Au demeurant monseigneur, le

    en cest endroict comme sil estoit faict à moy mesmes pour le recognoistre,

    se tint sur sa garde. Je ne scay si ceste alarme se refroydit

    Vostre trèsumble é obeissant servitur

    tant sen fault que ce mest ung grand contentement ; et en cest

    Marguerite de Simienne

    Suppliant le Createur vous donner

    à qui ilz s’addressent. Nous sommes toutz en bonne santé, la graces à Dyeu, que sera l’endroit

    n’avoit eu despuis lanflure de sa main.

    le conte de Tande ; et à tant, je me recommande

    orassoné ceus de la religion qui se trouvoient tous esmeus pour

    abandonnet sa meyson. Je ne le tiens de lieu bien

    la cour dans lequel estoyent encloses plusieurs lettres adressantes à

    offert et emploié pour mon bien et conservation, je nay voulu refuzer

    compagnie de monsieur de Suze nommé monsieur de Monceaulx,

    de ceulx qui le desirent. De quoy je vous supplie très humblement nous

    et toute la petite troupe sont en très bone sencté,

    Voz très humbles serviteurs les consulz de Vienne

    Catinel et celles du roy avec le memoyre de sa volunté.

    Monsieur, qui vous doinct très heureuse et longue vie.

    le firent ovrir, à monsieur de Montdragon, on le doute

    à la desesperade. Je vous promectz que j’ay esté

    vous priant croire que, en tout endroict quil vous

    toutesfois receu une coppie affin de son costé faire dilligence de

    comptes des greniers à sel que pour avoir en charge et tenir

    très humblement la mein et supplient mon Dieu vous donner

    ma vie de si bon cueur que ie présente mes très humbles été bien affectionnées

    Votre très humble et très obéissant serviteur et

    pour des resons que je vous direz, vous

    où elles sont, sont mis dans la première

    dix, et s’estoyt après que l’ons heust tué à Sisteron troys

    se retirer à vous car crains que lesdits sieurs de la court ny veullent men toucher,

    monsieur l’admiral qu’on disoyt avoyr esté arresté par son altesse et

    escripte jeudy dernier à Vallance si brefve que jen suis en

    je prie Dieu vous donner

    lequel je prie après vous avoir beyser les meins

    le procureur Michallon, par lequel je puisse entendre la

    sergent majour, lequel à la verité, monsieur, par

    coustez, s’en remectent au plaisir de Dieu.

    du Pouzin, Privas et Aubenas, lesquelz ne sont encor venus. Monsieur

    le boys de La Garde que ne scavons comment entretenir, estant le lieu froit

    je vous prie m’envoyer incontinent sur la rivière par bateaux,

    de Marcieu et priant le Createur vous donner

    Le senyeur Alfons arivat ce souer en septembre

    l’apouticcaire, à cause que ie messuis trouvée

    à votre venue. Et après mes très humbles recommandations

    Montbun se prépare à partir pour faire voylle,

    Votre bien humble voisin et serviteur

    tomba malade à l’arrivée et l’un de mes chevaux boiteux,

    Monsieur, en très bonne santé, longue et heureuse vye. Au Monteilhimart, ce XXIIIIe

    la leur contera sursse que yl vous est deu se que il a

    ordonner oùt connestrés que je me pourroy embarquer

    affaires, despuys quatre jours en sà, le

    n’aians ny flancs ny tours et ce de l’adviz de jugemens que le sieur

    pour fin de ceste ci, qu’il vous doint

    estes l’ung de ceulx qui tenés la main que abbus ne s’y fasse

    le gouvernement de Provence à monsieur de Tavanes,

    au moyns il en estoit de la mort de feu admiral, soubz

    maulvaises choses de moy, dequoy pourrés estre adverty, si vous

    me manderés. Quand à ce que m’escripviés de monsieur

    contraire je puis temogner de certaine science qu’il n’avoit

    première despêche, que fairés à monsieur de Evennes ung

    très humblement adviser le moien que je pourrai avoir de vous

    nouvelles qui sont yci, qui ne sont guyères grandes, fors

    quatre livres dix sous dont je me suis panssé

    vous est remise avant que les autres compagnies soint

    première commodité qui se présentera, encores que je soye

    faictes au menu, lesquelles je vous envoyeray quant il vous

    du conseil privé, présidentz de la cour de parlement,

    après. Le sieur de Lombes est encor yci. Messieurs d’Evènes et

    fort déclarés, jusqu’à renommer la reine d’Angleterre leur protectrice.

    vous pourra tesmoigner monsieur de Truchenus qui feut

    bruytz qui en a esté fét est contre une vérité

    par un laquay de monsieur d’Ourches, receu une

    mesieurs de St Sernin et de Cabanes, que dittes que j’avoys

    et moyns se souvient l’ons des proumesses passées

    a dict qu’il ne scavoit que dans ladicte cire y heust aulcune lettre.

    toutz bon devoir à bien et sogneuzemant garder leur ville et chasteau,

    ilz trouvoyent bon le logis, que sera la fin après vous

    remetant au porteur serteines pratiquhantes

    Charles de Simienne

    Votre très humble et très hobéissante fille

    voullanté seroit bonne s’ilz avoyent la puyssance, et que vous les trouverez tousjours

    Monseigneur, vous donner sancté longue et très heureuse vie. De Vallence, ce

    Ronne. Les ardes qu’avés voullenté d’envoyer sà-bas,

    que cestuy cy, chose de quoy en fault donner la

    les responsses que j’ay continuées despuys et espetiallemant despuys

    avés doné à Valence sans vous arrester au commandement du roy,

    grâces et prieray Dieu vous donner monsieur de Gordes en parfaite

    des chasteaux et villes dudit Baix que j’ay remis soubz sa charge

    Hourches

    remuer mesnaige. Toutesfoys, les principaulx sont de sy bon lyeu et de sy bonne race

    petitz cousins et messieurs d’Apt, de St Sarnyn, de Cabannes et

    pluye ou d’impétuosité de ventz. Ce néantmoings, pour

    par mes mains. Je ne désire en ce monde plus, Monseigneur, que

    plus elle s’eschauffe de deça. D’aylleurs sa majesté m’a escript qu’ayant envoié le sieur

    Votre très humble et plus

    et en tout ce païs n’y a pas ung grain de blé sorti, causant le

    en une maison de payer telles choses, quy me font vous

    aux oreilles de leurs majestés et de Monsegneur, se debvroit

    la dicte requeste avecques la réserve des douze carporals payés à

    plairra descendre là-bas, qui m’excusera de me

    il dyra la raison pourquoy, car de mesmes comme il

    m’ayont à leur contribusion des sourdas pour leur

    que sont toutes les nouvelles que puis savoyr à

    desquelles en y a deux qui font la guarde ordinaire

    priveté jusques à terre de

    ma lettre, je prierey Nostre Seigneur

    à donner ung champ de terre tout joignant les murailles de la ville pour y faire

    de La Fontaine Gaudart, ambassadeur du roy audit pays, qui ne me

    que je puisse parvenir à l’honorable fin que je désire, demeurant assuré

    la fiebvre quarte car les grands vomissementz et

    aura nouvelles de quelcuns de gens de monsieur de Nyvers du lougis auquel se

    résolu de ne reprandre la montagne que je ne vous

    de vous.

    est que vous n’en ayés faute comme jusques icy par

    dès les premières lettres qu’il vous pleut m’escripre, quant mesmes tout le monde ce

    Votre humble voisin et serviteur

    attendant qu’il en envoye comme je luy ay escrit.

    me de Gordes, d’autant que j’espère vous escrire

    donner très bonne et longue vie. De Thurin, ce IIIIe jour de décembre

    au séneschal de robe courte. Quant à recevoir les catolizés à faire garde avec

    et voyes que verrez estre à faire. Je me suys pensé monseignieur

    lequel je saluerey voz bonnes grâces de mes très humbles

    si j’estois en vostre place, j’en uzerois de ceste façon. Je vous prie au demeurant, si

    votre bonne grâce, priant le Créateur qu’il vous doinct

    nouvelles que vous ne scachés bien, fors que monseigneur de Guyse

    de monsieur de Carces pour les faire sortir du

    en poste qui venoyt de la court et va

    et acostumées réceptions que l’ay à ma maison puis dix

    jour de décembre 1572.

    point. J’estoys quand ce porteur est arrivé sus le point envoyer

    Monseigneur vous donner en bonne santé très longue et

    iceulx attendant, je prie Nostre segneur vous donner

    des comptes. Je ne scay sy en ceste despêche, vous

    ce plaisir d’avoir voz bons advyz au besoing. Au demeurant pour ce que je ne puys

    avecques bon vent frais fit plus de cinquante

    messieurs de parlement m’ont renvoyé. Il me semble que

    décembre.

    de Veynes avoyr désir toucher ancores cinq cens

    Votre bien humble amy et serviteur

    quelques lettres au gouverneur d’Orenge favorable pour les

    en ma meyson houn je n’ey demurer que

    encores ung petit) dez flornoncz et de galle. Si est ce que

    ormis ce qui conserne ma consience

    qui, à son besoing, lui hont fait office d’avis

    monsieur, très bonne et longue vie, saluent

    meilleur grâce come vous verrés si plaict à Dieu. Quoy adtendant, je vous supplie me

    pour ce coup point de lettres de madamoyselle de Caseneufve ny de

    escrivis hyer. Je prie Dieu

    ne face plus de difficulté. Sur ce

    qu’il y en ha qui se sount voulus catoliser qui ni

    pourra dire plus au long. Pour le fait d’Apt, je y feray ce

    que monsieur le mareschal est pourveu de bon advis et conseil.

    quarante pas de longueur, sappées, minées et mies le feu

    et que m’en advertissiez, je vous envoyeray d’icy le plus

    qui doibt arriver tout à mesme temps, que sera endroit

    plus on en peult avoir, en façon que si Dieu n’y estend sa saincte miséricorde

    recommandations à votre bonne grâce et en supliant le

    Créateur qui vous doinct

    H de Montmorancy

    marchant de ce lieu, fict tourner revoyr votre dicte

    Ilz m’excuseront si je ne leurs escritz pour asteure quar je n’ay vollu arrester vostre dit laquays, lequel est party d’icy

    par voz despêches ou bien à monosieur d’Evènes à qui je les

    d’Estroz y sount désja logés et tranchés à ung mille

    suplions à votre bonne accoustume avoir en recommandation

    monsieur, qu’avecques la sienne, il vous doint en parfaicte santé longue

    La Rochelle, mais on en pert du tout l’opinion, et tant s’en

    et redimez de la faim de laquelle nous les voyons assiégés.

    dont il est tousiours payé par mes mains, j’ay bien voullu

    meilheur. Il me sera neécessaire recovrir la

    vous diray monsieur que je cuide avoir prins

    que pour plaizir. Monsieur de Pourrières me dit lors que je prins

    de Gordes se conteintera, s’il luy plaict, de veoyr la présente et trovera

    mon frère, priant Notre Seigneur vous donner

    très humbles recommandations, priant Nostre Seigneur vous donner,

    unn aussy mauvèse bague que moy. Monsieur de Bressieus est aussy

    je puis dire y être arrivé trop tost ; sur quoy je ne

    Monseigneur, après m’estre humblement recommandé à votre bonne

    bonne grâce, priant Dieu,

    Laval

    dedans pour traicter de la réduction, après avoir prins

    roy, pour séjourner encor icy quelque peu de temps, dont m’a

    Daulphiné se remueront en votre gouvernement, et qu’ilz ont des intelligences sur des

    dont mondit seigneur le marechal est bien marry. Quant à monsieur de Montbrun,

    Rochelle. Et parce que nous avions plus de besoing de

    faicte. Madame de Gordes et monsieur de La Roche font bonne chère.

    ainsy comme l’on dict, que la gendarmerie doys faire

    Alexandre de Tourrete

    je vous désire fère en ce faict et en tous aultres où il vous plairra

    Sur quoy, tant s’en fault que je le leur voullusse accorder, que de rechef je leur en

    celles que je vous ay escrit par ci-devant, par laquelle je

    couster cinq mille escus de moyns. Je n’ay poinct cognoyssance ne mainyement

    et sa fame dont elle est morte despuis deux jours.

    despart du présent pourteur ung peu plus tost, je vous l’eusse envoier.

    défluxion qui luy est survenue, de laquelle j’espère qu’elle sera tost

    se jettera sans doubte en noz maisons ; mais aussi il est bien

    très heureuse et longue vye. De Saint Vallier,

    partira pour la Rochelle et monsieur le duc pour Sancerre et

    hobéyrey daussy bon ceur que je salue vous bonnes grâces

    vous en ren grâce, prien Dieu, après vous

    meilleur accord avec monsieur de Saint-André et qu’elle se voulut servir d’autres conseils

    très humbles recommandations à vous bonnes grâces. Je prie

    en bonne santé avec longue et heureuse

    La Gorse m’a baillé sa certification que toutte l’année

    avez toutte puissance. S’il vous plaist donques, Monsieur, vous accepterez cest

    mi hano fatto proteste di spese danni è iteressi,

    lieu il faut que ie vous voye, estant

    faict à mon gouvernement et m’assurant qu’en cella me vouldrez bien

    Saint André doubtoyt que les affères n’allassent icy autrement

    qui se fut absenté à loccasion des derniers troubles

    tout incomtinant par monsieur Quorery pour

    du comte palatin et de plusieurs autres princes protestans davec

    qui souloyt servir monsieur de Laval, et lequel sen revenant

    de La Roche, n’est pas asseuré de les recevoir. Bien vous asseureray

    esperons lestre de partir deux jours après que

    Chantereau

    resolution. Au reste je vous supplye de croyre

    Giulio Centurione

    qu’allans par cy par là, ilz pourroyent beaucoup entreprendre.

    pryer me tenyr en votre souvenance et bone grace ; et pour n’avoyr chose

    de tout ce peuple pour avoyr esté treuvé ledit sieur

    Votre plus affectionné parfaict et asseuré amy

    acetheure ne pourvoint prandre les armes,

    le sieur de Boyvyn sur le don quil a de la terre de Moras. Il

    vendue, il fust tout le long du jour et la nuyt

    nous navons faict que six monstres de toute lannée ^ [^ passée] et sommes

    il y a troys ou quatre jours pour me pryer de permettre

    prandre de parler à monsieur de Brigaudyères pour lasseurance de mon voyage de la

    ayde à ceulx de Dye, ils s’en trouveroient frustrés.

    faire quelque difficulté nous admectre et allouer ladite partie et de la

    la grace que jen suis sorti et mesmes par arrest de la court et à la

    servise et de telle affecsion que ie vous baise très humblemant

    sieur president me fera finir ceste en supliant

    qui vous doinct,

    communiquée au procureur dudit seigneur roy, ordonne estre procedé

    vie. De Vallence, ce XIe jour de janvier

    resigner et remettre sadite abbaye ez mains du roy ainsi quil fit

    à moy que nous ne facions quelque chose pour le service du roy.

    jay commis ung des advocatz du siège de ceant à icelle fin

    je prie le volloir illuminer de continuer et daussi

    monsieur qui de ce qu’il soulet estre ung bon villaige,

    par moys. Elles seront de deux cens hommes chacune où il y aura

    pourveu, ilz faysoyent grans escadrilles tant dune part que daultre. Il y a ung gentilhomme

    jusques près des faulxbourgs de ceste ville, tellement quil semble que

    main quil fut arrivé et voyant que toute linteligence que

    humblement je vous presente mes très humbles

    les deus damoyselles. Elle[s] me vindrent trover ;

    il sera mal aysé de les avoir sans amener la canon. Si je heusse

    à l’amyable proveu quil luy soit faict rayson par monsieur le mareschal de

    de nobles et aultres que restons en ce païs du dauphiné de la

    autre, feray fin, après vous avoyr bayzé très humblement les maintz, priant

    Monsieur, depuis la presente escripte, je en ay receu une de madame de Gordes par la quelle jay

    bien ayse davoyr entendu de voz bonnes nouvelles et vous mercie très humblemt l’honneur

    que suis parti daveques vous est fort grande mais, monseigneur,

    qui doibt estre libre entre ses subiectz dune province

    [barré : y] ont estez contremandez. On na peu savoir [ déchiré : l’occasion ?]

    toutesfoys sestans remys suyvant le commandement de sa magesté, sont travailhés,

    monsieur, en perfecte santé, heureuse et longue vye. Faict à Viene,

    auprès de vous pour obéir à ce quil vous plairra

    je en voy[é]s apeler monsieur Quorery pour y

    bien humblement les novelles de la court que

    daverty seus qui anverront lartilyrie de

    de la court ; et ayant entendu cest acte, je vous

    par la bonne souvenanse quil vous a pleu avoir de moy, qui mest

    Monsieur le conte sortit avec quelques gens et ilz

    sera lendroict auquel vous presenterè mes humbles et très

    gorge des lops de tous ceulx de la relligion, estant au millieu de

    serviteur

    Votre très humble et

    avecque ung million daultres que je vous ay. Et le temps, ceste à

    Mazet vous en escript ung mot affin quil pleut à votre seigneurie

    je supplierey Notre Seigneur vous donner,

    feray entendre plus par le menu quand, avec votre permission,

    Votre très humble à vous faire service

    Notre Seigneur vous donner,

    monsieur, heureuse et longue vie. De

    votre commandement, mestoit mandé de

    serviteur

    de croyre que ayant entendu ces bruictz de guerre

    en tout ce que vous plaira me comander, ne farey faulte

    de Charlin, chose de peu de value et soubs couleur

    vous puis asseurer que sadite maiesté nen pourra

    nent estant de retour, ie ne ferei faulte vous aller

    la campaigne m’est demeurée. S’ils en veullent venir là d’oresnavant, je leur feray beau jeu.

    de Laval, questoyent dans la despeche que receutes par le moyen de

    ma faict très mauvaise responce pour vos

    offres quil vous a pleu me faire et vous en serey toute ma

    en tous ces affaires qui ne sont pas

    despence, je ay choisi le moyen par lesditz messaigiers de venir fère fère declaration à

    que pour lamour de moy laurez et sadite compaignie en recommendation. Au

    scay sy avez sceu la mort de monsieur de Montpezat,

    consulz que personne ne logeast à sa maison, [barré : et quil]

    vous é madame de Gorde vyenes an ses cartyés, é à se quon

    bien content vous y aller faire service puisqu’il y a

    mon artillerye et toutes mes forces prestes. Quand pour leur payement

    opinion de venir. Sur ce, presentant mes humbles recommandations à votre

    on luy avoit seulement accordé la compaignie, donné

    Balhe, se licentient de trans marcher ou vendre leurs grayns fors

    fis, les quels ne se il veulent entandre ; et si

    marechal Damville est aller à Monpelli[e]r pour il

    De Gap, le XXIIe janvier 1573.

    à celles que mondit feu frère vous avoit, pour les continuelles

    longue. De Vienne, ce 23e janvier 1573, heure après vespres.

    monseigneur, vous donner an parfaite santé, très longue et heureuse

    ensemble les coppies collationnées aux originaulx de la lettre du roy pour envoier lesdits

    Cependant je vous supplieray me tenir en voz bonnes

    reste de mes jours, mais en votre particulier, je

    il est privé de la liberté delaquelle vous permetés

    monsieur, vous donner en très bonne santé, heureuse et

    pour favoriser son election avec le mariage de la soeur du feu roy dudict Pologne, ayant laissé son père avec une autre

    très humblemant me disperser de votre faveur pour

    janvier 1573.

    espée et dague, et la moytyé restes de nostre part. Le cappitayne Montmeian, sergent

    je suis en difficulté si je doibz reduyre le bien des gentz de

    lesditz absantz en vertu de vostredicte commission et

    serviteur

    donrroyt une sauvegarde. Et que sur la promesse que

    segnerye pour après faire entendre le tout à

    B : Ollier

    biens, famme et fammille pour les conduyre pardeça eux sans perturbier

    passés rencontrer comme jallois de cestte ville audit

    quilz vous envoyent chacun les quatre compagnyes que vous leur avez demandées, voullans

    bien de bouche comme par escript, et quil fust loisible

    à la fortiffication de nos places fortes qui y sont, jay bien voullu pour

    n’en ai heu aucune comodité n’ayant seiourné ny

    ce quavés fait pour moy à l’arrantement de Jaunage

    elle se puisse conduire en toute seuretté jusques en Savoye pour, delà,

    vous pleust sur toutes choses avoir souvenance de me faire recouvrer

    le[s] cardinaulx à Rome fort affectionnées. Je retireray

    de Angleterre à ceus de La Rochelle ne pourra entrer. Cependant, on

    acoustumé. Quand à [barré : ux nou] celles de ce siège, lons aproche

    pour lenvye que jay heue toute ma vye

    que jay sceu le partement de ce pourteur, je voulois

    ce present porteur est envoyé des consulz de ce lieu de Piegon

    et tout le reste de sa conpagnie ; et vous puis adsurer

    atandu au landemain comme la jardinière de monsieur

    IIII livres chesqune. Par tout sont esté deputtés pour aller feliciter

    pourroyt avoir moyen leur oster leurs bateaux

    despuis dans le port de La Rochelle. Ceulx qui veullent deguiser

    dictes avoir departies pour les menvoyer le plustost que vous pourrez et actendant leur

    redicte par ceste cy, sauf que je vous prieray de rechef de

    jours. Je vous escriray plus particullyerement de Parys, aydant Dieu, auquel je supplye

    tenir leulh hovert mesmes à nous montagnes, estant

    moy mesme je luy ay fait une ouverture, si dadventure ledit sieur

    madame la contesse de Grignan a bien voulu quaye

    de Grignan vous baysent très humblemant les mayns

    voz bonnes graces et de madame de Gordes et

    escript au rentier de Cabryères pour entendre sil estoyt rebdevable

    deux jours esté en parlement avec monsieur de La Noe

    cognoys bien que votre amytié ne mest pas si

    si je vouloys son corselet ou bien votre frère de Saint

    fevrier 1573.

    et très heureuse vie. De Vallance, ce XXVIIe fevrier 1573.

    en partie comme il faict, encores quil ne soit pas de grand efficace

    jay veu les contre novelles de Sommières, et comme vous vous debvés bien

    Monseigneur, vous donner en sancté, longue vye. De Romans,

    ladite cité de Vienne tant catholizés naguières,

    Caterine

    ceste despence encores pour quelque temps. Jacois que je desirois plus quil s’en peust

    de vous faveurs et je tiendrey ceste obligation

    plus particulierement les affaires de sabas et doubtant

    à Roumans et mène de mes chevaus ; que jespère

    quil ne luy sera permis sen revenir puys quil est hors

    senat de Savoye et du despuis exequutés

    De neufville

    que sa majesté (après avoir faict une course à son Charleval)

    peust arriver par sest endroict là. On na peu ne sceu

    que le tout a esté faict comme on pretend par secrettes menées

    et que ceus que le roy devoit avoyr ce sont refroydis. Je prie à Dieu quil renverce le dessain

    des contribuables à ceste estappe d’Ambrun pour solaiger

    en très bonne sancté très loncgue et

    ayseemant dresser une escalade. Oultre ce, que de nuict

    beaucoup dennuy et de destourbier. Bien me deplait il encor devantage

    en fuytte et la pluspart diceulx mis en pièces et beaucoup de

    davoyr secours d’Alemagne et sy cella estoyt, je tiens que

    G. Davanson A. D’ambrun

    vous puis offrir que mon bien et ma vie pour le service du roy,

    tellement que cognoistrés que j’ay envie de parvenyr,

    suspetz qui ne demanderoyt que de fère quelque chose

    volloir. Mays ayant entendu leur arrivée, ils desistarent.

    du Peloux, quy est au hault Vivarez, vous y pourra secourir ; et de ma part sil estoit

    pauvres subiectz de Beaufort me sont venuz prier

    le vybaly de Briançon nous sortantz de notre

    gardes quar les principaulx chefs des maysons

    que sont dedans ; et sans que je m’asseures bien que ma lettre vous

    et chatelletz. Je ne cay qui veullent dyvyner à tant

    charge là et aussy pour estre estroppié ne pouvant ailleurs ; et maiant

    royal de ceste ville qui à present est detenu aux carces du roy audit Vienne.

    de Danville, par devers lequel il a commandement

    son desceu. On construit ung fort contre La

    qu’elle soit bien prejudiciable à la garde de la

    fère revenir et à celles du seigneur Centurion et

    avec l’aide de Dieu et le temps, on reviendera le moins mal qu’il sera

    de Ville neupve iusque audit Possin que troys petites lieu. Vous

    Le sieur de Pierregroude y commande. Il n’y a pas cent ou six vingtz

    trenchées [barré : car] parce que on y est ordinayrement. Je

    estoient jà assignez et euz encores assez de peyne à leur faire paier

    viendra bien toust à Fontaynebleau pour n’abandonner guières ceste ville. Je ne say si avés entendu comme monsieur La Chapelle des Urssin a quitté la lieutenance du gouvernement de monsieur le marechal

    quelque levée pour venir audit païs en faveur de ceulx

    le roy, encor que ^ [^ aye] en ceste ville de la matière

    menacèrent les mollins de monsieur le conte de

    que vous avez escriptes à monsieur de Rousset, lequel je veis dimenche

    scavoyr mauvays gré sy on reserchoyt votre mayson pour garnison

    oubéir. Ce sera dans lundy à midy s’il vous plait

    de partir samedi prochain toustefois ie

    chevaulx et que ilz ne se sont saisys du Pouzin que

    païs de Viverais qui vous aideront et favoriseront en tout

    affliction et facherie est la mienne. S’il est

    du Telh m’est venu trouver pour advoyr de jens

    vous plairra veoir par la lettre cy joincte, et au contraire ilz ont susicté

    monsieur de Cabanes qui debvoit arriver ce IIIe

    parlement, et que Monsieur leur a du tout couppé le

    part mais j’entend qu’il n’est pas bonne que compasse ses affères comme

    vous faictes et le faudra prendre selon ses bouttées. Mondit sieur

    pour raison du different qu’il a avec vous et

    arrestz contre ledit abbé, lequel de ce jorite[ ?] auroit instigué ledit reverend père à le faire

    ce que ie puis voir vous ne partirez de Grenoble que après

    Je vous avois escript une feulle de papier pleine de

    Bastian et l’escuyer son frère, pour leur admener de chevaulx. Lequel

    pas assez esclarciz de ce que nous desirons scavoir de vous, nous vous

    m’a prié de demeurer jusques à ce que monsieur de

    bien hereux d’avoyr de telz seigneurs pour nous et sy affectionnés

    plusieurs advertissementz, font semblant de voloir entreprandre et exequter

    du Rosne soit libre. Il sousteroit une grand[e] espine du pied, delivreroit

    que ces jours passez, j’ay receu lettres de monsieur de Mandelot par

    Mès que il soit au près de vous pour vous

    gloyre. Il est bruict en ce païs que toutes les Alemacgnes se

    et par ce monseigneur qu’ilz nous rendront conte

    contant de ce que m’aurés mys en charge.

    nombre d’Allemains tant que jamais ne seront

    à une sienne seur, laquelle m’ayant esté communicquée

    sur nous ou nos voysins, à grand peyne puys je tant faire que face

    seur, et que l’execution s’en doibt faire à ces Pasques si ce n’est plus tost.

    fins, prions Dieu,

    effrayé pour advoyr des voysins inesperés et les

    le plustost que pourrez et m’employez en tout ce

    gens de Monseigneur de Morvilliers escrit à monsieur de Langes dudict IIIe

    à votre bonne grace, je prierey Dieu,

    Monseigneur si il vous plaisoit m’envoier

    trante ou quarante argquebuziers le sont venuz [barré : assalir] recepvoir. Vous

    et prie Dieu vous donner,

    servyce de mesme voulanté que je vous supplie bien humblement le vouloier croiere

    esté prins deux huguenualx qui sont de Beaufort

    qui porteray le travail et autre aura le proffit. Parquoy

    à cella. Ceulx du Pouzin debvoit venir coupper ceste nuict les cabres et cordes de notredit

    doibt bien tost venir pardeça, lequel après avoir entendu, je

    qui veuilhe venir sans paye. Mondit sieur de Gordes a faict payer

    plomb et cordes pour lesditz soldatz. On ha treuvé

    que pour le service du roy et mon absence audit païs vous y debviez avoir recongnu

    sieur de Ravel et de monsieur du Perce[ ?] qui vont luy conduyre

    privé s’est trouvé. La levée debvoit partir pour commancer

    ung home dexprès sans le despart de ce porteur et

    et que par mesme moyen que certain seigneur d’Estran (ainsi

    une creue telle que cognoistrés raisonnable.

    que me recommande très humblement à votre bonne

    en chose quelconque ; et à son resfuz, monsieur, vous avés monsieur de

    m’envoya m’acheminer au Monthelliemart avecq ce que j’aurois de

    Italie.

    de votre compagnie sabas car je vous puys ass[déchiré : assurer ?] ne je

    l’encroict où apprès vous avoir baisé les mains, je prieray

    ce jourd’huy en ceste ville où nous esperons qu’il

    de deça pour me combatre et selon ce que vous me manderez j’en viseray.

    indignités et mecontentemens envers leur cappitaine. Pour obvier, n’avoir heu si tost moyen

    des soldatz qu’ilz advoyt jà assembles audit Montelheymar

    resevoir moins mauvès visage de madamoyselle

    G. Davanson A[rchevêque] d’Ambrun.

    plaict m’acordé de passé par votre gouvernement

    fère par devant le vicaire ou official de monsieur de Lyon les confessions

    de c[e] l[a] je prie Dieu,

    Santé, très longue et heureuse vie. De Lyon, ce XIIIe jour de mars 1573.

    Columbat

    si vous le trouvez bon ; de quoy il ma semblé vous

    Le Mazel, C[apitain]e

    et Dieu a vollu par sa grace qu’ilz n’y a heu aulcungs soldatz blessés, ny [barré : led]

    la contesse de Grignan. Je n’an espère pas gran chose. Je luy

    pour encores, cregnant quilz nen recouvrent des aultres

    de plomp et de corde à lequipolent que nous

    à ceulx que le meritent, nous recomandant sur ce à votre bonne grase, prions

    Monseigneur quil vous preserve en bonne prosperité, heureuse vie et longue. De

    dès hier receue, attendant sur ce votre bon plaisir et commandement ; et ce

    sallie. Aucuns y en adiouxtent bien dautres. Ce que le Rosne a dict se

    suppliant derechef me tenir au nombre de vos plus affectionnés

    sil entant de plus sur ; et après nous estre recommandé

    luy octroyer ung sauf conduit bien ample. Je vous laise pancer

    du port dudit Pousin, qua esté ung grand bien, et

    catholiquez anciens qui font les gardes. Jay

    Dieu le Createur

    grace,

    chacun moys quarante escus à quatre

    je prieray Dieu comme je foys par la presante quil vous veulle

    majesté que jactends de jour à autre. Jay pencé ne pouvoir faire election de

    vous avez plus de tierselletz et dautours quil

    asseurant que si ce nestoit pour le desir quil a de faire plaisir à mondit filz, moy

    contraignent de nabandonner les chemins des

    pourra avoir plus grand assurance et men fère bailher quelques

    de geneure. L'ambassadeur du roy [barré : escrit] près de lempereur

    companye an bonne santé. Nous vous atandons an bonne devosion.

    lequel masseura la convalescence de madamoizelle d'Ourches, laquelle, ce jour

    comme lundy dernier se treuvarent dix huit ou vingt

    necessère et remis ladite ville en seurté; et parce, monseigneur, vous

    Votre très humble et très affectionné

    De Louriol, ce XVIIIème de mars 1573

    plus longue que de mes humbles recommandations que je presente en cest

    conduyre quilz nayent foulle la pluspart des villages

    aller ramonstrer notre impossibilité et pouvreté,

    par eaue, si tant est quilz soyent pressés pour obvyer à la grand

    à Fontainebleau, le XVIIIe jour de mars 1573

    levée au sieur de Lugye des biens de sa femme qui ont esté saisiz

    le createur vous donner en saincté heureuse vie.

    de lextraordinaire de noe guerres qui est delà pour cest effect. Et sur ce, monsieur de

    de quatre centz. Cela les estone fort, ayant desia faict despance et font

    aura reprins le chemin de Grenoble, parce que je ne lay

    monseigneur en santé ce que desirés. Du prioré

    que monsieur de Rousset me mandat pour renforcer la garnison de ce

    desirent fère cesser toute contribution; suyvant voz comandemens pour

    arsoir tout tard auprès de La Bastie Carsot. Attendant voz commandementz,

    la garde du chasteau ; et à la verité, le nombre nest

    qui est monsieur de Rocolle, lequel ont ne tien pas trop assuré. Illon bien quelque

    de Moirenc, ce XXIe jour de mars 1573

    la lettre que mescript le vibaly d'Ambrun qui est cy joincte, la division

    petite ville du Valentinoys, sans quilz aient heu aulcunes

    longue. De Loriol, ce XXIIIe mars

    parse que ie matendois à vous escrire plus à loisir par ce porteur

    à cause du comandement quilz disent avoir de votre majesté de ne payer aucuns de voz

    fidellité et affection quil doibt au service du roy mondit seigneur et frère,

    de vous faire congnoistre en quelle estime il vous a et desire votre contantement,

    Faire avec icelles compagnies, la

    pourront aux montaignes de mon païs de Daulphiné; et après avoir secouru ceulx

    Henry

    Je ne puis encores decouvrir si ceulx de ce gouvernement

    leur ont esté données affin de ne les esmouvoir à pis, mais seullement

    si bien suivre sa vollunté et intention quil nest besoing vous en faire

    quil est bien requis dy mettre cappitaines qui cognoyssent les humeurs

    seulement de la ruine et de muraille sèche ; et à esté trahi par

    ce que jey nay point icy de chevaucheurs] nayant au moings de quoy fournir à la despence

    autre fois, dont ilz tireroient grande commodité et advantaige,

    autres ; ou, silz se peuvent assembler sans empeschement, ilz se feront si fortz

    de Gordes, vous avoir en sa sainte garde. Escript à Chaleau, le XVe jour

    filz d'Angoulesme

    rompre leurs pernitieux desseings et graces à Dieu vous nestes destitué demoyens, de bon voulloir et advis pour continue a vous y conduire tressagement

    votre obeyssance, et croys que monsieur le mareschal de Dampvile

    Rochelle, le XXVIIme jour d'avril 1573

    et auparavant estoit soubz moy et faict

    pourrey fère service à pied. Je vous supplie très

    laveys amené, pansant que, suivant sa promesse,

    saincte et digne garde. Escrit au camp de Nyeul près La Rochelle,

    monte leur payement par moys, dont dresserez ung petit memoire et estat que

    mauvais, attendu que je suis chargé de faire renouveller

    ont empruncté argent dans Lyon à grand interest ; et ma fallu, sire, imposer

    promectant ce bien et sen trouvant ses veufves et heritiers frustrez par le moyen

    feissent monstre et non pas eulx aussi [rayé : ne scay] pour ma compagnie

    dudit chasteau ont esté contrainctz se rendre [barré : à leur main dont aucuns sont prisonniers]

    javois deliberé me servir dicelluy, toutesfois, selon que jay veu par votre lettre

    La Rochelle, le XVIIIme jour de may 1573.

    en ce pays, attendu quelles ont accoustumé dy tenir garnison et que monsieur le

    Charles

    consul commision pour le faire entierement esmanteller.

    grand foulle ne sen repentent, attendu que tous estatz y sont comprins,

    de La Motte, commis au gouvernemant de ceste ville,

    Caterine

    prie Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa garde. Escript à Fontainebleau

    ont faictz aux roys mes predecesseurs et à moy faict des [barré : ordonnances] armes et comme

    coppies des lettres que vous ont escriptes le sieur de St Romain et du Cheylar

    à mondict frère le roy esleu de Polongne. Il fault que la louange et graces en soient données

    lentretien des forces qui sont en ce gouvernement

    juger comme je masseure. Priant Dieu surce, monsieur de Gordes, quil vous

    à votre service]. Voz subiectz de Pragella promectent assés de ne

    qui est contenu cy dessus qui est la pure verité, vous ne le croyez, mais la

    edict ; [barré : lesq] ilz mauroient envoyé le sieur de Roysse qui mauroit presenté de leur part [barré : le]

    sire, il y est aymé et respetté.

    votre service] la bonne union et intelligence qui est entre nous

    les sieurs de Montbrun et de Mirabel, envers lesquelz je [barré : me doubte] crains fort

    en supplier très humblement

    assister et secourir ; et quand jeusse eu volonté de ce faire, je neusse esté retenu de

    et fournitures deschargent et recompensent ceulx qui se treuvent

    estre si raisonnables quilz sont. Jescriptz à mondit frère vous advertir comme

    Votre magesté aura entendu par ma dernière despeche les

    prandre, enlever ne fourager aucune chose que ce soit, et tout ainsi que je

    En somme, monsieur de Gordes, il ne se pourroit exprimer ung plus grand regret que

    cella leur pourveoir de ce qui sera necessaire, soyt pour lestablissement et entretenement

    De neufville secretaire

    de sa residence en la ville dudit Dye durant ledit temps ; et pource que je desire

    escript par mes dernières, vous priant, monsieur de Gordes, si tost que ledict

    coppye, ce que je m’asseure quilz feront, et que je

    pouvoir, par le moyen dudit edict, aussi bien remectre le repos en mondit pays

    accepté les conditions portées et contenues en icellui, affin de

    leurs meysons, autres aux lieux quilz occuppent. Je leur ay

    et que ce pendant la suspenssion darmes continuat, car il

    mon cousin le cardinal d’Armaignac en tout ce quil aura de besoing pour cest

    envoyer devers ledit Montbrun pour entendre plus clayrement

    remonstrances et persuasions ceste societé sil vous est possible, sans

    prudence et vigillence des gouverneurs de mes provinces et autres qui

    cousin, vous avoir en sa sainte grace. Escript à Paris, le XVIIIe

    scavoir que je suis content que vous leur accordiez ce quil demandent par

    je cognoys, syre, quilz ne veulent embrasser la grace que

    treuve en sa sainte garde. Escript à Paris, le

    XXVIe jour d’aoust 1573.

    que jey eu de leurs actions car quelque suspenssion darmes

    le cœur et m’est si importante que je ne seray jamais contant que il ny soict

    fasse publier, comme aussy je feray, quant on verra leur intention

    bon droict tellement sur le cœur et mest si importante que je ne seray

    Amy francois de bourbon

    et attendent lyver qui leur est fort favorable, ayant

    saincte garde. Escript à Paris, le XVIIme jour de septemnre 1573

    Fisses

    poinct encores entendu de luy la consideration pour laquelle il est entré en ladite tresve,

    sorte que je suys en peyne de leur faire payer la

    en Portetreyne à Grenoble, disent avoir

    en notre endroict, nous avons, en ensuyvant les commandemens, bien voulu marcher

    pays de Provence et y tenir garnison, et desirant que

    champigny, ce Vme jour de novembre 1573.

    des forces quil a à presant audit Dye, le ne peult conserver

    Escript à Vitry-le-François, le XIII jour de novembre 1573

    encores ce mot que nous avons congneu tant à sa majesté que tous ceulx de son

    decerné par justice ayant reprins le procès

    le poulsant au bas de la montaigne qui est fort precipitée lont

    monsieur le cardinal d’Armaignac suyvant se que sa magesté

    Miremende : Xm p. V p. v. –

    auroit passé le Rosne à Champagne et coucha ce soir-là dans

    les Corses, il nest besoing qu’ilz marchent plus avant pour ne mettre

    ilz se sont laissez saisir, car mon intention nest que de tandre les bras

    et à ses fins, jenvoyay querir ma femme en Daulphiné à

    en votre garde. De Mens, ce Xe de

    que ny ferés faulte, nous prierons Dieu

    Pierre Allement et lont mené vandre à Serres, et mille aultres

    Dieu luy donne le myeulx garder que Ternons. Je

    pour la garde du lieu, veu mesmes que

    Pierre Durant, Loys Tauperas, Jehan Aulbert le Vieulx, m[essir]e Jehan

    ny des myens, encores que je lieusse dict que jestoys appuyé de

    et choisir quelque bon, vaillant et esperimenté personnage à nous

    ensemble se respondre sus le contenu dessusditz IIIIe, Ve et Vie articles,

    il n’entend pas de leur avoir reciproquement

    incertain si on avoit jà commencé à le battre et quil pensoit lartillerye

    et dix jours auparavant, larmée de monsieur de Belvoir estoit partie

    Truchon

    deulx portant consequence ; lordre qui est

    et exempté de telle contribution ; ne considèrent que ladite

    ny nuyt. Nous [barré : an] avons esté advertys que

    tour là, à ce quilz remectent la ville et château d’Orenge en l’obeissance de

    Et la compagnye de C XX arquebuziers à la ville

    Napples par Gennes à Nyce, pour aller en Espagne,

    estre qui me donoyt plus de envie de me y retirer

    Item audit lieu pource que la murailhe est fort basse et

    arbres saulzés et pinez parce quilz sont

    les vivres de ladite armée. Jay veu aussy lembarquement

    navyères qui portent les vivres de ladite armée. Jay veu aussy lembarquement de

    conformes à ce, je ne peux penser raison particulière que

    Paris, ce 10e d’aost

    vous y employerez bien voluntiers, je ne vous en feray ceste plus longue, que

    je ne scavois rien de toute sa poursuite jusques au jour d’hier. Je partiray dans

    pour men revancher à vous faire service quant

    recommandant bien humblement à votre bonne grace, suplient Dieu vous donner

    Joseph Arn[olfini]

    le liecenciement des bandes francoises et quil n’entretient que les Corses pour

    asseurer que le nom de monseigneur de Gordes

    de crapponne

    cest à Gargas xxe aust 1571

    la forniture de la compaignie de mondict sieur de Suze, entre eulx,

    des cotisaotions [sic] que de ce quilz font dellivrer pour homme darme

    quil avoit baillé la mémoire au dattaire de

    Nous en deviserons de bouche sy n’estes departy avant que je soye arrivé en Daulphiné où je

    ce que vous puys asceurer nestre ryen. Je

    heureuse vye. De Valence, ce XXVIe daoust 1571.

    bonne santé. Et en cest endroit, je me recommande

    luy mander que nestant point vous à Grenoble, il

    vostre très humble et très obeissant

    les meins de monsieur de La Barthelasse celle que

    de Caderousse cest afollée pour une freieur quelle

    Nous partons demein ensemble pour aller voir

    Tande, ensemble monsieur de La Coste ; quest tout ce que je

    le roy luy en avoit bailhé. Depuis, il a changé dopinion,

    machemyner demain, aiant entierement receu ladite somme.

    honorer et recepvoir partout. Mais je

    aultres maisons, de manière que les remonstrances que je leur peux faire

    ce pays en mesme heure menant ung espouventable

    prochain, auquel terme je ne fauldray. Maître Rambaud

    avant son partement pour la court et na[u]rés à se

    la prière que je luy en ay faicte de votre part

    service que je feray toute ma vie d’aussi bon cœur que je vous presente mes

    mois. Je croy qu’a esté repourté à la court que nous havions

    declaration de sa volonté. Pour ce second point, nous

    1571

    Monseigneur, je supplie le Createur quil vous doinct en parfaicte santé

    de messieurs de Crylhon et d’Aubres, lesquelz des sont partis deppuis quatre jours pour

    danges de sabas

    Monseigneur en parfaicte santé très longue [barré : vie] et heureuse vie.

    dit seigneur de Nevers, duquel jay prins congé

    jamays estez capitaigne de gens de piez que destre veneu en ce

    deypeches à la cour pour reysoun de ce plusieurs solsitans sestiont

    sachemineront, lequel departit hyer pour La Boisse. Je voys prier

    permettre et entant que de besoing, ordonner estre prins par tour ou à

    troys à quatre enfans et sont les païsans

    les aultres de cinq lyardz et la plus grand partie emporte

    de jour à autre. Pour ne scavoir autre chose qui merite vous escripre,

    recommandations, priant le Createur

    quil n’en advienne pis, et que sa majesté nait à se repentir de ne nous avoir creuz, ou que nous nous

    en toutes aultres choses. Quelqu'un ma dict que

    plaira en ordonner. Je me recommenderey bien heumblement à votre

    Du Thouvet, ce IIIe septembre 1571

    voz très humbles et obeyssans

    Dieu vous donner en très bonne contente vie. A Grenoble, ce

    mes affaires ; et si je puys trouver à qui

    Ien escribs presantement au cappitaine Lamenon ; et suivent votre commende-

    Navarre estoiet partis de La Rochelle pour aller en Beard.

    très humblement me recommande, priant Dieu vous donner

    quil vous a pleu leuy pourter ; vous seupliant

    amplement et particulierement vous informera ledit sieur

    veuyder quelques aultres matières

    Daultant quelle est au près la place de La Terrasse.

    de leposé qui croyent qu’on appelat leposée noyre, mays jacoustoies

    le lieu, il a faict faire une petite reparation du long

    la plus grande dilligence quil me sera possible,

    offre à messieurs du peys que laouh il vouldrèt et de telle manyère

    Ve jour de 7bre 1571.

    je vous prie, monsieur de me tenir de si bone volunté que je

    ou cinq jours. Messieurs les princes sont en Biar [i.e. Béarn]. Ils ne se trouveront

    depesche que je vous envoye aveq ung extraict

    et ny ay poinct entendu aucune plaincte, de quoy

    ne vous y appelle. Et nous aurons ce bien de jouyr en

    compagnie de par messieurs de Brigandières et Faure, qui me guardera

    molesté dune fiebvre tierce de laquelle il nest

    recommanderey bien humblement à votre bonne grace, suppliant

    de quoy ne me recorde du nom. Je vous escriptz dernierement

    pleust m’honorer de voz commandemens en quelque chose, je ne fauldrois

    finiray, apprès avoir supplyé le Createur quil vous doinct

    sachant autre [barré : fo] chose dynie de vous escri-

    à votre bonne grace. De Grenoble, ce VIIe de sepbre

    ville avec regret, sil nestoit que je vois le tout en sy bonne

    vous frères, lesquelz se portent très tous bien, la mercy Dieu,

    à votre bonne grace, priant Dieu vous donner

    des estrangiers qui y abordent, à cause desdites vendenges que absence

    fayre part vous presantant en cet endroit mes très humbles

    Monseigneur, vous donner en très bonne santé, très longue et très heureuse

    de les faire relier ainsi que nous y vendangerons,

    vous puys escryre, ormys que je me recommande de byen

    bonne vollanté. Quest tout ce que vous puis dire pour le

    luy mandant la lettre de mon lieutenent quy

    service et hobeyssance. Monsieur, jespère que vous

    faire comme je desire, très humble et bien agreable service.

    vouz obeir daucy bon ceur que je presente mes heubles

    lon porra commenser audit Lumbin demein de grand

    le scaurons que trop tost pour mon regard je ne les volus

    melheure chère quil me sera possible pour le moins sera

    puis trouver aucun [barré : po] quy soit propre pour

    exprez le cappitaine Marcheyer, present pourteur pour vous fère

    De Serre, ce XIIIe 7bre 1571

    commisaire Bresson en deliberation davoir à ensuivre ce

    commisaire Bresson en deliberation davoir à ensuivre ce

    croyable ce que mande de monsieur Mesant de la

    ce XIIIIe jour de 7bre 1571.

    les mareschaulx mesmes, à qui il voulust ceder pour le commandement,

    B[o]urg ; et après son retour, il porra fère quelque seiour

    Createur,

    se sont anbarqués aveques luy et quilz luy hont

    monsieur, vous donner très heureuse et longue

    Marg[ueri]te de Simmienne

    très sagement, et madame de Caseuneufve de mesme.

    tost en la santé que vous et tous nous souhaictons. St-Veran et

    repose assés bien et mange de bon apetit.

    du nombre de voz très humbles et obeyssans serviteurs

    les mortes payes de Provence pour ceste année sur la recepte

    me prie de me vouloir trouver aux obsèques

    noz très humbles recommandations à votre bonne grace, nous prierons

    monseigneur qui vous homnante an toutes ses graces et benedictions.

    tenir en sa sainte garde et protection. Jay faict entendre à

    meyns . Cependant, après mestre humblement recommandé

    faict prier messieurs du pays de les en acourder

    au pouvre de morir de faim avant laultre recolte en

    jamays desister de son voyage et se desroba de luy

    pas pour le vouloir rechercher de tant de choses

    soit à perpetuyté. Mays je ny veux toucher sans de rechef avoir

    avoir de luy et quil vous face service,

    vous plaict me porter sans lavoyr merité.

    monsieur, que je vous fairey cognoistre que vous

    avoir de luy. Je ne doubte quil [barré : v] ne vous avoiye

    difficulté de vous en requerir, massurant qu’en ayant comunicqué

    et prieray le Createur

    cha[s]se si tar quil fut contreint coucher au Montelmlimar et ne

    mont chargé vous escrire la presente et vous advertir

    de Vienne pour y aller, et huict jours au pays de Lyonnoys

    heu encores nulle responce de luy. Je le fusse allé treuver sil ne

    daultant que je pance que monsieur de La Mothe vous

    1571

    cousté, [barré : qu] ces jeunes seigneurs seront bien peu advisés quelque addresse

    avoir esté mys sus aussi toust pour luy i[n]citer envye que pour aultre

    à deceder sans enfans masles. Cela depend de voz voluntés, les quelles

    Come fratello

    daussy bon cueur, etc …, des Diguières, ce IIe janvier 1574 [mot barré : signé]

    doleur. Toutesfoys, de ma part, que contraincte

    et bien au long come layant veu que ie vous

    Pains : six, trois blancz et trois bis de

    leur lougis sans permettre qui soient accompaignez

    heureuse vie. De Montpellier, ce IXme janvier 1574

    fère obéir par la force silz ne veulent faire de bonne

    ains le favorizer en son passaige sy besoin est ; sy

    vous leurs faciés si grand peurs quil ne

    escripvent au gouverneur dudit Vitrolles et eulx demandent

    et dune coulleuvr[barré : in]e ; et demmandant celluy à qui il se disoyt, que cestoyt

    tailler en pièces . Ilz se veullent servir des armes des catholicques qui sont

    les gabelles et faire imposer silence aux procureur de sa majesté en la commission du sel

    lesdits Margaillier et ministre que pas mesmes ung marchand [barré : d’Ar]

    que Daulphiné par sa majesté pour pacifier les troubles : et aujourdhuy

    cause quil me fault aller

    de Rochebonne est gouverneur de ce pays et quil a [barré : a] faict

    bruit que laffaire cestoit bien advancé avec lautre,

    audit pays, tant en general quen particulier. Lhomme de

    et despuis à ceulx en Contat par Antragues qui me

    de leurs circonvoisins d’Angrogne et aultres vallées,

    et quil vous plaise y reformer et mordonner ce quil vous plaira,

    Demain je la ferey revoir à notre abreviateur pour mieulx et plus seurement

    vouloir donner le moyen par lequel je puisse tenir la

    où il est, cel nest allé à Castilhon à la compagnye de

    seront assi bien receuz quilz ont esté les aultres foys, Dieu

    advivres dedans, de quoy vous ay bien

    et homme de bien deste ville qui en a jà presenté deux cens

    car ilia des letres pour auquns de par de là, aus quelles

    feste des Roys quil naye faict assembler son conseil. Il regarde par tous les

    jusques là, de louger les nouvaux ; qui a esté

    maeyn, et vous puis asseurer, monseigneur, que mont

    capitaines des bandes suisses, avec lesquels je m’informeray plus amplement

    universel.

    autre lettre, encor aussi longue. Monsieur d’Evènes ne vous escrira

    quil ne les pourra faire reffourmer à son [barré : acq] nom, et aussi une votre ordonnance

    du païs. Ie nobliay pas à parler du deportement des compagnies des ordonnances ; et de

    volonté de deffendre votre droit et le peut bien fère et

    château, aulcung ne s’y est volu hazarder pour estre basti de tel atraict et scymenté

    ce que je luy en dict, ne vous ferey plus long

    requeste à Dieu vous donner,

    le conseillier vous advertira amplement de tous les affères

    desditz edictz. Faict le XXe janvier 1574. Vachon

    et ma dict que dans dimenche prochain, elle espère avoir

    pour commander sa compagnye aulx fins que cependant

    mieulx quon pourra adviser. [barré no] On a eu icy ce matin deux

    Il vous plairra, monsieur, le porter dy [barré : pro] bien proceder selon le deu de sa charge. Je luy

    serviteur G. davanson

    et ma dict que dans dimenche prochain, elle espère avoir

    où me vouldrez employer daussy bonne vollunté

    de Rame. Je vous remercie humblement la poyne que

    voy grand moyen que notre province ne soyt du tout ruynée,

    la venue de monsieur de Maugiron ne fera guières

    que quelques vicontes conduisoint ceulx du Puymont par grand esperance de

    Voz humbles frères et melheurs amys, les

    lesse pencer à quel peuple iay affère, masseure que ne voudriez

    par ung rolle quilz sont cent cinquante portant

    la Comté. Lon expère que lon pourra advoir quelque

    estant aussi sadicte majesté à mesmes par bonnes reformations, à les [mot barré] soulaiger des insupourtables despences

    priant Notre Seigneur vous donner

    du Colombier

    sieurs de Silans et du Motet ont achepté les perroisses où sont

    De Grenoble, ce IIIe de fevvrier 1574.

    monseigneur, que nous croyons que moyennant l’ayde de

    actendu quilz ont receu advertissementz que lennemy

    à moy votre bonne grace. A Vienne, ce IIIe jour

    et condempnons à avoir troys coups destrapade

    quil detient prisonier ; et toutesfoys ce pendant puis que

    Estoille. Jey receu au jourdhuy des lettres de

    pourvoyr, ce que je masure quil fera facillemant sil vous

    satisfaictz, qu’a esté la cause que je vous

    pour les garder des loups. La tour quilz demandent

    Votre humble et obeissante

    parvenir à une bonne paix que Dieu veuille par sa grace ; et encores que depuis

    populayre en dangier quelle seroit generalle en son gouvernement si ssa prudente providence ny pourvoyt comme

    vous plaisoict parce laquaix en escripre en particullier ou

    eslargir et garder des courses de l’ennemy, nous sommes reduictz en une

    et pour le regard de notre tresve avec monsieur de Montbrun, il se courousse

    Votre très humble et très hobeissant serviteur

    à jamays

    ma persuader vous fère ceste cy et suplier très humblement [barré : me] vouloir donner pour

    Rome. Vous en aurés des

    de mes lestres, mais de plus vielhe daté, dautant

    je men remectz à eulx. Je vous envoye la veriffication de voz

    vie. A La Tour du Pin, ce Ve de febvrier 1574.

    font grand quantité descheles, tant à Orpiarre, Serres,

    lenemy oùt ilz avoient acoustumé den prandre

    entierement payer ladite contribution comme vous pourront

    La Cazete, Marc et Ferrus vous escripvent ; et pource

    avec telles forces qu’ilz antreront et ilz creveront. Cest le langage duquel ilz

    la vile que lons luy fornit que servent tout

    plusieurs catholiques cogneux des lieux circonvoysins qui, de

    et heureuse vie. A Crest, ce six[ièm]e de febvrier 1574.

    entrecy et demein, car je ne cesserey que je les

    soldat de la garde dicelle ; et aultres mont depuis dict en

    quilz avoyent jà faict avant que entreprandre

    semblent de [barré : sanb] sanmesler. Voyant quilz mestoient

    et avoir lexpediction necessaires. Quant aux secretères, ilz nen nont rien prins.

    daultre conseil que de celluy que est fondé sur votre

    ce VIIe févrvier 1574.

    jen ferè faire telle justice et pugnition que les complegnans

    Votre très humble à vous fère très

    envoys. Parquoy seroit bon sy votre volonté est

    Monsieur, en parfaicte santé tres longue et heureuse vye.

    qui viennent de la court sont variables, daultant que celles du XXe du passé estoyent fort agreables et celle que monsieur de

    de cousté ; monseigneur le duc, pour quelques peu de

    chasteaus qui estoit enseigne de La Balme. Encores vous en dyray je ce mot

    bonne grace, priant Dieu vous donner,

    de Chorges oùt ilz estoient pour visiter

    Et nayant aultre chose de noveau à presant

    treuvent que manger ou ruyner, disant que larmée des

    seigneur le marechal le querir avec le sieur d’Yolet silz veulent venir. On faict la

    Montpellier, lunziesme jour de fevrier 1574.

    encores à la reputation et honneur et au repos de lesprit

    et adverti que vous auriés remis à votre première venue. Ce long temps

    autant par linquisicion quil en a fait faire par Cure-

    icy. Il fault confesser que cest autant par la grace

    de congnoistre ses fidelles et bons serviteurs. Le tempes [sic]

    chez ung serrurier et sen alla à Château Neufz en Beaulmont, où

    bruict quon faict icy de la mort de son altesse. Je vous puys

    Faure, present porteur, ce quil a aprins et veu par [barré : le]

    cy malheureux temps. Je heus hier des lettres de mes

    aye presenté à [barré : la c] son arrivée à la court ; au plus il en est libre, cest aultant à dire quil y a anguille

    il les en feist retourner et rencontrant en leur chemin messire Ferratié,

    Nous avons mandé au chatelain den ionformer, et de lestat dudit

    compte de ma negotiation de la quelle je espère aurés

    au XVe de cedict mois ; de sorte que puys deux jours

    prester ung soir une bien bonne charité silz me font

    que vous ne debvés soubz correction tollerer en ce que ladite

    St Veran disposé de fère ce vouiage de Thoulouse pour les causes

    queulle vous mandois le double du brevet quavés heu

    supportent journellement plus que voysin quilz ayent

    mesmes de votre lougis quelle ne veult accepter, non pas pour

    Voz bons frères et meilheurs amys les

    m’excuser. Je prie le Createur,

    prié vous escrire et supplier très humblement en ordoner

    des murailhes de ce château, desquelles aussi bien

    des murailhes de ce château, desquelles aussi bien

    sieur du Chelar ma mandé quil veoyt bien que ny

    monsieur de Maugeron.

    monsegnieur, vous donner en bien bonne santé heureuse et longue vie. De Mirebel,

    de mes deniers et après me fère courre après mon eteuf.

    advertirey, e[t] luy escrirey seulemant de ses affères.

    celluy de Guillestre, mays son frerre. Comme je seray de retour, je vous

    sont cinquante deulx. Je vous envoye une lettre que

    Saint Prie qui, Dieu mercy, est hors de fiebvre. Je lay veu disner

    le[s] andrés quil vous plera me comander, et ne faudray

    comment jai peu entendre, il sacquitte très mal de sa charge, vivant

    lettres, comme si cestoyt chose bien resonnable que vous,

    monsieur lescouter. Et pour ne vous

    vous est rendue au Montelimar, je vous supplie permettre que

    si bien mener et pourveoir leurs batteaulx quilz passeront en

    les mains, vous presentant mes très humbles, priant Notre

    observent entieremant de leur part ladite trefve, je ne

    vous est rendue au Montelimar, je vous supplie permettre que

    pour la monstre de votre compagnie pour le quartier

    sera là de retour. Je crois quil ne peut plus

    tous les affaires du pays, tant du sel qu’autres, à telle fin quil

    ce que jey empeché et deffandu, feisant remetre

    comme estant plus proches de ces vallées que tienent le party

    trouvé dans son bateau quant ceus du Pousin lont fouillé, que cestoit faict de luy ; aussi ma[-t-]il discouru sur ce

    venu pour les recepvoir, furent assalliz audict Arvieu

    bien voulu tout aussi tost vous fère

    argent. Ie ne scai si vous ai escrit que i’ai receu

    à luy, sentens plus davantaige à le servir que à servir

    Monestier alla hyer à La Mure pour doner le melieur

    monsieur de La Cazette et à moy, messeigneurs de la court dernierement m’envoyarent

    impossible [barré : à ladite] à notre dite communaulté, actendu

    commandemans, je vous an ferey le discour le plus brieveman

    Laborel

    recherche des suspectz et à ne laisser entrer

    advancé et ce pauvre pays sen pourroyr ressantir. Advenant

    ladite somme que je masseure en leur escripvant en general et particulier,

    monsieur de Gordes, contente et longue vye. De Pezenas, ce XIIIIe

    treuvé ledit sieur de Miribel en intention de se randre

    mais à presant n’est que tierce, [barré : an] à la

    pourvoir de tout ce qui sera necessaire. Quant au marchant,

    la roine prenanr congé delle demein ou après.

    en la paix. Cela nous faict croire quil sera plus

    à propoz la depeche que lon vous faict pour attaquer le Pousin

    il se sont saysy de la mayson claustrale après lavoyr pertusé

    ennuyer de plus long discours, sy nest pour vous continuer le

    le trouvez bon et que le mescriviez, affin quil ne tienne pas à moy que

    les montagnes de Queiras et près Guillestre et à St Crespin où ilz trouvarent

    de Maugiron, mais quil revienne. Jen pourray scavoir des

    pour pilier et que ce soyt avec justes forces,

    lintention de son conseil, affin que là-dessus elle preigne resolution

    acheminent plustost à une guerre que paix, il nous monstra lestat de

    vous donner,

    se fussent pour lors offers dy entrer en garde ; je ne fusse

    à la porte de Legnier. Au lieu de luy ont esté renduz

    leur requeste, car je vous puys asseurer

    cosin pour recepvoir vous commandemans se ne fust la fin de

    delibère soy venir saisir de Domaine et le fortiffier pour venir manger

    il ny a aultre chose à vous escripre, que sera la cause que

    mondit seigneur le marechal estoit allé vers Florensac et Agde et que nous

    claude de Turenne

    contenu dans icelle. Il me semble quelle les [barré : dy] doyvent convyer à ce retirer à Gordes où ilz seroyent en toute asseurance. Je

    Votre très humbles et obeyssantz

    six a sept heures du soir par Jehan

    advertissement que les huguenaulx de Pryvas

    De Tournon, XVIe fevrier 1574.

    audit Marsane, venant ce jourdhuy de Vallence,

    monseigneur, en santé, vous donner bonne et longue vie.

    proumis au cappitaine Ferrus et à moy de y havoyr

    à vousditz povres subjectz, chose impossible,

    aussy que nous pretendons avoyr bien dinfanterie icy pour les acompagnier,

    y en mettoys vint cinq, je ne mentiroys point. Vous

    quilz ne sont armés, de quoy sommes estés esbays

    lequel j’ay adverti. Monsieur le vibally et moy

    entrer audit lieu de Freysenière secretement ; et

    en une maison dun gentilhomme nommé La Grange auprès de Vif

    monsieur, longue et contante vye. De votre meyson au

    monsieur, en très bonne sancté, longue et hereuse vye. Au mon[télim]ar, ce XVIIe febvrier

    ce XVIIe fevrier 1574.

    chose. Jespère que ce jourdhuy lon me fera venir du charbon

    brusler que justemant le couvert. Jespère que vous aurés contentement

    Bremieu qui luy avoient escrit de rendre la place, laquelle il dict vouloir tenir soubz

    La Mure, je y ay envoyé douze

    monsieur de Maugiron ferat ne nous guerirera [barré : t] de [lettres barrées] telz maulx. Quant ilz vindrent abourder les ditz sieurs

    at pleu ordonner à Sainct André à IX c l.ts à moys pour les moys

    et la honte. Je voy icy monsieur du Monestier et

    dans le conseil de sorte, avec ce quen avés escript,

    ma niepse ont une remue qui le fachent ung petit et sur tout ma

    puis passer oultre sans me douloir avec vous, monsieur,

    est fort public en cestte ville. Jay receu lettres de monsieur

    je vous presente mes très humbles recommandations à votre bonne grace

    par vos commandemans que sont toutes chozes qui vienne de voutre

    et intelligence, silz sont favorisés de voz commandements,

    partie, se y estans parqués, feysant le bruict quilz

    La Marcousse de remonter sil est de besoing sahault

    vye. De Grenoble, le XIXme de febvrier 1574.

    beaucoup. Je vouldrès bien advoir davantaige.

    Voz très humbles et obeyssans serviteurs les commis des

    signiffiez et aquictez, vous ne pouvez estre payé de votre assignation ne scavoir

    milliers de pouldres. Je seray bien aise dentendre

    conduicte des pièces qui sont à Lion. Enquoy, si besoing est, je vous prieray de nous ayder de

    Createur vous doner,

    hommes de monsieur de Moydie[u] leur fournir foyn et avoyne.

    se en alla hier, qui tiendra de près monsieur de

    de commander audit sieur Corradin de menvoier mon nombre complet et gens

    ce que jugez très bien de ce personnage duquel ne

    luy respondis que cestoyt voyrement à vous seul à en juger

    De. Ayguebelle.

    ung homme de qualité pour scavoir la verité du despart de ladite

    serviteur

    surprendre ; et ien peu adverer aultre chose de ladicte

    lougis quil vous a pleu luy offrir et commander luy presenter. Je

    tout alloyt [barré : l]çahault et à ce que [barré : jalt] jentens, le capitaine

    quilz alloient audit mens ? Je faictz assembler aujourdhuy huict advocatz

    reviennent, comme lon en faict le bruit, on leur puisse donner surs les

    la court assés de freche date où lon me mande que [le] roy na

    Votre humble et obeissante

    celon que locasion se presentera. Avoyr heu responce de leurdite

    eulx et moy, vous en demeurerons obligez

    car se cera ung grent service pour le roy et pour voutre

    lesquelles je ney peu fère coppier, mais je retiens une partie

    en ce userés de la diligence en teul

    ceste place des clers partie cachée dans [barré : leu] les maisons, partie descouverte contre

    estre qui sont environ soixante ou quatre vingt

    il cest treuvé dernyer et estant bien monté, il cest

    envers vous, je vous voudroys supplier

    je reçoyve de voz lettres avant mon partement, car [barré : selo] jen suivray

    armes, à ceste occasion, vous supplie, monsegneur, si le trouvés bon, me

    à quoy il ma acertainé, pour les avoir tant bien veu,

    noz sentynelles et corps de garde et aussi les rondes, ont

    service du roy ; et sil souvient quelque aultre chose, ne

    comme je vous ay script et bien souvant. Je ne scay sy quelques uns

    advenu que le procureur leur pourtant à soupper

    messeigneurs, vous donner en très perfecte santé, très longue

    plusieurs endroicts, que sur ceste fiance ne vous feray la presente plus

    ou dailheurs pour y satisfaire, vous offrant pour la fin de la presente monsieur de

    faire la reverence si nestoyt la craincte et

    Votre plus affectionné amy

    en randre compte plus pertinemment que je ne saurois faire par ceste

    gens de guerre faisantz estat, ainsi qung de

    Morsane par tradyment ou aultrement, de fasson que

    chose que merite vous escryre, prierey Dieu vous donner,

    quelque jour vous monstrer le portraict. Toutesfoys je n’y

    [phrases ajoutées]

    di venirle trovar si chome ma chomise io la prego

    desdits seigneurs, il a esté adjourné et estant

    du feu cappitaine Hans son prédécesseur [barré : je les eusse fayct] au dit Russique

    vye, vous presentant mes très humbles et affectionnées recommandations

    seigneuries accompagnées de feu monsieur de Size, les capitaines Bonifaces et le chevalier de La

    est ce present mois de juillet et non tant de livres pour la levée.

    datée du XXIe may dernier. Loccasion, monseigneur, qua esté

    lieux pour les autres compagnies, ce sont ceulx-là où eles firent leurs derniè

    nement ; et croys que [barré : ung] le roy [barré : ny] et son conseille privé troveront

    assignation que pour ung quartier ainsi quil ma esté

    est après faire randre compte aux predecesseurs

    en a donné à suffisance. Nous supplions vostre seigneurie

    votre seigneurie est tel que de me les addresser, ceste

    avons pourveu comme nous avons estimé estre

    entretiennent à leurs maisons comme serviteurs ou aultrement, les faisans

    Nous vous remertions très humblement de la bonne souvenance

    partie avec ce que peult rester n’est encores souffisant pour les

    leurs mandementzs et daultant comme ma mayson où à present

    donner huit sous le jour. Je vous promés que cest trop

    Monseigneur vous donner en santé longue et heureuse vie. De

    par desca, pourra faire estat de moy sil luy plaist en tout ce quil cocgnoistra que ie

    sur le poinct d’abtenyr arrest contre luy, ilz

    [barré : payer de mesmes et si je leusse plustost eue dudit cappitaine

    à votre bonne grace. De Veuray, ce IIIIe juillet 1572

    Mothe. Moy vous guidant, fut faicte quelque sortie par ceulx du capitaine Vallavoire

    Voilla tout ce que je vous en puis dire. Si deça je vous puis

    quayons mis à ladite garde de soldatz catholiques a esté

    res monstres. Et quant mondit seigneur eut remis le lieu pour

    reysonable quant ilz en sera adverti que son lieutenent

    commandé et ne fault, sil vous plaist vous

    tresoriers. Ce pendent, vous suplye avoir

    de vouloir octroyer ladicte traicte en consideration desdits

    sera pour vous faire entendre et scavoyr le nom de mon

    requis pour la seurté de nostre ville et pour le

    travailher en chambre, nous vous supplions très humblement,

    qu’avés heu de nous et vous supplions envoyer votre

    VI m[ille] l[ivres] de l’impos du vin qui est la pourtion de messieurs de

    ie suis est rière le dict bailliaige et mandement de Tullins

    et du nombre [barré : et de lespece] et par tant, je vous prie

    Valence, ce Ve octobre

    luy pourray faire scervice et ne me trouvera aulcunement retif. Jay eu ma

    est décédé et deupuys son héristier a esté adjourné

    Russique, aussi tost jeusse commencé à les fayre payer par ledit

    Votre très humble et affectionné

    qui estoyt dans ladite Grane (à qui avoyt rendu à bailhe le lieu dudit Grane ledit La

    faire service, il vous plaira de me emploier comme lun

    pour evicter quil nadvins quelque debat comme estoit à craindre,

    votre monstre à moy, je vous eusse gratiffié de tous les lieux du

    fasse les commandemens ″ [″ de teles contributions] ; et non autre et si vous n’avés si peu après aprins

    estonner aucunement car il y a la pluspart des

    patience et à tant priera le Créateur donner

    paovres. Quoy faisant, les prières diceux journellement

    logis qui est chés une quon appelle La Gratelle, à lentrée

    service du roy, comme vous dira ledit pourteur.

    si cognoissés que les affaires le portent et que soyons les plus fortz, de

    advis à mondit sieur de La Tivollière pour fère vuider les

    l’Eglise et de la noblesse, lesquelz ne ont jamais volu entendre

    et que dimenche les dictes proclamations se doibvent faire

    den licencier six, car [barré : je] il ne me souvient de

    Voz très humbles et très obeissans serviteurs,

    grace signée et bouclée, ie linterineray quand il plaira à Dieu. Je la doibtz

    à memes fins et pour ce qu’ilz se dict héritier

    tresorier] jusques au moys passé

    serviteur

    Roche) et vous fut tiré plusieurs coups d’harquebuse, tellement qu’on vous cuida

    de voz affectionnez serviteurs qui en cest endroict salura vos

    se treuvant jeusnes gens de nuyt dans ledit chateau de diverses

    Daulphiné que vous m’eussiéus [sic] volu demander, bien vous eusse-

    que vous ne sachiés bien obeyr, je n’ey pas sy peu retenu

    princes du sang mesme qui nen ont faict non

    à vous

    seront presentées devant Dieu pour vostre properité, noble

    du pont. Mon debvoir estoit bien de vous aller dire cecy de

    Monseigneur, nous prions le Createur vous

    nous envoyer mandemant et escripre à monsieur Galbert, lieutenant du sieur juge

    estrangiers que sont venus en la présente cité, suyvant la lettre qui

    au payement dudit impos ; ce que n’a esté accourdé, monseigneur,

    ou bien samedi le jour du marché, je vous ay bien volu

    la place où je pence que la plus part dicele est ors

    les consulz de Valence

    interiner devant les mareschaulx de France. Je crois, monsieur, quaurés

    avec bénéfice d’inventtayre, a faict valloir assignation

    et si je vous ay escrit en sa faveur et qu’il seroyt en-

    Sernaing

    en dommaiger et blaisser votre cheval. Mesmement que ledit seigneur de Size vous pria

    bonnes grâces de mes très humbles recommandacions, après avoir

    religions et navons entendu que personne sen pleigne, vous

    je volu prier de vous contenter de tout autre ors le Mon

    que je veuille qu’on entrepreigne sus la charge que le roy ma donnée,

    plus que vous et dautres qui nen ont poinct

    Monseigneur, en saincté, longue et heureuse vie. D’orange

    et heureuse vye ; comme nous de nostre part, nous

    bouche, mais à locasion d’aulcuns afaires (pour lesquelz je

    donner en sancté parfaicte bonne vie et longue.

    et à monsieur Correri, pour les faire sortir et surtout nous envoyer votre

    vous escripvimes ledit jour d’hyer ; et en ce et tout aultre chause

    sans vous an avoir adverty et avec votre consentement pour faire

    despescher ce pourteur pour entendre la volunté du roy,

    deschele [barré : je me suis pen] et puis que ceulx de la religion

    Rosset, consul

    entendu la rendition de Montz en Haynault qui a esté bagues scauves. Les François

    à tous les créanciers à jeudi prochain pour veoyr

    tretenu comme son prédécesseur, je luy ay tenu promesse et

    vous retirer ung peu, et ung peu devant, les beufz dudit La Roche sortirent qui

    pryé Dieu,

    plairra nous faire entendre votre vouloir et intention. Nous, suyvant

    telimar, car pour en parler à la verité, le debvoyr qu’ilz

    qui meriteroys d’en estre chassé si je l’enduroys. Je n’estoys pas si

    du tout faict. La publication generalle vous fera

    ce IXe aoust an 1572

    le prions vous tenir en sa saincte garde. De Lyon,

    suys icy) me pressent de cy près qui me ont

    De Vienne, ce XXVIIe daoust 1572

    advis, à quoy obeyrons et garderons vous commandemantz d’aussi bon cueur

    qu’il vous plaira nous commander, et ledit sieur de La Tivolyère,

    cesser la difficulté que ce seroit presentée à ces Estatz derniers.

    pour ne voulloyr aulcunement faillir à lobeissance que

    font ceste despence, il est reysonnable que les qua-

    qui estoint dedans sont esté presque tous mys en pièces, sen retornant en France et

    procéder à l’inventtayre solempnel ; s’il plaict

    n’eusse fayct aucung changement si on ne m’eust faict

    furent prins par ledit sieur capitaine Chevallier et menés audit Livron. Et par ce que

    Monsieur, quil vous donne en bonne santé ce que plus désirez.

    les commissions par vous, monseigneur octroyées, avons logé les

    firent lorsque le comte Ludovic les assaillit m’a donné

    loing de vous que ne me deussiés advertir si vouliés contribution, car

    saige en cest endroict, vous priant croire

    Voz humbles serviteurs, les

    ce XXe daoust 1572

    gardé macquiter de mon debvoir et faict prendre laudace

    Voz humbles serviteurs

    et affection comme nous prions Dieu,

    obeyrons d’aussi bon cueur comme nous prions Dieu,

    La voye escripte par monsieur d’Yllin, comme il a donné à entendre

    je luy doibs, comment graces à Dieu, je nay faict jusques

    rante catholiques servent pour leur tant et ceulx

    estant sur le bord de la frontière, ayant prins congé d’eus, les seigneurs bourguignons

    à vostre exelence que ont baille la demande

    les susdites pleintes, mais [barré : je le remetz à votre] je vous prie

    je estoy, vous guidant (comme de debvoier et obéissant, monseigneur, que je doibz à voz

    De Lyon, ce IXe jullet 1572

    compagnies corses sen allans en Provence, aussi la compagnie

    occasion de les favoriser et soulager, de sorte que je n’ey jamays

    de troys jours l’ung, si je ne vous veoys, j’avoys de voz lettres ; mays

    monsieur que je ne sache compaignye en France

    consulz d’Orange

    Voz humbles serviteurs,

    le faire par escript. Mais votre seigneurie ne le prendra en

    affectionés, les consuls de

    Monseigneur, vous donner sancté longue et heureuse vie. De Vallence, ce XXIXe

    Monseigneur, vous donner sancté, longue et heureuse vie. De

    à notre procureur, sera hors de toute consequence parce qu’il n’y a

    icy et quil vous playset me rendre sage de cela pour

    des quelz on ne peult tyrer service qu’ilz payent le

    qui les conduisoint pour lesquelz La Noue, Scaucourt et le Begue de Senarpont estoint demeurés à Montz p[our otages.] Le conte Ludovic est allé en Allemaigne.

    par devant le commissayre commis au faict dudit

    messieurs, faire considération s’il est reysonable [barré : quil] que je

    seigneuries), ledit La Roche m’a aggassé, me menassent non de me battre, ains me tuer,

    Votre bien humble et affectionné

    du cappitaine La Combe et combien que lesdites commissions portassent

    volu y metre aucune garnison depuis, et si en ey esté reserché.

    tant s’en fault que vous m’en escrivissiés ni parlissiés

    payé estre mieulx traictée que la votre encores

    Par leur commandement

    les recteurs de laulmosne

    maulvaise part sil luy plaict. Mes dames la contesse

    Vienne

    D’aoust 1572.

    Vallence, ce penultiesme jour du moys d’aoust 1572.

    ville au pays plus en doubte, comme garnye de plus grand nombre

    rendre à sa magesté ce que je luy doibs et à Dieu aussi

    jour quilz seront de garde, quest comme jay commandé

    Il est mort force fra[nçois au]dict Montz, mesmes Rovre. Ie crois

    inventayre ou bien le poursuyvre en l’instance

    [barré : eusse ung sergent qui a servy troys ou quatre ans pour y] permette ung tel retranchement de paye sus ledit

    ne se sentant barre sur ledit sieur capitaine Chevallier, soyt que bien scaché que ledit Chevallier

    Serviteur

    de payer raisonnablement, toutesfoys, nous voulu du tout rien

    Au reste, vous croyrés, Monsieur, que il ne scauroyt venir compagnie

    jamays qu’en presence de plusieurs gentishommes. Vous me dites

    quelle layt esté assez mal. Et naiant

    Mensant, secretaire

    generale de Lyon

    de Grignan et de St Privat me commandarent aussi presenter

    Savignieu

    Vous très humbles et très obeyssans serviteurs les

    Vous très humbles et très obeyssans serviteurs les

    de ceulx de la pretendue religion pour faire ertirer icelle despence

    ou bien en approcher de plus près que je pourrey ; et pour

    quon fasse par tous les autres lieux de ce gouverne-

    à la verité, que le prince [d’Orange n’a] plus moyen de lever la teste et

    commise par devant le sénat,

    [barré : metre ung sien parent ; et aussy] sergent et soldatz et davantage ledit sergent c’est venu pleyndre

    ay eu lesdits beufz, que furent bien prins. Et craignant, monseigneur, tumber

    Descamyn

    payer, disans que ce mot raisonnable en pourtoit de ne rien payer ;

    en ce gouvernement de laquele je soye plus eyse et content.

    que ne vouliés vivre aux despens du païs, que je trovey bien

    pour ceste heure occasion de la vous faire plus longue,

    Benoist

    leurs très humbles recommandations à la bonne grace de vous

    consulz de Vallence.

    consulz de Vallence

    aux Estatz prochains. Et quant aux deniers fournis par voz

    ce que je entends beaucoup des procedés extraordinaires,

    ment ; quant à ce que dites que vous doubtés plus de

    pour sa faulte, car sil [avoit donné b]ataille lorsquil la presenta devant Montz

    Monseigneur, en parfaicte santé, longue et heureuse vie. De Paris, ce

    attandant mieulx à la fin de ce moys. Ce mesme jour, j’ai

    le temps propice et comode pour le faict duquel suys

    mois ; quant aus afères de Flandres, il me samble que

    que moy. si est ce que le vous ay bien voullu par

    tant de haites à la foys, attendu mesme qu’il n’en prend pas

    B de simienne

    le pays de la despence ou par payement ou autrement.

    ce que nous avons remonstré et dict et parlà [a] ledit sieur

    Je croy qu’ilz auront faict le voyage sans moy. Au reste, quant à la court, c’est la

    tellement que j’espère bien toust de partir et passer par

    faire mettre le feu à cellui qui est au devant de louable coustume préparé pour

    prince d’Ourange tient toute la Frise, l’Ollandre et l’Islandre. L’on a aussi nouvelles que le prince

    Monsieur, vous scaurez bien cependant donner advis,

    chose qui se puisse faire, mettant en considération les grandz services

    que par ouir-dire, bien crains-je que vous n’aiés

    estre veritables. Les nopces du roy de Navvarre et de Madame ce continuent fort, et qu’elles ce feront

    vous plaist que vous suis serviteur et

    escrite, qu’il seroit entretenu comme son feu prédécesseur capitaine

    mais tous jugemens sont hazardeux. Vous n’avés pas peu

    escrire de ce quartier depuis mes précédentes est l’extraict

    Quoy qu’il en soit, il importe grandement au service du

    tant d’artillerie qu’il sembloit qu’ilz ayent

    ont procédé par diffaultz contre le procureur de

    de sorte que je feust bien empesché pour saulver ma vie et

    plaira pour achever ma compagnye pour depuis

    doncques de plus, Monseigneur, me faire tant

    prandre pasiance. Jecrips à monsieur d’Evènes

    mays enfens et prinsippallement dune filhe

    que ladite reyne mère du roy estoit à table, elle mappella et me dit en mesmes termes que « estuilla

    des adrés

    que monsieur de La Garde na pas moins d touché de

    les votres, Monsieur, me pourriont beaucoup ayder à les abatre et soustenir

    plus oultre, dautant que le temps est dangereux

    et les cinq neufves qui estoient à Barcellone sont allées

    de Guerche, qui debvoient estre de la partie avec le

    de Vienne et ses commis, il y a ung Jehan de Mussy, qui se dict

    assamblent des forces et encores que mondit seigneur de Savoye attendoit

    longue vie. De Gap, ce IIIIe de juillet 1572

    humblement à votre bonne grâce

    postes sont maintenant dressées pour ces ce quartier et pour ceste ville,

    preferer sur tout aultre. Mès, soubdain que les marchandz

    demain du chasteau du bois de Boullongne pour aller loger audit Paris.

    une belle descouverte de voleurs, brigandz et

    armer quarante mille hommes de pied et selles, brides,

    Languedoc luy donnent, sur lesquelles il peut bien

    très grand contantement pour la continuation

    ceste court, la paix y est très desirée, principallement de leurs magestés. Daultres désirent le contrepied

    de la Ligue Saincte, questoyt en nombre de troys

    tant faict tarder ce voiage. Nous sommes très tous en en fort bon pourtement la grâce à Dieu. Je nalongeray

    quomandemans. Je finerey septe par mes très

    que je trouverroys beaucoup de tesmoingts de

    en ceste ville, en esperant bien tost espouser Ma dame,

    apprès mestre recommandé bien humblement à votre bonne

    lieu et leurs aydes et aujourdhuy est le vingt uniesme

    je vous ay méritoirement de longue main vouées.

    suivant vostre bone volenté. Se presentant aultre

    Je vous prie s’il parvient jusques à vous, de commander, s’il vous plaist, qu’il luy soit

    don Juan, y est allé sans mieulx aultres gallère

    Expilly

    et de Rosset de venyr disner icy lundy où je vous attendrez.

    où plusieurs ont esté par luy recherchés et encores moy

    commissaires.

    avec mes bien affectionnées recommandations à votre bonne grâce, priant le Créateur qu’il

    du Sault, qu’est tout ce que ie vous puys escrire, fort

    escus, si est-ce que monsieur le président n’estoit point à

    en foy de quoy, nous sommes soubcynés

    françoys et le seigneur Malatesta, lequel est fort aggréable

    monsieur le commandeur de La Roche, que nous attendons en bonne

    Faveau et samble y avoir je ne scay

    bien tost à La Voutte, lequel a faict ung voyage

    alloyt à Sainct-Germain et à la forestz de Lyons,

    pense qu’à la fin il y pourvoira mieulx. Au demeurant, monsieur le

    apportera plus d’utilité à la Chrestienté que n’a estimé le pape et ceulx de la Ligue car par ces nouvelles

    commandementz, priant Dieu

    bon congé, me suys retiré en ce lieu tant pour le repos d’espérer

    ceste ville, encores que vous en ayez appoincté. Je seroy bien

    deux jours en ceste ville où nous attendons monseigneur et madame

    Je croy que vous scavez la venue de madame

    Contat, attendu mesmement les lettres de represaille que le roy

    Monseigneur, en santé, vous donner heureuse et longue vie. De Lyon, ce XIIIIe juilhet

    et que tou le païs estoit en efroit et qu’il experoien

    Dieu vous doner

    qu’il vous plairra, pour asembler tant seullement

    adviser de moy qu’il soit icy, autrement il fauldroit qu’il séjournast et vescust

    continuent. Nous attendons demain nouvelles de Gênes

    humble serviteur. Du cousté de Prouvence, il ne se parle

    y puisse fère quelque agreable servise et mestimerois bien heureuse si ien avois

    de Cabanes mescript quil na poinct de dolleur, mais quil ne peult boger

    Saluces, le XVIme jour de juillet 1572 .S.

    Votre entièrement prest à vous faire plaisir et service

    ce treuve bon le présent pour je ne laporteroys cy voz le

    serviteur

    très humblement à votre bonne grâce, priant Dieu

    autre chose à vous dire, je feray fin par mes affectionnées recommandations

    une letre de monsieur d’Agnela, escript au sieur de Champier pour

    me recommande bien humblement à votre bonne grâce,

    à l’un d’eux trois frères, toutesfois en faveur d’un pupille, filz d’un de

    Votre très humble et obeissant serviteur

    1572

    sans avoir esgard aux plainctes infinies

    courdonniers qui ont eu quelque charge durant les troubles,

    mon conseilh de Gresnoble dira. Votre faveur me pourra de beaucop

    et que luy escrivoyt votre frère Evènes, de quoy je suis estée

    à votre bonne grâce, priant Dieu

    lettres de luy ny nouveles despuys l’arrivée de son frère

    XVIIe juillet 1572

    que ne l’avois poinct eue et despuis n’en ay poinct eu,

    parachevés le VII d’aust. Il me semble

    d’Evènes et de Laval. J’ay demeuré trois semeines à Apt et en

    que à ceste occasion ses neveux estoyent partis en poste du Montelimar

    sienne à laquelle, de vostre authorité, vous heussiez pourveu.

    par prière que je faict à Dieu vous avoyr

    sancté, vie longue très heureuse pour l’acomplissement de tous bons désirs. Escript en votre monastère

    me retrouve en la plus grande peyne du monde de ce quà ma queue devoit

    vous veuille donner

    et la quatriesme demourra à Pinerol. Partant, vous y adviserez

    bruict, les capitaines de la Religion font quelques levées, comme vous verrés par

    de monsieur de Pressin, l’advertissant de la grande maladie

    est son dessein. Lon craint bien que les troubles de Flandres

    absent, il luy desbaucha sa femme, et non

    anquores auqune résolusion du fait de

    quil sera bien tost gueri. Je nay volleu permettre que ma fille, votre

    qu’elle ne me durast longuemant, mestois délibéré à mon

    y arrivera le XXIIIe. Monsieur partira demain pour aller audit Monceau. Je luy feray compaignie. Il ce parle

    lieu à voz poursuittes et servir à voz commodités, comme il

    Monseigneur, vous donner en parfaicte santé, très longue et

    des adrés

    cognoistre eslogniés de tout passaige de quatre lieues, si que

    me fère ceste faveur me despartir souvent

    après avoir présenté mes humbles recommandations à votre bonne

    De Bressieu, ce XXI julliet 15672 [sic]

    de Xm[ille] l[ivres] ; mais comme je vous ay discouru par madite lettre, je

    que la fievre c’est determinée en fabce, dont ce

    XXIIe jullet 1572.

    encores que pour en fère paroistre quelque chose, il aye faict remorquer

    ne fauldré vous en advertir incontinent.

    de simienne Alle[mans]

    de tant premier que de vous estre allé faire la reverence et dautant

    estoit party lorsque les drappeaux, estans ors les logis pour s’acheminer,

    guerison. D’Embrun, ce XXIIIe de julhet 1572

    gendarmerie en garnison sur les frontières, qui est ung

    Monsieur, en très bonne santé, longue et heureuse vie.

    je porteroys aussi aigrement que de seigneur ne amy que jaye

    grâce, qu’Il vous doint

    vous an ecript et mana parlé pour vous

    bon seignieur et mestre. Je vous suplie très humblement

    du dix septiesme de ce moys, vous asseurant

    en ma messon et ce matin je ley conduyt à la messe,

    et païs de son roy, et que neantmoins, pour le

    moyen vous fère en revenche quelque bien humble et

    Vostre très humble femme et bien

    je advertirey vostre seigneurie comment le roy au despart

    la gendarmerye au vingtieme daoust prochain, ce qui me

    medecine, il la rendu tant de velenye du corps par le

    il ne nous a manqué de toutes sortes de confitures et gelée. Nous avons

    pourveu quilz voulsissent aller assaillyr en Levant quelques

    Votre plus humble à vous servir

    envoyer ce jour les mulles car Crestin se treuve fort mal.

    St André partit, comme vous escripvis par lui,

    Gordes de lhonneur, lequel ordynayrement il vous plaist

    Monsieur en très bonne santé longue et heureuse vye, A Sainct Gervays, en vostre maison,

    Monsieur en très bonne santé, longue et très heureuse vie,

    priant Dieu

    vostre exellance expressement pour en sortir, que sera landroit

    Monseigneur très heureureuse et longue vie. De Grenoble,

    et dessains viendront en fumiée, vous y estant adverti ; qui ma causé vous

    vie, de Bressieu, ce XX8 julliet 15672 [sic]

    recommandatyons, pryant Dyeu

    beissant serviteur

    praticques de les fère subfornir sur nous

    Monsieur, en santé très bonne et longue vye. De

    procureur de Meilan que nous luy devions à cause du

    noblesse par Bourgel, de quoy je vous ay encor escrit despuis.

    mont dit plusieurs foys. Jay veu la lettre que vous escrivés à monsieur de Chastelart et à

    Vostre bon et affectioné cousin

    mais sa esté comme son serviteur et non comme

    atandons vostre comandement pour scavoir où trouverés

    Rosset, consul

    Vostre bien bon et affectionné

    estoit venu à la traverse. Il y aura tousiours

    tions de mon office, je ne eis pas envoyer de poursuyvre ;

    vostre très humble et très obeisant

    Gordes, avec laquelle je men resouldray. Surce, me recommandant humblement

    an peine pour man faire tenir. Mon fait de Dieppe nest

    quand ilz viendront icy. Voz aultres chevaulx se portent fort bien,

    Vostre très humble

    ce penultiesme jour de juillet 1572

    main yl vous yra voir ; jay en une grande recommandation le père et les en-

    à Lyon auquel jay comandé passer vers vous. Je vous

    est mallade à Lyon. Dieu soyt loué de ce quil

    doit passer encores douze gallaires d’Espaigne et quil en va vingt

    Monsieur, en parfaicte santé, très longue et très heureuse vie.

    monsieur de Evenes et monsieur de St André mont

    passé et confirmé de Lyon pour chose certaine par lettres du XXXe ; qui est tout

    quil ne sera jour de ma vie que je ne demeure infiniment obligé

    sont petitz et peu violentz. Les medecins estiment quil

    peyne, comme aussi de mon neveu de Laval qui a eu la fièvre

    de les faire passer oultre, et à luy de les y recevoir, de peur

    votre commandement, auquel ne fauldray jamais d’obeyr. Je ne scay

    d’hommes dicelle, attandu que avant la closture des

    monstre quil cuyde nous ayons faicte ou soyons prestz à

    avoir esté adverty comme la necessité de bledz augmente

    J’en avoys jà escript à mondit seigneur l’admirail,

    obligé et redevable et vouz en remercier aultant humblement

    en faict une terrible justice, que sera la

    come que ce soit, Monsieur, vous ne me

    grace, je supplieray le Createur

    les autres et ay escript audit sieur president quil

    de Thoumllon et faict fort mauvayse mine de vous

    les grandes sueurs quil la fait durant sa maladye ;

    Votre bien affectionné à vous faire service

    comandare à detti de Loriolo che non manchino

    dès le premier jour quil prins mal et tous les jours je luy

    faire ma monstre et à ceulx qui sont icy aveq moy.

    attandons de savoir mieux la particularité de son

    est davoir part de vous commandemans, aus-

    que je suis arrivé cest que monsieur des Adrestz,

    que ma damoiselle d’Ourche faict bonne chère et que les nopces de ma

    de tel ceur et voul

    conseil depuis ausdits deputez, exepté à monsieur de Saint-

    le sieur Dacier qui est colonnel de l’infanterie de ceulx

    nouvelles, car il ne veult penser à aultre chose que à sa santé ; son apostème

    passé, par lesquelles il me prie entre aultre choses de moienner

    Monsieur en parfaite santé, heureuse et longue

    quil feut esté malade, comme il ha esté, par la

    jours où madamoizele de St prie nous atant en bonne devotion ; et

    De Simienne Alleman

    les deniers en temps et lieu. Ce matin, nous avons

    et plus nest, comm’aussi a esté ladvis de monsieur du Chastellard du [barré : ladvis] conseil

    monsieur de Thurene et son balliage du Constatin,

    siennes et monsieur d’Ourches qui sen retourne pardella, vous rendra

    avoyt esté faict sans vostre ordonance et commandement, je vous asseure, Monsieur,

    Monsieur en prosperité, très heuureuse et très bonne

    qui vient ; et ses troys moys ilz auront bon moien d’apprendre à escrire

    ceux de ceste ville, dont advient cherté, laquelle pour raitempirer,

    quiliécript pour les anvoier et me la bailla lors que nous

    voila privé de lesperanse que iavois de bien

    lon panssoit après la route de monsieur de Janlys, quelle fust revoquée

    se portera bien et ne puis penser

    Vous aurez sceu aussi, monsieur, la mort dung de noz

    davantage, se luy sera santé. Son apostème flue tousiours ; elle nest

    Monseigneur, je prie Dieu vous donner en sancté, très longue et

    longue vye. De Grenoble, ce Xe aoust 1572

    seul movement, luy a esté la plus favorable quil

    à continyer la servitude que jay dédyé à votre service,

    premier consul, ma dict avoyr entendu de vous du

    avoir receu une infinité de faveurs, et mesme de monsieur et

    en advertire ; et quant au procès de monsieur de

    mais il lestoyt allé aux champs à une sienne

    Monsieur, en santé bonne longue et contente vie. De Saluces,

    comme lon envoyra information, je vous supplierey

    [barré : que] vous estes là, car, oultre mon home de chambre qui

    condemné en audience du bled que le viballif du

    que je fairoys tout se quil me seroit possible

    faire leurs inventions malicieuses. Je desire[rey], monsieur,

    du tout, pour après en faire sellon votre bon voulloir et commandement.

    le passsaige du grand chemin ; et quand ad ce que le roy vous mande

    là où d’autres, quelques negligens, licentieux et dissolus qu’ils soyent,

    ou aultre part, je vous obairay et faire service

    estoit en bonne sancté vers ces cartiers de là, ors mis

    vie. De vostre mayson à Grenoble, ce XIIIIe aoust 1572

    Incontinant que je entandrey que y il sera

    Monseigneur, je supplie le Createur vous donner en parfaicte

    lequel aussi bien ne se pourroit faire yci et faudroit que vous

    jay du roy de faire retirer lartillerie et municions qui sont sortiz

    Saluces, le XVme jour daoust 1572

    faict sortir de ses montaignes ses peuples de la Morée,

    que ce sera. Jay aujourdhuy veu monsieur d’Aiguebelle

    Julles Centurion qui doit quasi tous les quatre moys passez plus

    Je pance monseigneur que monsieur de Veynes vous a peu faire

    du sieur Julles Centuryon pour les retirer, faisans la monstre

    mauvaise tranchée ier au soir qui dura une heure, et depuis ne

    superieure de la lebvre dembas et finissant au

    Monsieur, en très bonne santé, très heureuse vye et

    Et la. Jespère que nous aurons de vous nouvelles. Jen

    au jeudi que nous viendrons diner en ceste ville et le

    au jeudi que nous viendrons diner en ceste ville et le

    estant prest à juger, il men advertireoient, ce que monsieur

    vous plaira en ordonner et establyr.

    ainsi, vous pouvés mander messieurs les commissaires contreroulleurs

    de noz creanciers ; et nous faisant sur ce

    le prince daulphin et de monsieur de Bellegarde, laquelle

    icy. Aujourdhuy mon filz et sa femme doibvent

    tel estat quil ne meritois reparation ains refection entière,

    grand cours de grandes et griesves maladies. Si est ce que de tous

    presantant ses très humbles recommandations

    en icelluy pour lamitié et grande affection que ie leur porte. Le demeurant

    Monsieur en très bonne santé heureuse et longue vie. De St

    sera pour la provision de ladite ausmonne generale, que l’on a accoustumé

    verrés comme il a desia envoié à la court par le gentilhomme

    despance silz y estoint employés à quelque bonne et juste occasion ; et parce que

    de celles de messieurs d’Evènes et de Laval pour savoyr

    seu choysir, comme il me le dit, estant yssy. Je ne falhirey sy je

    que je vous allasse treuver pour se fect, qui ast esté occasion que

    ce XXe jour daoust 1572

    absolue. Nous vous supplions aussy Monseigneur, quil vous

    de ma compagnye lannée passée, car vous lavez assés

    en havés mandé de plus fresches. Jay sperence en Dieu quil

    lesquelz soubdain ont faict mortz. Le sieur de Lisle-Dieu, abbé

    dit, il m’a baillé une lettre pour recevoir trois cens livres

    qu’avés receu dudit viseneschal, suivant ce que m’avés escript.

    prie le createur vous donner

    Monseigneur, très heureuse et saincte vye. De Moyrans, ce

    que pour l’obligation que jay de vous faire service, [barré : me] je me

    Dieu

    De Molehuc, ce XXIIIe daoust 1572

    à cause d’une vollerie nocturne et furt quil

    surce que de savoir ce que men escripra mondit sieur de

    lecture de la lettre de monsieur du Chastellard et de celle de monsieur

    que vous ne vous estes plus doulcement accommodé avec le personnaige

    quelcun audit lieu pour fère arrester les deniers entre les

    incorus despuys le compte ; et en fin me firent

    vie. D’Ambrun, ce XXIIIIe d’aoust 1572

    De Romans, ce XXVe auost [sic] 1572

    Vostre plus affectioné à vous

    bon. Et sil vous playt vous sovenir de la promesse que

    de malladie. En venant, je vis madamoiselle d’Ourche à Sainct

    que jespère vous aler tenir compagnie si le bon pais

    qui seroit arrivé de la court portant nouvelles à monseigneur

    je mettray fin à la presante par mes très humbles et

    ville, ay faict prandre garde à se qu’il ne se fasse chosse quy altère le repos des

    en faire ce mot, lequel je m’en vay finir pour saluer voz bonnes graces par

    nous a semblé qu’il doibt mander à Loriol homme fondé de

    de quelques remuements et notamment de la blessure de monsieur l’admiral.

    se trover pour ouyr lecture desdites letres, que j’ay estimé

    et conservacion du repoz public, que en pourrés

    corrier. J’ay receu aultre votre lettre par le corrier venant

    voullut prendre les deniers au pris des escuz que vous mavez

    toutte la nuyt. Le chevoucheus à qui vous balliates les

    peys. Il vous plarra, monsegneur, me commender

    provisions à faire pour entrer dens le collège que je ne

    de sorte que je voy que monsieur de Modieu qui departit

    le bruit comme cestoit en ceste court que Valance estoit

    tousiours prest men revencher par tous les moyens et

    quittance audit banquier de quatre cents livres parce que

    en sa compaignie, mais aussi, i ara ti grand troupe et

    Votre très humble et très obéissant filz B de Simienne

    bonne santé, dieu mercy.

    fère ; ie ne feray rien au defaut de sella que par le

    chose. Et nayant aucune chose digne de vous escrire dautant

    dis que entre autre, il nestoit pas poussible à vous

    debvoir que je vous ay de si long temps ; saluant en cest endroyt

    nel medesimo loco d’amicitia et d’affinita con ch[e] ella è legata con la Casa

    vous asseure que largent sen va bien vittement pour

    avec monsieur de Bonevau, Dieu aidant. Prouvanse étoit

    et à vous, et sur ce finer nous vyes ; et cregnans que, [barré : toutes] comme

    moy toutes les considerations quescripvés lonstant

    Je laissey à l’armée du Turc monsieur le chevallier

    esté pendu, et ses compagnons, et que le duc d’Albe a levé

    ceulz, sans ayde. Ilz commancent à s’en ennuyer, pour ce que ceus de la nouvelle religion n’ont jamays rien fourny

    comme plusieurs des principaulx d’eulx qui me vindrent aussi veoir à Suze

    très heureuse et vie longue. De Pertuis, ce XXVIIe

    dirent aulx edictz ; et quant à la troupe, je

    magesté, laquelle jay charge vous faire entendre

    des mastines parisienes, cest ung grant heur pour luy

    point de malin ny de mespris de votre auctorité, que vous me leussiés

    me fera la grace de me veoyr venger de la mort de feu monsieur de Balazu mon beau-frère, lequel

    de luy an ayder que luy mesmes sent nest saysy ;

    jours à Barbentane pour changer dair en attendant bien fort son

    je vous assure monsieur quilz nont encores

    voz ordonnances IIIm VIIc l[ivres] t[ournois] aux compaignies des Corses et Julles Centurion.

    vôtres quil est impossible que je pouysse jamais non pas il

    vostre à jamais plus fidelle et

    vie. D’Ais auprès de Dye, ce [blanc] septembre

    an, il ayt vescu que selon les constitutions et observations de

    avoyt lessé une despesche pour vous, lequel

    Monsieur Gentil a passé par ycy, qui sy est en allé commis de

    la ville, se doubtans y estre empecher suyvant l’ordonnance

    prés ne le pourroit si facilement rencontrer par les chemins

    de Grane au prejudice du service de sadite maiesté et pource

    voulloir lascher prinse faignant aultres causes,

    grace, je prie le Createur qu’il vous doint,

    de vous donner

    envoye. Aussi ne veus-je fallyr vous adviser comme monsieur Du Pegue m’a escrit

    de sa majesté qui sont en mesme substance que celles de mondit

    les huguenaulx ont voullu faire une alarme

    Createur

    plus grand part ont porté les armes ; la derniere, d’aultant que

    Monsieur, je prie dieu quy vous donne an santé

    rien que bien. Et quand a ceulx de la relligion ilz

    companyes de gendarmes qui sount en

    Vostre à jamais plus fidelle et plus

    et ny espargner aulcun de mes moiens daussi bon

    hey volu faire faulte vous advertir comme le tout

    que ne nous reffuserez, tant en consideration des privilèges que nosdits

    du vibalif de Gap, qui tient tousjours les choses en doubte comme

    Come fratello.

    Concernant le capitaine Columbin, je treuve bon, monsieur, que

    d’iceulx je n’en ay eslargy ny faict eslargir ung

    d’Uzès m’en dict luy presentant la votre. Quant au contentement que

    Mais, Dieu tout bon et tout puissant y pourvoira sellon son

    pris lavis des cirurgiens comme dit est. Monsieur d’Evè

    vous prye, incontinant la presente receue, vous rendre en ladite ville

    auiourdhuy ceulx qui ont achepté le vingtain. Il ny a ung d’Apt et

    est à creyndre qu’yl ne c’y fase quelque desordre

    mon frère ; et parse, monsegneur, que je suis

    l’armée de la Ligue, elle ha esté à tire de canon près de celle du

    Monsegnieur le legat Ursin me chargea d’une sienne lettre avec

    l’on ne verra ledit extraict qu’aynsi que je l’ay retranché et

    me comandrés, je y satisferey. Ce pandent, je vous direy

    et despuys est venu ung des gens de mon

    que vous y aille trouver ou que ie tire droit an Provan

    en a faict faire visitation et estimation laquelle

    ilz desireriont fort d'avoyr ledit Saint-André, et se nous

    lettre dung soldard que je tiens au Char pour y tenir ma

    Monseigneur, vous conserver en la sienne. De Barraulx, ce VIme

    Votre bien humble et affectionné à

    escrit de Thurin, et que deux ou trois jours passés

    Monsieur quil vous tienne en santé avecq longue et

    et serèt bon si vous pleisèt advertiriés monseigneur de Gordes et ly pourriés

    Votre tres humble et tres obeissant filz

    par mes bien affectionnées recommandations à votre bonne grace et prières

    brief de temps ilz payeroyent la somme et aussi lesdits despens,

    Monseigneur quil vous doinct en sancté heureuse et

    promptement ce despeche en consideration de continuer quand

    bonne grace, en supliant au Createur vous donner

    Sustance de la lettre escrite à

    quelque chose, je ne fauldray à vous en donneray advis.

    au Poussin pour il quomander. Je pense que il serat

    sont instement necessaires et desquelz ilz ne se peuvent

    et ung nommé Fontani et Balthezar Guerre, l’armurier, et

    Monsieur vous donner en tres perfecte santé heureuse et longue vie. De

    à ce faire. Car de vingt homes qu’ilz peuvent estre pour chacune garde, on n’y en scauroyt

    dimenche prochein pour Suze. La maladie de monsieur

    declaré qu’ilz [barré : avo] estoient suyvis par aultres, nous avons enjoynt

    declaré qu’ilz [barré : avo] estoient suyvis par aultres, nous avons enjoynt

    Vostre à jamais plus fidelle et plus

    trouver ledict sieur mareschal. Monsieur de Mondragon na jamais

    de quoy je vous advertirey pour que ainsi vous prie que ainsi vous plaict ;

    de son maistre, mais que ce n’estoyt que pour les adviser toutz

    retardera la venue de messieurs de La Coste, de

    ce que s’en pouvoyt ensuivre, tenant le chemin contre Dieu

    à aultre se est-ce que je pence que madame d’Horches

    bonnes nouvelles et de ladvertissement quil vous

    vou playt et desirerès bien que le ne fut avec cette oquation.

    monsieur et madamoyselle d’Hourches. Je ne say de quoy

    les dictes letres et tout le faict à monsieur de La

    de Donzère et Montelymard, icelles rendre dimanche dixneufviesme

    commis pour lextraordianire, present porteur, ma faict veoir estat

    et men revanger là où il vous plaira memployer, qui sera

    ou si elle faict son nid, mais l’on ne s’en est guières echaufé

    Leglise

    endroit, je prye Dieu que vous doint sa grace, accompagnée de

    Monsieur, en perfecte santé heureuse & longue vye. De Montelimar XIIIe octobre

    où je salueray voz bonnes graces par mes très humbles recommandations, priant notre

    Ma seur, dame Loise, l’est veneu voir

    très humblemant à votre bonne grace et à celle de madame

    quelque deshordre advenu sus troys ou quattre de ladite

    aseuré et atendray de resevoeyer vous quomandemens.

    vous, Monseigneur, lesquelles vous envoyons par messagier exprès,

    à sa faveur que jestime aultant pour estre procedée de son gré comme

    pour les vous faire tenir. Monsieur et madamoiselle de Marcieu

    commander ce quil vous plarra en ordonner, à quoy ne faliront d’hobeyr

    Dieu merci et ha mon nepveu de Laval gardé le

    Savignieu

    Nous avons delivré à messieurs des comptes

    De La Brethonnière, ce seziesme doctobre 1572

    enpoisonné. Au demeurant, Monsieur, je partirai ce matin,

    en bransle de desrober ung voyage, pour

    plarra memployer, vous me trouverez tousjours

    lever partie des souldatz quil me commendrons avoir et

    les livres de rayson et escriptures de ladite ferme du nombre des

    Monsieur en parfaicte senté contente et longue vie.

    recommandatioons à vous bonnes graces et à celles de madame de Gordes, priant Dieu

    Filz

    priant luy beser les mains de ma part

    despeche que vous ly ferés, dans lequel il

    homes et ungne fame qu’ilz advoyent oppinion que s’estoyt

    nestant de leur cognoissance ; et daultant que par monsieur de St Auban serés

    treuvé saysi de plusieurs memoyres pour broulier delà les montz. Je

    peyne, jusques à ce que jespère au soir veoir ce quil

    Monsieur en parfaicte santé très heureuse et longue

    Monsieur vous avoir et tenir en très bonne sancté

    cause pour quoy monsieur le president Bellievre est venu en ce

    le pois et la peyne quil prent, merite bien que

    Et quand on leur parle qu’on y fera des fortz,

    de Joyeuze a receu novelles de la Cour du XIIIe, comme l’on renforce

    et si haustère qu’il est comme chacun scayt, que me donne grand peine pour ce que

    les compagnies corses droict à Montfrin pour commencer

    Monseigneur, en parfaicte santé longue et heureuse vye. D’Avallon,

    ville, le quel me dit que avan souer feit

    ung peu mal. Ie vous suplie de prandre asceu-

    à votre bonne grace,

    je ne scay oug. Je vous supplie, sy scavés

    Cental

    le tout est prest à marcher. Nous n’avons passé à Lyon

    d’octobre

    veux, c’est pour ssaller les poursseaux qu’il faut

    pour fère meilheure delligense et aussy pour estre prouvu de

    seigneur de Montbrun n’avoit faict nul semblant

    Alphonse vous nomma. Monseigneur, en ceste charge et aultres qu’il vous

    Monsieur, en bone santé, longue et eureuse vie. De Bayard

    au nombre des gens de guerre quant vous y estes employé, mays je

    l’admiraulté à monsieur le marquis de Vyllars,

    prétexte d’estre rentier, s’est venu retirer aulx Torrestes, lieu fort

    plaict le savoir, par ceulx que poursuivent et font pour moy, lesquelz le

    de La Roche, mon frère, pour son séjur en ce lieu,

    aucune participation aux conseilz publicz ou secretz de la cause

    pacquet que je lui adresse et vouloir voir celle que je lui

    servir, me fessant cest honneur le me recommander, le ferai de si

    que tout le monde se prépare pour ceste prince ailler voyr

    vous en faire ung petit mot pour tousiours

    dressées. Vous aurés moien de donner advis deça

    presque au bout de mes finances de façon qu’après cella je ne scau-

    plaira me le commander. Oultre cella, nous sommes au VIe mois de

    prévost des marchantz et eschevins de ceste ville, qui

    de Laval arrivèrent hyer après ma lettre que ie vous

    Toutesfoys, il ne costera rien d’essayer, et d’autant plus le devons-nous faire

    mandé devers lui par monsieur de Nevers, tant y a

    et que mesmes nous qui sommes sur les

    despêche de monsieur d’Evènes et de mon nepveu de

    sceu. Je vous direy là dessus que la première cogneisance que j’en heus

    qui m’a fait par toutes mes précédentes vous supplier de

    Toutesfois, atandu qu’il est homme de trente ans, la suspicion et

    qui n’est sans grand despance, comme plus amplemant ilz vous

    avoyr supplié me commander votre vouloyr pour

    à vous dire, lesqueles yl vous plarra croyre

    Marguerite de Simienne

    très hobeyssans ; qui est l’androit que, en salluant très humblement

    XXVIIIe Ixbre 1572

    il n’y ad aucun dangié, quar les marchandizes

    louenge à Dieu et nom aul hommes, encores que

    les dernyères qu’il vous pleust me mander avecques les doubles

    qui seroit bien tard après un inconvénient. Et vous diroyent

    santé, sa saincte et digne grâce. De Beaucaire, ce XXVIIIe de

    à cause des guerres et trobles que nous avons en cez quartiers,

    Monsieur, j’ay despêché mon laquays à monsieur de Causseins pour luy prier ce ressouvenyr de moy et de l’amytié

    qu’ilz doybvent bien penser à une si lourde et poltrone recheutte. Quant à moy,

    aussi monsieur et madame de La Roche, ainsi que i’ay entendu

    le désir que j’ay ne desfaillir d’ung seul poinct à voz

    vous faire aggréable service, ce que vous plaira croire, de

    du Vigen à La Rochelle pour négotier avec les Rochellois, ilz l’ont blessé à la mort

    Afectionné à vous fère service

    grand essuict que y a esté et est encores, et si Dieu ne

    supplier très humblement d’en escrire aux fins d’estre

    estre assez à les mouvoir à vous accorder les moyens

    neuf sous pour guarde, vous le ferés ou bien le me commendent, je i

    trouver pour ceste fois aux estaz ; et cependant,

    commandoyt de nous balhier damonition pour vous et

    par de sincens frans. Il en font dyficeurté, bien

    près prié Noutre Senieur

    aux deux portes de ladite ville, principallement la

    fasson que le tout, Dieu aydant,

    monsieur, qu’il vous deubt en heureuze prospérité, très heureuze

    le cimitière desdits de la nouvelle opinion et à ayder à faire recouvrir le chasteau

    mande autre chose que cela. Ayant oppinion, pour la crainte

    que je feray tel depportement et avantaige à la damoiselle qu’elle aura tousjours

    sueurs et le bon ventre que i’ay me font espérer

    tient, car aiant nouvelles à quy de vous dictz filz vouldrés qu’il soit paié ladite somme,

    aye baysé les mayns, estant très marry que je n’ay

    Aussi, monseigneur, il sera votre plaisir de nous

    votre providence a esté pourveu, qu’il vous pleut

    essayeroit de m’esbranler et pratiquer, mais plus tost les conceilheray tousiours de

    Cental

    Monsieur, je prie Dieu vous donner en santé très longue et très heureuse vie.

    par la poste dans peu de jours, de façon que vous

    1572.

    mes soldatz, on m’avoyt dict de m’en bailher ung roolle, sur lequel je

    vous y fère resouvenir par mesme moyen que je vous

    recommandations et prierey Dieu

    vous estez mieulx rézolu de l’intention dudict Montbrun que vous n’estez ou faict ou failly, de me le faire entendre, pour sur cela me résouldre de ce que j’auray à faire.

    Monsieur de Gordes, en parfaicte santé, bonne et longue vye.

    doibt arriver dans quatre ou cinq jours en ceste court revenant

    chasteau, mais ilz n’ont jamais rien voullu faire et

    trouver monsieur le mareschal de Dampville. Au soyr,

    ou quinze ans en sa qu’il y a que ceste pouvre créature

    Votre bien humble servite

    une despaivhe à ma fille, madame vicaire de Ste-Claire d’Avignon pour la

    très heureuse vie. De Suze ce VIIIe décembre 1572.

    Monseigneur, en parfaicte santé, très heureuse et longue

    arés lettres de messieurs de St Sernin et Cabanes.

    en façon du monde recouvrer des pyonnyers de deça en si bon nombre qu’ilz me seroint necessaires,

    mille avant qu’on s’en apperceut. Les armées d’ung

    je doibs en cela plus tost estre congédiée que tous ceulx

    Votre très humble et très hobéissante fille à jamays

    escus que madame de Senerpont luy devoyt ballyé

    Joseph Arnolfin

    catholiques. Touttesfois nous verrons qu’il en sera, et adsisteray,

    troys gours pour quel que chouze que me

    Dieu merci, il s’en porte mieux. Nous sommes toutz en bonne santé,

    car c’est ung point résolu (avec l’aide

    et entre les principaux à monsieur de

    les vostres et madame de Gordes et

    fayre cest honneur de croyre que je les ay tous troys en singulière recomendation car

    monsieur d’Apt qui est à Gargas, et vous contenterés que je vous

    monsieur, qu’il vous doint en santé longue et contante vie. D’Apt,

    monseigneur, prieray Dieu vous donner en toute prospérité bonne

    sount receus, j’entens en la jouisance de leur

    qu’il me sera possible. Je ne faudray me conduire à l’endroit

    Madame d’Uzès a passé par icy, laquelle est si bien réduicte à

    et renversées qu’il en tumbat quelques cartiers, muralle

    de forces qu’il me sera possible, selon le temps et le loysir

    que ne vous en feray plus longue lettre, fors pour prier

    et bonté et illumyne ceulx que y doibvent mectre de l’hesbat et conduicte,

    Créateur vous donner

    Monseigneur en très heureuse santé très longue et heureuse vie.

    J’ay pourveu le mieux qu’il m’a esté possible

    commission et comme acoustumer à troubler le reppos de

    environ midy où il n’a susiourné plus de demy heure. J’ay faict tenyr votre paquet à monsieur le mareschal de Damville,

    addressois. Au soir, j’ay trové le sieur de Boniveau

    près et se acheminent toutes les compagnies à pied

    actandu que de jour à aultre on attend le retrait de

    et contante vie. D’Apt, ce XVIIIe décembre 1572.

    faut que l’on tient que ceulx de La Rochelle ne veullent

    Monsieur le général Grolier, présent pourteur, qui scaist la

    l’accompaigner de la présante tant pour vous tesmongner ce que

    quittance desdits cent francz ou bien la letre sy

    l’hiver passé la galle de Balthesard pour

    coger de mondit seigneur de Carssès, qu’il avoyt nouvelles et

    noz affectionnées recommandations à sa bonne grâce comme fais-je

    monseigneur en parfaicte sancté longue heureuse vie. De Gargas, ce XIXe décembre

    Monsieur, en très bonne santé, longue et hereuse vye. Au Monteilhimart, ce XVIIIIIe décembre.

    yssy. Je me porte bien et désire de vous scavoir ainsi. Je vous présente mes

    sache autre remède que de pasiance. Je prie à Dieu

    grâce, je suppliray le Créateur vous conserver en la sienne

    Monsieur, qui vous ayt en sa garde. De votre maison

    bons hostaiges de ceulx de ladite ville et que on

    escrit monseigneur de Morvilliers. Mondit seigneur le mareschal

    villes d’icelluy ; a quoy je ne scay si ledit Montbrun consent, mais ledit advis m’a

    il vous a aussi mandé les advertissements et lettres qui luy en ont esté mandées.

    nous prouvoir d’une charrete et de ses apertenansses que

    Il m’envoyèrent hier bien tard le pacquet, lequel j’ay prins la

    monostre. Sur ce, je prierè Dieu

    m’employer. Je n’ay pas heu si peu de crédit à l’endroit de monsieur de Furmeyer

    feis, sur leur mesme requete, très expresse deffense sur griefves peines ; et néantmoins,

    vous advertissois de ce que monsieur d’Évènes mon oncle

    de semblables affayres, et vous vous pourrés addresser en ceste ville,

    Si ne les recepvés à ceste comodité ; se sera par la

    Je ne fauldray à la première comodité. Quant à monsieur de

    reconvalué moyennant l’aide de Dieu, dont je vous advertiray et

    raisonnable d’asseurer premier noz villes et noz maisons qu’aller

    ce XXVe décembre 1572

    pour Nevers et sa maiesté pour Angiers, pour estre plus près

    de mes très humbles recomandations, priant Dieu

    avoir présenté mes très humble recoman

    que ceux que la conseillent, si est-ce que je ne souhaitte riens moins son bien que

    le Créateur vous donner

    vie. D’Exilles, ce XXIXe décembre 1572.

    71 vous est deue et Le Febvre la sienne pour quatre

    offre que je vous fais de très bon cueur, et me tiendrez en votre bonne grâce,

    io non intendo troppo bene questi misterii, ma mi

    ugne des choses qui plus m’a faict

    gratiffier, je ne vous feray la presente plus longue, sinon prier

    pour mon regard que Dieu mercy ils n’ont fait. Vous verrés, s’il

    ny des comprins et subiectz à la allienation de

    entendre la course de leurs dyferans. Monsieur

    monsieur le comte de Retz devers lequel ilz estoint venus à la

    de Bretagne de son peys, nous a ballyé ung courtaut assés

    je que se sera à toutte extremité et à mon grand regret. J’espère

    Monsegneur sera deslogé et quoy qu’il en soit, arriver

    que n’avés parent en ce monde qui de melheur

    et exequuter si nest, monseigneur, quil vous plaise nous

    digne à vous faire entendre de novelles et de peur de vous

    en ce gouvernement de nature [barré : begin] benigne. De quoy, monseigneur,

    H de Montmorancy

    mès que se seroit à la premyère commoditté ; et

    ne parle poinct de celuy que le roy a faict à vous et à monsieur

    en armes et gecta tous les huguenaulx du lieu dehors.

    en grand danger de nen faire de long [barré : peu] temps pour le decez

    aux catholicques dudit Loriot de prandre les armes le soir

    court suivant la conclusion des estatz et y aller pourter la parcelle après lexpedition

    Et sy vous plaisoyt faire tant pour ledit sieur du

    mectre sur la parcelle de la presente année, pour avoyr laissé courir quelque

    bonne grace du roy au service duquel je desire employer ma vie

    les mains an priand Nostre Seigneur qui vous doinct,

    Notre Seigneur vous donner,

    monseigneur, en très heureuse santé, très longue et très heureuse

    contre Mes[sire] Innocent Gentillet naguères advocat de ce

    Vostre très humble et

    leveché d’Apt que de prendre la nomination du roy par son incapacité.

    Au demeurant lon faict bruict que le sieur de Montbrun est entré en

    de sacheminer et transporter sur les lieux requis et necessaire pour y faire

    bon cœur,

    il ny a pas au jourd’huy six maisons quilz ne

    soixante corcelletz et le demourant toutz harquebousiers mourrionnez

    qui passa yert par icy venant d’Avignon, qui dit que vendredy dernier vint nouvelles à

    nous soyons à deux princes ennemys. Enquoy se commectent une infinité

    je penssoys nest pas à Die + [+ de quoy je suis extremement marri] je vous prie nen partir que ne ayés

    recomendations à votre bonne grace, prient Dieu,

    soudein je depechis vin sordas et envouys

    heu quatre vingtz ou cent arquebusiers, jeusse assayé la nuict

    la foy sur ce quil y pretend, ce quil a desià offert, et parce moyen, je cuyde

    relligion recognoissons clairemant, monsieur, combien nous a apporté

    Notre Seigneur vous donner,

    entendu de votre bon partement de tous deulx, de quoy le loue Dieu et len remercie

    quil vous a pleu me fayre de mestre la main à la plume pur men fayre part. Je mestrey peyne

    je vous supplie de considerer quil ma falu tout habiller ce que jay fait

    à lautre et que je masseure que ce nest point la voulunté

    sinon quon [barré : passa] panse que ceste [barré : pourte] pource que [monsieur]

    comme saurés assés à votre desirée venue icy, où les plainctes pour rayson de

    se XIIII Janvier 1573.

    me commander, vous merciant très humblement de ce quil

    in fourmer, se que il ad feyt. Le cappitaine Coullon

    mavés mandé pour monsieur de La Baulme. Pardesa,

    ne pacer septe ville que je nen sois a

    en ay bien volu advertir ce que je feray touiours de

    acroytre de plus an plus lobliguasion. Vous beisant le[s] mains

    se retirarent à Beauchastel où lon dict qu’il y a

    affectionées recommandations, priant le Createur,

    Bordeaulx, de Dieu le Fit et Condorcés et le passage de tout ce pays qui

    Hourche

    affectionné serviteur

    aultres fins, je salueray vous bonnes graces de mes très humbles

    y employé un peu de votre credit. Le principal poinct seroit, come aultres

    monsieur, en parfaicte prosperité très heureuse

    seray pardevant vous. Jay entendu quilz se sont acheminés

    Sainct Romain

    Monseigneur, avecques parfaicte santé, très longue

    Chambery, ce XVIIe de janvier 1573.

    envoyer toutes procedures aux fins aussi dobvier

    Nic. de Langes

    que je ne scay que je doys devenir, ne comant

    à vous hobeyr dausi bon ceur comme je desire vous

    d’une vente qu’il dict avoir verbale de certains biens

    guières prevaloyr car, oultre le nombre desdits absentz

    trouver la part où serés ou quil vous plerra me commander,

    Il y a si longtemps que je n’ay eu de voz nouvelles qu’il m’est advis que vous m’avez du

    madame la contesse de Grignan, leur auront esté envoyées. Par celle

    mortespayes, comme vous verrez par la lettre de sadite

    vye atenu et obligé de vous faire très humble service en tous

    petitz et je reputeray le tout faict à

    chascung chastellain ou consulz desditz lieulx de ceulx qui sont absentz de leur maison

    demourant, estant sur mon partament pour me trouver au siège de

    de quoy monsieur ladmyral de Villardz est

    ce que je vous supplie, monsieur très humblement de faire

    dites de monsieur d’A[p]t, ylla demouré à Sat [= Apt] tout l’Avant

    ja faict. Ce que et a fauilte de ce moien aiant

    que vous me mandez vous envoyer lestat semblable pour la levée des

    bone grace, je prie Dieu qu’il vous done,

    la mareschaucée à monsieur le conte de Retz avec le

    le present païs en dangier de laisser puis ce pais en grand

    entre sy et la fin de se moys il[s] ne se veulent

    fère tenyr les estas. La damoeyselle que fust

    Monseigneur, je vous remercie très humblement ce quil vous a

    demonstrations que luy avez faictes de votre affection et bonne volunté

    Nous vous envoions le double

    Vie. De Vallance, ce XXIIIIe jour de janvier

    canons, de celle aussy de mondit sieur le mareschal de Dampville envoyées à monsieur

    graces que je salue de mes plus humbles recommandations,

    vous serey tout le temps de ma vye serviteur très humble

    jouyr en toutes les villes du Daulphiné, ceulx qui

    longue vie. Du Montélimar,

    armée qui poursuyvoyt la victoire que avoit naguères obtenu contre le Tartare, que ledict fils remonstroit

    me faire recouvrer ce lieu de Vifz, sil se peult allienner

    Votre très humble et très hobeissant

    maiour, prisonnier entre leurs mains, monsieur de Rioulx, gouverneur de Nerbonne, blessé

    telle qualité à la mayn du roy, ce ne seroit pas grand prejudice

    edict ce que navois peu faire que la quinzène

    B : Ollier

    je leur feroys, ilz se retireroient tous en leur maison et

    monsegneur de Veynes [= d’Evenes]. Ledict de Vaulx dict

    ny empechement, ne luy avons sadicte requeste peu refuser ; surce

    Frybourg me dire comme par la bonté du roy il

    quil ne vous soit rien retranché de ce dont vous avez faict estat. Jentendz pareillement

    de venir iusques icy. Mais il ne seroit pas raisonnable

    ces occasions faire surceoir lexecution de ladite commission pour le regard de

    passé en aucune vile si nest par Tours où ne [barré : f] soumes

    à fermes de plus qui pance faire debvoir à conserver

    sacheminer en ce lieu, et mobligerés de plus en plus à vous fère très humble

    des pouldres et des boulletz, ainsi que le roy le vous a mandé

    ce jourdhuy celles de la royne et de monsegneur le

    a déjà commencé un fort (outre les deus qui sont sur le bord de la mer)

    la vile par forts de bien près et pance quau premier jour lons

    de vous faire service et que suis asseuré

    monter à cheval pour accompagner Monseigneur et ai rompu

    pour vous presenter une requeste et vous suplie avoir esguard

    monsieur quelle se resiouyt infiniment de ladsurense que ly

    de Bonnevaux an pansa estre cause, ce neust pas esté

    et fère la reverance à monseigneur le mareschal de

    seroyt ung grand bien pour le peys de votre

    les matières disent que ce ne sont que groz batteaux

    partement pourrez prouvoir d’en faire lever telles autres quelles vous seront necessaires

    menvoyer lesdites deux compagnies, ensemble les deux cens pionniers

    vous donner,

    asseuré que sy Ambrun ne font milheur garde que

    de Mures se trouvoit encor mineur et neantmoins quil eust besoing

    asiste. Je crois quil viendront auiourduy ou demain.

    et vous supplient sy advées des nouvelles de monsieur

    de monsieur de La Roche notre frère. Priant Dieu,

    à monseur de Caderosse. Il ma mandé que ne luy doibt rien jusques

    et autres de La Rochelle ; et que au premier jour ils

    bonne en mon endroict comme vous estez au mien.

    Cristol, quil le me bailla. Parquoy vous prye escripre

    Votre très humble et très obeissante fille à jamays

    Votre très humble et obeissant serviteur

    silz estoint les maitres, ilz doneroint beaucoup de peine ; quest locasion

    tost acheminer au Vallentineis dont jay très grand regret, tant pour vous

    Ce XXVIII febvrier 1573.

    que aultres, pour prevenir tous mauvays effectz

    de Neufville

    passer, estant assez affligé d’ailleurs. Toutesfois comme je vous ay donné entière

    faicte à moy et en ce que vous playra

    que les lettres quescripvés à monsieur de Chastellar le

    quelle ariveray ysy lumdi hou mardy et in continen

    de votre gouvernement. Je ferey aveques ce que jarey tout [ce] que

    par effigie comme votre seigneurie verra par

    fera le voiage de Angers ou Poictiers approchant de son camp,

    entandre au vray quelle quantité y pourroit estre entrer,

    et intelligences pour estre ledit Brassac aulcunement en

    de ceus qui vouldroyent aucmanter le trouble du repous de ce pouvre royaulme. Je seroys

    et ayder ceulx de ladite ville jusques à ce quil vous aye pleu

    heureuze vie. De Romans, ce premier

    on pourroit dans ladite mesonète sapper à couvert et secret

    sil ne peut emporter Sommière où monsieur de Mandelot me contoit

    leurs cappitaines mortz et prisoniers, desquels lun est d’Estoille

    lons recevreroyt pour certayn. Je vous direy que ceulx

    de ma patrie et plus pour le votre particullierement. Jay veu

    si plaict à Dieu avec ayde comme jespère que me ferés

    pour endomager le pays se saysis cent de ce lieu.

    Je vous laysse à penser ; monsieur sy jauroys besoing

    possible je le ferois. Mays je suis encores engaigé en ce siège où au premyer assault comme

    vous supplier très humblement comme je faictz, vouloyr

    vallée nous donne empechement quant il peult

    ne viennent pas ausdites gardes et les autres y

    treuveroyt encores au Montellimard, j’avoys deliberé envoyer ung

    entreprandre. Au mointz Dieu veillie qu’ilz ne mestent

    bien asseuré cedit mien amy que ceulx de la religion ont

    En atendant surce vostre bonne volonté pour laquelle scavoir nous vous envoyons

    de passer, ainsy qu’il vous fera entendre, m’ayant

    Rochelle, voilà tout. Jay monstré celle qui vous

    ville, sans recepvoyr vous commandementz. J’ay prié

    du sieur d’Aaret pour me parquer au bout du Rosne.

    possible, et s’il m’estoit anté d’habandonner ce siège pour y aller, je

    ayant escrit se matin de se que j’ey peu apprendre qui je me gardera vous

    estrangiers ^ [^ dedans] s’ils ny sont entré despuys hier. Vous avez veu par les

    remettray à monsieur d’Evènes vous discourir de

    ceste demye année. Et sans telles difficultez, ilz n’eussent pas eu

    de Monmorancy, duquel monsieur de Trèssy[ ?] a esté proveu. Ledit seigneur mareschal est presentement

    qui ont repris le Poussin, et à cette occasion, je me suis

    sur le bureau par devant les commissaires au faict du sel,

    Ventadour. Que sera la fin, après vous avoyr

    à Loriol, je ne vous en feray plus long discour, seullement vous

    car il en y a peu ou poynt de telles. Mays vous troverés que ce sont

    car s’est tout ce que m’on dict seigneur de Cabanes

    m’accomoderai à notredit frère pour le plustost.

    pour autre intention disant que ledit secours ne voloit venir

    ce que sera possible, ainsi que je le leur escriptz. Il

    besoin j’escrirey aux cappitaines et ministres du lieu

    pour le secourir. Je luy ay forny cent arquebusiers

    ses mutins, qui me faict vous supplier très humblement monsieur de

    du present à St Gervaiz. Le roy nous a

    port. Si l’entreprinse va en longueur, les notres sont en

    [autographe de M. de Gordes] :

    vous faictes et le faudra prendre selon ses bouttées. Mondit sieur

    de Langes se delibère de vous y faire bon office comme je vous asseure

    ma dame de Gordes. J’estime que ledict sieur

    sur une sienne requeste faire arrester et detenir audit Chamberi comme apostatisant

    Pasques. Mondit frère vous escrit et fera enquores quelque

    novelles, mais j’ay trouvé que monsieur de Rousset par votre moien

    m’a dict qu’estant audit Genève Il fust (avec le sieur de Sigoyer

    mandons qu’en escrivant icelles, vous ayez à nous avertir au plustost

    Autrequasteoux repase pour aler à la cour voir ce qui se

    à la protection de noz vies et conservation du pays et sy

    quelques desseings. S’il vous plaict monseigneur commander aux consulz

    d’un grand ennuy, terreur et despense aveq notre pauvre païs de Daulphiné,

    lesquelles il me mande qu’il a recouvert des arcenatz de Bourg en

    fère service, je pourterey mon mal plus

    lèvent contre nous. Je pence que c’est à cause de ce que vous

    des occurrences de ce gouvernement, je ne vous

    Monseigneur s’en allant le consul Chapponnay

    autres que de leur coustume, de sorte que si vous

    pour leur donner licence, j’ey retirée et la vous

    bonne garde. Et telle que seroyt bien requise selon mon advis

    Partant monsieur vous y ferez s’il vous plaist donner la provision que vous

    monseigneur, vous donner sancté longue et heureuse vie. De Vallence,

    trovey de telle fasson qu’ilz penssoyent desjà estre

    que cognoistrez que vous pourrey servir, vous

    à Paris ces propres mots pour apostille : Monseigneur de Morvilliers passa

    monsieur, vous donner très bonne longue et heureuze

    l’estat des gens de cheval et gens de pied,

    povez juger par la monsieur de l’ordre qu’il y a à Ambrun. Vous verrés

    monsieur mon nepveu, trébonne sant[é], longue vie. De St Gervais,

    et recepvoier, ensamble mes bien humbles et bien affectionnées recommandations à

    qui ont deseleré qu’il alyont au Pousin pour

    monseigneur, je vous suplie très humblement avoir souvenance de

    port mais ilz n’y sont poinct venuz. Je leurs avoit appresté quatre ou cinq pièces

    vous advertiray de ma volunte, par celluy que de bref j’espère

    10 huict soldatz qui sont ceans jusques à la monstre parce que firent

    plusieurs espions au camp prisoniers audit Loriol

    ledit sieur de Gordes et luy obeir et entendre en tout ce qu’il vous commandreroit.

    Chieus Madame de Grignian come il ma dit. Dela il

    achemyner en France hier IXe de ce mois. Me recommandant

    advertissés vous voisins. L’asseurance que j’ey que vous

    me semble que le me rend) estoit dedans la ville

    Car je ne scaureois bien fère mon debvoir

    gre. Priant Dieu,

    Rame ; lequel se contantera de tout ce qu’il vous plairra luy ordonner et

    gens où je suis à present et fais diligence d’avoir soldatz pour achever

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre

    suys assisté des jantilhomes de Sabas come [déchiré]

    à Dieu,

    fera expedition de toutes les lettres que sont remises

    Au demeurant j’ay receu les deux que vous m’avez escriptes par la voye

    de m’eyder des grains provenans de la perequation que j’ay faicte sur les feuz,

    et pource que j’espère que bien tost je vous donnerai

    de Caseneuve, mesmes que j’estime vous n’y estant

    m’envoier comition saigné de votre main ou une

    et declarations portées par certaines memoires dressées et signées

    monseigneur, qu’il vous conserve en très longue et

    Vostre très humble et très affectionné serviteur Bellièvre

    devoir advertir incontinant par la presente et par icelle

    aultre de ceulx qui mettoient en pièces les bateaulx. Monsieur de Rousset me

    feray et à monsieur le conte, vous recommandations. Je vous ay mandé par

    comme ilz hont faict pour le passé. Jay faict anvoyer

    envoyons querir par ce porteur exprès ;

    le Createur vous donner

    Vallance, ce XIIII mars 1573

    leur sera et à moy particulierement perpetuelle obligation de vous faire

    trouve confirmé par autres. On men a dict que monsieur de Lonsières est

    serviteurs daussi grande affection de laquelle je prie Dieu

    à vostre bone grase, prions Dieu

    en quel repos je puis estre voyant mondit filz et filhe en la

    sy vous asseure que ceulx dudit Pousin heurent bien

    faict commandemant [barré : de all] à celuy qui avoit

    Monseigneur, vous meyntenir en sa saincte, digne

    Monseigneur, je prie Dieu que vous dointz en parfaicte sainté,

    testons pour escu,

    donner

    personne plus propre pour sen acquitter et qui vous fust plus agreable que de

    ne vous fault, men donner ung. Et si jay

    et pour tout ce quil nous apartient, il seroit de beaucoup plus aise de

    postes. Il fault que incontinant après Pasques

    ungz pour la garde du chasteau, car de changer chesque jour

    escrit comme les seigneurs du royaulme de Pologne

    Quand à mes afère, ils sont tousiours de mesmes estat, comme

    là, encor que ce feust son jour suspect, navoit heu aucung ressentiment et estoit

    des principaulx huguenaultz de La Breoulle et aultres lieux

    prions très humblement ne nous charger daulcune despence por ladite

    serviteur Bellievre

    Votre très hu[m]ble et

    endroit à votre bonne grace, suppliant le Createur qui vous doint,

    qui sont entrecy et Lyon, daultant aussi que monsieur de

    comme au long croyons quil fera, auquel, pour

    folle de votre povre peuple quy nen peult plus. Et par ce,

    Caterine

    par mes officiers en faveurs des sieurs de Berne qui en ont escript ;

    De Lyon, ce XIXe mars

    Gordes, je prie Dieu vous donner sa grace. A Fontainebleau, ce XIXe jour de

    journellemant pour la garde de leur ville ayant souldatz extrangiers

    veue depuis avant hier quelle me dict à Dieu, et nay non plus

    de Vaulnaveys, ce XIXe mars 1573

    chasteau, ayant mieulx aymé attendre votre venue, masseurant que lhors

    soulager les lieux plus foulés qui sont en grand nombre, mesmes [barré : en leur] les

    je supplieray le Createur

    pas grand. Il ne sest point aydé de la comission que

    an tre prise. Je navon poinct de novelle de Somières. Monsieur Chapponay san va

    Vostre à jamais plus fidelle et plus

    quest entre luy et ceulx d'Ambrun, à quoy il vous plairra de

    aides ni aultres soulagement du païs, cognoissant leur

    Vostre très humble et très obeissant

    qui e[s] un frère de Derbier. Et pour ne savoir chose digne de vous,

    officiers en icellui, je vous ay bien voulu supplier très humblement den [barré : faire surce declaration

    ne pouvant pour ceste occasion vous aller trouver par delà; pour cest effect,

    en quoy je fortiffieray tousiours ceste bonne vollunté de tout ce que je pourray,

    [barré : mienne et celle de chevaulx legiers du sieur Jullio Centurion que [barré : dempescher de conserver]] se veulent eslever et saysyr de quelques lieux en

    de Nysmes, sil en ont besoing, donner sur ma ville de Grenoble, en laquelle

    veulent passer delà pour secourir ceulx de Nismes

    descouvrir les coulpables et consentans desdites menées; etaprès avoir

    autre recommandation, qui est cause que je ne vous feray plus longue lettre,

    des hommes desdites viles, ce que ne povoyt cognoystre ledit Areret : et sy

    ung de ladite novele oppinion à quy il se fioyt. A la verité, il luy donnoyt

    de quelque gentilhomme quil me conviendroyt souvent vous despecher exprès se quil

    au dommaige de mon service ; et madvertissez de lordre que vous

    quil est à craindre quilz vous donnent la loy. Je vous prie doncques sur

    davril 1573.

    et avec valleur ainsi qu’avez desia fort advancé et principallement affin quil

    [barré : et vous a ainssy] se trovera de telle oppinion, comme votre magesté

    Votre bon amy

    service à sadite magesté et à vous [barré : comme il a aussi

    humblement me fère ce bien de fère retenir

    ilz le payeroit. Il nan fit compte. Je prie le

    ce IIe jour de may 1573.

    menvoyerez pour, sur icelluy, faire pourvoir, ainsi que de raison et quon ayt

    mon terrier et n’ay aultre, sinon que, après mestre

    sur le sel qui est le moyen le plus gracieulx, dautant que toutes sortes de gens

    de son decès, jen ay bien voulu vous en remerorer, sire, en suppliant très humblement

    dautant que je ne scay plus comment] la pouvoir entretenir si elle nest

    par composition à bagues sauves

    du 6me du present vous estes desia servy de ce moyen comme cellui que vous

    Vostre bon amy

    mareschal de Dampville qui en a assés dautres sen peult bien passer et par mesme

    de Neufville

    Le rentier de Runiac de monsieur de La Baume ma

    avec ce quil ny a en cella aucun interest ou diminution de voz droictz ordinaires ;

    vous advertit daultre lettre quil a receu pour respect

    de Neufville

    le XXVIIe jour de may 1573

    il faict par chacun jour aux affaires de votre gouvernement, dont je suis bien informé;

    quilz aient si bonne volunté de se contenir en termes de bons et fidelles

    et rendues à Dieu, ayant commancé à faire profession generalle faict chanter le canticque accoustumé,

    et de la fiance quele a en ma preudhomie et

    ayt en sa sainte garde. Escript à Montceaulx, le XIIIIe jour de

    remuer poinct, mais [barré : il ne sy fault fyer, si non en tant quilz verront leur beau jeu

    faictes entendre à ung chacun en ceste sorte ; qui est tout ce que jay à vous

    la requeste de laquelle je vous envoye copie, et de lappoinctement que je y ay faict. [barré : cependant

    Sire, voyant lennemy se renforcer, je recours à tous ceulx

    pour le bien de votre service [barré : monsieur] lequel le sieur de Chabrillan

    quil ne pourra guière avancer de la charge quil a pleu à votre majesté luy commectre,

    la difficulté que mescrivez, congnoissant ledit sieur de Mandelot tant affectionné à mon

    avoir esté les plus grevés, bref font en sorte que recepvant

    vous aurez à vous gouverner et ce que vous aurez à faire ; au moyen de quoy, je

    moyens que jay tenu pour me renforcer, à quoy je la

    ferois si moy mesmes jy estois en propre presonne, daultant que je lay

    porte mondit cousin le prince d’Oranges desdits mauvais deportements dudit Barchon

    dicelluy eedict ou autrement, vous pryant grandement leur faire bien poiser et

    singulierement que lesdits chanoines satisfacent à la prière que je leur en faictz, jay

    edict aura esté publié en ma court de parlement de Dauphiné et par tout ailleurs

    desire, affin de veoir toutes choses bien remises

    de Daulphiné, comme es autres provinces de mon royaume. Je suis bien

    veoir audit pays toutes choses bien remises comme elles sont

    Sire, ayant receu la lettre quil a pleu à votre majesté mescrire par le gentilhomme

    remonstré la grace et misericorde que votre magesté leur fayct. Il

    scait bien quele foule en soffre le païs et elle le verra [barré : mes]

    effect ; masseurant aussi que mondit cousin ne leur donnera occasion de se douloir

    leur intention car il fault que je vous dye, syre quilz ne veulent que temporiser

    toutesfoys inover rien qui puisse aigrir et alterer leurs volluntez,

    commandent en icelles soubz mon nom, au moyen de quoy, mon cousin,

    jour daoust 1573.

    leursdits articles, pourveu que ce soit tousiours à ceste condition quilz obeiront

    votre magesté leur a faycte comme ilz en fesoyent demonstration,

    XXVIe jour d’aoust 1573.

    Charles

    que leur aye esté accordée, ilz nont poynt layssé de tuer,

    pourveu comme il appartient. Au moyen de quoy, mon cousin, je vous prie

    mieulx disposée, estant très marry, syre, que je naye peu et

    jamais content que il ny soict pourveu comme il appartient ; au moyen de quoy

    esgard aux lieux quilz tiennent. Je suplie très humblement

    Charles

    laquelle jestime toutesfois nestre que bien fondée. Aussi ne vous en diray-je

    munition et conserver la paye ; sur quoy je salueray

    faict assemblée en la mayson commune dudit

    et nous accommoder à tout ce que son service requerroit de manière qu’approchant du

    suyvant l’ordre et reglement par nous dernierement

    Votre entièrement meilleur

    bien Dye à lobeissance de sa majesté, lesquelles forces luy

    Caterine

    conseil un bon desir à la pacification et repos de ce royaume avec infinies

    au lieu de Charles Dallier son tuteur demandeur

    [barré : mal] faict cullebuter ; quoy voyant et me treuvant le premier par desiné ? de

    luy escript presentement au quel il feit entandre que sadite

    Crest : XVm p. XV p. v. – fourny : VIc LXX pains

    les Tourrettes d’Oriol où estoit venu des soldatz des garnisons quilz

    plus avant le païs en despense. Quant aux aultres compaignies, nous leur

    et bien traicter ceulx quise retireront à moy et se remectrons en mon

    la quelle lon fit plusieurs traversses comme vous scavés

    decembre 1573.

    que soit en votre garde. De Mentz, ce XVIe

    ravages quilz fonnt tous les jours. Aussi, ilz nous hont rompu

    filz, tout ausi tost que je seuz quilz venoit, aller ung

    il y a beaucoup de pouvres garsons du lieu

    Aymoins, notaire λ [en bas du verso : λ : et catholysé long temps aprèz la mort de ladmirailh], Mendon Callemand, conseliers et auditeurs des comptes

    monseigneur d’Ambrun, lequel vouloys aller trouver pour luy comminuquer

    feable, pour rompre leurs entreprinses et sopposer audit passage

    je vous prie y advisez ; et cependant, affin que une si bonne euvre commencée

    cedez les quinze mil escuz qu’ilz luy payoint

    estre jà sur le bord du fossé, il a declaré pour le bien de paix, quil

    d’Anvers pour le ravitalliement de Medelbourg avec soixante vesseaul

    en ma justice : ceulx de mes officiers

    damoiselle ne peult estre cencée au rang des bien aisez.

    setuyssy est parent de Chanpoullions et quil

    mondit sieur le prince, ledit sieur de Barchon en sa charge, et en general toutes

    Pour Nyons troys compagnies à pied le cappitaine Criston : C XX hommes

    le second venant des Flandres par le conté de

    au regard et me remarier y a septante deux mal

    que la roche de ce cousté est ung peu aisée pour y

    bien garnis aux environs et vous sont

    de six mil tudesques, lesquelz se sont chargés à Losposses sur

    six mil tudesques, lesquelz se sont chargez à Lespèces sur les gallères de Secille.

    lesdits de St-André et Barraux puissent alleguer pour

    Votre bien humble et hobeissante voisine

    devous asseurer que vous me ferez plaisir bien aggreable en ce faisant et de

    huict jours pour repasser par la court et m’enquereray plus avant desdites poursuites,

    il vous plarra memployer, et sil vous

    monsieur, en santé longue vye. De Paris, ce XVIIe [barré : do] daoust

    lesquelz jenvoye le payement de trois mois finis le dernier jour de mars

    y est tant cogneu de sa saincteté quil ne vous

    votre très hunble et plus obeys

    sans ce que je m’en soye en rien meslé, vous suppliant bien humblement,

    et pour archier à celle fin que la dessus vous en

    monseigneur le cardinal Alexandrin qui luy promist

    ne vois pas que nous puissions arriver guières plustost qu’à la fin de septembre, dautant

    esperons et dezyrons, monsyieur ne vous donner

    votre très humble et

    de fort bon cœur à votre bonne grace et prye D[i]eu quil

    sadresat à monsieur le president Beliefvre quy luy

    serviteur

    escrivés au capitaine Lisle et vous envoie une du

    heust en passant une eaue se retirant de Caderousse

    messieurs le comte de Tande et de Carsès

    vous puis dire, ormis que je me recommande de fort

    mesmes à la requeste de noz citoiens qui [barré : doute] doutoient

    Monseigneur, je supplie le Createur quil vous doint en parfaicte santé

    vous puys asseurer quil ne sera poinct

    n’eurent point de lyeu. Toutesfoys, monsieur, sil eust agy de votre

    bruyt, de fasson que plusieurs le prenent pour ungne

    notaire royal de Grenoble a receu la vente et

    coup de leurs [barré : nouvelles] lettres. Je lui feis compaignie en son

    et encores quil passe par le bas il sy randra toutesfoys

    très humbles recommandations à votre bonne grace et priant Dieu de vous

    heu quelques empruntz en ce païs, par quoy vous supplie

    sommes renvoyés à larrivée du roy à Bloys, que doibt

    Votre humble et bien obeissent à vous fayre

    prosperité, très bonne, très longue et très heureuse vye. De

    aller au rancontre du seigneur Andriette Doryé, lequel na sceu partir sy tost que

    procheynes.

    De Grenoble, ce premier jour de septembre 1571.

    ce jourdui sans touteffois lui rien dire de

    peys pour avoyr encouruz votre indignacion, mays tant cen fault

    partis, atendant aultre comodité ; mès quant à monsieur de Chastelard,

    le Createur

    rang des manans et habitans d’icelle jusques à demy douzeyne ou aultre

    venus à tant quilz nosent aller dens les

    par ceulx qui hont lesdits soldatz sur ce oppinantz ausdits six liardz, ou de

    salueray voz bonne sgraces par mes très humbles recommandations, priant

    monsieur, vous donner en heureuse prosperité longue

    trouvons menteurs en noz oppinions. Je presupose que ledit sieur d’Arces avant son despart

    monsieur le president Truchon doibt bien tost venir,

    bonne grace, prient Dieu vous donner

    Votre très humble et très

    subjectz et serviteurs

    IIIe septembre 1571

    besongner de tout le bien que jay, je ny seray

    ment, lui dis quil escribve au Sr Alfonce pour envoier les XX soldas

    Aucuns dient que cest pour recouvrer deniers et retourner incontinant

    monsieur, heureuse santé, très bonne vye et longue.

    très humblemant croyre que an reconpance

    de Gessin, la souffizance duquel me gardera vous estre

    criminelles, ensamblemant des consardz

    Il ma promis, avec le syre Jaques de Perra, de

    tous le cas et leur declerois quelles nimphes estoyent les nereyades.

    de ladite rivière qui servirat bien. Quant à ce quil vous est

    pourveu que ce ne soit à votre dommage mesmes

    quil leur serèt agreable, je mobligerès de largent que jay receu

    Votre très humble et très affectionné

    prie le Createur

    poinct ici en ce lieu où ons spère le roy debvoir sesiour de cinq à sis

    de lestat des forces ordonnées en votre gouvernement

    je loue Dieu dont je vous ay bien voulu advertir,

    ces quartiers plus longuement de votre presence. Cest tout ce

    vous en fère ceste-cy plus longue. Il est vray que si les nouvelles

    encores guery.

    le Createur vous donner

    du mariage de monsieur le conte de Tande et de

    (toutes choses cessans) de vous aller trouver pour les recevoir. Surquoy,

    monsieur, en bien bonne sancté, très heureuse et longue vye. De Marceille, ce

    pre, je finyrer sette, après avouer pri-

    1571.

    paix, Dieu graces, que me faict prendre la hardiesse vous en requerir,

    auquel pries vous donner, après avoyr presenter mes humbles

    monsieur de Gordes, en santé heureuse et longue vie.

    des citoiens qui, audit temps, se retirent en leurs celiers pour

    recomandations à votre bonne grace, je prie le Createur

    vie. A Grenoble, ce huictiesme jour de septembre 1571.

    pourveu que les tines soient prestes et ny fault

    bon cuer à vostre bonne grasa. Le saquet de monsieur

    present, sino[n] que tout sachemine fort bien, priant Dieu, part

    avoyt faict aprester son logis à monsieur de Laval

    navés pas trové movès que je me soys arreté

    De Gap, ce Xe septembre 1571.

    recommandations à votre boune grace, sans oblier madame, priant

    matin où je me trouverey sil plet à Dieu ;

    enquerir guières oultre, ayns, voyant dalieurs ung personage

    de bon cueur. Jay prié le sieur Du Vant vous aller trouver

    linstruction [barré : d] et gouvernement de Balthesard.

    très humble requete de notre part de nous voulloyr oster ce

    Votre plus humble et obeyssante

    que dessus, ilz mont prié vous faire la presente en tesmoignage

    que dessus, ilz mont prié vous faire la presente en tesmoignage

    peine [barré : au quel] en la quelle est la ville de Venise,

    Votre très humble et très affectionné

    mais qu’à vous il obeyroittouiours comment votre valet mesmes, pour

    à Chambéry. Je ne scay, monsieur, si vous avés esté adverty

    Monsieur, vous donner en bonne santé, properité, très bonne

    promis ne labandoner, quest ung grant contentement

    vye. De Bressieu, ce XVe sebtembre 1571.

    Madite dame de Gordes se resouissoit fort quil

    Villevert feurent icy de retour de Choulonge au commancement de ce

    Ie fès tout ce quil mest possible pour

    et en votre bonne grace, à laquelle très humblement me

    de Montpelier et quon a faict grand retranchement et

    quelle faict à feu monsieur son mary. Je [barré : me] suys resolu

    dieu,

    Escript de la par de

    messieurs d’Aix pour achepter une pension de cent escus.

    à votre bone grace, je prieray le Createur

    et leur prester deux années qui sont deues sanz

    faisant grand amaz desdits grains du transport diceulx aux

    pour la seconde foys quil estoye bien marry quil le feyst

    et que vous ne le vouliés prendre chose qui luy

    votre bon plaisir et congé. Et en ayant parlé ce mesme jour audit

    monsieur, en me recommandant très humblement à votre bonne grace,

    Jespère quelque jour vous faire service comme

    navés poinct ung plus fidelle serviteur que moy,

    dict pour le moins aultrement, car il ma dict vous en avoir

    à qui il vous plaira vous le trouverez ainsi au demeurant monseigneur

    monsieur, vous doner en santé heureuse et longue vie. De

    pourtoit les lettres. Il est parti deus heures devant

    quelles nont jamays tenu ladite cheere et que lors quon

    montant contremont dudit Annonay, que sont les quinze jours

    fust que jay tenu le lict, despuis que jallis accompaigner monsieur le

    a peu advertyr de ce que est advenu ses jours passés

    Votre très humble et obeissant serviteur

    que lon aye à monsieur d’Uzez. Je vous envoye une lettre que jay

    chose et pour vouloir dire « voilà comme il est eslevé » ;

    si elles ne seront telles, il sera aysé de retrancher lextension desdites substitutions.

    H cardinale Orsini.

    au dessoubz : vostre plus affectioné à vous servir, des Diguières

    ne le fesse fère, me garderey de mesprendre ; quest

    en serois escripre, à la soubfisance duquel nous

    cinq quarterons piece VI pains

    daulcune personne se jattent de rester leurs petitz

    votre plus affectionné et meilleur amy H de Montmorancy

    voulenté. Et cela advenant, je vous donnerey au premier

    prions tous aultres seignieurs gouverneurs luy en faire de

    me puissent traicter à lordinère. Iay suplié

    que silz font desplaisir à la personne dudit marchant.

    à dire, il luy feust respondu quil lentendist sil voulloyt et quil le

    en ladite Val Querascq et ez environs les leur ostant. Je serey bien adverty

    pour faire rendre à messieurs des comptes laudition du compte de la recepte generale ; revoquer

    d’Ambrun que messieurs de ça hault ont prins prisonnyer ne

    il a esté de retour et contremandé. Je ne scay à quelle occasion. Dieu veullie

    conclure le mariage de ma

    remettre sa compagnie. Je ne scay encores quil sera.

    mais je me resous d’en parler au premier jour audit

    monsieur d’Uzès arriva hyer en ceste court. Iay apris

    dict que le roy a pourveu ses jours passés au gouvernement

    [barré : mesme] de Pragela et de Sainct Martin, ainsi que jay esté

    vous assurant, monsieur, que je veulx conformer tottes mes actions

    proceder à lextention des bulles et retireray le motu proprio de ladite grace

    presente ville en toute asseurance et les chemins des

    Bussant. Au reste, le dit cappitaine Bovyer ma dit que

    aydant. Surce, je vous baise bien humblement les mains et

    volleu donner advis. Et pour navoyr

    florins plus que le rentier qui le tient astheure. Et surce,

    elle saura donner bonne et sure adresse. Pour

    moyens quil peult de soulager son peuple et faire vivre ses subiectz en toute

    la cause que fis charrié de pierre et acheterai de chaus ;

    ruyné du tout, mès avec layde de Dieu, il ne sen

    comme le faict de votre maison de Sainct-Saphorin passa, affin den prendre

    Monseigneur, ce que sur ce faict vous pouvons escrire, est que ce temps

    pas presentement. Il a gaigné en fin ce poinct par sa poine

    de la somme de III m[ille] L. fournie au sieur Vercorre pour lemployer au payement des

    bonne fortune, javois receu ung peu auparavant vostre lettre du XIIIIe janvier de

    mesmement à laide des aultres plusieurs advocatz, lesquelz

    de telle façon, qu’on ne peult avoir que bien peu ; si bien que suyvant ladvys de monsieur

    discours, vous presentant, sil vous plaict, mes

    monsieur, en parfaicte santé, très longue et très heureuse

    occurrantz de pardeça, que me gardera vous escripre plus

    autre de la court

    responce de ma dame la comtesse de Grignan sur la depesche

    jaye le moien de fère mes affaires et pourchasser

    allarmes que Dieu graces ont passé sens offanser persone, sinon

    en escris ung petit mot, il vous plairra de commander que la lettre cy joincte luy soyt

    A.dambrun.

    responce de ma dame la comtesse de Grignan sur la depesche

    que je sallue voz bonnes graces de mes

    renés pour moy comme jay veu par lextraict de la letre

    je ne dis pas perdue, cependant que Dieu nous conservera

    davantaige que les aultres et trouvera quil

    reprendre le château d’Espally pour estre assez fort et ceulx de dedans lon

    gens tenans la cour de parlement de Daulphiné

    que ressuce une escorne ; et atandant le comendement de

    armes. Mès ie veux quon me pende sil y en a plus

    meilheur accor en Flandres puis quil en est sorty,

    quilz ressoyvent par les gens de guerre estant ce me semble le vray moyen dassoupir toutes ces malhereuses guerres

    monsieur, en très bonne sancté, longue et hereuse vye. Au Mon(telim)ar, ce IIe febvrier. Ma femme ha tousiours

    posées ses marnes d’Eydoche et du Chatelard, notre procureur

    Vostre très humble et obeissant

    Dieu et la bonne volanté des sieurs cappitaines qui sont

    se veult sasysir et amparer dudit chasteau. Où estre,

    de febvrier 1574.

    en la place du Banc de mal conseil par lexecuteur

    les troys Italiens quile tenoyent [barré : à Loins] à Nions sont relachés,

    Beaufort que me mande que madame la

    plest y anplouyer votre faveur ; et mesmes que la diste chatelenye

    ay faicte la presente pour vous supplier,

    nest pas grand fort, ayant osté les troys aultres ;

    Claude de turenne

    deus ou troys jours, jaye envoyé coppie dune lettre que le roy mescrit à

    elle faict. Voyla comme chacun en parle selon la passion qui les domine. Jay eu advertissement comme ce

    en general à la court, ce seroict bien maintenant le coup car il

    très grande et pitoyable misère et calamité, nayant aultrement le moyen

    quant je ne luy fais fournir les huict mil livres qui ont esté promises,

    De Menon

    Hourche

    ung commandement audit sieur vicenechal de me descharger de ladite administration

    nouvelles plus fresches.

    quil feut renvoié querir de Paris et nheus lors moien vous

    lettres de capitaine de Granne, lesquelles on ma remyses bien à propos,

    Votre humble et obeysant

    Rebiers, que en Champsaur avecques grandz menasses

    et fère leurs provisions ; de manière, monseigneur,

    plus amplement informer sesdits pourteurs et celluy que vous

    que je suis esté surprins en chemin plus longuement

    uzent entre eulx. Ilz sont assamblés à Paunet, Chastilhon et villages circonvoisins

    aultant pour la seurté du chasteau que silz ny

    craincte se sont retirés avec nous et à ce que puis cognoistre,

    Voz très humbles et très obeyssants serviteurs

    aurey de luy, et vous asseure quil a bonne vollenté

    continuation de ce y avoir esté faicte plus grande violanse.

    de faire prescher, et quil vous aura communicqué le double dune

    si proches voisins, jenvoiay hier des soldatz de ce lieu

    Jey payé 22 escus sol à ma damoyselle de Ventes. Ceulx de Myans

    vertu ; et au surplus en ce que desireriez estre augmenté

    Votre entierement meilleur, plus perfaict et asseuré amy

    auront rayson de sen contenter. Monsieur de Dières a veu la fasson

    humble servisse

    telle, denvoyer exprès commandement pour ce

    De Lyon, ce VIIe fevrier 1574

    Chastelard vous escrit de Parys du XXIIIIe du dit passé sont playnes de doubtes. De nouveau reviennent en ces provinces

    mal de teste, print hier ung cristère et garda le lict.

    [barré : de pe] qui est que suyvant votre volunté, se trovant en ceste ville ledit La

    monsieur, en parfaicte santé, longue et heureuse vie. D'Avignon ce VIIIe

    leur seur et ont blessé jusques

    que merite vous escripre, finirey la presante

    papaux que doibt venir trouvront lherbe comme les chevaux pour

    guerre en Velay et sont ceulx de la religion fort après pour prandre Castres

    Vostre à jamais plus fidelle et plus affectionné

    plus que non pas à tout le bien et utilité que nous en

    mesmes quil passe troys moys vous porroit prejudicier à faulte den

    bource, le quel je massure lestime fidelle ; bien

    de Dieu et plus que par notre conseil, encores quon y a

    est cy froit que lon na nouvelles des montaig[n]es que

    il y a quinze ou vingt soldatz des ennemys et salla rendre

    asseurer que je noblie rien à estre importun envers ses messieurs

    le chemyn de Cor quil a tenu de Gap icy. Nous

    bonnes amyes de la court qui me mande estre arrivé

    subz rouche. Je larray ce propos pour vous dire que ce pourteur est encoures tout encouleré de la prise dun

    qui venoit de quelque part, ilz le prindrent et lemmenarent au Mazion

    Château lors quil y entra (barré : il vous pl] cumuler

    contantement. Monseigneur, je vous mercye très humblemant

    en çà, ilz se sont logés à Chorges aprez que quelques

    cest honneur que de men advertirt, je memplooieray pour

    trefve a esté par ce moien violée, laquelle a esté observée

    qui se peuvent escrire ; on vous pourra mander la procuration

    du roy pour les X mille l. ts que sa magesté vous

    pour estre sur le grand chemin, exposez à toutes

    vous desplaire, daultant quelle dict que si elle y estoit cella

    gens tenans la cour de parlement de

    monseigneur, maintenir votre grandeur en parfaicte santé, longue et

    votre volunté. Quant à moy, vous diray librement

    là commune est tenue par les recognoissances qui

    là commune est tenue par les recognoissances qui

    serviroit de rien jusques à ce que ces nuées puissent

    Je desyre que monsieur de St André vous escrive le langage

    ce XIme febvrier 1574.

    Mès mon consel aiant decovert leur movèze volonté, les at

    Sy vous plet de manvoyer permission et passeport

    advertiray de tout ce que je auray veu et que jauray peu fère à laultre

    le chatelain de La Mure menvoya arsoir, par laquelle il

    mieulx quele navoyt faict durant sa maladie et pence quelle nen aura

    à vous servir dausi bon cur que ie desire estre recommandé

    tout autrement quil ne debvroit. Je crois quil est advancé pour [barré : mon]

    monsieur, prenez la peyne de luy escripre.

    ennuier de plus long discours, je vous

    monsieur et madamoyselle d’Ourche y lisent mes humbles et très

    toute seureté ; et en cest endroict, je supplie le Createur, après

    Seigneur vous donner

    nen vois que rien moins en ce païs de ceux mesmes

    monsieur et madamoyselle d’Ourche y lisent mes humbles et très

    do[c]tobre et le mandera à votre paieur. Je recouvreray

    long tamps tarder, Dieu les ramène tous les deux

    ne sy peut faire de long temps autre chose. Vous verrés, estant

    tous lesdits avivres dans la presente cité. Collombin est

    de la religion, car les aides de ceste ville, ceulx quilz mennoient

    que luy avés dit que les ennemys tenoyent destranges laguaiges de la reyne mère du roy, messeigneurs [barré : le] de Nevers, marechal de

    par certains inconneuz que lon presumes estre de la nouvelle

    antendre, vous asseurant que je me

    de votre rantier de Cabanes IX. C[ent] l. ts. Il doit enquour

    le roy.

    ordre quil pourra à la garde des chasteaux menassés

    commission à Brianson pour former le procès de ceulx de la religion de Molines

    la povreté de voz povres subiectz, lesquelz

    qui me sera pocible pour ne vous importuner de si facheus

    plusieurs venans du costé de Mentz qui, soubz umbre

    chose digne, je ne fauldrey de vous en advertir ; et daultant

    ilz ne vous desnieront, daultant quilz ne feront en cella que suivre la

    fevrier 1574.

    traictable, mais ledit Montbrun très rude et ne volant entendre à ladite

    quelle ie ferai si vivemant la guerre

    je receuz dimenche dernier une lettre de monsieur de

    Je nespère pas estre paié de mon voiage

    pressé de partir quil ne pensoit. [barré : je] Monsoeur de Morvilliers

    [barré : soubz] avec les dix companies de gens de pied que lon envoye par delà

    à leur fantesie pour y prescher, puis ilz ont ruyné le grand’oye

    très humble service que vous debvons, priantz Dieu

    nous ne soyons comprins en la surceance ou paix suyvant la volonté

    une trouppe des huguenotz qui les vindrent recevoir et conduire en Fressinière,

    nouvelles par quelcun à qui il en aura compté. Je nay

    je ne voy rien icy pour y obvier et en ce cas

    de ce quele deliberera de faire. Je suys infiniment marry de ce

    sa despence et de ce quil pouvoit avoir ou experoit recevoir, tellement

    monseigneur, en santé, longue et bonne vie. De Montpellier, ce XIIII jour

    point en se enuy et regret que lon veulle getter le chat

    le mynystre et Margalier. Il dict que ceulx de Mentz

    monsegneur, quilz nestogent rien an fère leur

    la suspantion darmes et aussy pour vous dire que nous

    les vivres de ceste valée. Nous recepvons dheure à aultre afforce advertissementz.

    je finerey la presente, après avoir prié le Createur,

    attendons son retour à mecredy. Je vous supplie si povez recouvrer une copie

    ne doubte, suyvant ladvys que monsieur de La Pierre vous ha donné, quilz sassemblent à Pontays, quil ne laye ainsin aprins

    servyteurs les consoulz de Chateauneuf

    Garach dudit Grane, catholique, les

    estoint partis pour les venir prendre, cy bien

    Votre humble et obeissante

    sans quil a heu advertissement par le serviteur

    De Loriol, ce XVIe de febvrier 1574.

    mander pour tout le jour, tant à la Bastie que

    daultant que la prise a esté sy terrible

    sil vous plaisoyt mander au cappitaine La Marcousse que au

    mavés donné Marcellin qui ne sert que monsieur de Gargas,

    et les avons grandement reprins. Nous regarderons

    sommes ycy pour havoir gentz, lesquelz sont assés

    en oultre, sommes estés advertis par bons amys

    et quilz la vouloyent fortifier. Là-dessus, il feut bien cryé ;

    Cabynet, ce XVIIme febvrier 1574.

    Vostre très humble filz et à jamays très hobeyssant

    Vous verrés, monsieur, par les letres de monsieur de La Tivolière ce que lon peult

    de Chechilienne. Je luy ferey tenir et quelques chappons. Quest tout

    de celluy qui est dedans. Sil vous playsoit accomoder monsieur de La

    leur obeissance, mais non la rendre. Cependant, je voy qu’on ne laisse de vexer

    Soldatz, scavoyr six de monsieur de

    de Vesc et de Choveyron, ilz fesoyent semblant de venyr droict en ceste ville pourtant de grosses valises pour

    doctobre, novembre , decembre, janvier et febvvrier, sens

    daultres de telle volunté que scachans au vray le

    ne pance pas que lons leur en puisse dire davantage.

    fille, mès iespère, avecques laide de Nostre Seigneur, que ce ne

    de la perte que nous avons fait à la mort de feu

    de Vennes [Evènes] du dixième et me mande avoir lexpedition de lestat

    et prye Dieu vous donner,

    bonté, non pour servisse que je vous suce jamès fère, mès je

    de lever le siège de La Mure et peult estre fère mieulx.

    attandent les forces et quelque piècce dartilherie

    et par mesmes moien descripre à ceulx qui commandent les

    Votre très humble allyé et très affectionné

    Vous menvoyerés votre volonté et ne

    estatz de Daulphiné

    de combien faire estat sur icelle ; et y a à craindre que ceulx qui leveront

    votre bon advis en ce faict et la response que

    voz moiens après en avoir eu responce. EN cest enfroict, après m’estre recommandé

    monsieur, en santé heureuse et longue vie. De Grenoble, ce XXe

    Toutesfois iceulx estans en ceste ville, on nen pourra tirer

    Vilerroy pour entendre de lui si plustot je

    asseurés, affin que je puisse empescher les invasions et entreprinses

    seroit maintenant à tenir propos, nestoit quelzques

    et que je n’avoys aultre à vous escrire par luy. Nous

    dame d’Anjou et sentir sil y a autres argumentz pour vallider

    lathivolliere.

    trahison que ce que je vous envoye par les informations

    la visite tous les jours que je suis en ceste ville. Vray est

    Mestral, par votre commandement, avoyt ouvert mes letres

    pour les juger selon leurs merites. Jay entendu que lesdits ennemy

    doigtz. Et quant à mon particulier, je ne desire leur servir que de guyde

    esté à Paris comme il advoit deliberé pour cestre trouver ung

    Claude de Turenne.

    bonne volunté, je ne faudray vous en tenir adverti. Comme

    à vous faire bien humble service, à quoy

    gouvernement ; et sy jay de vous nouvelles, jen suplyeray

    de la substance. Parquoy, quand il vous entendrés dire quil

    acte necessayre, me recommande à vous.

    ledit sieur d’Aurilly, et toute composée des enfans de ceste ville, qui ne se plaisent de

    qui tienne asiégé ungne tour ronde là où il

    recullé et cest scaulvé au lieu d’Allez. Je ay anvoyé

    monsieur, me vouloyr secourir dune dozeine

    vos commandements, sinon je regarderay de my gouverner le mieulx

    donner commission de trente souldatz pour la seure garde tant du

    quil ne sont poinct cent au plus et nont encore [mot barré]

    entendu le son dune cloche delà la ryvyère. Estans entournés

    fauldrey vous thenir adverty daussy bon ceur que je vous salue

    de nous paquetz se perdronnt par les chemins à Secheliennes ou

    fust mal advisé de leur ouvrir les portes des

    et très heureuse vie. De Brianson, ce XXVIe fevrier 1574.

    longue que des mes affectionnées recommandations à votre bonne grace

    Champs et moy noz très humbles et obeissant service, supplions le Createur

    dangier des chemins. En cest endroict,

    François eves[que] d’Apt.

    lettre. Ce nest sans occasion, monseigneur, que je crains la

    leur relligion ma dit, de le sacaiger et se

    cella nous fera ancore myeulz veilher, ancore que je

    monsieur, en très heureuse santé parfeite et longue vie. De La Lauppie,

    ay gueres peu sesiourner pour ce voyage, desirant cy revenir

    On escrit aussi que à la fin

    di mandarme una chomisione per me che sopradette

    IXe jouin 1572.

    baillé ung maistre d’escripture à tous, auquel je donne ung escu le

    envoyé, venant à l’assignation me sera faict leur parttie

    nous n’en pouvons espérer autre chose que la guerre. Ie

    ceste comodité du commissaire Montleheut despartir les

    d’une rente comme d’une maison qui peut aller en ruine

    Il commanda à messieurs des finances d’y aviser et le

    d’Hourche tant plus aisément obtenu la contraire évocation

    mesme incertitude qu’on y a veu de tout tamps : auiourdhuy, paix universelle,

    les montaignes d’Ambrunois et Briansonois en me retournant

    la mémoire de la feste St-Jehan. ce jourdhuy, sa dite majesté part pour aller à son

    d’Aurange c’est battu [barré : en o] avec l’évesque de Lyège qui le voulloit empescher de passer

    non une fois seullement, de l’estat de votre gouvernement

    que ceste maison peut faire et faict ordinairement au roy et à ses

    beoucoup d’afères an vos cartiés et la Prouvanse

    cinq ou six jours après l’arrivée dudit roy de Navvarre. Monseigneur et madame de Lorrayne sont

    je priray Dieu

    Hans Wild ; que nous donne occasion, monsieur le

    fait de nectoyer ainsi votre bien. Je désyre que vous en

    d’une lettre que je receu harsoir de monsieur de Joyeuse du XXVIIe.

    roy d’estre esclarcy au vray s’il en est quelque chose

    gaigné quelque grande bataille et n’ey peu

    Sa Saincteté et quant vint au segond diffault

    me retyrant au juge de Romans pour me administrer justice

    recepvoir voz commandemens et de monseigneur des

    de faveur que pour l’occasion d’eulx je ne perde

    et luy prie quil maporte tout l’argant qui est

    que je ay, prest à faire service à madame

    qui estoit tantoust avec moy, nayme guières monsieur de Gordes ». Je luy fis responce quil navoit pas

    Monsieur, je vous puis asseurer quil y

    XX m[ille] escuz pour faire ses preparatifz.

    mon bon droict, lequel je vous supplie très humblement vouloir recommander

    et que demployer force pour lacompaigner, cella

    en Cartagène.

    comte Ludovic, sont encor yci. Messieurs les princes

    archer de votre compagnie, qui a tousiours assisté, comme il faict

    de jour à aultre le retour dun sien ambassadeur estant vers le roy catholicque

    Vostre très humble et plus obéyssant

    et prye Dieu vous donner

    de manière que tous ceulx qui ont accoustumez de tenir les

    que me prestarent l’argent pour payer les creansiers de Vallance

    Les affaires du cousté de Flandres sont tousiours en mesme estat,

    assassineurs. Mays il fault diligenter à fère

    bottes et esperons, avecques aultres equipaiges pour vingt

    passer son despit. Je n’avois rien sceu de ce retranchement

    de votre santé et estre la première novelle

    dicelle. Tout y a que lon est extremement marrys de ce qui est arrivé en Flandres, craignant que

    cens gallaires et denvyron cent ou six vingtz aultres

    ceste cy que pour saluer vos bonnes grâces par mes très humbles recommandations, priant Notre Seigneur

    humbles et afeccionnés re quomandasions de bien

    ceulx qui ont faict le voiage et mesmes

    et monsieur le prince de Condé, ma dame la marquise

    grâce, pryant Dieu,

    que je commence ma levée, tellement que tout est mangé,

    Je vous baise les mains et supplie le

    chose quy merite vous escripre, ne ferey faulte vous

    faict tenir là part qu’il sera, sereument et incontinent et aussi que a esté dernièrement

    que sa Capitaine. Les Turcs, avec 30 mille

    Et pourront lesdits seigneurs de Laval et d’Eveynes aller coucher

    de tele affection et gratification que je ne m’en puis

    Monsieur, je prie le Créateur vous donner en parfecte santé

    vous doint sur ce

    qu’il vous plaize me commander voz bon plaizirs et vous

    luy quand elle fist la demande. Il s’estoyt allé pormené

    faict au Bourg d’Oisens, le douzième

    aux Vénitiens ; et pour ce que l’on pretend que le pape sera

    devotion. Je panse qu’à ceste heure, nostre frère, monsieur d’Evènes,

    quoy car sa femme en demande cinc mil

    en Angleterre où il n’a guières demeuré. L’on

    monsieur le mareschal de Dampville estoyt

    président de Saint-Jullien me mande que le duc de Sesse

    choses pourront estre modérées. Quant aux armées du Turcq, ledit seigneur d’Acx escrit comme depuis quelque

    Monsieur, vous donner sa grace et et à moy la votre. De votre

    santé de ma personne, que conduite de mes petitz affères

    marry si ne l’aviez receue, ce que i’estime que vous

    de Lorreyne. Le roy y a envoyé monsieur d’Ourche pour accelerer leur

    la contesse de Tande, laquelle doibt estre à sette

    avoit cy devant accordées à ses subiectz de Languedoc, Prouvence

    1572

    la venue du duc de Medinacelly, lequel on estime benin

    Monsieur, en santé, très heureuse, bone et longue

    ladite crue, vous asseurant de ny demeré pas une

    sur le passage, ce que (me conformant à vostre oppinion) je ne trouve pas à propoz.

    pour la voye de Carmagnolle. S’il y aura chose

    de presant que de larmée de madame la contesse.

    les moiens. Les dictes nosses ne se feront encore de quinse iours où panse qu’il y ara

    encores du lict. Monsieur le comte ma donné congé pour aler demeurer quinze jours

    Votre plus affectionné à vous faire service

    Lodovico Birago

    comendez, en atandant, je pryeray Dyeu voz donner en santé

    Duvant

    Monsieur, que vous ayt en sa garde. De votre maison

    à votre bonne grâce, priant Dieu qu’il vous doint

    me prier de vous advertir de telz désastres et vous

    pryant Dieu,

    leurs cousins jadis trespassé, auquel je feis responce que nul des trois

    J Bernard

    Votre très humble et hobeyssant

    que je suys contrainct ouyr pour la difference

    lesquelz n’ont pas grandz moyens de faire levée de gens,

    servyr, syl vous plaict de my ayder à ce coup ycy et vous

    bien fort aise d’entendre l’arrivée dudit Evènes en bonne santé

    Monsieur, vous donner très bonne santé, très heureuse

    ayné qui ma dit que quant il partit de Paris, il estoit

    Votre plus affectionné et obeissant

    Dieu grâces et la bonne diette que madame me faict.

    que ne poviés mieulx fère que d’acorder

    revins hier. Monsieur de Cabanes n’est encores bien guéry

    pour laller veoir, de quoy je suys très marry et prie Dieu de bon cueur

    Ce nonobstant, je fuz contrainct le laisser obstiné en son

    Monseigneur, en sa sainte et digne garde.

    de Ste Claire d’Avignon, ce 18e julhet 1572, par

    estre le chevalier Pelloye, ingenieux duquel, jusques à ceste heure, je

    Monsieur, en très bonne santé, longue et très heureuse vie. D’Ambrun, le

    s’il vous plaist, tant qu’on ne vienne à ses difficultez et ordonnerez

    un extraict dune lettre que jay receue de monsieur de Jouyeuse, lequel ne se

    où monsieur le président Truchon se treuve et que ledit

    ne donnent beaucoup d’empechement à ses sainctes entreprises.

    content de ce, l’emmena hors ladite ville,

    Dieppe. Monsieur lamiral demeure tousiours

    seur, le laisse tant quil gardera la chambre, car il est impossible quil ne

    retour supplir à mon deffaut, ce que je ne puis faire

    que monsieur de Janly a esté deffaict à troys lyeues de Montz. Il avoit de belles forces avec luy. Je ne say

    estoit encore en ceste mesme volonté et que du XIXe il estoit

    très heureusse vie. De Paris, ce XXIe jullet 1572.

    les habitans de Suzanne qui les avoient en aide pour trente frans

    de vous novelles et atandent ce bien, je supplierey

    grâce, vous donner

    Votre plus humble et

    ne scay quelle connexité en ce faict nous a mené là, si

    jourdhuy il en a heu le secong excès. Nous arrivames

    Votre plus humble et obéissant serviteur

    avec les galères de monsieur de La Garde jusques à Lermont, une lieue d’icy,

    Pour vous faire entendre ce quest de vous

    que je prétendz que qu’il sera en brief, ne ferey ceste plus longue,

    on a treuvé que les consulz de ce lieu et conseillliers se sont cachez et perdus

    Votre très humble serviteur

    signal de meffiance avec le roy d’Espagne. Dieu veulhe

    D’Ambrun, le XXIIIIe de jullet 1572

    Je vous remercie bien humblement du soucy que vous plait

    Monsieur de Gordes, en santé, bonne et longue vie. De

    an ecripre. Ie vous suplieray donc,

    de me fère sentir à se coup vostre faveur et gran

    quelle me reconfourta entièrement d’entendre que

    et après il a faict faire ung bandon sus poyne de la

    entretenement de la Ligue, il leur envoye 25

    agreable service et vous plaict me fère ceste honneur que

    oubeyssante amie

    de ceste ville pour neuf ou dix jours s’en alla à

    gardera de vous faire cette plus longue, si ce n’est

    bas que cest chose incroyable ; de façon que cella nous fait

    resceu aussy beaucoup dhonetetés de madamoezele de St

    villes ou isles où il y en avoit de bien esbranslées ; et font

    Loyse du Fay

    Demain, à la frescheur, ilz iront ; le bollongier pareyllhement

    il print ung peu de medecine, laquielle fit

    faire à ma feille, priant Dieu quil me face la grace davoyr

    ce XXVIIIIe [août 1572 ]

    d’Ambrun, le XXVIIIe de jullet 1572

    Madame vous donner en parfaicte santé, très heureuse et vie

    oùt je prieray Dieu

    XXVIIIe, entre sep et huict du soir 1572

    escripre la presente parce, que mardi dernier, jour de La Magdelayne, ung ministre

    Vostre plus humble et

    Monseignheur, vous donner sainté, hereuze et vye longue.

    De simienne Alleman

    bras, comme na guieres les sept compaingnies

    Grenoble, le XXIXe jullet 1572

    sellier de Meilan et vous tennés pour tout adceuré que je

    Monsieur l’amiral seroit au conseil, monsieur le mareschal

    moy du XVIIe ; je solliciteray leurs dites magestés pour vous donner advis de leur intention. Je

    à vous honorer et servir G. card.

    son medecin, ce quil faira tousiours tant que nous serons

    plus à propos que mon nepveu alhe prandre

    amy

    en luy du moyne et ne le verrés jamais

    si est-ce que ces jours passés, ce pendant que je estois ycy,

    fiz

    à vostre bonne grace et priant le Createur

    an rien avansé ; ie ne le puis solisiter et moins le veus-ie

    Dieu mercy, lequel je supplie vous donner

    Laval

    Vostre très humble

    fans. Je vous baise les mains très humblement les et prie Dieu

    supplie très humblement monsieur, attandent quil soyt

    est en lieu où il y a de bons medecins et masseure

    vers le desdroict de Gibertas. Jay dailleurs nouvelles que ledit

    De Grenoble, ce premier daoust 1572

    escript, m’ont osté dune peine où jestois pour

    ce que je vous puis dire pour ceste heure, après avoir prié Dieu qu’il vous

    à leur bonne et singulière affection en leur mon endroict pour la bonne

    ne passera point la vye. Madame et monsieur le prince

    tierce à Jonage et pource je vous supplie le plus tost quil

    que j’ay heu qu’il ne les fit sejourner aux montaignes.

    quel augure me seront ces monstres, ne me servant pour aultre que de

    roolles dicelle monstre, nous luy donnions terme d’ung

    faire, dont il ne mest poinct de nouvelles, mais je vous

    tous les jours, plus en ceste ville, tellement que si

    non pas de la prinse dudit Beaufort, d’autant

    quil mest possible comme si la chose feust advenue.

    fin, après vous avoyr supplié me commander

    truverés jamès eslogné de l’affecion que

    Monseigneur, vos donner en saincté, longue

    vous fera plaisir de vous donner sur le

    amys. Il y a nouvelles aussy de la desfaicte du

    brief, je croys que pour ceste raison, nous ne pourrons

    Lodovico Birago

    di fornire sina alla monstra, suono pur sicuri

    faictz entendre son estat. Il fust hier icy pour le veoir

    Sy jeusse pensé queussiez en affaire de mon service,

    contract à son arrivée, qui ne peust guières plus

    quels iobéirey toute ma vie daussy entière

    estant arrivé de dela les montz, a faict dire une

    damoiselle Du Teil furent faictes il y eust dimenche huict jours.

    onté quil presente ses

    Romain que je n’ay pas veu ce jourd’huy. J’en ay longuement

    de la religion. Hyer, Sageot, l’ung des commis dudit sieur de Sauve,

    flue tousiours de matière fort liquide et blanche. Le cirugien la sondée

    que monsieur le general Chefdebien aye ung oyseau pour les

    vie. De Lion ce V aoust

    personne il ni paroit en tout point ou bien peu.

    della, nous nous en yront à Jonages. Je nous receumes hyer vous lettres

    faict depeché à la court, notamment pour ne faire

    duquel je lay faict mais je n’ay encores peu achepter des meubles,

    tellement quil nen est rien Dieu graces de

    certain des nouvelles qui se passe en ceste court, qui me gardera vous

    que ce n’a point esté pour les mesprizer et que je n’y voluse autant y satisfayre

    vie et longue. De Prunières, ce VIIIe daoust 1572.

    et si d’aillieurs ne perdront temps pour ce que c’est aux heures hors les

    nous avons donné charge au procureur des Estatz vous en advertir

    esperions que dans deux iours vous dusiés arriver ; ie la

    tost voir mon dit nepveu et monsieur de

    par deça pour la mectre sur la frontière, consideré aussi les grandz forces

    que bien tost n’en aiés nouvelles.

    voisins, sieur Jehan de Champpolion, qui a bien heu le

    si profonde dung tiers quelle estoit au commancement. Nous luy avons

    heureuse vie. De Grenoble, ce Xe daoust 1572

    Vostre très humble et obeissant serviteur

    est possible. Dans troys ou quatre jours, il sortirat

    laquelle je continuerey en toutte ma vye. De la mesme

    bon vouloyr et souvenance du seigneur Alphonse, colonnel

    madame la generalle Grolière. Je masseure quen avez déjà

    Meyrieu, nous ne fauldrons de lexpedier

    grange. Je croys que sa deliberation est daller

    le XIme jour daoust 1572

    Monsieur, de commander quil en soict faict le chastiment tel que

    est ici malade, nous en avons heu à Jaunages, tout

    Buis avoit confisqué, duquel monsieur de Suze

    en tout se que me comanderés. Surse, je

    de scavoir ce quil leur aura esté respondu,

    Ce pendant, il a promis quil en prestera à ses soldatz, de

    les faire payer de gré à gré, vous scavez que ce mot emporte beaucoup

    ne laissent pourtant de passer leur aage sans riolte ny fascherie.

    très humble et de mesme volonté, quaprès vous havoir

    monsieur de Gragas qui avoit la petite verolle. Tous ces

    Vostre très humble serviteur

    arivé, ne fauldrey de le fère prandre. Il

    santé très longue et heureuse vye. De Paris, ce XIIIIe aoust

    treuvoissiés, comme l’année precedente messieurs du pays me solicitèrent

    de ses magazins de ceste ville au temps des troubles, ayant

    Vostre bien affetionné à vous faire service

    doubtant d’eux, donnant le gast à tout ce qui ne

    qui ma faict veoir les articles. Jentendz quil y a quelques commissaires

    les six moys, ce que je ne pourrois faire autrement. Surquoy

    antandre en partye la depance que nous avons fait icy

    dicelle, à quoy je ne ferey faulte. Si ce pendant il vous

    sen est santi. Il reprent le goust des viandes, mais non du

    milieu du menton, allant quasi jusque au bout,

    longue. De Grenoble, ce XVII aoust 1572

    viens avoir de Prouvence par une depeche de monsieur de St

    lendemain matin, nous poursuivrons notre chemin. Cest tout

    lendemain matin, nous poursuivrons notre chemin. Cest tout

    de Sainct Romain mon frère a treuvé bon et estoit de cest advis

    Monseigneur, nous prions Notre Seigneur vous donner sa saincte

    et tresorier pour votredite monstre. J’en advertiray ce pendant

    entendre votre volanté, nous nous delibererons

    on m’escript denvoyer faire monstre en cette ville de Vienne

    venir co souper icy. Demain vous aurez

    pour avoir estés entierement ruynés et bruslés pendant ses

    ceulx qui vous appartiennent, je ne sache aucun malade que madame

    à mes nepveus, et mienes, à vous bones

    monsieur, sera pour vous prier me faire tant de bien et faveur me tenir

    Gervais, le XIX daoust

    de faire en tout temps ; et en ce faisant, oultre que ce sera une

    qui y est allé en dilligence ce quil a negotié par della.

    je ne pance pas quil en avienne aulcune de ceste année, je vouldrois bien quil

    silz hont passé oultre. Tout ce que je vous puys dire

    puys de tirer de ceulx de la religion silz veulent avouer ce que

    mestant ung petit treuvé mal, je ne suis pas allé vous treuver

    Vostre très humble et hobeissant

    playse faire entendre à ceulx de Bardonneiche la [barré : mes] faulte

    de foys entendu par leurs plainctes, lesquelles m’estans

    se conduyra et sera aussi saige, estant en santé comme

    de Josapha est bien mallade en Avignon. Vous avés monsieur

    à Paris. Je lui en ay fait quittance au pied de votre

    Monsieur de Moydieu me dict dernierement qu’il vous avoit

    Monsieur, en bonne santé et prosperité très bonne

    XXII jour daoust 1572

    dispencerey de vous aller trouver suyvant vostre mandement.

    Monseigneur quil vous maintienne en joye,

    Votre très humble et très hobeissant

    avoyt faict à mondit beau père qui, pour ce

    St André, lequel sera icy avant mardy pour vous

    le presidant Bellièvre, lesquelles je vous envoie, ensemble une lettre

    qu’entens monsieur le president Belièvre par sa lettre ; car quelque sauvaige

    mains de celluy qu’a achapté le vintein qu’on ha imposé

    entendre avoyr esté et estre tousjours de bonne volonté

    Vostre très humble allié et serviteur G d’Avanson, A. d’Ambrun

    Votre très humble et très hobeissant serviteur

    fère service

    fites au sieur du Vilar à Grenoble dugne place darchier,

    Gervais en fort bonne santé et me dict que vous debviés venir fère

    de Provence ne vous y convie. Madame de La Motte

    le gouverneur dudit Lyon comme on auroit tué monsieur

    très affectionnées recommandations à vos bonnes graces,

    abitans de iselle dicte ville, sans toutesfoys employer aultre force que selles

    mes très humbles recommandations priant Nostre Seigneur quil vous doint

    procuration pour interjecter son appel ; et neanmoings les sommer

    Or à present l’on enrichit et m’a-l’on dit que ung laquaix

    estre de votre volunté qu’on communiqua à tous messieurs, et

    recepvoir le contantement et satisfaction tout tel

    de la court, que je feysse prandre les armes à toutz les

    baillez, cella est demouré ainsy car je nay autres espèces.

    paqués pour Romans, Vallance et Le Cret, n’arivat pas en

    le service quil vous plaict que je vous fasse,

    puis faire sans advance d’argent. Jentens que Monsieur de

    de ceste ville presque sur la mesme heure luy corira après.

    entre les meins de ceulx de la relligion. Je disoit que

    occasions qui vous pourroit escheoir [barré : aurois] besoing daucune

    monsieur de Chaponnay en y avoit cent que ledit Mizaud lui

    par consequant de mal logés et si ie craindrois

    Monseigneur, je prie Dieu vous donner en parfaicte santé, très longue

    consantemant de monsieur de Veines, Dieu nous

    que je me remets à monsieur d'Evènes pour vous escrire de

    de vous assurer de Dye pour leur servisse, mesmes

    voz bonnes graces de mes très humbles recommandations, comme aussy faict

    Sadoleta. facendola certa ch[e] io me lo riputarò per un' di piu grandi

    y estre les vivres extrêmement chers et aussi les logis.

    parti à la resepsion de la vostre, mais nous adviserons de

    toutes personnes ne sont pas bien conditionnées tumber en quelque

    davec monsieur de Causseins, mais cestoit bien faire

    de Claveisson, le XXVIe de juing ; estant arrivé en

    le siège de devant Mons en Henault, et qu’il s’est acheminé

    ny contribué pour ce dit efect. Si vous le trouvés bon qu’ilz soyt contrainctz en leur tour de donner sis

    m’ont descouvert, ilz ne treuvent poinct qu’ilz puissent estre

    septembre 1572

    nay veu que leurs valletz à pied, menantz troys

    plus amplement, qui est cause que je seray bien

    quil se soyt trové dehors. Il ne fault trouver strange

    remonstré particulièrement sans en faire une demonstration publicque ;

    fut par le dit Grec saquamenté de froit sanc. Il en a faict plusieurs aultres en son temps

    et voyant sela, il cest retirer auprès de moy

    secretaire, Gautery, pour scavoir plusieurs nouvelles. Je receuz hier une

    ausé prendre les armes et na aucunemant

    Le reste a esté emploié à partie du paiement de VIm l[ivres], faisant

    satisfaire, car cella est hors de ma puyssance, mais

    plus affectionné serviteur Truchon

    1572

    l’eglise catholicque, apostolicque et romaine, esquelles il a protesté

    vient pour ( ). Mon dict cousin

    la part de messieurs de la court de parlement. Incontinent

    du roy et vos mandemens, parce qu’ilz sont des plus factieux

    que ung homme de cheval par le moien de larrivée de ladite

    que cest chose qui concerne votre charge, il na voulu toucher

    quest tout ce que vous puis escrire à present,

    Monsieur, en santé bonne, longue et contente vie. De Saluces, le premier

    Monsieur, heureuse et longue vye, en parfaicte santé, d’Avignon le

    qu’yl n’y a que troys jours qu’il entra, environ la minuict, trente-cinq ou quarante hommes, tous à cheval, dans Dieulefit, pourtant corps de cuirasse et pistoletz, me noumant, entre

    sieur le marechal. Quant à nouvelles de la court, je m’asseure

    aux cathollicques. Et à ce que j’entendz, ilz ont

    Monsieur vous doner en sante heureuse et longue vie. De Grenoble

    en tout ce lieu n’y a pas plus hault de quarante catholicques,

    et tres longue vie. De La Bretonniere ce IIe octobre

    nont faict difficulté de rendre leurs armes qui sont

    guarnyzon en Languedouc pour plus entendre

    affectionné serviteur Truchon

    cueur que je le vous ay voué aveq telle devotion

    nous a esté rapporté, nous faisons ung depeche en diligence

    seigneurs ont d’anciennetté obtenu de sa Majesté, que de ce qu’en

    il en a quelque occasion, més il ne touche aulcune specialité à laquelle

    Il Cardinale Orsino

    gardiés celle que m’avoyt escript le capitaine Bernard et nen

    seul, ne l’ayant voulu entreprendre sans vostre

    mes lettres par le convoy ou precedentes vous ont apportées, je suis très aise

    infinie bonté et misericorde. Monsieur le conseillier

    nes mon oncle parla au roy il y a quelques jours

    de Lyon, où j’espere estre dans cinq ou six jours au plus tart.

    laultre de Valence, e[t] ung d’Avignon, pour compter ce quilz vous

    contre eulx. Je metrey peyne tant que je pourei de

    yci touiours, attandant response de se dequoy

    Turq, et se sont faict bonne mine. Mais à cause qu’il n’y avoit

    des remerciemens et offres infinis pour les faveurs qu’il comfesse

    dont je vous envoye une copie et surçoyeray [ ]

    Monsieur que jay resseu la votre du XXVe du passé

    beaufilz qui me mande quil a gecté les huguenaulx

    ce ; brief ie ne feray que ce quil vous plaira me

    par ce pourteur, je vous envoye à ce quil vous

    seroyt une bride à tout le pays, et que ledit Saint-André

    porte fermée pendant que les choses sont en ces troubles,

    jour doctobre 1572

    vous faire service

    mondit sieur avoyt receu lettres par lesquelles estoit

    contente vye. A Salluces, ce 6me octobre 1572

    fere tenyr ceste lettre mesmes. Je fus yer à Nyhons et lya sinquante arquebuses

    B de Simienne

    à Dieu quil vous doint

    et ne volleurent rien bailher au porteur ; et si j’avoys ceste [barré : pers]

    longue vie. De Annonay ce VIIe octobre 1572

    il escherra, nonobstant que par fois j’aye bien peyne

    Monsieur vous donner bonne santé et longue vye.

    Monseigneur de Birague lieutenant

    Cependant, je finiray la presente par mes bien humbles

    aubeyir à la devosion de seus du Poussin. Sy einsy

    passer. Je me suis logé près le college de Boncours pour

    Anthoine le Goytreu, bien blessé et heuz beaucop à faire de le

    Beauuoir se IX octobre

    trouver plus du tiers qui la puissent supporter, qu’est cause que je ne m’arreste de beaucop

    le conte de Tende le retiendra en ceste ville où je

    à maître Baro d’informer promptement de leur chemin, et mandé

    à maître Baro d’informer promptement de leur chemin, et mandé

    affectionné serviteur Truchon

    habandoné ledit sieur conte à Selon et je croy que sa compagnye

    quest tout ce que je vous puis escripre, après avoir prié le Createur

    de se contenir soubz l’obeyssance du roy et soubz ses ordonnances,

    Broulx, des Baumettes et de mon frère. Je vous

    et contre son roy ; et avoyr tout parlé et dict, il m’a

    ne les lairra si tost venir. Monsieur de Cabanes est à Gordes

    a pleu me mander du cousté de Montbrun. Je nay failli

    Jespère que avant que je machemine à la court, je sarey si vous voullés

    vous faire ceste plus longue, si nest de mes très

    Coste, qui, au permier jour doibt aller en Avignon, conbien

    du present au lieu de Loriol comme il vous a pleu me commander. Jay veu jusques

    du paiement que a esté faict aux compaignies soubz la charge

    daussy bon cueur que me recommendant à voz bonnes graces très affectueusement,

    en ce lieu, et n’a peu tant valoyr ce bruit de fère retirer

    longue et contente vye. Je me recommande de fort bon cœur

    Vostre très humble et obeissante allyée

    seigneur vous donner

    par comandement de madame de Casenove.

    de Gordes et prie Dieu

    religion à Cisteron, ayant mandé prié le baron de Seneste les

    Je finerey septe de mes bien humbles afeccionnées

    avec ung pacquet que nous adressons à monsieur de Chastelard, auquel

    elle si desirée de mes pouvres et affligées seurs, lesquelles,

    presentent leurs humbles recommandations à votre bonne grace.

    promptement et daussy bonne volunté que je supplie le Createur

    logis environ XV jours pour bégner sa jambe dans la

    ce qui leur est adressé et devons demeyn resouldre

    Votre très obeysant servyteur

    alant à la chase que je ne prendrei point le chant

    essayer si par parolle je feroys avec luy ce

    affectionné à vous faire service daussi bon cueur que

    madvertir la levée faicte, de la quantité quil en pourroit avoir

    gens de ceste qualité, sont sire jehan Bernard, administrateur

    De Chrest, ce vendredy matin, 17e jour doctobre

    Monsieur, vous donner en bonne santé longue et très heureuse vie. De Gargas,

    Charles de Simienne.

    et lasseuré que lon ne lattendoit

    y a de lettres pour monsieur de Chastelard

    ung faict general, ayantz estés advertis que le jour de

    amplement adverty comme les affaires de ce pays sont, je ne la ferey icy plus longue suppliant le Createur qui vous doinct

    monstreray demeyn matin le tout à messieurs, et si j’en suys creu,

    mescripra par le procureur Michallon par lequel jespère entendre

    vie. De Gap, le XIXe doctobre 1572

    et longue vie. De Laval, ce 20 octobre 1572

    pays sans avoir au moings amené sa femme et sa fille en Avignon ;

    la ville d’Ambrun et estappe dicelle ou bien le

    s’excusent qu’il n’y aura pas vivres pour les

    les frontières de Picardie et de Champaigne où le regiment du sieur Du

    les soldatz ne pourront patir ; et mon estat qu’on m’a reduict pour

    de m’en aider, suivant ce que j’en escriptz au sieur Alphonce

    ce XXIIIe octobre 1572

    à démanteler Lourioul. Je ferey fère

    rance que aussitost que ie arey fait les

    Monseigneur, je prie Dieu que, avec la sienne, vous doinct en

    quelque chose de nouveau, m’en advertir que

    parce que monsieur de Bonnevau n’y avoit pas grand

    Vostre très humble, très obéyssant filz et serviteur

    tuer yssy. Je vous suplie qu’il n’i aye nulle faulte.

    bateaulx. Je m’en seroie allé prandre langue de votre exellance

    par apparence, comme il a faict de présant,

    plairra m’honorer, je mettrey telle peyne mectre à effect voz commandemens que

    ce XXVII octobre

    vous prie le fayre quelques foys eoyr à ceulx de la ville par plusieurs

    l’estat de sénéchal et la moityé de la compaignye

    et à une lieue près de ceste ville, le quel si rendoit le lieu

    pourteur de la présente vous nommera ; et voyant que je l’en ay tiré en

    je vous y ay si-devant respondu. J’espère qu’il

    en ceste ville, et, pour vostre regard, qu’il blamoit et réfutoit

    escrips pour y aprandre les occurrences qui s’offrent par deçà

    bon ceur que je désire estre très humblement recommandé à vostre

    La Rochelle si mieulx l’on ne peult fère. Le roy part demain

    Monseigneur vous tenyr aduerty de tout ce qui se

    combien en voudrés retenir près de vous pour la seurté de

    roys avoyr des escus de reste et si je n’ay pas payé mes

    la despence qu’est la moytié de l’année. Vous pourrez veoir par

    firent faire si bon guet toutte la nuict qu’il ne s’en est

    ay escritte dudit jour, qui vous pourront escrire si monsieur

    qu’ils monstrent ne craindre rien tant. Vous verrés, s’il vous plait, la copie

    que chacun en est fort éfraié et ne fault pas

    lieux, pouvons certiffier vostre seingneurie et

    Laval du XXIXe passé qui, et mon nepveu de

    feust à Beaucaire par madame la contesse de Grihan et par

    fayre en ce une totale résolution car si l’ons ne veult

    présumption est grande contre luy qu’il scavoit qu’il y heust lettre

    feront entandre, et mesmes come il est bien nécessère de la bien

    icelluy toute ma vie acomplir d’aussy bon cueur que

    et à set androit, je vous supplierey resepvoir

    vous bonnes grâces, je prye Dieu,

    Vous très humbles et très obéyssans serviteurs

    que honny ad acheté à septe fouère de Lion, honny

    ce soyt chose nom espérée de plusieurs et pour

    que leurs magestés vous avyont escript pour nous asseurances

    tous jours sa majesté que cela s’entend, sur ce que vous veissiés qu’il en fust de [Bebras], lequel est aujourd’huy presque par tout ces quartiers. Quant

    novembre 1572.

    je vous suplieray très humblement commander qu’on le despêche

    qu’il me pourte de laquelle je me puis présentement ressentyr si tant est que je n’aye esté adverty quar l’on

    Monsieur, je suys desmasqué de tous costés et vous promectz que je n’y hey

    du faict contenu au bilhet inclus en la votre. La place que

    commandementz et à ce qu’il ne semble à quelques ungz

    votre très humble et très obéissant serviteur

    de cinq grandz coups d’espée, et tué trois gentilzhommes de sa compagnye, estant

    Ane Maugyron

    nous faict grâce, nous atendons une fort petite récolte. J’ay

    deschargé de ladite cotte, et ce faisant, Monseigneur,

    que vous leurs demandés pour obvier à telz inconvénientz.

    suivrey votre dict commendement et ordonnence. Je achepverey par

    je m’en veoys saluer voz bonnes grâces par mes

    quyl voyoit ung certyfficat il le leur octroyt. J’ey

    que il sont gentyzommesque il en doivent être

    Monsenieur, vous donner en santé bonne et longue.

    nuyt. Il est vrai, Monseigneur, que, quant au jour, il n’y

    pour toute la seance serè

    vye et longue. De Ventavon, ce IIe décembre 1572

    de Serre affin que ledit exercice y fust faict plus commodément.

    qu’ilz ont les ungs des autres, que bien facillement on les pourra

    plus d’occasion de se louer de votre conseil et de moy, qui tascheray de ne

    bientost guérison. Aussi, puis ne vous ay-ie veu que

    je luy manderay sans qu’il soit besoing de vous envoier aultrement la lettre

    heu le tens pour m’employer à l’instruction qu’avés

    faire tenir les terriers de Valsuanne et de Montromay

    gratiffier de tant mondit frère que de l’acompanyer

    prandre le mesme chemin que je foys. Cependant, Monsieur, quant les occasions ce

    De Paris, ce IIIIe décembre 1572.

    recevrez aussi tost celles-la que celles-ci. Pour la fin, je

    Vostre bonne cousine

    vouloys adviser, mais despuys on ne m’en a parlé. S’ilz le font, je vous

    baise très humblement la main et prie Dieu vous donner

    Monsieur, vous donner en parfaicte santé ce que

    Tout présentement, je viens de recepvoir advis, de la part de monsieur de Carces, qu’il y a

    Escript à beaucayre, ce XXIIIIe novembre 1572

    de Champaigne, qui aporte asseurance signée de la pluspart des

    despuys deux jours, il a mandé de ne bouger

    bien tard, monsieur de Cublezes parla à ung

    est conffinée en ceste perplexité, qui ne me peult

    Fizes

    mettre entre les mains du secrétaire de monseigneur le cardinal

    Votre très humble et plus affectionné serviteur

    vie. De Gap, ce IXe décembre 1572.

    Je les ay laissés ce matin en fort bonne santé

    je vous prye que par mesme moyen vous en faictes faire une levée de deux cens,

    costé et d’aultre se sont retirées, et à Gênes ont esté

    qui s’en sont aussy dispencés, m’enviant ladicte permission,

    Marguerite de Simienne

    dont il n’an n’a ancores nouvelles. Nous avons achepté

    comme vous me le commandés, à ce soliciteur de tout ce que

    mi pourtes. Je ne suis poin départy que

    Dieu merci et mesmes voz enfans desquelz vous entendrés plus

    de mon Dieu) que ie feray sinon ce que

    Clermont de Talard, qui me gardera

    de monsieur de La Roche de mes très humbles recom-

    le devoyr me le comende et ni veulx rien oblier si je puis et sur ce, je prie Nostre

    dye qu’ilz se portent fort bien et mes petis neveus et nièce aussi.

    ce XIIme décembre 1572.

    et longue vie. A Grenoble, ce XIIe décembre 1572.

    bien. Je ne vous dis rien de monsieur de Valance que l’ons pourroit alleguer car son

    de madame de Tournon suivant ce que vous me commandez.

    nostre religion qu’elle ne se peult saouller de visiter les religieux

    et alloires jusques à la rivière de Drôme ; et heussions

    que j’en auray. Au demourant monsieur, je n’ay pour cest heure

    le Créateur

    se sera ung pays perdu. Je ne vous en discoureray plus avant me

    Monsieur, heureuse et longue vie. De Chambéry,

    De Dye, ce XVe décembre 1572.

    au passage de La Voulte et ne lerray

    ce lieu et comme envieulx a changé par ces moyens

    de mesme à monsieur de Rousset et la lestre que luy escriviés. Il y a dix jours qu’il est [* à] Greignans, ce pourtant grassement

    présent pourteur, qui me fist entendre son despartement

    françoyses. Il ha esté quelque bruit ici que les affaires

    ladite compagnie de France que doibt passer par ce dit

    Votre bien humble et obéissant frère

    laisser revenir ledit sieur de La Noue, mais le veullent

    grande nécessité desdits pouvres comme nous mesmes, s’est offert

    dessus, que pour vous supplier comme je faict bien affectueusement

    vous trouvés quele ne doibve estre employée.

    quelques nuictz qu’il couchat avecque moy

    assurées que viendriés faire ces prochaines festes en ce

    à la vostre. S’il vous plaict, vous excuserés ce porteur s’il a

    Votre très humble et très obéissant serviteur et filz

    Vostre très humble, très hobéyssant filz

    très humbles recommandations, priant Dieu qu’il vous doint

    qu’il me la doint telle qu’il connoit m’être nésécère

    avec parfaicite santé. De Grenoble, ce XIXe jour de décembre 1572.

    de Montoyson, ce XIXe de décembre 1572.

    passeroit en allant à ladite Rochelle par le lieu de

    est venu fère un tour jusques icy pour fère quelques préparatives.

    esté donné pour certain, lequel je vous ay volu donner pour prendre là-

    Cela a esté cause que, ayant trouvé en Avignon monsieur de Rochefort

    d’aultre chose, j’ay commancé par ung cheval qui nous a

    hardiesse d’ouvrir de peur qu’il n’y eyt quelque chose de pressé.

    monseigneur, vous maintenir en santé, bonne et longue vie.

    qui est résolu de croyre conseil, soit pour le faict de sa conscience, soit

    selon que je suis advisé, ilz ne laissent pas de continuer, toutesfois occultement ;

    m’a fourni, qui est en tout six cent livres et quatre cent que

    s’il vous plaict, à monsieur de La Vopierre, lequel de longtemps il a cognoissance

    première. Pelin en ha heu XXV pistol et s’adressent

    Rousset, je m’asseure qu’il a receu toutes les parties qu’il luy

    m’emploieray par deça en tout ce que je congnoistray vous toucher

    au secours de noz voisins, oultre ce qu’est du service du

    Vostre très humble et très hobeissant serviteur

    de La Rochelle. Sadite maiesté a esté blessé à la chasse d’ung

    monsieur, vous donner en santé longue et comptante vye.

    dacion, qui vous donne

    devant. Madame d’Usès est icy puis quatre ou cinq jours, qui n’a rien laissé à la

    monsieur, en bonne santé et prospérité, très bonne et longue

    Votre bien humble

    moys de la présente. Vous regarderés si cela se rapporte à votre

    à laquelle je me recommande bien affectueusement, vous priant au reste

    confido nella bontà di vostra eccellenza, è gli ho sempre pregato cha faciono il contenuto della lettera

    prandre en patiensse le travail de

    dieu vous donner, M. de Gordes, ce que plus désirez

    vous plait, ce que ce que je luy escris, qui me gardera vous faire la

    leurs bien et quant jaurey bien cerché que je treuverès

    le comte de Vantadour me eyscripzr une

    requeste et poursuitte du roy à Metz, satisfaictz de sa maiesté ;

    de bonne tallye et duquel monsieur de Veynes a fort bonne opinion.

    vous escrire encores un coup avant que partir de ceste ville.

    ausi tost que lui à La Rochelle car il seiournera

    cœur s’employent pour votre servisse que moy ;

    y donner quelque esclarcissement.

    ennuyer, finieray la presante par mes humbles recomandations

    ne veulx fallir vous donner advis ayant cogneu questiés

    ma dict davantage, quil est venu l[u]y parler

    d’Evènes car il nen scait rien, mais il y a plusieurs allegations

    Mais dans deux jours ilz en sont tous retournés de

    advenu de notre lieutenant de roy. Je vous laisse à pensser

    pour leurs gardes ; et pource quil y a des nouveaux catholisés,

    dicelle. Je seray prest au premyer mandement de messieurs du pays. Jespère que le beau

    Pellous et moy que de les remectre et laisser

    année sans en faire poursuyte, nous vous supplierons, monseigneur, ceste

    et tout ce qui depend de moy et quant il vous plairra mhonorer

    monsieur, an très parfaicte santé très heureuse longue

    monsieur, en parfaicte prosperité, très heureuse et

    Vie. De Dye, ce 11 janvier 1573

    siège, Anthoine Argond nagueures procureur de cedit siège, Anthoine

    très obeissant serviteur

    Jay bien mis en advant à monsieur d’Evènes la difficulté que mondit

    Languedoc. Si cela est, ce ne sera pas sans que je nen aye bien

    les saisies de ses biens par votre seigneurye ordonnés et les

    monseigneur, que je prie le Createur vous donner

    demandent lamosne qua esté loccasion pour la

    ainsi que je faiz estat ; vous suppliant de me mander si celles

    monsieur le cardinal d’Amaignac comme monsieur ladmiral avoyt prins Terrides, et

    dabuz, lesquelz votre seigneurie n’eust tant et si long temps endurez

    autres nouvelles de moy et pour la fin de vous dyray que je

    monseigneur, quil vous doint en senté très heureuze,

    prendre le pourtayr et soun serviteur les que[l]s

    passée leur donner une extraicte. Attendant de voz nouvelles, feray

    que ladite place soit desià remise soubz l’obeyssance du roy, ne vous pouvant

    de pais votre sagesse par le bon ordre que avés promptemant donné

    Monsieur, en parfaicte santé, longue heureuse vie. De Gargas, ce XIIIe janvier

    très humblement et luy supplie de tout mon cœur vous y vouloyr maintenir longuement.

    d’hobéir à voz comendemens, si plaict à Dieu, tant quil me sera possible, pour le desir que jay vous

    le plus moderement quil est possible. Dautre costé, jay achepté deus

    de sa majesté, ny tant peu la votre, jay bien voulu vous

    de Tavannes [barré : cy] sy doibt truver. Monsieur le conte

    ces gens vous pourront esmouvoir à pityé, car on a bien peu desgart ou à ceux

    Votre très humble et bien

    vous a pleu me despartir de voz novelles, desquelles

    fist toute la dyligense que il pust pour

    nia chouse que meritte de vous escripre, sil nest

    verty. Et ne sachant autre chouze, je

    toutes chozes qui pourront venir en ma cognoissance

    très humblemant, ie prieray le Createur vous donner,

    de troys à quatre centz hommes. Je pense qui ne

    monseigneur, vous doynt en joye et santé le comble de voz très

    pourront aller à Montbrun, combien que ceulx dudit Condorcés m’ont

    Champollien

    recomandations. Priant Dieu vous donner,

    foys vous ay escript, obtenir lettres du roy de evocation de toutes

    et très bonne vie et longue. Du Montelheymar, ce

    pour tascher de mectre à effaict leurs desliberations.

    et très heureuse vie, presentant mes très humbles

    Votre humble ami et affectionné

    à une obscurité et attandant quil vous plaise

    je me doys governer, ce que vous priant me doner

    fère très humble service. Priant le Creacteur,

    qui mont esté vendus, faicte au paravant la mienne et

    qui nest que de sept à huict, la pluspart sont gentz

    pour recepvoir et satisfère aus commandements quil vous

    tout oublié. Quant il vous plaira de m’en faire part, je m’en revencheray à toutes les

    que mondit neveu mescrit, jay entendu leur bon pourtement et de mon

    majesté. Il me promet que vous serez

    les lieux quil vous plairra menpl[o]ier me treuverés votre

    moy mesme. Il vous fera entendre

    despuys les derniers troubles advenuz à Paris, outre ce que je en ay escript à quelques seigneurs dudit ressort que jestime estre affectionnés et fidelles au service de sa magesté,

    La Rochelle, desirant y estre accompaigné entre aultre dudit gentilhomme,

    fort marry. Que sera la fin, après vous en avoyr

    et aussi monsieur vous supplie pour ce que par les

    ayant hun perchur [= précheur] que a perché tous les jours. Yl set

    ledict yconomat on jouira des fruictz et ainsins

    deniers et les faire payer comme celles que jay faict lever dedeça,

    monseigneur, en parfaicte santé, très longue et très heureuse

    gouvernement de Prouvence, et celluy de Metz à monsieur

    famine au moyns si le champ y dure guières. Quant à moy, je

    venyr bien tout a près quareme prenans, je ne

    devalyzée se nomes madamoeyselle de Fious [Fions ?]

    pleu me despartir par les votres dernières de voz bonnes nouvelles.

    et icelles mettre avec les autres que je vous ay pour mesmes causes en ma

    de la lettre dudit sieur de Mandellot.

    Vostre très humble et

    de Mandelot lieutenant pour sa majesté à Lyon, et le mandement quil a pleu à mondit sieur

    supplyant Notre Seigneur,

    et aultant affectionné qu’à aultre à qui vous commanderés

    se sont remis ; et daultant que sa detention luy est

    Vostre très hunble et plus

    que joignant ses forces avec celles des Polons, [barré : il] elles seroyent redoubtables au Turc sans

    et jen dorrey ung tiers ou la moyctié devantayge

    serviteur

    à une cuisse devant ung chasteau nomme Gabian qui est près de Besiers. Monsieur

    de reduyre leur bien à la mayn du roy, si ce ne estoit la

    ne soyt eschue bien tost ferons tenir le tout

    mectroient leurs armes bas, et vouloient que la sauvegarde

    avoir faict quelque meilleurement à aulcune desdictes

    bien humblement priantz et requerantz vostre seigneurie qu’en continuation

    avoit eschapé les dangiers où se trouvèrent à Paris

    que vous puissez faire battre le tabourin et lever gens tant en mes païs de Provence

    d’habandonner votre charge au temps où nous sommes et

    ladite forest tant seullement, ayant pour cet effect escrit audit Maniquet

    que passer à travers. Monsieur de Monestier y leissa

    ce qui me touche. Je ne scai ce qu’il en doune.

    service, presentant en cest endroit mes très humbles recommendations à votre

    des arsenatz de monsieur de Savoye, et y user du debvoir que

    cardinal de Lorraine et vous envoyeray le tout

    qui est fort près de la ville. Je pense que cella [barré : la] les reserrera davantage

    travailhera aux tranchées. Jusques ici, lons a esté après à

    que mes soldatz ne sont pas moindre

    mon deseing λ [λ pour vous escripre] nayant sceu où en donner advis à

    à leur povreté et aux foulles quilz ont sy longuement sofertes ;

    a donné monsieur d’Ourche que vous viendriés bientost sa

    sans avoir peur et parvanture du daumage. Je crois

    Tavannes et luy recommander les affères de ce povre pays.

    gouvernement. Madame la comptesse de Ventadour

    chargés de marée sallée. Mais il est à croire que

    pour la seuretté du païs et en oultre pour toute resolution de ce que je desire mayder

    que je vous requiers par mes autres susdites lettres, vous priant

    monsieur en très bonne sancté, longue et hereuse vye, saluant voz bonnes graces et

    quant jen partey, quelle estoyt très maulvayse

    dargent, sil ne lui pourroit advancer partie de la somme la

    Je fis tant que jamenis monsieur de Bonnevaux

    de Chastelar, leur en fère part car il [barré : z] en sont en

    monsieur, quil vous [manque le verbe] en la siene très bone et longue [barré : lettre]

    à la Magdelène prochane. Je nay point de novelles de ceux d’Oranges.

    doibvent respondre par escript à ce que par le roy leur

    On me veult marier à ung homme de Valence

    une lettre audit sieur de Pierre Gourde quil me baille ledit

    Marguerite de Simienne

    Gibert

    monsieur vous supplieray me commander comme il vous plait que

    sentir eslogner que pour loccasion qui vous y attire. Laquelle je pris

    Votre très humble et obeissant serviteur

    qu’ils pourroient executer ; et si en oultre lesdits

    charge de mes affaires pardelà et que je m’en repose du tout sur vous, je veulx

    moy commander je vous obeyrey et cest daussy

    face[nt] retorner arrière, je vous [barré : ay] supplierey de

    ne faudrè à menaler et pance y etre ausy tout

    porrey, vous asseurent que la prinse du Pousin a fort escandalisé

    ledit arrest, lequel je vous envoye, ensemble

    esperant que cella aidera à plustost faire convertir ses subietz

    pour raison estant arrivé le jour, lon a recognu troys

    sa pauvreté aysé ;

    plus retenu à escire de telle matière, si ce nestoit que monsieur lauditeur Collombat ma

    nous commander votre volunté, laquelle actandant, pour

    jour de mars 1573.

    la muraille de la ville pour y entrer et nous surprandre.

    harsoir quil avoit perdu beaucoup de bons hommes dont il me monstra

    de votre gouvernement, lequel dit de belles choses qui concistent mesmes

    de Montelheymar font asteure milheure garde que de

    aussi qu’avés retenu les compagnies quenvoiés à monsieur le

    sil vous plaict et à vostre segneurie et pour ne volloyr

    Vous scavés monsieur comment il importe pour le service

    de telz pour garnison à ma mayson. Bien vouldroys je les avoir

    vous avez esté adverty, jay perdu quelques hommes. Mais puis que la vollunté de Dieu est

    ordonner quelqung pour la garde du chasteau dudit

    trouver quelcung de nous soubz pretexte de

    viennent sans armes. Sil vous plait adviserés en

    homme tout exprès et en diligence à monsieur de Gordes

    le cent à cens de desà que nous ne soions troblé commant

    intelligence sus ledit lieu de Pignerol quilz le tiennent

    exprest lung de noz consulz.

    requis de lacompagner de ceste pour vous suplier,

    a pleu m’escrire à monsieur l’advocat Dubois

    messieurs les consulz de la ville de faire accomoder

    Et s’ilz ne passent avant que j’aye les susdites

    le feroys pour l’importance de la place, qui me faict vous part pour

    fayre plus longues leytres. Athendant vous comandemens, je

    lettres que je vous ay escript comment monsieur du Pelloux a levé le siège

    nouvelles de ceste armée. Je vous suppliray donc

    moyns que leurs compaignons pour n’y avoir en mon endroict riens

    en court. Je n’ay rien de nouveaulx à escrire à ma mère ny à ma femme. Je leurs fis une despeche du

    enquis pour vous en advertir mais on ne bouge. Si je

    pour voir si je pourrois avoir autres lettres pour vous

    supplié me commander votre voulloyr pour icelluy

    suppliray très humblement que s’il vous vient occasion de lever nouvelles

    rapports qu’on vous a faict et que possible ne se troveront veritables.

    peut retarder an atandant de vos nouvelles.

    J’espère bien, Dieu aidant, delouger lundi

    en ce pays qu’il ne fust asseuré d’avoyr ung passaige

    me deplaist extremement que je ne puisse y prouvoir.

    où ils sont et feray escrire aus eglises de

    et aveques les aultres en nombre de cinq hou

    voloir escrire ung mot à monsieur le vibaly d’Ambrun pour en informer

    escrit faire information de ceulx qui tiennent

    dangers de souffrir incommodité des vivres. J’ay veu

    Jamays cest escrivein ne manda bonnes nouvelles le temps

    de Langes se delibère de vous y faire bon office comme je vous asseure

    qu’il fera tousiours pour le moins et esbauchera les matieres et essayera

    Chattillon soit en fort bonne volunté vous y

    tendant finalement à ce qu’il lui fust delivré et rendu. Et surce qu’il proposoit lesdits

    séior icy. Je me recommande très humblement à vos bonnes graces

    en scavoir de plus fraisches beaucoup que moy qui me

    de Malpeil, beaufrère du cappitaine Champpolion) que y alloyt pour

    faire se pourra des noms et qualitez de ceulx qui tiennent les Abbayes,

    poura parachever à ce qui est jà coumansé antre eux

    fesons très humble requeste à votre seigneurie veoloyr continuer

    de ceste ville qu’ilz ne laissent aulcune chose en arrière de ce que toche

    remectroit en asseurance la Provence, et le Contat, et encor que ce ne

    Bresse VII c[ent] boulletz de canon et soixante quinze quintaulx de pouldres

    patientement. Et pour la fin de la presente,

    escrivez du filz du comte pallatin pour favoriser le prince

    ennuyerey de plus longue lettre, ains prieray Dieu

    pardevers vous pour vous remonstrer

    le treuvés bon, je iroys voluntiers à quelque heure

    envoye pource qu’elle respond quasi ad ce que je

    vous suppliant monseigneur à ceste occasion qu’il vous plaise nous

    semblera pour le mieulx, et que savez estre ncessaire pour l’importance et

    ce VIIIe mars 1573.

    à la velhe de revenir à pis qu’ilz n’ont jamays

    asseurant que n’espargneray ny corps ny

    hier à baptesme la fille dont est accouchée madame de Bellievre.

    vie. De votre maison de Montoyson, ce IXme de

    ce me seroit ung grand soulagement et

    aussy par la lettre cy joincte dudit vibaly, les doubtes qu’il a pour le faict

    ce 9e de mars 1573

    vous bonnes graces. Priant Dieu,

    pourter les armes. Je me doubteroys fort qu’il

    moy et comander s’il vous plait que l’argent de mon payement

    qui estoient bracquez droict ausdictes Cabres pour les bien deloger de là et [barré : an] eusse

    envoyer par dela pour donner ordre à toutes mes aultres

    les compaignies par les conseulz de ce lieu avecques leurs aides, et

    qu’on cognoit estre espions. Toutesfois on ne les en

    Je suys d’advis puis que madite commission vous a faict oublier en votre debvoir

    fera entendre à monsieur de Saynct Chaulmont síl vont

    très humblement à votre bonne grace, je prie à Dieu vous donner,

    sarés bien pourveoir estant advertis qu’il ne vous mes

    pour continuer le traicté, ceulx de ladicte ville avoyent baillé des

    venent une occasion avec si peu de gens,

    monsieur, vous donner très bonne, longue, et très heureuze

    commander, ne voiant qu’il leur soyt aulcunement besoings de compaignie, attendu

    de faire ma compagnie que j’espère en peu de jours avoir achevée

    bone grace et supplie Notre Seigneur qu’il vous donne

    estoyt à cent lieues d’issy. J’ay des advis de tous [déchiré : costés ?]

    monsieur vous donner heureuse et longue vye. A La Borye, ce

    devers luy advant qu’il en part. Le roy a couché à

    de la poste du IIIe et Ve dernier, toutes deux à une fois par la teneur

    j’ay esté contrainct emprunter des particuliers de cette ville où j’ai treuvé si peu

    plus ample advis de toutes choses, je ne vous en

    point qu’elle ne me vouldra point voir qui

    comisair estably pour me conduyr iusque au

    par le conseil de mademoiselle de St Preis, ains seulement voloit passer

    heureuse vie. De Paris, ce XIIIe mars 1573.

    vous dire que toutes les nouvelles que je scaiche pour cest

    promist qu’il y seroict aller cent ou six-vingts arquebusiers du cousté de Vert mais

    ma dernière commant madamoyselle d’Ourche ma niepse

    tous ceulx de Bay à Valleane [Valence ?] hors le port et des molins

    et seroit bon que le cappitayne Chanteperdrix

    Monsieur, en santé très longue vie. De Chateaudouble, ce XIIII de

    Votre très humble et très afectionné

    très humble service et plus de pouvoyr et moyen de supporter les charges ordinaires

    eschappé moyennant promesse de payer IIIIm[ille] escus pour lesquelz

    Monsieur, vous maintenir en très bonne santé très longue et

    Mesieurs les consulz, vous doint en santé bonne et longue

    peine du recouvrement de leurs ditz enfans ; cepandant pour la plus

    grand freyeur. Il est arryvé encore quelques huguenaulx

    sa maison joignant aulx muralhes de la

    garde. Du Bourg d'Oysens, ce XVIIIe mars

    longue et eureuse vie. De Sainct Marcellin, ce XVIe mars

    son sergent à vingt cinq escus à ladite

    Monsieur en très bonne sancté très longue et très heureuse vie. De Grenoble,

    monsieur Bajoue, present porteur, veu mesmes quil a jà cy devant esté employé près de

    chose qui vous soyt aggreable, vous en fuirés

    ne bouger de sa maison ; et pour ce que la faire requier dilligence, jay suplié

    je face trouver à Sainct Jean de Laulne les

    non y a poinct dassurance. Ayant aultres novelles qui meritent

    ont remis les ambassadeurs des princes à une diette

    iespère vous dire quand iaray se bien de vous voir. Monsieur

    aller à vespres avec madame d'Ourches et monsieur de Bonevaut. Ilz

    de ces environs au lieu de Corp où, selon quil ma esté rapporté,

    garde, mesmes aussi causant la grand povreté quest en ce pays que se

    Madame de Gordes verra icy, sil luy plait, mes

    très houbeissant serviteur

    Monsieur, en tres bonne sancté, longue et heureuse vye. De Lyon, le

    Rafact auquel vous aviés donné commission de les

    cest effaict et aultres choses quil a charge de

    monseigneur, que monsieur de Rafat, commissaire par vous

    de Neufville

    comme je vous prye leur faire entendre, vous ordonnerez doncques

    Votre très humble et oubeissant

    Mar[s] 1573

    que leur couste beaucoup. Cela est cauze quilz sen vont vers vous

    ouy depuis parler des messieurs de Mures. Madame de Tournon

    Votre très humble et très hobeissant serviteur

    vous y donnerez bon ordre, vous promectant par la foy que je vous

    contribuables à la garnison de la compagnie de monsieur de Suze,

    monseigneur, quil vous preserve en bonne prosperité jeureuse vie et longue. De

    je luy advoys balhée, à cause des lettres que luy adviés

    par devers vous parse que monsieur de Moydieu veut fayre fournir à seux de septte ville

    affectionné serviteur Truchon

    pourvoyr avant votre despart de Grenoble; et sil vous plaict,

    pouvreté et bonne volunté quilz desirent continuer de

    serviteur Collon

    ie finirey ceste, salluant voz bonnes graces de mes très humbles recommandations,

    pour le regard desdites des mortespayes] faire votre volunté, attendu leur pouvreté, et quelle cy devant ordonné

    je vous ay bien voullu escripre la presente en sa faveur pour vous prier de faire

    priant Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa sainte garde. Escript

    [barré : le repoz en cedit gouvernement et empescher les desseings de voz rebelles mesmes] ce gouvernement. Jey departi ce peu de forces que jay

    ilz ont quelque intelligences, se promettant que le sieur de Monbrun sest levé

    et Sommayres où silz se veulent arrester de ça jey je

    bien averé le tout en faire faire par justoce une pugnition rigoureuse.

    priant Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa garde, escript à

    vous puis asseurer quil nen y a pas une en tout votre gouvernement

    quelques advis, mays non pas au besoing, ce quest leur costume.

    meust fallu faire sans la commodité du porteur, avec ce que je ney point de

    y aurez donné. Pryant Dieu, monsieur de Gordes, quil vous

    tant que desirez mon contantement que je veulx conserver tous ceulx qui ont

    Caterine

    ne leur bienne secours de Genefve et Berne, Entre cy et la y aura moyen de

    aura entendu par le seigneur de Montbasin quil a despeché vers Elle

    Henry

    faict au paravant], sans que jamais il se soit

    pour moy le frison de feu monsieur de Collans au

    capitène Baron quil se souviègne de moy

    Vostre bon amy

    tousiours daultant plus doccasion et moyen de se contanter de me bien servir

    offert à vous faire plaisir et service, je prieray le Createur

    le payent, soit d'Esglise, nobles ou [écrit au-dessus de : et] comunes. Je pence bien, sire, que monsieur

    pour les causes et considerations susdites, faire tant de bien et aumosne à sesdits veufve

    payée comme les autres. Au demeurant, sire, les affaires sont en memsme

    avez estimé estre le plus gracieulx pour entretenir voz gens de guerre

    henry

    moyen luy mander de les licencier pour sen venir en cedit pays où elles sont [barré : trop plus] très

    dict quil a veu despecher la commision. Sy jay

    si est ce que je me doubte bien que ceulx de Savoye [barré : vous en pourront] pour leur

    de Sr Nazère et La Saulve qui mectroent ce pays

    Charles

    mays pour estre la faulte desdits prisonniers grande et de pernicieux exemple au repos

    subgectz. Vous les y conforterez en tout ce que vous pourrez, leur faisant

    faict faire feuz de joye et autres demonstrations dallegresse les plus grandes dont je me

    fidelité, je len remercie très hummblement et ne

    juing 1573.

    comme ilz ont faict cy devant] silz voyent leur beau jeu, ilz ne fauldront point dy entrer.

    dire par ce mot que je finiray en priant Dieu, monsieur de Gordes, quil vous ayt

    en ensuivant voz commandemens, je me tiens le plus fort], que jestime ilz observeront.

    de quelz je pence estre secoru et entre autres de monsieur

    mestoyt venu trouver avec son equipage, mais, à cause de certain procès

    pour lexperiance que jay de leurs meffeances et deslouyaultez. Au reste, sire, me

    service et vous si saige que je croiray tousiours que vous accommoderez très bien

    voz commandemantz, ung chascung est promp à y hobeyr ; et survenantz

    vous prye, sitost quil vous aura faict scavoir mon intention, la suivre

    puis asseurer que le païs ni espargne aucune chose,

    prins et mis, et le prendz et mectz, ensemble tout ce qui luy apartient

    ny faire plus grande demonstration de bonne volonté ; et daultant que vous scavez

    gouster lutillité et prouffict quilz se doivent promectre dudit eedict, lequel ayant

    esté dadvis affin quilz se disposent daultant mieulx à mon intention de vous

    où besoing sera, faire au plus tost procedder au recouvrement desdits trente mil livres,

    par delà comme elles sont ailleurs. Vous userez en cela

    asseuré que vous n’aurez obvié à leur representer dextrement et vifvement

    ailleurs ; bien vous diray je que le roy, mondit seigneur et frère,

    despeché de la part de monseigneur le prince d’Orenge devers le sieur

    semble quilz la veulent ambrasser. Le temps en decouvrira la

    mesmes par les escuses que faict Monbrun par sa lettre et quoy quil

    et plaindre, priant Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa saincte garde.

    pour veoyr commant ceulx de Nismes et du Languedoc en useront

    lesquelles il fault gracieusement recueillir, esperant comme ilz

    je vous prye de rechef, comme vous avez tousiours esté soigneux

    Vostre bon cousin,

    à mondit eedict et ne contreviendront à icelluy, si vous congnoissez quilz

    et quoy quilz demandent ledit delay pour attendre

    Vostre bon amy

    de neufville s[ecretair]e

    prendre prisoniers, exiger impositions [lettres barrées] renssons et courre

    daultant que vous desirez me faire service à Grenoble, dambrasser lexecution

    sceu mieulx fère pour le soulagement de ce pouvre

    je vous prye, daultant que vous desirez me faire service agreable, d’embrasser

    votre magesté que leur accordant ce quele trovera bon que

    Fisses

    riens pour ceste heure, mais les depputez de Languedoc, tant catholicques que

    voz bonnes graces de mes plus humbles recommandations

    Vienne des sytoyens et habitans dicelle et

    passaige pour entrer en votre gouvernement, ledit sieur conte nous a faict entendre avoit

    faict pour le regard des gentz de guerre allans par les

    Amy

    deffailhantz ou partie dycelles lons ne peult tenyr ledit

    Brulart

    exhortations qui nous sont esté faictes de leur part pour y parvenir. Nous

    à lenterinement de certaines lettres royaulx en

    compaignie n’ay sceu faire aultre chose que d’evader la main

    magesté ayant seu ainsi par le sieur de Ferral, sont ambassadeur prèz

    Allex : VIm p. VI p. v. –

    tiennent pour laccompagner à Coursas, maison de sa femme

    avons mandé faire alte, attendant votre commandement. Il vous plaira avoir

    obeissance. Et nestant la presente pour autre effect, je prie Dieu, monsieur

    mieulx que moy mesme pour la poyne quil vous a pleu prendre

    Votre bien bon amy

    Xbre [1573]

    tous les molins à unne lieuue à la rounde, tellemant quil ne

    souldart pour les recongnoistre. Il est veneu à ce soir

    qui nestant entretenus, seront contraintz sen

    dudit lieu, illec estatz tous assemblez pour la reddition des comptes

    quelques afères dimportence concernant le service du roy et

    où ilz le vouldriont entreprandre, nous, à ces causes, pour la

    ne soit retardée, si vous vous concentez de ma responce faictez aux articles

    ores que soubz le nom de tribut pour Chippres,

    estoit content que deux gentilzhommes se transporteroient à Pommerol, lun

    chargez la plus part, de vivres et munition de guerre et que pour la veoir

    qui ont la repputation de bien sacquicter de

    Daultant quelle est vefve et pourtant tenue entre les personnes

    est son cousin germain. Nous avons aussy estés

    choses en l’estat qu’elles estoient avant ce desordre ; duquel bon office

    sans la cavallerye ordinaire le cappitaine Bonyer : C XX hommes

    Bourgogne à Chambery et ycy, soit pour attendre

    encontres et le mender es et se rompre le col ny a

    mectre une eschelle, est necessaire de lever ung peu ladite

    necessaires pour faire fère des pallichons pour

    les galères de Cecille. Ladite armée est venu du long de la

    Ladite armée est venue du long de la coste de Tuscane, jusques à Lyvorne et de

    me denyer ce qui mappartient, mesme que vous avez

    Francoyse de Foix

    prier le Createur vous donner, monsieur de Gordes, ce que plus desirez. A

    lesquelles sont en partie contre la court et partie contre vous, car il fault que je vous

    plaict me despartir de voz nouvelles, je les

    votre humble et obeissente

    dernier, sur lequel monsieur le tresorier de lespargne ma tenu court de

    sera opposé en rien qui vous touche ; quest totut [sic]

    sante ceur

    monsieur, croyre que je ne vouldrois faire chose qui me prejudiciast

    ordoniés comme il vous plerra. Et pour vous faire cognoistre

    en faire la response par le gentilhomme que monsieur

    que je pourray seiourner encore quelques huict jours passant par la court, et puis je voys

    houquazion vous douloer an ryen de nous et de

    très obeissant serviteur

    vous doint la sienne, acompaignée de longue et

    doneroit à entendre locasion par laquele vous le recher

    Revol

    capitaine La Casette. [barré : Et naiant] Je seray icy

    en une aultre maison pour changer dair, à cause

    et esperons les trouver à Salon ou à Tarascon.

    bon cœur à votre bonne grace et pryeDieu quil vous

    que quelque chose de sinistre ne se peu entreprendre

    et prosperité, très bonne, heureuse et longue vie. De Lion, ce

    plus satisfaict ailleurs ne tant que en votre

    service, j’eusse bien delaissé touttes ces remonstrances là pour y satisfaire ;

    maulvayse augure. Au demeurent, monsieur, puys

    quictances. Et pour le regard de la toille, jen doibs

    voyage, dautant quil men a recherché et tient lon

    avant le quinziesme de septembre et ainsi me la

    donner

    très humblement en advertir leursdites magestés adsellast que ne

    estre le XIIe septembre. Pour le premier, en parlay hyer

    Pour jamays service

    Vallence, ce dernier jour daoust 1571.

    larmée d’Espagne pour la longueur des lansquenetz, lesquelz lon na sceu ny peu pour

    Jey presenté le vin que me commandates

    Votre très humble et très obeyssant

    ma deliberation, qui est de membarquer sur

    que je ne say lieutenent du roy en ce reaulme que de bon

    il hiestoueyct demeuré, ne leyssanct pour rien afer ses afayres,

    monsieur vous doner en santé heureuse et longue vie

    nombre que besoing sera et bon vous semblera pour aller la nuict avec

    boys, estans prestz dy laisser les chastaignes

    les changer de moys en moys de logis, lequel changement le

    notre seigneur vous donner

    et contente vie. De St Gervais, le premier settenbre

    fera tout ce quil pourra pour recommander lesdits pauvres catholicques qui y demeureront,

    mais je ne le puys croyre. Je luy ay escriptz plusieurs

    Monsieur bonne santé, heureuse et longue vie. De Suze, ce 2me

    obeyssant serviteur

    les consulz de Pierrelatte

    Votre très humble et hobeyssant

    par [sic] retif. Sperendieu ma escript que ma trouvé

    quavés ordoné pour les chateaus de Montelimar et Crest, les

    et qu’on tient le mariaige pour faict. Les aultres doubtent

    Du Thouvet, ce IIIIe jour de septembre 1571

    vous ne coumanderés jamès à personne que

    ennuyeuhé de plus long escript, si ce nest unne

    aux despans des rentiers. Je vous

    faire raccoustrer lescuyère, mesmes les

    En troysiesme instance comparut madame de Vinay, [barré : aydante par]

    deus par monsieur et ma damoyselle de Riberas, je suis davis

    pour bailher la colleur mettre à voz vins que

    deulx et prometerès le rendre au sieur du Chatelars qui e[s]t en court,

    serviteur

    monsieur, que en sainté vous done longue et eureuse vie.

    semeines et passer son iver à Molins. Il est arrivé ung anbassadeur

    afin que nen fussiez en plus grande peyne et

    comme jeusse faict si jeusse treuvé le contraire,

    que je vous puis escrire pour ceste heure, après mestre

    que Bernard a appourté de Lyon sont veritables, il y en a qui ne fauldra

    Monseigneur, nous n’avons point achepté de toyle

    monseigneur, en perfecte saincté, bonne et très longue

    madamoyselle de Thurenne. A ce que jentens, il est bien

    Monseigneur, je seray en cella et tout autre chose actendant votre bonne

    VIIe septambre 1571

    é Dieu

    Votre très humble et à jamais

    et [barré : mesmes] mesmes que je laisse de Personnas que scaurra donner

    recommandations à vous bonnes graces

    De Marseilles, ce huictme jour de septembre

    loccasion susdite avons proposé en reservant tousiours sur le tout

    Monsieur, vous donner en bonne santé prosperité, longue et heureuse

    Voz très humbles et obeissans serviteurs les commis

    que mectre deau, comme je masseure

    d’A[p]t net ancore fet. Je prye Dyeu que vous doné

    deça, priant Dieu nous y veulle maintenir et vous donner

    à Marseilhe. Je prie Notre Seigneur le ramener

    icy, jusques après vandanges, que lespère vous

    Vostre très humble et plus obeyssant

    à Dieu vouz douner

    et sil ne vous plet, lon porra remectre

    derrier[e] moy qui neut demandé mieulx, changey propos et

    de ma part pour mexcuser de ce que demain je

    On m’a bien aseuré que à Tournon, y a fort

    trop insupportable faix, vous suppliant très humblement prendre

    dorayson

    de ce que ma dict le gentilhomme susdit, afin quil vous plaise

    de ce que ma dict le gentilhomme susdit, afin quil vous plaise

    car vous scavés comme un peuple qui na jamais

    Serviteur

    avoir par voz actions tant recongnu de meriter en vous quil

    des letres obtenues par Les Diguyères et aultres de la

    et longue vie. De Grenoble, ce XVe septembre 1571.

    pour luy. Vous mescripvés aussy quactandiés monsieur

    Votre plus humble et affectioné

    heut falhi le dit voiage et quil heut neanmoins

    moys. Ilz apportarent pour vous douze cens dix huict escus sol et dix

    recouvrer de tortue, mais n’en ai

    recommande, priant Dieu vous donner

    mesmes au château d’If de douze cens francs de mon estat et de

    de men excuser le plus honnestement que je pourray

    monseigneur, vous donner en très bonne sancté, très longue

    Voustre très humble et plus

    Je nay encores point heu de responce. Je ne scay quilz

    monsieur, vous doner en santé heureuse et longue

    la presente qui escheoit au XVe doctobre, vous

    estranges monarquies contre les edictz de sa majesté disposition du

    pource quil craignoit tant la mer comme il faict.

    diminua auculnement le sien, ains seulement de vous

    sr Yvonnet, ma faict responce que sans votre noveau commandement,

    je supplye le Createur vous donner en parfaicte santé très heureuse

    aussy de demeurer en voz bonne sgraces,

    aussi que toute la mayson de Saincte-Marie

    parlé. Il dict que Famanguse est prinse, ce que je ne croys.

    je ne vouldrois prandre ceste hardiesse, je vous supplie bien humblement

    Saynct Ysmier, ce XXI de 7bre 1571.

    iour pour aller à Vallanse, acause dun chanoine qui

    pourta madamoiselle de Bonrepos d’Esteville audit lieu,

    qu’il demandoit pour attendre ladite responce. Estant audit

    cardinal, dune ciatique à une jambe. Je vous remercis très humblement

    à monsieur de Rocoules, je ne fairay le presante plus

    Boniveau

    receu de monsieur de Langes. Jescriray à mon frère touchant votre

    et ne croy pas que le pretendu proposant leust prins

    Quant aux substitutions à voz aultres enfans pour le regard de ce que leur est laissé

    pour fin, après vous avoyr presenté mes humbles

    remettons le tout pour vous en adverty bien

    vin VI potz

    enfans du brasseau, tellement que plusieurs desdites

    et au dessus : « A messieurs les commis des estatz de Daulphiné »

    advis toute provision necessaire en cela telle que

    mesmes observer par les lieux de leurs destroys et gouvernemens,

    le dict sieur Du Vant de vous adverttyr de tout

    Mondit seigneur de Gordes les menace de mesme peyne.

    verroyt en bref, dont par le lyon est signiffyé la ville de Lyon, et par

    quant ilz sassembleront pour partir, mays parce que ladvertissement

    leedict des petiz seelz ; celuy aussi des procureurs ; rendre à la ville de Grenoble son

    soit relaxé et que ainsi quon fera dudit marchand d’Ambrun,

    que tout allye bien et que ceste France ne sante les mesmes misères que

    fille qui est à la rayne de Navarre ;

    Esperant vous aller fère bien tost service, finiray le presente

    frère et, selon quavec luy adviseray, au père, et par ma

    quil n’apporte pas grande esperance de paix contre ce

    de Champagne à ce quil ne fut plus manyé des gens de guerre

    adverti de deux ou trois coustez et mesmes par deux

    à votre volunté comme jespère en plus grandes occasions le vous

    faicte par N[otre] S[aint] Père pour vous en prevaloir et liquider ladite moictié le mieulx

    environs ou bien, sil vous plaict, à la part quil vous

    le tout fut prins en terre du Contat dans la

    prie Dieu

    aultre chose de noveau à present, finirey

    je me recommande très humblement à votre bonne grace, en

    fin, je prieray Dieu vous donner

    doulceur à son obéissance. Dieu luy en fasse la grace. Et changeant de

    et sil vous plest, lon commansera à fère ledite crotte,

    rebatra rien de lafection que jey au servisse du roy ;

    quelque resolution. J’ay depuys aprins quil est bien vray que le conte de

    est mal propice pour surcharger le pouvre peuple daultre nouvelle

    et diligente solicitation que lon vous assignera de la somme de

    compagnies de monsieur de Glandage et du cappitaine La Colombière, dont

    Valence comme iattendois [barré : jall] à la porte de la chanbre du roy avec monsieur

    on[t] veu votredit affère et lesquelz sont les premiers et

    de La Tyvolière, feust commys le capitaine Expelly pour le faire desmolir et desmanteller

    très humbles recommandations à votre bonne grace,

    vie. A Voyron, le dernier de janvier 1574

    amplement, faisant fin de la presante, après vous avoir

    Par edict du roy Françoys second donné à Saint Germain en Lhaye le XVIIIe

    quelle se preparoit luy faire. Monsieur mon gouverneur a

    quelque chouse pour moy pour, à ladvenir, avoyr

    de parolles dictes par un peuple esmeu comme vous povés

    randue à votre première commodité. Je vous direy au demeurant monsieur, comme jay receu des

    quelle se preparoit luy faire. Monsieur mon gouverneur a

    très humbles recommandations et prye Dieu,

    de monsieur de Veynes [i.e. : Evènes] auquel jescriray ung mot de

    en santé ung si sage et advisé segneur que vous estes, la

    aura affaire à des gens bien oppiniastres. Beaufort

    bien remparé et munitionné. La compagnie de monsieur de Turenne et de monsieur

    Fustier

    monsieur de Gordes et de vous, ie finirey ma lettre, me re

    de trente deux et la plus grande partie de

    et y a voir mys le roy d’Espaigne ung plus gracieux.

    civilles ; et que le peuple, à mon advis, ce despartira de toutz complotz sinistres pour randre lhobeyssance naturelle

    quelque petit ressentiment de sa fièvre avec vomissement de quantités de fleumes.

    a prins la charge den parler à monsieur de Granieu pour venir

    serviteur g deportes

    en la ville, nous eviterons les entreprinses des ennemys,

    nont trouvé ledit Bolut, ayns seulement Marye Vincente

    Votre frère et très humble

    de la aulte justice ; et ledit Claude Estallin et

    si on veult relacher celuy quilz tiennent à Mens et le

    mareschalle est ors de sa fiebvre et son

    a esté autres foys aux predecesseurs de dist Tancy et longuemant

    mon seigneur, ne imputer la faulte à moy

    et quant aux muralhies ayant osté une partie

    monsieur de Laborel qui la vous aura fayct veoyr, je ney volu laysser

    soldat qui estoit avec les ennemys quon appelloit Gourdes, qui estoit votre [barré : fief] subiect, ha esté tuée.

    sen fera ung arrest, soyt de la veriffication ou renvoy,

    de sortir hors de nos portes, et par consequant, faire le service

    mais daultant que depuis notre accord ses hommes ont couru et faict

    en rendant conte et pres[en]tant le reliqua du maniement et négociation dicelle

    Jay nouvelle quil estoit à

    faire nouvelle ; et de coume monsieur de Chastellaret, ce nest

    mesmes avant que mon estat feust dressé de lannée presente,

    servytur merieu

    de mectre tout au feu et à lespée, disant quà ce

    que sil estoit necessère davoir dans ceste

    envoyons pour mieulx entendre votre volunté ; ausquelz avons

    que je ne pensois pour la grand habondance des nèges

    entre lesquelz y sont tous les gentilzhommes de leur party. Ledit espie ma

    en advoyt point, pource que le dangier est à

    si les communies sont employées, elles porrons fère quelque

    les consulz de Crest

    vous expedier. Il ny a chose en vous affères

    Si que aprandz aultre choze, je vous en advertirey tous affères

    lettre que men avoit escript le seigneur Carolo,

    à [barré : Ger] Chorges, ayant entendu quil y avoit quelques

    ne sont encores venuz pour prendre leur legal que je leur payerey.

    de quelques forces pour la garde de Ventavon, vous

    De montmaurancy

    de quoy je les faiz vivre despuis que je suys arrivé, lequel

    Honorade deurre

    fère, attendu limportance que seroit dudit lieu

    Votre tres afeccionné à vous faire

    de della ce seroit bien le comble de noz malheurs estoint par ce moyen le pouvoyr au roy de getter loeuil da [sic] celles de

    Jespère en Dieu que ce ne sera rien du tous et

    Balme à propos pour larrester, sans quil se doubtast daulcune chose pour

    de febvrier 1574.

    à la mort dung coup dallabarde ledit

    apprès avoyr beysé les maiens [sic] de vostre seignorie

    paistre. Sil survient quelque chouse soudain, vous en donray

    où ilz ont jà attenté deux fois depuis ung mois. Je diray oultre que les lieux

    serviteur Truchon

    sauroins iamais tirer, qui me faict vous suplier de

    proveoir, comme trop mieulx scavés, que reviendroit à dommage à votre maison

    vous suppliereyge très humblement quil me sanble que lon vous

    taché de conduyre ce faict le plus secretement quon

    lon puisse aseurer, cy nest que Herar cest mys dans

    avecq eulx. Il y a ung gentilhomme de Corp qui sapelle le cappitaine

    pour lenuye que jay de veoir madite dame contesté en son

    verrons que ferra[barré : y] monsieur de Maugeron en ce voyage.

    labé Gadaigne de Leies le roy de Poulongne qui ladvoit

    fort à troys luees [sic] de Montpellyer nommé Monferrand ; neanmoins, ceux de Nismes promectent à monsieur le

    où ilz le tiennent prisonnier. Et ledit Redont le mesme jour mist les huguenotz

    le tout vous plairra si le trouvés bon, nous envoyer

    la bonne souvenance quil vous plaict avoir de moy et la poyne

    jours auparadvant ilz avoyent heu par composition mille

    votre service en ce que je porrey. Ilz me menasent

    par les notres sans quon puisse inculper que nous aions

    necessaire et y [barré : du] deputerés celuy qui bon vous semble.

    accorde pour les arrerages de vous estats dont lons

    advenues. Parquoy, monseigneur, je vous

    la rendroit plus mallade, se resouvenant de malitié, biens

    Daulphiné.

    heureuse vie. De Grenoble, ce Xe fevrier 1574.

    que lesdits de ceste ville ne font guière bien leur

    en sera par ce moyen daultant solagés.

    en sera par ce moyen daultant solagés.

    avoir esté esclarcies.

    que luy a escrit monsieur le premier president par lequel

    Vostre très humble et plus affectionné serviteur

    ampeché et ey retiré mon argent que javès fet aporté par

    pour le messagier, car autremant je ny envoyerey

    faict duquel il vous pleust me respondre par votre precedente lettre de

    me faict entendre le desceing quil a prins des enemys.

    receu que la peyne. Elle vous escript pour responce à celle que

    à vostre bonne grasse, priant Dieu,

    lordinaire de mon filz de plus dung an, sauf toutesfoys à mieux le voir par son conpte.

    Votre très humble et très obeissante fille à jamays

    prieray me tenir en vous bonnes graces,

    affectionnées recommandations à leurs bonnes graces.

    mes humbles recommandations à votre bonne grace, quil vous

    monsieur en parfaicte santé, très longue heureuse vie.

    qui se disent envoyés de la part dudit sieur de Mombrun,

    affectionnées recommandations à leurs bonnes graces.

    une letre pourtant comandement du roy au comissère

    [barré : an bonne santé] sains et dispos et vous doint,

    à Grenoble, les responses sur le cayer. Le roy sest trouvé ses

    passé par Barcillonne, sen allant à la Val d’Angronegne

    pour la garde, ne sont que païsans et poinct ou peu armés et

    Retz, president Birague et Mandelot, lequel, à ce que jay apprins dudit seigneur Maugiron, en avoit desià donné advis à

    oppinion de Mollines et aultres quilz ont qudit lieu, extrangiers

    suis appellé de ceste santance et

    et diligente pour [barré : vs] fère argent. Ie suis après à fère

    Jey escript deux lettres. Lune à mon seigneur de Valence ; et laultre à

    par les hugue[n]otz mesmes par le capitaine Cadet quy

    qui se sont ainsi eslevés et sans la force, les decretz de la justice ne se

    et plus grande partie eulx et leur famille

    discours, ancores que par la reponse que jey fait à vos premières

    de procès et infinité daultres jalousies peuvent

    que je vous ay escript assés amplement par ma dernière lectre

    volunté de lestat, et de votre quictance que vous me pourrez envoyer,

    paix, toutesfoys quil se rapportent sur la deliberation de monsieur

    que conoistra le pouvoir que vos com=

    Savines, lequel mescrit qion luy demande mil escus de rançon et ung

    et neanmoins lons depeche ledit Chatel exprès

    luy a dict que la charge et le commandement dattaquer

    et les moyens [barré : que] don monsieur de Mandelot vous pourra ayder dartillerie

    bruslé ou bruslent tous les jours ce quilz nont volu porter

    monseigneur, vous voloir conserver en très bonne santé longue et heureuse

    du roy, de qui je ne vous puis dire, sinon que lon parle quil s'aproche

    auquel St-Crespin, ilz prindrent tous les vivres qu’ilz trouvarent pour vivre

    aulcunes nouvelles de la court qui merite vous estre escriptes

    le ceur segnera aux genz de bien de voyr ung

    que le faict n’a succedé comme elle desiroyt, vous suppliant croyre

    quil ne nous donna asseurance que pour ce mois et des deux mois

    de fevrier 1574.

    au jambes dun bon et fidelle soldar pour luy fère encroyre

    se sont assemblez à Chorges avec une troupe dautres

    debvoir. Je vous prieray aussy, monsegneur,

    vismes quilz font samblant de se remasser pour donner

    Quant à moy, je les prendz comme je doibtz, si esse que je ne laisse

    monsegneur, vous avoir et tenir en sa saincte

    du don que le roy a faict de la plus valleur de la terre de Jaunaige à monsieur

    à Guisans, mays il ce fault asseurer que silz font ung bruict, que cest tout le contrepiet du dessain quilz [barré : executeront]

    du Mazant et par leur commandemant

    pourtant au lieu de Marsane où

    quilz ny ont pas beaucoup de gens pour

    Claude de Turenne

    de monsieur de Brianson qui lavoient prins,

    Ilz sen sont despartys environ troys

    Pertuis Roustaing, comme aussi font ceulx de

    que la plus part crient à la faim et nont

    premier mandement quil auroyt de messieurs de la court et de moy

    car jay ung aultre serviteur pour les aultres, tellement

    ensemblement fère tout ce que nous pourrons pour

    mal armés come nous ont dict les consulz ; toutesfoys,

    presens et assurés que dicy à dimanche prochein

    en fin lon y envoye des chevaulx legiers italiens et quelques

    Votre très humble et fidelle servyteur

    serviteur,

    descovrir de leur nombre ce|r]tifié par monsieur de Varse si lennemy passe[barré : nt] dans la

    ce que je vous puis escripre, après avoir prié Notre Seigneur vous

    Tivolière de quelque nombre de gens de pied avec une partie de la cavalerye

    le povre laboureur de leurs contributions et destrousser les marchans allans

    Goubert et six de monsieur du [barré : Monestier]

    executer plus aysement leurs desliberations, ne pourtant aulcune marque dennemys, sachant bien les endroictz pour

    toutes foys leur en avoir voullu payer que pour janvier et

    nombre de leurs forces, tant de pied que de cheval et leur

    Le comte d’Agaiasi [de Gaillasse] ne sest trouvé à la court à la

    sera rien. Quand à mes affaires, iay donmé [sic] quelque coomancement

    notre bonne et vertueuse mère, madame de Caseneufve,

    de conseigler au parlement de Daulphiné pour monsieur Vincent,

    monsieur, en parfaicte santé longue et hereuse vie. De

    prierey Noutre Segnieur pour fin de la prezante qui luy plèze

    Ilz vous escrivent là-dessus leur intention. Mesdits sieurs

    quilz prethendent admener pour nous venir assieger.

    compagnyes de gens de cheval comme celle de messeigneurs

    serviteur monestier.

    fauldrey à vous hobeir en tout ce que me

    Bourgel

    lesdits mandements ne les levent de toute la somme dudit domaine vendu [barré : lequel]

    vous en ferez à sa majesté afin que j’en face de

    affectueusement à votre bonne grace, je prieray le Createur quil vous doinct,

    de fevrier 1574

    aucun avantage pour la jalousie, laquelle est entre ledit sieur

    my en doibs aller. Monsieur de Sauve en est

    desdits ennemys, lesquelz, comme jay esté adverti, preparent et

    considerations qui ne se peuvent bonnement escripre,

    sommes en ung estrange temps. Quant à largent duquel

    telle novelle pour nous garder de surprinse. A quoy [barré : à] votre

    et procedures que vous plairra y pourvoyr, tant de

    que ces deux jours passés, jey esté à Laval veoir de voz

    à Valance et par là, en passant à Romans, ledit sieur[barré : Du]

    a prins le chemyn du costé de Chorges. Je ne scay quel peult

    avec une troupe de mes amys que jauray près de moy et reposés

    peu mal, mès que ce nestoit rien et me mande quil veult

    je fuz arrivé, on me compta les particularités du baptiser du

    nous satisferons quant il vous plerra le

    le sieur de Monbrun pour voyr de fère quelque bougne

    y aura quelques pacquetz prins et il vous plaict men

    De Crest, ce XXIIIIe febvryer 1574.

    tout temps à aultre chose qu’à seditions et prendre quelque petite occasion que ce

    sont dedans dix ou douze à ce que ceulx de

    incontinant audit Allez là hoù estoyt ledit corrier et a faict

    de soldatz pour quelques jours et vous

    quil me sera possible et [barré : le] suivant ladvis de ceus que je penseray

    château que de la vile ou sil vous plaist i envoier une,

    aucune quavallerye, mays bien dise il quil leurs

    de noz ennemys de toutz coustés, nous vous supplions

    de mes bien humbles et affetionées recommandaution à vostre bonne

    ailleurs, auquel cas monsieur du Vaujany porroict remedier

    prisons à tous deux, que fust cause quilz ce sauvarent

    Votre très humble et plus hobeissant

    en priant Dieu de vous donner,

    vous donner,

    monseigneur, [barré : nous] supplierons Dieu vous maintenir en sa

    tenue des estatz pour avoir eu les peynes qui me sont intervenus

    retirer par le Bourg d’Oysans, apprès avoir

    nayois estés guyères endormyt despuys que nous heusmes

    se darnier febvrier 1574.

    trouver le Flamand en ceste vylle pour noblier ce peu que

    monsieur de Faix est allé à

    cellatte he di piu chomo io spero senza fastidio

    vostre très humble et très obéissant filz

    moys pour chascun d’eulx. je vous supplie m’escripre si le trouverez bon.

    et en seront de plus reseante mémoire. Touchant à ceulx

    crains bien fort que par dela n’aiés bien des afères, ie

    nouvelles que j’ai du cousté de Gennes que trouverez cy

    et quand il m’asseure que icelle rente est aussi bien recouverte

    XVIIIe, ie m’en fis ouyr au conseil comme ie en ay solicité

    qu’il vous envoye. Néantmoins par ceste dernière

    demain, guerre généralle. Si scay-ie de bonne part que les magestés très chrestienne

    ou, si j’ay moien de vous faire service et qu’il vous plaise le

    bastiment de Charleval et courre le cerf en la forest de Lyons pour huict ou dix

    ce que ledit évesque n’a seu. Monseigneur de Guise m’a monstré des lettres escrites à Venise du XIIIIe

    au roy et de ce que vous y pourrés avoir de forces

    ministres, dont monsieur l’évesque d’Age, au passage qu’il fit dernièrement

    ausy, il me samble que ie prevois non moindre

    mandés pour lesdites nopces. Le cappitayne Autefort a promesse de Monseigneur qu’il comandera

    Monsieur, vous conserver en parfaicte santé,

    gouverneur, le vous amiablement remonstrer et à sa faveur

    puissiés bien tost faire de mesme de Bully. J’ai receu

    Monsieur des Adrés a opinion que le roy n’a pas dicté de marchant

    pour y pourveoir ou de la calumie pour n’alterer ses

    scavoir pourquoy, s’il n’est que ce feust pour

    pour le proffit d’icelluy, il me requiert

    de l’agression que m’avoit esté faicte, il a faict mectre en prison

    Adrès. Que sera la fin, après vous avoir

    une fort belle compagnye, laquelle en peu

    dans ma bourse par de la car, soit que ie antre

    vostre famme et prest à maryer et ce sera

    occasion de vous voulloyr mal et que sil ce plaignoit de vous que vous randoyes tousiours bon conte

    a en ceste ville plus de cent quatre

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre

    par quelques votres lettres en ma faveur, dressante à ceulx quil vous viendra

    nest en leur puissance ny à la miene. Monsieur,

    doibvent arriver bien tost en ceste ville.

    encores, ausdites violences, jay bien voulu, en recommandation et

    par la venue duquel on se pourroit resouldre.

    Serviteur

    Monsieur, en parfaicte santé, heureuse et longue vye . De Marseille,

    postes ont obéy à lordonnance qui en a esté faicte par sa

    sceurent quil y avoit dargent pour mes compaignies, despechèrent

    faisant le duc d’Alve dresser son armée à six lieulx de Montz en Heynault,

    atraper le guarscon dont jescriptz à mesdits seigneurs

    mille chevaux et comme lon dict pour aller soulever

    et ne m’en fusse pas enquis sans ce que vous m’en avez

    de l’arrivée de monsieur d’Evènes vers vous

    cela nous mette à la guerre. Montz est à demy assiégé. Ceuls dedans font de belles sourtyes. Ilz en

    vaisseaulx, toutz en fort bon equipaige de

    vous donner

    bonns ceur à votre bonne grâce et suplierey

    la plus part qui sen sentent encores. Je crois

    d’Ille. Et attandant de veoir cella, je finiray la presente

    Monsieur, vous donner en parfaicte santé, bonne et longue

    et pourtant je supplie humblement votre seigneurie de

    Créateur vous donner

    advertir, que sera le fin, après vous avoyr présanté

    dépesché son courié en diligence. Sur ce, me recommandant bien affectueusement

    homes de pied et 20 mille chevaux, ont secouru

    à leur eyse à la Tyvollière et vous pourrés voyr les trouppes

    vous dire, de quoy toutesfois je m’en paserois bien

    très humble et longue vye. D’Herbeys où l’on boyt

    Monsieur en santé bonne, longue et contente vie. De Saluces, le XIIe

    obéyray d’aussi bon cueur comme prie à Dieu vous donner

    jusques à Greaus pour changer d’air. Je pense vous avoyr

    jour de juilliet l’an mil Vc septante

    et de nom et d’effect bon compagnon, je vous ay bien voullu

    et mon nepveu de Laval, soyent partis pour la court et sur ce

    v [écus], qui est pris par trop excessif. Monsieur

    actend bien tost monsieur le mareschal de

    avecque luy. L’on pence que monsieur le mareschal

    est arrivé à Gennes avec quelques trouppes d’Espagnolz pour les mettre

    temps après la victoire des Chrétiens en Morée, de cinq mois, ledit Turcq a faict faire cent gallères

    maison de Vaulx, ce 13e julhet 1572.

    assés mal ordonés pour m’en estre absenté environ troys années

    auriez faict despuis car ie n’ay encor rien perdu par

    partement et avons ce jourd’huy receu nouvelles dudict sieur d’Ourche, lequel

    Madalleyne, et les preparatifz que se font

    et Daulfiné, à l’ymitation desquelles le gouverneur d’Aurange

    Votre tres humble et obeissant

    et poullétique, apèseroit beaucou et mesmes les villes qui

    vie. De vostre obéissante meson de La Pierre

    heure davantaige que ce que pourtera vostre commandement

    Partant, monsieur, vous le pourrez, s’il vous plaist, advertir de ne se haster

    qui mérite advis, ne fauldrey incontinent, monseigneur,

    Monsieur le conte se doibt treuver le quatorzme de

    for bonne conpagnie. Sil vous trouvés bon que ie vous puise aller voir, il y ara asés tens den-

    à Prugneres. Si mon frère de Rosset me vient querir, je iray, mais que ce

    Lodovico Birago

    Monsieur, longue vye. De vostre meson à Vyfz, ce XVIe

    Je layssay hier votre petit peuple à Laval en très bonne santé, Dieu mercy

    de Montoyson, ce XVIme de juilhet 1572

    Monsieur, en santé, bonne et longue vie. De Saluces,

    supplier comme je fais humblement de leur accorder une permission

    Monsieur, vous donner en parfaicte santé, bonne et longue

    n’estoit capable de tenir cure car les deux comme je pense suivent les armes

    serviteur

    que ses troppes treuvent des vivres de

    mais bien est-il vray qu’il est passé par ceste ville toutz ces

    mobligerés de plus en plus à vous fère très humble servyce car

    à Grenoble. Touchant le fait de Cabanes, je vous

    et longue vie. De Suze, ce XVIIe de juilhet 1572

    à Calais, luy ayant laissé quant il en estoit parti ordre

    amy

    Je me jouinct aussy que n’avons du tout icy

    avec messieurs d’Uriage. Ie me recommande bien

    de sa jambe, me pence le sera bientost, avec l’aide de Dieu,

    quil luy doint la santé quil désire. Vous, par voz lettres, ny monsieur

    desseing, me disant quil ne vouloit poinct entrer seul en Piedmont.

    De Vizille, ce 18e juillet 1572

    Votre très humble et très obéissante sœur,

    nay aulcunes nouvelles, ne se faisant ce pendant aucune chose aux

    XIXme de jullet 1572

    les deux qui yront à Carmagnolles, celle à Savillan et celle à Pinerol,

    haste pas fort daller sur la frontière d’Espaigne, parce, comme je cuyde,

    sieur président dudit jour XIIe luy avoit dict, le visitant, qu’il

    Je prie Dieu qu’il y veuille mette la main, et quil vous

    tellement que estant ledit Brunat de retour

    an une volonté pour moy, m[a]is il ne la peut

    se fache bien fort. Au reste, je suis estée bien fort aise de lappoyntement

    à cause que la dicte maladie me tient tousiours et aussi

    que tout sera devenu. Les nouvelles sont arrivées à ce matin. Nous saurons bientoust ce qu’il en est. Pour n’avoyr

    entré en quelzques propoz avec monsieur le comte de Retz de

    Votre très humble et obéissant

    se treuvent seulz chargés de ce passage qui leur est une

    Notre Seigneur vous donner

    Monsieur, en santé, longue et heureuse vie. Escript à Paris

    Hobeissante

    est-ce que le brevet du roy porte que vous y nommerés librement

    hyer en ceste ville et par le moyen de madamoisele

    Fr[anç]ois Flehard

    quatre navires que luy, monsieur de Lanssac et Rocquetaillade avoyent en

    oezeaux, le tiercellet de faucon vosle bien

    si n’est pour prier Dieu qui vous aye

    tellement que demeuroit cinquante ou soixante soldatz mallades extrèmement

    Rousset

    quil nous en advienne bien. Il y a en ce pays ung

    Votre très humble allié et serviteur

    avoir de moy. Mais, foy dhomme de bien, cest plus outre

    Paris, ce XXIIIIe jour de juillet 1572.

    monsieur, anquores un coup le plus

    deur et je prierey Dieu pour vostre prousperité, vous demeurent

    monsieur le president Truchon se pourtoyt

    Vie que ses sauldatz neusent à manger cher ny vandredy

    galleres avecques quelque nombre de nefs et

    de me commander, me trouverés tousjours disposé à

    Laval

    Lisigny près de Meaulx où l’on a faict les nopces

    de prier Dieu quil vous doinct

    croyer, estant aussy lopinion des medecins quil lest

    Prie. Vostre rantyer Ivonet ne nous a jamès abandonné

    courre bruict pour changer dair, vons attacquer Algier, cependant,

    a la fiebvre. Tout sella nous vient mal appropos. Il fault

    très bone operation sans luy donner aucune esmotion,

    moyen de men revencher et à elle quelle face quelque

    Vostre très humble filz et affectioné serviteur

    Vostre très humble allié et servite

    longue. De Marseilhe, ce XXVIIIme juillet 1572

    Monseigneur vous donner en parfaicte santé, très heureuse

    Vostre très humble femme et

    avecques neuf ou dix desdits religieux de ceste ville sassemblarent sur

    hobeysante

    De Lyon, ce 29 julhet 1572

    coronelles et aultres qui ont fect ung si long

    Vostre très humble

    ne puis point temps vous fairés advicer quelz chevaulz il

    de Cossé, monsieur de Biron et les seigneurs de robbe longue

    masseure quelles recevront grant contantement dentendre la bonne impression que le roy

    D’armaignac

    en ceste ville ; et cepandant, en atandant

    laer et ne nous aterons en riens et sans ladvis

    François de Bourbon

    autrement. Je vous envoye une autre lettre que par

    poursuyvant le procès que je avois contre monsieur le

    B. de Simienne

    Monseigneur vous conserver en la sienne, avec parfaicte santé. De Grenoble,

    importuner ; ilan sera ce quil plaira à Dieu. La longueur

    Monseigneur en parfaicte santé, longue et heureuse vie. De Grenoble,

    Laval

    quil vous doint,

    de retour, me fère antandre les nouvelles que

    quastheure icy, est lheure quil est hors de

    duc de Sexe sen va pour estre lieutenant géneral dudit Don Jehan,

    Vostre bien humble et affectionné

    mon cadet, car il y avoit quatre moys que je

    doinct,

    preuve quilz men font en ce faict icy. Mais jeusse desiré merveilleusement,

    leur filz se portent bien, Dieu mercy ; ainsi puisse il

    vous sera possible nous despartir de voz nouvelles. Madamoiselle

    Il vous en est faict presentement une depeche et soubz l’occasion

    despence ; il est vray qu’avec ce, je y ay ung peu de plaisir

    moys pour advertir ledit sieur Julles, qui est en cours affin

    diray bien que dentrer en garnison sans argent, sans taux

    nous ne sommes secouruz de noz voisins, nous sommes

    que cela n’estoyt encores avenu, mays bien

    Vous prendrez asseurance sil vouz plait asseurance que

    vostre vouloyr pour icelluy toute ma vie

    j’ay dès longtemps de vous obeir et

    vye. Du Mas, ce Ve auost 1572.

    tout son advis et mes mesmes je luy ay

    sieur de Jainly, voullant entrer dans Montz. La Prouvence

    partyr dicy pour aller changer dher si tost que nous

    di essere remborsati ; aspetiamo rimedio alla

    et mondit sieur d’Orches avec luy. Il leur sembla quil se

    je my feusse trouvé. Bien vous diray que jay bonne

    tarder, pour puis en advertir monseigneur l’ambassadeur Bellièvre,

    afection comme après vous avoir presanté mes

    grande messe où il cest treuvé et luy et tous

    Surce, je me recommande très humblement à vostre bonne grace et prye

    très humbles rescommandations à votre bonne

    parlé avecques la royne et n’ay rien obmis de ce que

    me dict qu’il y avoit une depeche commandée pour response

    et na trouvé que deux doidz de profondité. Il en pourra estre gary dans

    bons offices et affectionnée volunté quil a declaré à nous

    Vostre à jamais très humble

    Jestime que cella provient principalement

    par le laquès de monsieur de Ferrus, et ay veu par une quil vous

    extraire les greins hors ce pays et que ce soyt

    car ilz sont fort chers et je n’ay pas assez argent pour les

    luy pour de bon cueur, le voulant conserver comme je

    en faire mention. Ledit seigneur vous dira aussi comme monsieur

    et y obeyr que gentilhome de Dauphiné ; et arey bien peu apprins si je

    Votre très humble serviteur

    lescons, encores s’il vous [plait] qu’il apprenne à soner de quelque instrument

    et en rapporter voz depeches, s’il vous plaira par luy nous advertir

    vous gardois et la faut anvoier par homme exprès, mais

    Venes, auquel iecrips que silest anquores par

    qui viennent comme lon dict au duc d’Alve. Il ne se treuve tant de mors

    Nous avons receu toustes vos lettres à

    loisir de se recognoistre car il a malladié plus de

    faict boire du vin blanc fort bon, dont il a esté bien tost las et sest

    Vostre très humble et obeissant

    à jamais pour vous obeyr

    de Lyon pour prandre le bon air et sera incontiant

    afecxion et hobeissance que je presente mes très humble

    des compainies corses, de remborcer le [barré : pry] pays

    esté adverti, qui me gardera vous en dire autre chose. Je

    bien tost Dieu aidant, tant pour le debvoir

    vouer ceste après disner monsieur et madame de

    Vostre bien affectionné à vous faire service

    vous connoissés quil merite. Et ne sachant aultre chose

    ce qui est demuré hors le muletier qu’ai prins en

    avoit escrit et ladite confiscation tiendra.

    prie Dieu le Createur

    masseurant bien que nonobstant les supportz quilz

    sorte que nen aurés aulcune plaincte. Vous estes tous

    et de longue main, mesmes estantz payez comme ilz sont ; ensemble

    Mais Dieu scait pourquoy il le fait, et si se faut asseurer qu’Il

    presanté mes très humbles et très affectionnées

    compaignons lavoinct eue ormis mon frère. Je nespère pas

    Gaspard Flehard

    y a quelque jours que le juge de Vallence et

    1572

    de faire, que la declaration qu’ilz obtindrent l’année passée

    trouvé quil y a ung canon à Gap sorti de ladite municion, je vous

    Lodovico Birago

    s’est peu enlever du païs bas, et que pendant

    deputtez pour venir informer sur le contenu en iceulx. Il sera

    je feray fin, après avoir presenter mon très humble service avecq mes très afectionnées

    durant le tanps que nous y avons seiourné, laquele je vous

    plaict de me commander quelque chose pour le respect des

    vin quil trouve encores amer. Il ne dort que par intervalles,

    tirant un peu du costé gauche ; et disoit ledit

    Vostre très humble et plus affectioné

    Sernin, d’Apt, du XII du presant par ung d’Apt qui va à Paris.

    ce que, pour ceste heure, je vous puis dire, vous ayant

    ce que, pour ceste heure, je vous puis dire, vous ayant

    que je marrestasse et y ay dejà despeché ung homme bien

    et digne grace. De Vienne, ce XVIIIe daoust 1572

    ledit d’Aragon afin qu’il en soit plus prest, ce que je m’asseure

    de vous contenter de ce quil restera, ensemble

    à son instante prière et requeste, encores quelle fust despartie

    de leurs nouvelles par ledit porteur, jentendz

    troubles. Et pour le bail à prifaict, je commys le chatellain

    de La Coste qui a eu quatre ou cinq accès de fièvre tierce qui

    graces, celles de madame de Gordes

    tousiours à vous bonnes graces lesquelles ie sallue de mes très humbles et bien

    Vostre très humble et plus

    euvre pye, lesdits pauvres, avec tout le corps de ceste ville, seront toutz

    Je suis tousiours en volonté pour le plus tard après nos

    feust icy. Il mescript quil a esté bien fort malade durant sept ou huict jours

    de ce costé est quilia afforsse malades. Monsieur

    Le Cheylar et aultres hont mis en faict ; et du tout vous advertir.

    comme il me chargeoiest, mayant anvoié ungne procuration de

    Serviteur

    quilz ont faicte pour navoyr volu obeyr et fournir vivres à

    encor venu reiterer, je ne leur ay vollu reffuzer ce

    il a esté en maladie, de sorte qu’en recepvrons toutz

    diviné quant au faict de Cabanes car le sieur et mari [barré : et sur]

    lettre. Jay esté voir Arnolfini, ainsi que vous maviez

    parlé d’ung singulier trouveur de fontaines et d’eaus,

    et longue vie. De votre maison à La Motte, ce

    Vostre très humble et obeissant

    Je vous ay faict entendre par deulx lettres que je m’asseure

    santé, bonne et longue vie. A Lyon, se XXIIe [barré : aoust]

    Serviteur

    regard les poursuivyt long temps pardevant

    recepvoir en sa maison. Jay escript auiourdhuy par ung

    quil vous escript. Cest la troisiesme quil a signée depuis quil commence

    et revesche quil soit, il me semble que cella n’estoit trop malaisé. Vous

    audit Orenges, que seriés payé incontinant ; dict

    de vous satisfaire et que si votre plaisir estoye leur

    Je ne veuls oublier monsieur,

    N. Mulet

    Alfonso d’ornano

    je vous puys asseurer que est ung fort honeste

    lyver avec madame de Gordes en nos quartiers, et esperant avoir

    est icy, laquelle trouvera quil y a difference du

    l’admiral, monsieur de La Rocheffocaud, son fils monsieur de

    priant Dieu

    quy sont de mon moyen, ny sans inquiester auquns de la dicte religion, de

    Monsieur, en toute prosperité très heureuse et contente vie. A St Gervays, ce

    et requerir à la forme et manière d’une minutte d’acte d’appel

    de monsieur du Monestier a passé, portant une letre à

    luy ay balié lesdites copies dressées par mon beau-frère. Si

    que désirés ; et daultant que par ce porteur vous

    catholicz, ce que je feys fère promptemant ; et moy et aultre

    Monseigneur, je me recommande très humblement à vostre bonne grace.

    septe ville de quatre heures après moy. Je fis

    car suis toute ma vye prest à hobeyr à vous

    La Roche se porte fort bien. Je ne l’ay poinct encores peu

    Je nen ay encores novelles, sil est vray ce que Theseis ma dit

    sils avoient estés les premiers advertis, il estoit

    chose qui soit de mon pouvoir et de telle affection que

    faisoit tenir par même moien. Mon frère et ses compagnons

    fort de demeurer par les chemins de lasitide, car ie ne

    et très heureuse vye. De Paris, ce XXe sep[tem]bre 1572

    doint bon conseil. Je ne vous diray point des nouvelles

    touttes nouvelles que se présentent, je salueray sur ce voz

    naiant aucunes forsses de par della. Elle me dit

    mon filz de Champs, suppliant le Créateur, vous donner

    ornamenti ch[e] io possa havere nella persona mia a queste bande. Sicome

    Je m’asseure que monsieur d’Evènes vous en aura dejà adverti.

    fère le mieux que nous pourons. Je vous ay, par si

    desordre, à quoy pouvés par votre grandeur et pouvoir y remedier, quil

    et fault car le dit sieur se trouvoit chargé de

    Constantinople, le penultiesme dudit, je fus mis en

    au-devant du prince d’Orenge qui voulloit entrer en Flandres

    soulz à ung catoulique féable qu’on y metra en leur place, je metrays peyne qu’il ne s’i commetroit

    maistres de ce fère. Et quand tout est dit, tous sont de ceste

    Votre plus humble et plus

    chevaulx de bagage ; et despuis deux jours

    aysé de tant plus tost vous voir ; ce pendant

    que lons aye volu fère antendre à leurs magestés

    car en cela ce que je puis avoir failhy, c’est de navoir point prins

    Dieu la mené là où il est ; lon ce compourte en ceste contrée à la coustumée, y observant les

    sur avecques ung sien servyteur out nous sommes a-

    sienne lettre disant que madame la contesse et monsieur le mareschal

    desarmé ceulx de la pretendue religion, de

    partie de XXIIIm l[ivres] que le païs doibt au roy pour lannée dernière

    penser seullement dattaindre le moyen pour les recongnoistre,

    Vostre très humble [barré : ami é] serviteur

    et est resolu de vivre constamment tout le temps de sa vie, durant

    de La Piare ma dit que à Piarrellatte,

    que jarey faict le bout de lan de feu ma mère, je ne fauldrey

    et à craindre, soit pour avoir cy-devant commandé ou faict

    compagnie. Ce sera la poine en laquelle estions den entretenir

    à cest article en la response quil fera à Mesdits sieurs les

    priant le Createur

    jour d’octobre 1572.

    premier jour d’octobre 1572

    les aultres de ceus qui estoyent en ladicte assemblée, les sieurs de Cons, Monjouls,

    que vous aurez desja sceu la reduction de Mons en Henault par

    estés bien rudement traictés. J’espere le scavoyr

    ce IIe doctobre 1572

    desquelz il n’y a que quatre ou cinq dont l’on peult tirer service,

    Votre tres obeysant servyteur

    dans le chasteau, ainsi que laviés commandé.

    leurs voullentés. Et ne sachan autre novelles,

    que je supplie à Dieu vous donner

    à la court pource que monsieur de Chastellard nous escript

    particulier mon oncle, monsieur Lochman, et moy vous demeurerons

    lon se puisse ataquer. Nous avons faict venir Bonvert, qui est

    avoys faict mention sinon pour scavoyr où elle estoyt demerée.

    licence et commandemen ; ce que au contraire ont

    que le roy et Monsegneur par les leurs du XIIIIe vous tesmoignent

    Sommatty a faict le gué le premier auecques toute

    pour commander au conte de Rets sa volonté de moy [barré : le] come

    J’escriptz presentement à monsieur le premier president Truchon

    doibvent encores. Je les ay renvoyés à messieurs d’Apt, St-Sernin et

    savoyr ce que se separerat de ce quartyer pour prounptement

    je vous parlis dernieremant, je vous supplierey

    point de vent, les notres n’osarent abandonner les nauz. Louchally

    avoir heues suyvant voz mandemens par cette province, laquelle

    de mander ledit extraict et proclamation jusques à ce qu’il vous

    et veu quadvés anvoyé au sieur de Champolieu pour voyr

    questiont dans en Allès de ors par force

    mander. Sil vous plait anvoier vos letres au logis

    plaise commander en estre faict ce quavés dit.

    et Serre meriteriont bien d’avoyr quelcun que y commandat

    par laquelle il madvertit que ceux du Gapenssès et

    Vostre à jamais plus

    Villefranche

    adverti que Don Joan estoit parti d’ung port auecque

    Votre humble et affectionné serviteur

    forestiers. Aussi je advertis Le Buys que se prinsent garde et aussy jay

    Monsieur en santé bonne, longue et contente vie. De

    partye, je porroyez achepter une penssion de cent escus, de quoy

    Votre très humble et obeissant serviteur

    de pouvoir recouvrer des porteurs quand je le requiers.

    De Barbantanne, le VIIe octobre 1572

    pour le roy en ce païs de Piemont

    recommandations à votre bonne grace, suppliant le

    et que monsieur de Monbrun ayet voullenté de remuer,

    m’avoir semblé estre le meillieur et plus sallubre des

    pouvoir sauver, et feuz en grand danger de ma vye, et

    Votre très humble et plus

    en eux, mays y employe lesdits soldats, tellement que les affaires y sont manyés de façon

    espère, à ce que ma escript monsieur de La Coste et

    au vibalif de Gap d’informer et advertir si aulcungs de

    au vibalif de Gap d’informer et advertir si aulcungs de

    la resjouy autant que rien. Et sur ce, ne vous ferey plus

    Monsieur, vous avoir et tenir en sa saincte grace, me recommandant

    et que les papiers qu’il portoyt estoyent de meschantz pappiers qu’il

    supplie très humblement à votre première despeche à ce

    prié vous presenter ces humbles recommandations et qu’il fera

    pour voz affaires. Nous sommes toutz en bonne santé, graces à

    à mectre bonne garde en ce lieu, combien que

    chosse don je puisse vous servir, car nous fesons esta, mon frère de Suze

    humbles recommandations à votre bonne grace et à

    que je pance sela ne depend de la faculté de mondit

    icy telle pollice et discipline en ses compagnies que je masseure que les habitans

    de monsieur de Brissac. Je lay tout veu et les roolles et

    je suplie le Createur vous donner, Monsieur de Gordes,

    ung seul home des celiers voysins, ce que toutesfois j’eusse

    à la votre et de madame de Gordes. Jay bailhé à ce porteur

    preste à vous faire humble service

    Monsieur, en très bonne santé, longue et hereuse vye. Au Monteilhimart, ce XIIIe d’octobre.

    Nous tous, nous recommandons bien humblement à vos

    Monsieur quil vous dont la sienne, accompaignée de

    sieurs de Bornio Despinoso de sen rendre vers luy à Aix,

    requomandasions de bien bonnt ceur à votre bonne

    si escrivés, vous plairra faire couvrir le votre et le notre par votre secretaire.

    monsieur, avecq ce qui leur apartient comme le myen propre, je vous

    je vous prie accepté aussy les miennes. Surce, priant le

    en santé très bonne vous donner

    vandange, par l’advis des cirurgiens, don croy

    lordre quon ha à leur pour lexequution de ses mandements ;

    François de Chaste

    et ne reviendrai point sy tart, comme j’ey de couteusme ;

    que ma letre n’a faict, car je seroys bien

    saluant voz bonnes graces de mes humbles recommandations,

    pour nous joindre ensemble près du Pont St Esprit, afin

    pour nous en ladite ferme, sire Jherosme Faure, quayssier et

    Vostre humble et très asseuré serviteur

    ce Xe octobre 1572

    si tost car jeusse

    et pour monsieur Besson, vous remerciant bien humblement

    Sainct-Denis l’execution se debvoyt fère par tout ; et cela

    Monseigneur en très heureuse santé très longue et heureuse vye. De Dye,

    après les remerciementz des honestes offres, l’on remetra cela à sa

    la cause pour quoy il a laissé mes filles derrière luy à

    Vostre plus humble et hobeyssant serviteur

    Vostre très humble femme et

    et ne ayant pour ceste heure autrre à vous faire entendre,

    pais, le recognoissent, car, à la verité, il ne reppose

    entretenir et qu’on sera contrainct à la longue

    Ga a esté envoyé et s’y doivent acheminer des Suysses, si d’avanture

    fère le roy riche, à dix escus le moys, ne souffiroit pas seullement

    leur colonnel. Et me faictes souvent part de voz

    Vostre à jamais plus fidelle et

    la melieur guarde que me sera poussible

    affères que ie m’en iray, les quelz vous ferés

    parfaicte santé, très longue et eureuse vie. De Grenoble,

    feray fin, me recommandant bien fort à vous,

    à fère et ie ne m’en souciois pas fort. Nous y anvoiâmes

    à jamays

    Au reste, iescris à Hennemond pour faire tendre vostre

    et de madame pareilhement, mès la charge que m’avés

    car, en sa mayson, il y a plus de six ou sept

    je m’attens à voir cest heur que mes services vous soyent agréables, et sur ce,

    Vostre très humble allié et serviteur

    reysons que vous entendés assés icy, veu aussi par ledit acte

    à monsieur de Carses, l’aultre moityé à monsieur de

    aulx rebelles, porroit beaucop infester ce quartier. Je crois que vostre

    cause criminellement, et craignant le chastiement, il a corrompu et

    partira pour vous aller trouver dans quatre ou V

    ouvertement les calomnies desdits Cheylar et sieur de Cugy. Je vous supplie

    auquel j’en escrips bien particullièrement. Ce ne seroit que redicte

    bonne grâce et de madame de Gordes, comme aussi faict madam-

    pour s’en ailler du costé de Fontenay à la chasse et la

    passe. Bien est vray que depuis nous nous sommes

    votre gouvernement et ce que voullés soit fait pour

    armes. Voyla monseigneur comme la dépence est extrême-

    là que je n’ay poinct d’advance qui m’est toutesfois bien nécessaire

    ensuivi aucung désordre que le saccagement d’une boutique

    de Trechenu est pourteur de la présente comme i’estime

    de la lettre que j’ay escripte à monsieur de Saint-Sernain, avec une petite à monsieur

    pancer que si ung tieul désordre advenoit, que beucop

    une pure vérité qu’il n’a esté fait alcung fort

    Gargas sont en fort bone santé, Dieu grâce, comme

    monsieur le président Beliefvre, qui me virent pour tant séparément

    changer d’opinion vous estant la pièce réservée, il fault

    dedans ; dont estans en doubte s’il y aura lieu de pugnition ou

    garder, ayant heu advertissemant qu’il y havet entreprinze

    me recommande très humblement à vostre bonne grâce, priant

    mes très humbles recomendasions à votre

    Monsieur, qui vous doinct en parfaicte sancté longue et très heureuze vye.

    à jamais, les consulz de Vallence

    les desan tous les gours. Il ad une companye

    pourveoyr à ma sancté, je vous direy comme je suys

    en leur bonnes vollontés, estions clèremant manifestés pour notre

    au discours que le seigneur que scavés vous a fait quatre jours après,

    Votre plus affectionné et parfait amy

    et renvoye au plus tost que sera possible, vous asseurant monsieur

    m’at asseuré que le roy veult qu’il remette son régiment es mains de monsieur de Saint-Geranz. par ce moyen, le dit sieur

    de compères ne de cousins que ceulx qui demeureront bons et fidelles

    mentionez n’a esté vendue ne (autre encore foiz )

    le contraire, je vous supplie très humblement, Monseigneur,

    De Bazemond

    sadite majesté en crainte qu’ilz veullent s’ayder des estrangiers ; par ainsi le plus tost sera

    tousjours heu oppignion que votre frère La Roche vous yroit trover

    je demoureray en perpétuelle obligation de vous faire

    On parle d’aller faire Noël à Fontainebleau, et qu’après

    mes acostumées recommendacions très humbles à votre bonne grâce

    plus humbles recomandations, supplyant Dieu,

    faict chassé tous ces jours. J’ey prins ung héron,

    ézans. Sy vous plest, vous ferés entendre au

    Près de Aspremont, se II désanbre.

    en demure pas si grand nombre ; toutesfois, y a il

    horz de deffance et non aux

    Vostre très humble et obéissant

    Monseigneur, nous supplions le Créateur vous donner en prospérité et santé très heureuse

    mectre d’accord comme pour cest effect, monsieur de Bellièvre s’y en

    mourir ingrat de grâce si singuliaire que j’estime ceste-cy. Leurs altesses,

    les excèz me sont diminuez du tiers. Je ne voudrois

    pardelà qui luy paie ledict argent et encores je vous envoieray ladicte lettre

    bailher à monsieur l’évesque de Gap et sy plus tost

    car les rantiers qui tiennent les dites rantes ne peuvent

    d’une lettre à monsieur le mareschal pour s’en

    présanteront et qu’il vous plerra nous honnorer de vous commandementz, je nous tiendrons

    Votre très humble et très obéissant

    vous bayseray très humblement les mains et suppliray

    Marguerite de France

    advertiray de ce que j’aurez à faire. On faict bruict que certains huguenotz

    Monseigneur, en parfaitte santé très heureuse et

    bien désirés. C’est de Gap, ce VI décembre 1572 ;

    entreprinse des ennemys sur les chasteaulx de Granne, Grihay et Raillanette, et

    Votre plus affectionné et parfaict amy

    gentilshommes qui estoyent de la nouvelle religion de ce gouvernement

    pour d’advertissemantz qu’il m’a mandé qu’ont estés

    gentilhomme de monsieur le mareschal de Dampville

    apporter que le regret et desplaisir tel que vous monsieur

    d’Armegnac, duquel j’avoys repceu la vostre du XXVIII du passé et

    La Casette

    Vostre très humble et plus

    à Apt, Dieu grâces, lequel je supplie de tout mon

    accomodez de picz, houyaulx et pelles, et qu’ilz soint habillez tous d’une lyvrée affin que

    mits en terre trois ou quatre mille Spagnols pour

    comme de rechefz je vous supplie. Je vous en seray tenue

    depuis douze jours aussy ung cheval qui nous coupte

    je pourray. Il a bien heu besoin d’ayde à son arrivée,

    je n’aye donner bonns ordre pour la guarde de

    au long de leus novelles par la lettre que j’escris à madame

    ie congnestrai estre agréable à mon Dieu

    vous en faire plus insistante requeste et

    mandations. Je vous supplie, monsieur, faire

    Siegneur vous doner

    Je suys bien marry qu’il samble que vous mettiés en doubte votre

    [v] Votre bien humble et obeissant frere

    Votre très humble serviteur

    absanse tient cest affaire plus couvert, et ne scai

    J’avoys oublié à vous dire par mes dernières comme j’ay parlé

    exhortant tous ceulx de la nouvelle secte, confessant qu’elle a

    faict abatre une tour appellée donjon estant au millieu,

    aucunes nouvelles de la court qui soyent dignes de vous estre

    monseigneur vous donner en bonne santé très longue

    remectant à ce que vous en pourra dire cedit porteur de ce qu’il en a veu.

    ce XIIIIe décembre 1572.

    Votre très humble et très obéyssant serviteur à jamais.

    d’en faire tant de recharge que les ennemys

    acoustumez une partie du petit peuple qu’ilz n’ont rien

    à ce qu’on m’a dit. Je nous verrons au premier jourt, quar madame la contesse de Greignan m’a encore faict une recharge

    pour Dauphiné, par lequel je vous ay bien volu

    se pourroint accomoder à l’amiable, et pour cest effait,

    païs. Sur ce, vous aiantz présenté nos très humbles

    Baptiste de Simienne

    retenir. Il ne se treuve pas avoir pourveu à sa seurté

    et nous a promys vous en supplier et faire de notre part toutes

    monsieur, que en considération de cela, il vous plaise luy impartir

    Vous verrés en la letre que je luy escriptz plusieurs

    icy et à Gordes et encores le pis est que avecque

    païs et que monsieur le prézident Truchon y viendroyt avec

    trop demeuré vous aller trover. La mort de son feu père, que

    Charles de Simienne

    et à jamays serviteur.

    monsieur en par faicte santé, longue, très heureuse vie. De

    et à vous, parès m’être recommandé très humblement à votre bonne

    Votre à jamais plus fidelle et plus

    Votre très humble et aubéisant

    Saint Serre pour nectoyer ce lieu là. Sur ce, vous

    Ceux de Nymes, pour response à la signification que leur a esté

    dessus tel advantage que vous scaurez sagement et prudemment adviser. Et si

    son cousin, je m’advisay de luy faire une bonne recharge à ce que, pour

    coupté quarante escus pistoles, par le billiot et par

    Monsieur Reynier arriva hier en poste, s’en allant trouver monsieur le mareschal

    A Paris, se XXIIe décembre 1572

    pour le service de sa magesté, m’ayant asseuré qu’il fera par cy après en sorte

    tant, que je me suis résolu de leur en faire porter la peine condigne à leur

    monsieur Maniquet m’a prêté, dont je luy en ay fait une cédule, laquelle

    de semblables affayres et en faict dépescher ordinayrement par plusieurs

    à messieurs des comptes de Grenoble ; comme aurés jà

    fault pour ce regard et tous les acquietz de ce que j’ay receu

    particulièrement, avec le mesmes zèle et volunté que j’ay de longue

    roi. Je scay bien l’affection que vous avez à monsieur le marechal

    de Valernod

    coup d’espieu en ung bras par ung gentilhomme qui ne pançoys

    De votre maieson à Vifz, ce XXVIIe décembre 1572.

    Monsieur, en senté, très heureuze vye

    cour de sa bone grâce. Elle fait ce qu’elle peut pour rentrer avec le roy en ses

    vie. De votre maison à La Motte, ce 29e Xbre 1572.

    et plus affectionné et

    compte car je n’ay sceu trouver la lettre que de long

    voulloir, s’il vous plaist, commander que ce mien pacquet, que je fais en court

    di vostra eccellenza è di piu mi son voluto obligare

    mon voyage que l’espéransse de vous

    de Mezières, ce dernier jour de mars 1572

    présente plus longue, que de mes très humbles recommandations à vostre bonne

    son dire veritable. Neanmoins, ce jourdhuy mesmes et

    lectre et me mandouet que les huguenoux se

    de sorte que il y a homme en ceste cour de la part du comte

    Il nous la vandu quarante escus et n’a point voulu prandre largent

    Cependant je vous bayseray très humblement les mains et supplieray

    en chemin. Je vous assure que je ne me trouvis jamais

    et après m’estre bien humblement recomandé à

    Ceulx de la pretendue religion de Veyne vont puys peu

    à votre bone grace, comme faict monsieur de Forcalqueret mon frère

    bons amys. De ma part vous confesseray ie y avoyr perdu assés.

    ung du cousté de Genefve pour solliciter ledit

    qui auroint lieu contre vous si vostre qualité et vos services

    quoy il y a bon nombre. Je pris Dieu que veulle tout

    (monseigneur) si des payes que j’ay receues, qui ne sont que

    je ne nay leurs ay voullu permettre que premier je ne vous

    temps vous conduyra à vous achemyner sabas. Avant lexpedition de ladite parcelle, quar

    en ayde audit Crest nous nestimerons rien

    difficulté ce presentant, voulloir embrasser notre cause, et leur faire entendre

    de tant que de me commander pour le service de sa majesté et

    vye. De Grignan, se X ianvyer

    très bonne vie et longue. De Grignan, ce XIe de janvier

    Je fus advant ces festes aux susdites

    Chausson, Anthoine Pothon de Cremieu, Mathieu Gabet marchant

    A de Sainct Auban

    sieur de St Sernin [barré : en] pourroit faire de passer ladite procuration,

    tost des nouvelles asseurées. Je prevoy que doresenavant nous

    bailler à fermes suyvant lordonnance aquit, mattandant et

    en toute prosperité le compliment de vous dezirs

    pitié que je y voys tous les jours vous estre

    que vous devez faire dresser en votre gouvernement seront de cent

    faict pendre les cappitaynes qui estoyent dedans. N’ayent aultres nouvelles qui meritent

    si elle en eust plustost esté advertie, ce que nous navons presentement

    ne penssoys rien moings que a telle divisions je ney volu

    bonne et longue vye. De votre maison de Trèsmeinet, ce

    je ey teneu prisonirs jusque à se que je heuse

    fin à la presente par mes plus affectionnées recommandations à votre

    pour asture dire aultre chose de ce cartier là ny d’ailliers, fors que tout

    en ce dit pays votre gouvernemant (dont très humblemant vous le

    Votre très humble et très obeissante fille à Jamays

    Votre très humble et très obeissant serviteur et filz

    demeurer toute ma vie très humble et très hobeissant filz. Madame de votre congé je saluerey

    chevaux de charrete qui me coutent quatre vints escus, jay aussi

    en advertir pour vous supplier d’y vouloir mectre ordre

    de Carces a mesmes instructions pour [barré : le] reduire

    qui ont tousjours tenu le bon parti, ou à ceux qui nouvellement sy sont remys,

    obeysant à vous fère service

    atandant den scavoir, je saluerey vous bonnes

    savoeyer la verité du feyt et sep seyzir de deus

    que jeudy passé, huictiesme du presant, Leydiguières

    finirey septe par mes humbles requomendasions

    qui meriteront vous en advertir, aussi de vous dire

    monsieur, an parfaicte santé très heureuse, longue vye. Du

    viennent là que pour empecher lartilherie qui pourroyt

    haultz et genereulx desirs. A votre ville du Montelhimar,

    tous promis la foy et y font bonne garde, leur ayant monstré votre lettre

    monsieur, en santé, longue et contente vie. De votre maison à Vifz, ce

    les calitées des procès de mondit sieur en aultre parlement qu’en

    XVIe de janvier 1573.

    Par lobligation et debvoir de ma charge, me suys pensé

    recomandations à voz bonnes graces. Cest de

    serviteur

    nous commander voz aultres vous plaisirs pour

    quelques bons advis et conseil et que je ne me trove

    monseigneur, vous doner très bonne heureuse vie.

    sans argent. La vente que j’ay est par escrit et en bonne

    qui nont rien ou bien peu, les aultres ont leurs

    plerra me fère, ne desirant rien tant que de vous obehir

    occasions qui s’offriront dadeça, me recommandant en cest endroict de bien bon cœur à

    neveu Balthezard aussi. Je pris Dieu de bon cueur les y vouloir conserver

    en cela ceste année très bien dressé et quil

    plus fidelle serviteur, et ne vous serey plus prolixe

    ce quil desire avoir de vous pour la

    par ladvertissement et rapport desquels, n’ay encores peu scavoir que aulcung soit absent

    après quil aura laissé la charge de sadite compaignie à personnaige

    supplié me commander votre voulloyr pour icelluy

    chemins il pourroir [sic] rencontrer quelques voleurs ou brigandz,

    retyré ysy incontynant apers les Roys é n’y a à Sat

    de la terre on fera puis le fousse des bulles sens vous en mettre en

    je vous en envoye lestat cy encloz comme vous verrez. Mais

    Vie. De Lyon, le XXIe jour de janvier 1573.

    de La Tour son frère. Il estime que lon bat desià

    nay volu donner ne donnerè aulcune permission sans votre

    faudrè à man aler à Grenauble pour les fère apeler

    veve de feu monsieur de Seint Oubin de Guasconye,

    Je les ay publiées comme appartenoyt et me suis apperceu

    part, je vous veulx supplier (comme je fais) bien affectueusement que

    Voz humbles et affectionnés serviteurs

    obeissant serviteur

    le mareschal menvoier pour ceste effect. Ce que jay trouvé estrange veu quilz sont

    Monsieur, vous donner très heureuse et longue

    jamais ; et pour fin de ma lettre, je prieray Notre Seigneur,

    mervelheusement prejudiciable, ne luy estant seulement

    hobeyssante fille à iamais

    ayde dautres, au moyen de quoy il sembloit quil y auroit grand part si mondict seigneur [barré : le] ne lempeseroit,

    quil navoyt au paravant esté allienné. Monsieur, sy me

    B. Chalhol

    le mareschal de Damville avance le possible lestablyssement de son armée, et presse

    craynte que je donnerè aulx aultres de soy retirer, des quelz

    à vostre seignerie, daultant quil ny a pas beaucop

    fust pour troys ou quatre cens des plus apparens. Là dessus

    pièces. Mondit seigneur de Veynes a esté assez

    de sadite bonne volunté, envers nous et les nostres, à icelle plaise

    ceux qui avoient suyvi ladmiral ou que lon estimoit

    et Daulphiné. Comme par tout ailleurs pour ceste occasion, considère que toutes choses

    sans lexprès commandement du roy. Par ainsi continuez je

    de ne proceder à la vent[e] dicelle, iusques à ce que j’en aye aultrement ordonné.

    es meins dung marchant de sa cognoisance des letres

    Je ne vous dirai de ce siège, sinon que nous soumes

    bonne grace, et prie Dieu,

    vous avez à sa majesté et de lamitié particulière que vous mavez tousjours

    après que les lettres deconomat seront scellées que

    bien quil nayent accoutumé de sortir sinon à la faveur de leurs

    empecher quil ny entra secours par la marine don lons

    en votre endroit et quilz ne feront nul

    mon dit nepveu qui estoit desià monté à cheval.

    et dautant monseigneur, que je rezide en cedit lieu où est

    bas qui ne sauroit estre sy tost que nous le dezirons

    que ce quil san sont [mot barré] secy pouroit estre cause de

    Oultre ce, ilz ont envoyé expressement et en diligence devers sa

    disna yer matin icy venant de Crest que nen

    puys que cela a esté entrepris, ce a esté pour y porter

    des facultez de votre gouvernement. Je vous prie aussi de m’y faire accomoder de IIc[ent] pyonniers

    croyre que je ne vous fays ceste instance qu’avec grande

    de madame par mes très humbles recommandations. Monsieur du Gua nest prisonnyer ny

    combien que je les eusse sovent advertis de mieulx

    paiant avec lauthorité dun curateur. Il ma dict quil luy avoit

    comme vous ay escript. Pour fin, an atandant ce

    peyne.

    vie. De Gargas, ce XXVIe fevrier 1573.

    Prenés vous garde que la retardation de ne leur demander par justice

    est offert. Cependant lons apreste toutes choses

    Jeusne [sic] nay voulu faire faulte de le vous faire

    coreselet et je luy envoyeray ladite lettre pour recouvrer

    jen use, car en cella et en toute autre chose, je desire recepvoir

    à Dieu qu’il la convertisse en mieux que nous nesperons. Je ne mestone

    N Mulet

    de ladite oppinion parce moyen eviteroient le courroux

    bien suivre aussy votre advis en toutes choses, m’asseurant que le me donnerez tousjours

    bon ceur que je presente mes humbles recommandations

    croire quil y ha trop peu dune compaignie en ceste ville

    que les autre ; que ferè fin, [barré : avo] près avoyr prié Dieu,

    tout ce Valantinoys. Je vous scripvis du XXIIIIe les advis

    une remonstrance faicte par le procureur

    rebelles, desquelz il desire et se resould avoir la

    trouppes des ennemys et prins quelquungs deulx quilz

    puys ladite saisie plusieurs des amis dudit Brassac se sont

    promys de vous faire tenyr seurement la presente, dailleurs quelle vous servira d’avertissement,

    à icelle obéyr et satisfère, je supplieray le Createur,

    Votre à touiours très humble

    Pandant les premiers, segondz et troysièmes troubles, ceux

    une liste des [barré : ble] mors ou blessés. Je sai bien aussi ce que pour ce

    pour le regard de votre charge et l’ayant enquis plus amplement,

    costume. Je leur ay faict acomoder le chasteau de

    mareschal et icelles avés mandé à monsieur de Rosset avec

    importuner vostre dicte segneurie, je mestois par cy devant

    du roy et de votre comandement. Assés fins, il vous plera

    treuvés à leffect, et vous assure que pour leur peyne

    telle, je prendz patience et me resouldz sur ce que les armes sont journalières et ay actendu

    Beaufort. Car ilz nont personne que soyt suffizant

    nostre religion ou aultrement, comme n’entendant

    tout et serés de ma part obéy de tout mon

    pour le tenir adverty de ce faict comme estant chose tant

    y sont dellà. Et pour navoir chose maillieure à vous escripre,

    pour tout asseuré à eux en faisant grand estat pour raisons

    Nous avons aussi donné ordre à la reserve des bateaulx vous supplier, monseigneur,

    comme je fais, de luy donner ladresse la plus

    qui se tient grandement favorisé d’entrer à vostre

    leurs murailhes à celle fin que les rondes puissent

    forsses, j’espère, à l’ayde de Dieu, leur doner de

    d’assembler tant de forces que vous pourrez, et avec l’aide du sieur de

    suplierey le Createur,

    de devant Challançon et les bouttat en routte tellement qu’il en

    très humblement ne trouver mauvayse pour ceste

    de plus particullier pour les autres que pour eulx de vous dire le moyen

    premier de ce moys. Pour ne vous ennuyer d’aultre discours, je salueray voz bonnes graces par mes très

    actende quelque aultre chose, je vous en doneray advis et

    faire garder les deux companies comme cy devant avoit

    toute ma vie acomplir d’aussy bon cueur que

    forces, vous ayez souvenance de mon frère. Surce je me recommande

    Vous avés voyrement pour les fère bien boyre car voz eaues sont

    Je me recommenderay très humblement à vostre bonne

    Prochain. A ce que ie puis entendre, il ne se

    sur le Rosne ; vous asseurant monsieur qu’il seroit très requis

    Mais l’occazion que je vous diz est si grande pour m’en

    ceste vallée de la bonne renomée, famme, et

    six centz qu’il a d’alhieurs, il est party pour voyr

    dilligemment, attendu qu’il s’agist du mespris de l’authorité du roy et de

    abbaies et aultres benefices consistoriaulx par

    une lettrres d’Anvers du dernier fevrier [barré : se] contenant qu’il y

    m’en aprendra son honneur

    qu’il fera tousiours pour le moins et esbauchera les matieres et essayera

    on de fère faire quelque ouverture dont on vous advertira. Mon frère

    faire service. De ma part, vous vous asseurés,

    congé et dispense le senat auroit supersedé l’octroi de leursdite requeste et neantmoins

    et à celles de madame de Gordes. Priant Dieu vous

    les a faict descirer. Mais ni aient veu escript que

    scavoir si Espinasses avoyt poinct faict de testement et

    prieurez et aultres benefices de votre diocèze ; ceulx qui sont regis

    pour leur apointemant et sur tout siliavoit moien

    le cours de vous bienfaitz envers nous et de notre part ne faudrons

    la repparation necessaire des murailles de la presente ville, ce leur sera

    soit qu’une meschante bicocq, si a elle tant fait parler de soy que la reprinse

    qui sont arrivez à Lion, qu’il ne m’a voullu envoyer que premierement

    je saluerey vous bonnes graces par mes très humbles

    d’Orange. Je suis bien aisé de ce que sperés touchant St Sernin et

    vous donner,

    certaines choses qui sont de consequence

    adsister à quelqu’un de leurs presches et mesmes

    vous avoys ja escript. Je leur ay permis

    despartir sur ce de votre nouvelle intention avec pouvoyr et auctorité

    consequance du lieu. J’en advise le cappitaine la Casette à ce qu’il se tienne

    Vos très humbles et très obeyssans

    estés, ayant mesmes oppinion que l’ons brassoyt quelques

    biens pource faire, me recommandant humblement

    Nous attendons quelques bonnes nouvelles de Sancerre et de La Rochelle

    mars 1573.

    decharge des deux compagnies qu’il fault

    de leurs gardes et les aprehensions qu’ilz praignent, de manière monsieur

    et au dessoubz votre bien humble tante Louyse du Fay

    monsieur, vous tenyr en parfaicte santé, heureuse et longue vie. A Saienct

    n’y allasse pour mener quelque praticque

    ne passe pas le jour et qu’autre que moy ne le manie an ou

    faict advanser quelques soldatz sans ung batteau pour leur rompre leurs desceins. Ledict

    affaires de mesdites terres, n’y pouvant presentement sans aultre

    depuis les dites monstres, ilz ont este paiés sur la compaignie du

    peult convaincre, que faut dire que les ennemis tachent

    et affin que n’en abusiez plus, que me la renvoiez incontinant à la reception

    negossier quelque chose à luy qu’il le mande acoimpagner

    monseigneur, en parfaite santé, très longue et très heureuse

    adviendra, me gardera vous fère ceste plus longue et

    avantages. Si ledict traicté ne passoit outre, j’en seroi encor

    actendu que ce château est de grande garde

    vie. De votre maison de Montoyson, ce XIme de mars

    qu’ilz sont tous catholiques, et qu’à toute heure ilz peuvent jecter des

    pour après recepvoir voz bons commandemens. Qu’est tou ce que

    en parfaicte santé et prosperité et longue

    que je garde bien le darrière plus tost que ceulx du

    XIIe de mars 1573.

    Villeroy et demain arrivera à Fontainebleau où ie

    desquelles vous me confirmez tant d’amitié qu’en aie que tout ma vie

    de fromentz ez maison mesmes des plus riches que n’en hont pas leur provision

    ferey pour ceste heure plus long discours. Et par la fin,

    me sera ocmantasion an mes aflictions. Je loue

    Pont St Espry. Fesant fin, priant Dieu,

    une procuration pour fère icelles confession et declarations, laquelle il entendoit

    J’attends response du commis de monsieur de Sauve qui

    heure, cest quil y a eu ces jours icy une escarmouche bien

    qu’il n’aict pas esté prest ormis que deux soldatz qu’il a baillié à mon enseigne

    avoit eu deux ecès de fièvre tiersse. Le troisieme fut hier

    qui sont desous la vile, lesquelz ilz ne porroyent

    se transportera jusques icy et tenir ce faict icy

    mars 1573

    serviteur C[apitain]e Mestral

    continues despuys la mort de monsieur ladmiral pour la garde de cest lieu

    il a laissés deux fils en oustages. Je plains monsieur le marechal

    très heureuze vie. De Vifz, ce XVIe mars 1573

    vie. De Guilhestre, ce XVIme jour de mars 1573

    grande seurté, il en veut avoir aulcy ung de monsieur de Gordes

    à Beauchastel. Je croys que ce nest que pour

    abbatre. Messieurs de la ville font travvalher

    1573

    1573

    rayson,

    le XVIe de mars 1573

    vous à lexercice de ladite commission, à la continuation de laquelle je vous

    daussi bon coeur, que je presente mes bien humbles

    ledit sieur de Roisse de s'y acheminer presantement, masseurant de tant de votre bonne

    six mil Suysses qui ont esté accordés à sa

    vous escripre, ne ferey faulte vous en advertir. En attendant votre

    qui se tiendra sur les lmites de Lituanie, sans scavoir

    le comte se treuve plus mal que ie ne voudrois. Dieu remediera

    sattendent tous à votre venue en bonne devotion. Monsieur de Rousset

    ilz tindrent quelque propos avec contenance de voulloyr

    ne feust laide quavons du blet du Briançonoys et Queyras, encor bien chair

    très humbles recommandations à sa bonne grace

    Chasteauneuf

    XVIIIme mars 1573

    conduyre, ne s'y peult trouver, pour estre empesché en la conduicte

    nous, nous remectons le tout, vous supliant

    deputé, est à la conduycte de la compagnie de monsieur de Maugiron,

    en mon nom ladite main levée, et continuerez à me mander de voz

    Serviteur

    Charles

    pour vous suplier, comme aussi je foys de ma part bien humblement

    a passé au jour dhuy par ceste ville, sen allant à sa maison.

    A. Draquis

    doibtz que depuis la prinse du Pouzin, tout tant de gens que nous sommes

    javoys estendu la fourniture par les Baronies pour en avoir le moyen

    Vallance, ce vingt uniesme mars 1573

    anvoyées. Vous verrés ce quil vous script du tout. Jay

    pour les comdpagnie qui sont à Loriol. Sil vous pleysoyt de les esanter les vivres qui sont

    monsieur, de fère bailher voz lettres au moyen de mon nepveu. Le

    bien en mieulx de se garder ; nous ne pouvons, mon père

    priant Dieu quil vous donne

    quelles seroient payées par voz receveurs generaulx et leurs monstres faictes par voz officiers

    en sorte envers messieurs de la court de parlement de Grenoble quilz ayent

    à Fontainebleau, le IIe jour davril 1573

    [barré :quilz ne sy soubzlèvent comme il est bien fort à craindre par devers advertissemens] aux lieux les plus importans et donné le meilleur

    en leur faveur sy tost quilz entreront en campaigne. Au moyien de quoy, je vous

    suis constreint et à mon grand regret, de metre gens

    Il a esté pourveu pour le payement des mortespayes et ay accordé

    Fontainebleau, le VIIIe jour davril 1573

    sy chatoulleuse que Valence, ne où il y aye si grande quantité

    Entre les autres viles quils ont failly, ce a esté Le Buys, quest ung

    chevaucheur auprès de moy. A ceste cause, se trouvant la partie Provence

    tienne en sa sainte garde. Escript à Chaillot, le XIIIIe jour

    esté ou sont de lopinion nouvelle, lesquelz demeureront en leurs maisons

    de Neufville s[ecretair]e

    vous pourvoir plus amplement si la necessité le requiert et donc ne fauldrez

    en diligence ; et de permettre à voz sugetz de composer, ce seroyt peu

    ressanty daucung bien faict, dont, à la verité,

    meilheur marché que pourrés. Et, estant adverti du

    non autre, me recommandant à vous et de mademoyselle

    Henry

    et soullager le pauvre pays ; priant Dieu quil vous ayt, monsieur de Gordes,

    ains vous donner

    de Savoye et les Valesiens sen pourroient douloir à votre magesté et jà les consellers

    et heritiers que de leur faire don de la finnce qui pourra provenir de lestat

    estat en ce gouvernement que je vous ay faict entendre par mes

    [brouillon de lettre à Catherine de Médicis]

    et satisfaire aux fraiz quil vous convient faire; et daultant que [barré : me]

    necessaires [barré : pour survenir et soulager dautant ledit peuple]

    moien à vous faire service, le ferey daussy bon coeur

    particulier, vous en pourront faire plaincte, et, desjà, levesque de Syon men

    en grand confuzion, mesme ceste ville quest fort

    de neufville

    de mon estat, je veulx premièrement avoir sur ce ladvis de mon conseil et ce

    user de toutes courtoisies et favorables traictementz. Jattendz responce

    suis peu adviser, comme la chose en est digne. Je veulx aussy et vous prie faire faire le semblable

    defauldront jamays pour votre service tant que Dieu

    Charles

    en sa garde. Escript à Lesigny, le XVIIIe jour de juing 1573

    Ce pendant, ne scaichant comment ilz se vouldront resouldre à lobeissance dicelluy votre

    de Mandelot, mays, ne ayant poynt de compagnie de gendarmes

    qui luy importe grandement, il a esté contrainct de partir. Surquoy,

    veoyant en necessité ranforcé mesmement de cavallerie pour pouvoir resister

    ensemble où il sera question de me servir ; je nestime quil soit à propos que ledit

    quelques troubles et guerres innopi[n]ées, comme aujourdhuy, lon se met

    et executer ; et ce pendant, ne laisser prandre par della aucun avantaige sur vous,

    aussy est ce chose que leur importe du tout. Je suis

    en et soubz ma protection et sauvegarde specialle, layant en oultre exempté de

    aussi très bien le langage quil sera bon et à propos que cedit porteur tienne audit Barchon

    esté accordé premierement par mondit frère, puys confirmé par moy, jay resolu de

    envoyer comme je faictz mes lettres pour les leur faire tenir comme je vous

    tenant main que les commissaires que jay commis pour faire les ventes et allienations

    de votre prudence et sagesse accoustumée et me ferez

    toutes les considerations neessaires pour les randre cappables du merite du

    ne veult et ne peult leur accorder davantage que ce

    de Barchon son gouverneur audit lieu, je lay tout incontinant,

    verité ; ce pendant, je ne diminue en rien les forces que jay, enco-

    en die, depuis leur avoyr signiffié la paix, ilz ont imposé et

    Escript à Bologne, le VIIe jour d’aoust

    et ne [barré : puis entendre comment] scay comme le sieur de Vyrieu leur a fayct entendre pour

    cognoistront par bons effectz la sincerité de mon intention quilz se

    de me faire obeyr, lestre encores en ceste occasion plus que ne lavez esté,

    henry

    y procèdent de bonne volunté et que ilz ne recherchent cecy que pour la

    ung de leurs depputés pour venir vers moy, je suis adverty

    henry

    sus le païs du pape, ce que leur ayant remonstré par

    de ma volunté et en cest endroict aultant que la raison mes commandemens et

    peuple, mays je ne puis vous celer que par les langages quilz

    lexecution de ma volunté en cest endroict, aultant que la raison, mes commandements

    ce soyt fesant reyson de ce quilz ont prins durant la

    autres, sont dhyer au soir arrivez en ce lieu avec leurs requestes et remonstrances

    après avoir prié Dieu

    entre eulx mis en deliberation le faict pourté

    receu lettre de vous, avec prière ne nous vouloir laisser passer plus avant dans

    champtz pour notre service et à vous nosdits gouverneurs et

    Francois de bourbon

    lieu III [III : assuré apprové ] soubz lobeissance de sadite majesté ny resister aux rebelles

    prions Dieu que tout soit à son honneur et gloyre. Nous pençons que vous

    forme de rescicion des douziesme decembre mil Vc

    de ses miserables qui me poursuivant et me sevouant la vie

    nostre Saint Père le pappe que sa saincteté sur la nouvelle quelle

    Heurre : VIIIm p. VIII p. v –

    et sen estoyt allé avec sadite femme au Pouzin, ayant emporté

    souvenance des lieux de Cussac et Brulatz pour en escrire à leur assemblée.

    de Gordes qui vous aye en sa saincte et digne garde. A Challons, le IIe

    pour elle et pour moy estant en fin arrivée en ce païs

    le commissaire des vivres

    Votre bon amy et

    nous feust jamays plus nessesaires davoir bonn nombre

    et dit quen ce quil a peu voir, ilz sont en nombre de cinq

    aller, nayant autre moyen de vivre et

    desdits Jehan Tourtel et Pierre Durant, jadis consulz dudit lieu de

    mesmes pour luy declayrer quelque entreprinse que les henemis

    congnoissance que nous avons de voz sens, vertu, fidellité, preudhommie

    que demandez, me le faisant entendre par ce pourteur, mien trompette,

    car ung si grand monarque ne heust pas

    des siens et lautre qui accompaigne ledit sieur d’Yolet ; et au cas que ceulx

    et mectre en mer, le sieur gouverneur d’Anvers, avec grand nombre de peuple

    leurs charges ; quelle inclination a le peuple

    dignes de misericorde quon appelle miserables en termes de droict ;

    advertis que seulx de Queras veullent lever

    que nous promectons de votre part, vous remercions desià de bien bon cueur

    Le cappitaine André de La Rozane : C XX hommes

    en Ytalie ce que y pourra survenir entre cy et

    plus bel que liberté et choisyr à son plaisyr qui pourra

    murailhe et escarper le roc

    voz vignes ou bien si on ne les reserve

    coste de Tuscane, jusques à Livorne et de là, elle cest

    là, elle sest engoufrée pour passer en Cecille. Hier au soir, je receuz lettres de Venyce

    empesché toute force et vollerie en la ville de Grenoble

    Paris, le XIIIIe jour d’aoust 1571

    confesse qu’on nest pas le plus souvent ouy au conseil et que les remonstrances et expeditions se font par une partie sans ouir lautre encore quelle fust à la porte du conseil.

    recepvrey comme [barré : de] lun de voz meilleurs

    Claude de Turenne

    IIII m L, parce que vous, monseigneur ou eulx ont mandé en sa majesté

    [barré : ce] que vous en puys escripre en metant fin à la

    Laval

    en rien de mon honneur, encor moings chose que je cogneisse vous

    [barré : que] comme je desire les sollaiger comme leur voisin, je nay

    de Joieuse leurz a deputé pour les conduire.

    Bellemieu. Jay bonne esperance que voz VIm l[ivres] qui sont sur la parcelle passeront ceste

    ne esceder an nulz subgés vous commandemans. Jey

    Guilh. Corrier c. [consul ?]

    contencte vye. De Gargas le XXVIe aoust 1571.

    chés de venir devers vous. Je luy ey [barré : ay] ausi presanté par cele

    quelques iours pour scavoir quand sera le

    dune grande malladie qui estoyt audit Caderousse.

    Mon dit sieur le comte doibt partir pour tout le

    doint la sienne, acompaignée de longue et contente vye.

    en ce quartier pendant son absence mesmes durant

    XXVIIIe aoust 1571

    gouvernement comme je croy monsieur d’Apt

    ce pendant, j’ay eu ce bon heur davoir veu et conneu monsieur d’At votre

    quil ne vous playt de prandre la peyne de venir

    soixante aulnes quarante aucune ne moyenne et vingt

    son partement au plus tart à la fin de se mois.

    asseuré et aussy monsieur de Evènes. Nous avons

    Monsieur très heureuse et longue vie. De Tullins, ce dernier aoust

    demeuront en arrière de ladite somme. Les affères de votre ville

    à Monsieur en sa chambre, que ie trouvay dassez bonne

    Deurre doncyeux

    Votre très humble très obeissant et très affectionné

    plusieurs raisons faire embarquer plus tost, estant deliberez apprès avoir trouvé ledit sieur

    à monsieur du Mollard qui ne la

    serviteur

    les galères dudit André Dorie, parce que

    cueur je ne laisace pour estre commendé de vous. Audemeurent,

    les sachant prendre si bien à propos quil lestime lu[n]g des plus

    sa grace, sans oublier de me recommander humblement à

    leurs espées tant seullement parmy ladite ville, et le jour demeurer

    et fruyctz, qui me faict vous escrire ceste

    cappitayne ne veult permectre, pour ne discomoder ne separer sesdits

    monsieur, en prosperité, très heureuse et longue vye. De St. Gervays, ce

    votre très hunble et hobeysante

    mais je ne scay pas siledit Barchon aura souvenance du commandement dudit seigneur roy

    foys par la voye que son nepveu mavoyt dict.

    Septembre 1571

    de montenard

    Serviteur

    marchant. Je craings de ny trouver pas tout

    quels ne peuvent estre plus tost arrivés que mecredi au soir ; et

    de tout jusques à ce que leffect soit ensuivy. Monsieur

    Votre très humble et

    de meulheur ceur vous obéice que je deszire

    très humble requeste que je vous ferey de la part de

    peu bien asseurer que le temps ne se porroyt

    trèches, de ce quil fauldra. Il vous plerra

    madame d’Eybens et madamoyselle de Savel, conduictes par monsieur de

    pour ne perdre le temptz à y aller, que lon bailhe à votre rantier

    je ne puis , ne aultre, precipiter. Touteffois, jey

    et quil nont voullu, je vous suplye bien humblement me tenir honorer

    Bellievre

    A Lyon, ce 5 de septembre 1571.

    de Venize qui a faict la reveue ce jourdui [barré : X] V au roy. On ne cest enquores

    que, si par quelque inconvenient le paquet estoit

    pour le desir que jay de vous fère paroistre la

    très humblement recommandé à votre bonne grace, pryant Notre Seigneur

    masquer pour fère mauvaise myne, car il dict quil y a deux

    parce que les foyres estoyent passées en nen hussions

    vye. De Pignerol, le VIe sepbre 1571

    avancé. Lon dict que monsieur de Nevers est à

    Volonté.

    Votre très humble et bien hobeyssant

    monsieur, pour votre prosperité et longue

    très affectionné serviteur

    compte deulx. Quest tout ce que vous en direy pour le present, fort

    monsieur en très bonne sainté très heureuse et longue vie. De

    1571

    votre bon voloir et plaisir, de mectre le jour en chacune des portes

    vie. De Grenoble, ce 8e septembre 1571.

    des estatz de Daulphiné

    quilz seront, daultant que je ney bailhé

    la syene, ansanble longue é contante vye. De

    Monseigneur en parfaicte santé, très heureuze et vie longue.

    en telle santé que vous desirez. Vous aurez de lettres

    aller bezer les meyns avec layde de Dieu, le

    Serviteur

    monsieur, contentemant, santé é longhe vie. De

    à jeudy affin de myeulx les accoustrer

    la laissay assés court. Dieu par sa bonté, conduira le tout

    ne vous pourray aller faire la reverance à cause du mauvays

    [barré : f] bon exercice dez lettres. Il me semble

    lesdites requestes quil vous fera en boune part et le croyre comme

    monsieur, despuys cecy escript, jay esté advertie

    pour ce regard et pour lamitié que portez audit sieur de Lessin, permettre

    pour ce regard et pour lamitié que portez audit sieur de Lessin, permettre

    veu lennemy, est facile à seffrayer et malaysé

    Bellievre

    ne penssoit que le pape, le roy et le roy d’Espaigne eussent

    religion qui nous furent presentées par ung huyssier de

    le president Truchon dens le XVe et quesperiés partir

    Serviteur

    monstré la voulointé quil avoyt de le faire.

    solz, lesquels madamoyselle de Caseuneufve m’a bailhés en diminution

    enquores peu recouvré. Elle est toute

    Monsieur, heureuse santé, très bonne vye et longue. Du

    quinse mortespaies. Vous pouvés pencer, monsieur, si ce nest

    pour ne donner occasion à ses parties den entrer et jalouser.

    et prospère vye. A Grenoble, ce [barré : XVIIe] XVIe

    hobeissante voysine

    feront ; et en cest endroet, je prye Dieu que vous doint

    vie. De Grenoble, ce XVIIe de 7bre 1571

    asseurant, monsegneur, que dès incontinant que aurons receu

    droict commung ; et à mon advis, oultre votre volunté surquoy

    Il me demanda aussi là où vous estiés, je luy dictz

    laisser entendre à celle pieça comme [barré : pour la chelle]

    ne voldroyt assister, permectre nu adviser que aulcune chose fust

    et longue vie. De Serre, ce XIXe septembre 1571.

    supplyant le Createur,

    demeurera à tout jamais obligée à vous faire

    Il me [barré : parla en plus] dict encor rien que je sache de larrivée à Vienne de

    m’en mander votre volunté par ce porteur, à laquelle j’obeyray saussi

    Votre très humble et

    sen vat mourir quil luy doit ressiner quelque chapelle

    ce fust sur une cheere que madamoiselle de Santereau

    Lyon, je y treuvay monsieur de Pommet qui presenta voz

    que par nouz descripre à sa majesté. Ce que ne ce pourra fère aujourdhuy, ce

    longue, sinon que lon ma dict ce matin que ledict

    different avecq monsieur de Chattres. Je ne croye pas aysement

    par là. Quant à la damoyselle, vous voyés, monseigneur,

    perdront dinstitution particulière, il ma semblé que pour votredit regard, monseigneur,

    recomandations à votre bonne grace, priant Dieu

    au long, qui me gardera vous ennuyer de plus

    chair de mouton IIII Lt

    femmes avec leurs petitz enfans ont esté contrainctes

    pourrés desirer. Et estant tout ce que je peulx

    nous off[r]ant au samblable leur complaire. Faict à Valence,

    ce qui sera de besoieng de votre faveur ; et par

    Monsieur de Saint André, auquel jay deslivré ung pacquet

    la coulleuvre Grenoble.

    me pourroyt venir tard, et puis davantaige de moy à vous, jay bien

    université ; donner moien à celle de Valence de refaire le mur que le Rosne a demoly et de

    ainsi sera faict desdits Margaillier et ministre ; chose qui a

    nous sentons en Daulphiné. Je vous supplierey, monsieur, de me tenir en vostre

    ce lui là qui la doit espoucé [barré : est]

    Après avoir pryé Dieu, monsieur, vous donner ses graces

    première, vous donrraiy advis de ce que ce sera, comme vous

    que ie vous en ay escrit cy devant et quil ne se faut

    passans et sejournans et que bien tost on viendra aux affaires

    lettres de monsieur de Birague, comme sil vous plaict

    faire parêtre, Dieu aydant, mesmes sil vous plaict de nous donner

    que sera possible, vous asseurant, monseigneur, que il y aura aultant et

    plaira me commander, je serey tousiours prest vous hobéyr

    quelle terre, comme par plusieurs lettres jay fait

    monsieur, vous donner en parfaicte santé, la continuation de

    la presante, apprès vous avoyr beysé

    priant Dieu,

    monsieur, an santé très heureuse, bonne et longue

    propos, je vous remertieray très humblement, monseigneur, de ce quil vous a pleu

    le tout avec bon conseil de ceulx qui si entendent. A

    et si jey mouye les occasyons se presantant, spère

    Gaiasse estoit audit Sainct-Saphorin lhors que le desordre y adveint, et a

    despence, lequel tous les jours [barré : est] de tous coustés nous vient faire

    dix mil livres sur les deniers de lalienation du domaine pour

    aussi il ne sest volu charger pour les [barré : risque] difficultés quil vous pourra

    d’Evènes pour estre appellés, et de laquelle votre lettre ie fis lecture de mot en mot

    plus extimés de ceste ville et au nombre de huict.

    du tout, et y a faict travailher puis le Vme de ce mois ; et pour le regard du château

    priant Dieu,

    votre bien humble à vous faire

    presanté mes très humbles et affectionnées recommandations daussi

    daoust 1559 et ordonnance du roy à present regnant faicte aulx estatz tenus

    eu a singulier deplaisir quon luy a mandé se garder estre cause et

    plus de moien de vous fère très humble service et

    pencer. Je cuide que messieurs noz frères vous en escriront,

    lettres de monsieur le cardinal de Pelvé du dernier du passé, par lesquelles il me mande

    eu a singulier deplaisir quon luy a mandé se garder estre cassé et

    monsieur, vous donner en sancté très heureuse et

    remerciement dans ung jour ou deux. Jay veu à Chambon

    verité exclud toute flaterie, de laquelle je suys bien fort

    mescript que madame la mareschalle de

    de La Barge de gens darmes et quatre ou cinq denfanterye sont audit Puy.

    comendent à votre bone grace, prient Dieu,

    revoltés. Monsieur, ilz me bravent iournellement, voyent

    Voylà tout ce quilz dizent, me recommandant humblement

    quilz doivent à sadite majesté. Et en cas de refus, que Dieu ne veuille, elle, par son espargne, ce trouvera en moyens de les

    Vostre très humbles filz et à jamays très hobeyssant

    an tieraement, mais il en faict dificulté, actendu que les choses

    encores que les marché se treuvent dans la ville à la

    sa femme, laquelle a respondu que ledit Bolut son mary

    amy

    Claude Pasquelet banny et bannissons à perpetuité

    procureur Fleury, je me contante quon mette en liberté

    voyage de France rompu, de quoy elle est fort

    demeuré an leur mezon ; vous fezant très humble requeste,

    si lesdits consulz ne sen sont acquittés, car

    des flans, on ne sen sauroyt servir. Toutesfoys,

    pourtant de la vous envoyer que vous pourrés communiquer, estant

    Ilz le tenoyent pour ung mineur bien quil ne fut pas Angloys. Je parly hiert à Antragues qui me dit que monsieur

    et scay bien quil feroit plus destat de voz lettres que de celles

    et besognes des champs et que pis est nestant sans quelque crainte

    plusieurs ravaiges et quil ne rend pas Modene en lestat quelle estoit

    pour plus aisement et aveq plus daffection je puisse continuer madite charge de

    Luques et saccheminoit à

    grand interest au dit lieu de Gap, si lons ne voit leur

    joinct aussy que La Roche demandoyt payement de son quint et

    coup, ilz aront la fin des papaulx ; et mesmes en

    ville de gens de cheval, il fauldra aller

    monstré la lettre dudit Merchier et procuration suyvant icelle

    que jay trouvé sur la montagnie de Lauteret,

    raporté que à Bordeaulx y a troys compagnies et sen ramasse encor à Crupies et

    lautre fort hoù sont les presses, ainssy que plus

    choze. En ce quartier ne craignons que le chasteau de Barbières,

    Vouet secretère

    qui meritent vous escripre, que sera la cause

    postpousez. Vous remerciant très humblement au nom de ce votre

    qui dabundant madvertit des occurrences de

    uns des leurs qui leur faisoient preparer le logis,

    Voz ancolletz de voz chemises ne sont encoures parachevés. Je masseure

    scavez que cella depend proprement de la charge de

    je appelleray toujours à tesmoing, estant aussi grand ennemy de

    sy lesdits ennemis sen saysisoyent. Aussy vous

    servise Mandelot

    dessa, lesquelles sont si affligées que doyvent servir dexemples aus autres, qui me semble ne devroyent pas pourter

    n’ha lons lesssé [sic] desentrer chés le roy, mais les affaires

    obvier à ce que lon fesoit contre luy, monsieur de La Tyvolière se resolust

    Le porteur de la presente est

    Pierre Chaurain le Vieulx qui ne faisoyt

    daussy bon ceur que prie Dieu,

    advis. Lon nous menace fort. Nous soumes tousjours lhiel

    exemptz de guerre par tout ce païs, ne sont exemptz de deffiance et tous les

    rechef, mon frère, pour tout le bien que vous nous voulez

    si la faculté den proveoir comme patron dycelles se perdoit, mesmes quil y a

    a par trop importuné, vous volant persuader sinistrement

    ayt peu, sod multi multa logmuitur. Messieurs

    Lensse et le faict refermer aveques ses mas[s]ons quil

    Achard, questoyt enseigne de monsieur de Beaulmont au

    sprict et moy auprès de vous pour recepvoyr voz commandementz.

    Dieu vueille quil y profficte, mais jay grant peur

    laissé bien avancé dans les païs du duc de Sasse, faizent

    mareschal quilz feront de fasson quil sera remys à son obeissance, cest à dyre quilz en useront comme de Florensac

    en ladite abbaye des Chèzes. Depuys, on ma dict que celluy qui demeura

    les informations que furent prinses et que nous vous envoyames

    que de votre grace prenés pour mes pouvres petitz affères,

    escus dudit lieu ; et pour encores ne se sont estendus

    fort de me deslogerdicy, tottesfoys ce ne sera

    faict chose que layt tant soit peu altérée ; car encores

    Il fauldra adviser sus les IIIIc ecus que le chapitre a coustume

    vouloit en rabatre quatre mille ; mais jespère davoir

    supplie ayant esgard à ce que dessus, leur vouloir

    et honneur quelle a tousjours et dès long temps receu de vous

    Fustier

    Votre très humble et obeissant

    debvoyr aux gardes. Sur ce, je me recommande très

    Au reste, le sieur de La Motte ne pouvant plus

    Au reste, le sieur de La Motte ne pouvant plus

    Je ne puis comprendre loccasion du voyage de

    il semble voloir reprendre les premiers propos.

    de souyans

    lestre de change, rezolue de ne le bahier que par lavis de

    pas, mès vous hobeyrey et servirey en cella et

    votre main ; et en tant, je me recommanderay très humblemant à

    Jay faict tenir les lettres que mavez mandé à madamoyselle de

    luy avés mandée. Le mareschal des logis de la compaignie

    monsegnur quil vous [donne] se que plus desirés. De Rome, se XI

    Je vous suis redevable des dictes IIc l. ts que monsieur d’Evènes

    Marguerite de Simienne

    comme votre très humble serviteur et prieray

    Votre très humble et obeissant frère

    doint,

    De Gap, se XIe febvrier 1574.

    veu que le capiteine Vaulnes fet fortiffier nonobstant

    Votre très humble et obeissant frère

    et conterroleur pour aller faire la dite monstre.

    monsieur, an santé très heureuse, bonne et

    iours passés mal disposé et a[-t-]on crainct la fiebvre quarte,

    pour querir des gens. Et pour navoyr aultre chose

    qui nont jammais pourter les armes ; pour quoy vous supplie

    la reyne mère du roy avant quil despartit de la court. Je ne doubte point que lesditz ennemys ne soyent advertys

    tant de Freyssinière que daultres partz, lesquelz agresseurs

    desirant scavoyr de vous nouvelles,

    fère la crotte dont aultres frois vous ai parlé et

    mon seigneur de La Garde. Le tout pour le faict duquel ledit seigneur de La

    sest retiré à eulx. Ilz menassent aussi bien fort

    peuvent exploicter, laquelle force feust commise par vous, monseigneur, à

    meurent de fain nayans moyen davoir bien

    lestres, je vous an aie ampleman discoru, la quelle je baliey

    brasser aultres sinistres menées. Nous leur

    sur laquelle il vous plarra me faire entendre votre volunté,

    je feray despence de ladite partie en mon compte que je rendray

    [brouillon de réponse de M. de Gordes]

    de St Romain. Je me treuve si extremement enuyée et mal

    mandemants ont sur moi, pour me

    prisonier. Je feiz hier mettre le ministre et Margallier en liberté

    et scavoit lons que je [barré : y] pouvois satisfaire à son

    le Pousin nestoit pas absolu, mais seullement selon

    et de gens, car ie ne pense pas que lors que les moyens seront encor

    à leurs maysons ; après tout cela, ce sont saysy de tout mon

    vie. A Crest, ce dymenche matin 14e de febvrier 1574.

    de Lyon et quil faict achemyner par deça quelques forces, mays lon

    audit Freissinière durant deux jours qu’ilz y demeurarent. Et delà furent

    sinon que du VIIIme de ce moys, lon me mande quil y a

    si bon et si fidèle peuple en proye ou en

    quil n’a tenu à bien tallonner ces messieurs de façon que les

    prochains, et encores avec le secours quil pouvoit avoir des deniers

    Vostre à jamais plus fidelle et plus affectionné

    quil aye mangé le lard, c’est à dire que aye fait bruler

    que y a deu conduyre Montbrun pour aller donner sur une

    que si avés receu prolongation des suspentions

    à quelque lieu. Ilz font couryr le bruyt de donner

    de pourvoyr en ce lieu comme silz estoient veritables. Je ne

    et digne garde et vous meintenir en très bonne sancté

    d’Evènes, me lenvoyer. Sur ce, me recommandant bien humblement à votre

    esvantent. Je nay rien qui soit entendu si le cappiteyne Collon est party de Crest pour Dye. Je masseure que son

    de doncher secretaire

    est à present la poste de La Coucorde,

    astheure sy sassemblent davantaige, ilz me

    au quel hont osté son espée et laquelle

    heures après midy.

    St Martin qui y doibvent jà estre et nous sont

    moien soy nourrir, ny leur famillie ; vous

    de soy rendre icy et là où nous nen aurions affaire,

    quil fault à la cherté qui est que monsieur votre filz et

    la desfance de ce pays et hobeyssance de vous comandementz

    avec le peu que je porrey recouvrer, jespère leur

    compté le XXIe fevrier leur intention est telle

    soldatz et lon treuve que lon ne fortifie poinct ladite maison.

    hourche

    vallée et lon heut forces prestes de pied et de cheval. Il[barré : z] y en ha de ceulx

    avoir,

    qui est yci au tour, lon pourroit avoir moyen leur donner surs les

    à leur trafficq ou retournans. Toutesfois, monsieur de St Romain escrit à monseigneur le

    Bon Repoz, et masseure que silz lataquent,

    y dresser embuscades, estant noz voysins, parlant ung mesme laguaige et cognoyssant ung [barré : un] chacun de fasson

    febvrier, combien que par bonne atestatoire des consulz et

    contenance, que lon porra decovrir silz sont contrayntz destaler

    reception de la dite depeche et ne scay où il est.

    et yer, nous plaidames dans la chambre des requetes, chacun par

    et dire que je ne seray jamais sans regret en ce monde

    et en cela vous, monseigneur, et luy nous avés preferé et

    Avignon, ce XIXe febvrier 1574.

    monsieur, vous perpetuer ses grasses et vous donner santé

    de la cour mont chargé vous prier de leur part comme

    dimanche dernière de leur cavallerie environ deux

    les prince daulphin et de Savoye, comme aussy de monsieur

    commanderés, que sera lendret hoù je

    et par consequent que votre mandement soit illusoire.

    mesmes, bien fauldroit il faisant ladite

    monsieur de Gordes, en bonne santé, longue vie. De Monpellier, ce XXe febvrier

    votre très humble et obeissant

    Jehan Baptiste et ceulx qui commandent aux lances du sieur Julles

    parti pour XV jours, sestant mal treuvé. Jay ce jourdhuy

    assemblent toutes leurs forces pour venir faire quelque cource en la plaine

    lesquelles vous trouveriez pertinentes comme moy.

    mhavés touché ung mot par la votre du 17, jen ay conferé

    seignorie scaura trop mieus pourvoir. Et sur ce

    ceux ycy, que des aultres que par cy devant vous ay

    affères, qui se portent bien, la Dieu grace. Et ny a chose

    Duvan dit [barré : au] à monsieur de La Marcousse de ne bouger

    estre leur descieng. Comme japrendray quelque chose de

    vous seulement surs cella sil vous plaist car le service du roy ne

    entendre comme tous ses affères passe, cestent rezervé cella

    filz de madamoiselle d’Allières. Monsieur de St André fust compère,

    nous commander. Cependant, après avoir

    rezolution non autre, prient Dieu

    advertir, je ne fauldrey vous envoyer ce quil contiendra

    soit pour cause. Cela n’est pas encores esteinct et ie crains qu’il nadviene pire

    la ville peuve jugé, qui se defende bien car dicy

    examyner le grangier quy a dict quilz estoient en sa grange

    supplie me commander votre vouloyr pour icelluy

    men pourront mieus conseiller. Or monseigneur, je croy que bien

    vous asseurant, monsegneur, que combien que sois en [position]

    en devoibt aujourduict arivé cent ou six vinct // [// chevaulx] et

    très humblement dy pourvoyr et nous fère entendre vostre

    grasse, priant Dieu,

    [les] faisant passer par les montaignes. Nous avons prou faict

    du cousté de leglise avec la corde de la cloche, de

    serviteur

    monsieur en bonne santé longue vie. D'Avignon le XXVIe de febvrier

    Monsieur, en parfaicte santé très heureuse et longue vie. De Taulignan, ce

    sainte grace. De Loriol, ce XXVIe de febvrier 1574, à midy.

    pour la conservation de lumbre seullement dune charge de laquelle

    composé et pillé toutes ses valées ; disant

    descouvert la faulse morce qu’on nous preparèt. Jey

    Vostre très honble et hobeysant serviteur

    javois jà apprins de luy et sy quelque aultre occasion ne

    Rome. Vous en aurés des

    alchuno di spese he di altre chose nesesarie

    B de Simienne

    Je les feray aller vendredi au collège de Lizieulx. Voilà tout

    de messeigneurs de Bressieu et de Pomet, ilz se sont reservés

    dis la Prouvance, Piémont et Daufiné. Ie voudrois bien

    encloses. Je suys après me fortiffier mesmement

    et recherchée qu’elle scauroit es tre et que ce pendant l’argent

    mesdits sieurs des finances à touttes les heures despuis, et espère

    dépêche vous désiré principalement que la cause demeure

    et catholicque tendent toz deux à la paix, si d’adventure elles n’ont de ministres

    me commander, je vous obéyray d’aussi bonne voullenté

    jours. Cependant, l’on s’attend que en ce mesme temps, le roy de Navarre arrivera

    du présent de monseigneur le marquis son frère, lequel devoit s’embarquer au bout de troys ou IIII

    et du peu d’ayde que le pays vous pourroit faire de

    par les terres de ces seigneurs qui sont entre cy et Ragouze, en

    calamité pour ce rouiaume que la pasée. Dieu

    les compaignies que le baron des Adretz a levé, en temps qu’elles seront en Piemont, pour en estre le

    me recommandant bien humblement à votre bonne grâce,

    suplier votre seigneurie luy voulloir observer sondit apoinctement

    lettres de monsieur de Langes du XXIIIIe qui m’escrit attendre

    et craint que on l’estima avoir fait tour de jeune cappitaine

    bons subiects par une deffiance car il n’y a point

    le recouvrement de Vallenciennes ou bien

    de passer oultre, suyvant ce qu’il m’estoyt

    ce Guillaume Brunat ; et voyant que l’ong y procède assés froydement

    Présenter mes très humbles recommandations à votre bonne

    de temps je vous ay dressée. Ce beneffice

    à Dieppe ou non, jan aray bien afère. Ie crains

    en pryant Dieu,

    de voz actions à leurs magestés pour navoyr jamais execédé les commandementz et vollonté de leurs

    vingtz bons soldarz.

    bonne grace et prie Notre Seigneur quil vous donne

    plus à plaisir et j’espère les porter moy mesme où seroy que monsieur

    je vous ay tant de foys remostré ce que je vous

    Monsieur, ie prie Dieu qui vous doint très longue

    protection du bon droict dudit Montceaulx, vous escripre la présente

    NB : DOIT SE LIRE APRES XVII-226

    B. Olier

    ce Ve juillet 1572.

    majesté et leur contreroleur, hormis le cappitaine Jordan du Mont de Lan qui n’a

    ung homme avec ledit tresorier, lequel ne me laissa en repos

    à La Chapelle, qui peult estre de cinq mil hommes de pied et deulx à

    prézidant et advocat général et duquel je vous

    et mettre les armes es mains des Grecs de la

    escrit, car ie ne pouvois penser que on vous en eust

    en bonne santé, Dieu soit loué. Monsieur

    firent une où le visconte de Guan fut tué, lequel estoit fort estimé du duc d’Albe. Ledit duc prepare

    toutes choses ; et en oultre, portoyent quarante

    Monsieur, en toute prospérité très longue et contente vie. A La Motte, le VIIIe juillet 1572.

    le Créateur vous donner

    fermement que sy y eussiez esté, [barré : vous] ne vous

    pria[nt] Dieu

    vye. Du Plan de Vorèppe, le IXme julliet 1572.

    me vouloyr faire tant de bien de mottroyer encor mandat

    Monsieur bonne et longue vye. De Thurin,

    mes très humbles recommandations et dausi bon cueur que

    à votre bonne grâce, je feray fin, par prière à Dieu que vous doint

    Castelanovo. Monsieur l’evesque d’Ax, qui estoit

    sy elles arrivet lundy comme je leur ey mandé et en vous

    par ces extrèmes chaleurs. Les jeunes gens comme voz

    froict et bon, ce XIIe julliet 1572.

    jour de juillet 1572

    en perfecte santé

    envoyé la lettre que mon nepveu, monsieur le conseiller de

    deux

    envoyer son portraict mandé de Rome, attendant doncques

    monsieur de Cabanes, ma seur et moy, nous recommandons très

    le consellier de La Coste a trovés mémoires

    Montmorancy à la court. Monsieur le mareschal

    de Montmorancy reviendra bien tost.

    en garnison en l’estat de Milan, et ostera les vieilles

    et cent galléaces qui sont en très bon ordre, bien équippées et munyes de tout, avec lesquelles il délibère

    Votre humble et hobeyssant serviteur,

    sans y vaquer ung seul jour, bien résolu toutesfoys, si la

    la voye de la poste, ainsi seroit que icelle fut

    les a treuvé à Nancy le neufviesme, qui feut mecredi dernier. Nous attendons

    pour la recepvoyr. Nous remonstames hier

    dict avoir charge de ses maîtres d’exécuter celles qu’eulx luy

    Serviteur

    on pour encaure refusé les hungs et les aultres et qu’ils

    ce 15 julhet 1572

    aussy, qu’ayant asemblé lesdits soldartz, je les veux

    jusques à autre mien advis, car soubdain que ledit argent sera arrivé et seu que

    le vous fère entendre. Monsieur de Belleguarde

    ce mois à Sellon, avecques grand nombre de gentilzhommes,

    voier de vos chevaus pour la fin de se mois et puis quil vous plait me fère se

    porteur soit de retour, car je ne sauroys pas destre à mon aise que

    juilletz 1572

    que jay acompaigné jusques là durant leur voiage.

    Votre très humble et hobeyssant

    le XVIIme juillet 1572.

    de s’assembler avec toutes armes de feu et de traict et aultres

    vye. Du bourg d’Oysens, ce XVIIme julhet 1572

    et l’aultre le labeur et que le concile de Trente, ensamble les droictz

    Laval

    la Tour et du Pont à ceulx que par

    jours icy plusieurs gentilzhommes et cappitaines de ceuls de ladite

    apprès Dyeu [barré : de vous] de vous deppant toutte mon esperance et tout

    envoye une lettre que m’a escript mon nepveu, monsieur le

    Votre plus affecttionné

    pour l’entretènement ou licentiement de sadite compaignye, qu’il

    Tande

    aucuns fruictz et ne me souviens jamais avoir veu

    humblement à vos bonnes grâces, à celles de

    lequel je prie vous donner en très bonne santé

    d’Evènes par celle quil escrit à madamoyselle de Caseneufve, quest

    A toutes fins, je nai laissé dadvertir ceux dudit lieu de Bryanson

    Votre très humble et très obeissant

    sœur Cecille de Simiene

    fortiffications, qui est une grande perte de temps. Et sur ce, me

    Votre très humble allié et serviteur

    affin que, trouvant le commissaire que je vous envoyeray, chascun sache

    que le bruict des remuemens de la frontière refroidit fort et nen reste plus

    se cognoissoit du moins au lict d’une très longue

    veuille donner

    du pays de Savoye, où il s’estoyt retiré pendant

    efectuer comme il voudroit bien. Monsieur de

    qu’avés faict avec messieurs d’Huriage. Jay sperence en Dieu que de

    que mon capitaine ma mandé ce laquay, presant porteur

    aultres nouvelles à vous escrire, je salueray voz bonnes grâces par mes très humbles recommandations, priant Notre

    ce premier desseing, mais qu’il n’avoit rien voulu toucher

    serviteur

    grande foule.

    Monsieur, en parfaicte prosperité très heureuse et

    le XXIme jour de juillet 1572

    dorayson

    qui bon vous semblera et vous puys dire que si nous n’eussions

    de St Prie, nous avons lougé cheulz ung marchant

    ce port, si esse que n’y ayant que le corps des vaysseaulx sans artillerie,

    pour le temps où nous sommes, l’authourt

    Monseigneur, en sa saincte et digne garde. Du Bourg d’Oisans, le 23e de

    tout le bagage des cappitaines qui avoit le moings des chevaulx, tellement

    brigand et voleur qui a esté pendu en effigie au Puy

    G. davanson A. dambrun.

    que je ne y ay voulu penser, encores que jaye escrit à

    Votre entièrement bon et bien

    afectionnemant que ie puis, avoir ce fait

    toute ma vie très humble et très oubeissant serviteur.

    ung peu mieulx car le matin, lavyont faict

    ny samedy et a layssé toute aultre oppignon de luy et, avoyr

    d’enfanterie, retenant le reste de son armée

    recepvoir vous commandemens dausi bon cuer que je prie Dieu

    Sil vous plait ne fallerés à prandre votre soupé lequiel

    du prince de Condé avec la marquise d’Isle, où

    Monseigneur, en parfaicte sancté, très longue et très heureuse

    du tout hors de fievre. Monsieur de Veynes est dopinion

    depuis que nous sommes en ceste ville, jusques à cethur

    ilz demeure en grand jalousie et soupçon , ayant de telz voisins

    loyer Dieu de tout. Ce pourteur vous porte ung couble

    de sorte que le soir, quand les medecins le vindrent

    bon service qui vous soyt agreable, daussy bon coeur

    Hourche

    Ur

    Vostre à jamais plus humble à vous

    et vie longue. De Marseille, ce XXVIIIe juilhet 1572

    bien obeyssante amie

    la nuict chez maistre Jaques Faure, le medecin, et feurent descouvers puys

    dorrayson

    Vostre très humble et plus

    sebjour, comme vostre seingneurie scaist, à nostre

    Laval

    me faudrat sy ma litière ne vient en premier lieu. Nous

    du conseil des finances, excepté monsieur de Valence, qui

    d’Espagne a de leurs juste volonté. Je prie à Dieu qui les continue en bonne paix et amityé q.

    Monsieur, je ne vous veus celler la libéralité que le pape a usée

    vous comandemans, je fineray la presente, vous

    des medecins. Celluy qui feut le premier pour

    le sieur de Chaieze je viens de recevoir de mondit

    seneschal, mon filz, estant allé à Marches, où Dieu graces, nous

    ce dernier jour de juillet 1572

    me fache presque autant qun refus sil fut veneu

    ce dernier jour de juillet 1572

    Les affères sont bien ef eschauffés se dit mon cousin

    Monsieur en parfaicte santé longue et heureuse vie. Cest

    vous en arés et adresser sil vous playt vous lettres

    dangier ; et seroys bien dadviz que son voyage

    estant le seigneur Marc Anthoine Collona demeuré avecques le

    serviteur

    navois point heu de nouveles. J’en remertie Dieu

    Monsieur, en bonne santé, heureuse et longue vie, me recommandant

    monsieur, que Dieu m’eut faict ceste grace que ceste bonne compagnie

    estre de vous, monsieur, que je supplie avoir pour

    de Caseneufve et tous à Gargas se portent fort bien. Mon

    de quelzques autres novelles comme j’estime. Il a esté

    pour avoir moien trouver personnes que scavent tenir quatre cartier en

    qu’il heust moyen de faire relever les absens ; nous

    sur les vivres, ou quelque commodité sur les gens de guerre,

    pour endurer beaucoup. Il y a ung marchant de

    de ma juste poursuyte pour le meschant

    jamaiz vouz me departites de vouz biens et faveurz

    acomplir daussi bon cueur que me recommande

    servir de tout mon ceur, quy me fey

    Votre très humble et très affectionné

    envoyé la lettre que men avez escripte.

    est en grand allarme, mais pour tout cella, il

    panssions. Ce matain, illa heu le prieur de Confort

    nostra grande neccesitade, è veramente non siamo

    pourtoit bien, comme aussy il faict au medecin qui le visite,

    volunté de vous veoyr. Jespère le vous faire paroistre

    advenant que monsieur de Buffevant veuille rien

    très humbles et afectionnées recomandations

    les chefz et principaulx de ses trouppes ; et que

    Dieu,

    grace, en suppliant le Createur,

    j’estime que porte le devoir. Sa majesté a grande opinion

    à [barré : celle de] la votre du XVIIe du passé, toutte telle que le

    trois sepmaines ou ung moys. Sil luy survient quelque chose de nouveau,

    faire delivrer nostre sel, surquoy, monseigneur, je vous suplieray

    et très obéissant frère

    des grandes seueurs quil ha souffert en sa maladie.

    a pleu mescripre ♯ [♯ que me commandés] de vous advertyr de nous nouvelles par toutes

    par auctorité du roy. Ce pendant, en exequution

    enfans de monsieur de Rosset et Antibou pour la despence que nous

    faictz votre seigneurie en toute augmentacion. Jay

    de Gargas a esté ung peu mallade de la petitte verolle, mais, la

    ne savoye obeyr à ceux qui ont aucthorité de me commander, et quand vous ne l’auriez

    Rousset

    il le pourra faire sans s’incommoder [barré : il le pourra faire] pour employer

    de ce où voudrez emploier ce que depend de nous, pour y faire ce que

    comme vous savés, ie ny puis anvoier de mes gans et an

    de là et quilaie le loisir de pouvoir tirer largant

    des chefz des forces dudit sieur de Janlys comme lon disoit au nombre

    Gargas. Toust si porte bien et icy aussi,

    quatre moys. Cest tout ce que je scay de nouveau,

    remis au clairet, quil trouve tousiours amer. Il vous prie ne luy escrire

    serviteur

    Merieu

    ranforcé. Je croy quavés esté adverty que vous

    et très hobeissantes recommandations à vostre bonne

    des denrées empremptées. Sur ce, vous ayant presenté

    suis asseuré que monsieur d’Evènes mon oncle vous advertit

    de nos charges que aussi pour vous hobeir. Sur

    Mandelot, lesquels il na ancores esté vouer. Il verra

    Lodovico Birago

    pour vous escripre, ne feray ceste lettre plus longue que

    ceste vile. Je y mandis hier ma lictier[e] pour voir s’ils

    Monseigneur, après avoir presenter mes très humbles recommandations

    Monseigneur, vous maintenir en joye, santé,

    peuvent avoir pour le jourdhuy là (telz que vous

    les jours adverty de ce que ce faict icy, qui me gardera en

    que le roy vous en laisse la congnoissance, puisque il mect ce mot

    fait le tout pour le mieux, voire qu’Il ne laisse jamais les gens

    recommandations à vos bonnes graces. Priant Dieu

    quil en puisse estre ecxent. Je vous supplie très humblement

    Dans quelques lettres que jey receu de Lyon, avec celles de mondit frère,

    son courrier exequutarent l’eyne et jallozie

    Vostre très humble et très obeissant

    de me fournir vivres leur soit observée et d’en prendre s’il est

    en ay bien voullu advertir et prier tant que je puys de

    que l’armée de la Lighe n’a esté ensemble, qu’il

    bon de se preparer. Je nay apprins autres nouvelles car

    recommandations à vostre bonne grace, priant Dieu vous donner

    puis ♯ (♯ asseurer) navouer esté petite, ancores que nous ayons resceu ♯ (♯ courtoesie quelque)

    susdictes compagnies, j’attendrey ici vous commandements.

    tantost une heure, tantost deux. Monsieur maistre Nicollas nous

    Roucoulle que de la pesanteur du coup il estoit

    Serviteur

    Il ma [dit] que lui et monsieur de Cabanes qui mescripvent et se

    très humblement baisé les mains, je suppliray le Createur

    très humblement baisé les mains, je suppliray le Createur

    suffisant pour ce faict là, et de qui ay fidelité, vous mersiant

    Voz très humbles et affectionnés serviteurs, les consulz de Vienne

    il sera, pour le desir qu’il a de vous faire très humble service, comme

    aussi de vous rendre le pris et cappital de

    en Piedmont. Vous adviserés ce quil vous plairra me

    de mondit filz et dudit La Coste, lequel je

    du lyeu qui a veu et visité le tout et a esté et a esté delivré ledit

    toutesfoys se diminuent fort. Monsieur de Cabanes alla hyer à

    et au reste de votre compagnie et priant

    affectionnées recommandations et celles de madame de Gordes et de mes neveus et nièce,

    hobeyssante fille

    tenuz de prier Dieu pour vous ; et moy tousjours prest à en prendre

    vandanges faire un voiage à Oranges et donner jusques à

    dune fiebvre qui la layssé fort debile. Monseigneur, il vous playrra me

    d’Embrun en a pour sa part, à ce quil mescript, neuf

    Rousset

    la part des Chapuis qui ont le prifect des couvers de Granne

    Loys d’Uriage

    lestappe dudit Cezanne, laquelle feust darnierement dressée

    mot que je vouldrois leur pouvoir ayder pour leur

    contentement, sil luy plaict. Je trove bien vray ce que m’avez

    veust suivre l’opinion de sa femme de cinc mil ecus et

    commandé par voz precedentes. Il vous est fort affecti-

    duquel je luy avois parlé et que desiriez fort quil fut

    XXII daost 1572

    Serviteur

    qu’aurés receues comme on m’avoys desparty, les compagnies

    daoust 1572

    Monlhuc

    le viceneschal de robbe courte de Valentinois

    homme, frère de monsieur de Lavanie, qui sen va à

    à se mieulx porter.

    voyés quil n’est point de petis amys comme lexperience nous faict cognoistre

    aussi qung nommé Martin Vigne, d’Oze, l’ung des comprins

    rabatre quelque partie desdits arreraiges en considerations

    mes très humbles reccommandations

    jentilhome de bon lieu et de bonne part et quy a moyen.

    ce bien de vous veoir, remectrey à vous dire le demeurant, si non que

    jeu au mesnage, toutesfois, elle y sera tost acostumée.

    Roquemord, monsieur de Ligny, monsieur de Pilles et aultres

    Monseigneur vous donner en santé très longue et

    fasson que vous pouvés vous asurer, monsieur, qu’il n’y ara ryen don ne devrés

    XXVIIIe daoust 1572

    que je vous mande ; et si par fortune il ne se treuvoit

    madame du Monestier pour se tenir sur sa garde, et que

    pis n’advient, je ne voy en ce lieu aulcung signal de

    pourrés plus à plain en estre certioré et adverty,

    nombre que sommes en ceste ville serons toujours

    Je prie le Createur vous donner en santé prosperité très longue

    tenyr votre paquet soudeyneman au Crest. Si vous

    commendemans. Je fusse allé devers votre segneurye,

    veoir puis dix ou douze jours en ça. Jespère le visiter

    il ne lattayndra quaujourdhuy, cest que hyer ledit sieur

    croiable pour estre le plus fors. Votre dite depeche feut

    je supplie le Créateur vous donner,

    se portent bien graces à Dieu ; nous en sommes de même. Par touttes

    fis jamais trante lieus dune tire que ie ne me

    Votre très humble et très obéissant

    de mon dict sieur de Veines, ny monsieur de Laval, par

    bonnes graces de mes très humbles recommandations et prieray Dieu vous

    que vous y auriés bien tost les Corses. Je lui

    Madame, en parfecte santé, heureuse et longue vye. De Montellimart, ce XXIIe septembre [1572]

    con gli effetti piu ch[e] con parole saro sempre pronto di fargliene

    Javois oublié à vous dire par mes precedentes comme

    devant, respondu à la vostre du V, que le fait don me

    vous plaise que nous soyons soubz la protection de sa magesté

    beacop daultres qui hount couru pareilhe fourtune

    liberté le deuxiesme de julliet ; je solliciteys pour ledit

    avec grandes forces, et que le duc de Brunsvic suyt

    aulcun abus. Il vous plairra m’en escrire vostre vollonté, laquelle je n’exederay nullement. Quant à

    resolution. Au demeurant disent voulloir obeyr en tout et par tout au roy.

    houbeissant serviteur

    après ont passé neuf soldatz à pié, venantz de

    je vous de donner [sic] si bon ordre à tout que

    que les affayres ne se manient en ceste provinsse

    votre commission, laquelle jestimoys que pour le peu en quoy ma despence

    declarations et ordonnances du roy. Si ma femme ce pourte bien et quil ne nous survienne rien

    tendans vous conmandementz, auquelz voulons obeyr

    d’Amville debvoyent [barré : porter] partir le XXIIIIe de ce mois ; quest tout ce

    manière que les catholiques y ont moins de

    et dont toutesfois il navoit esté levé que XVIIIm l[ivres], ce que je

    ayant tant faict pour moy que je me tiens quasi indigne

    Leonardo de Corte Corso

    lequel il vous demeurera tres humble et bien affectionné serviteur.

    aprèz avoir veu toutz ceulx de la

    aller recepvoyr vous commandementz, lesquelz atendant

    menées et practiques, ou qu’ilz soyent bien propres à le faire

    une adye. Sur ce, nous recommandans treshumblement à voz

    Intendans sans entendre surce votre bon plaisir et advis duquel

    Monseigneur vous donner en parfaicte santé heureuse

    Votre plus affectionné à vous faire service.

    Votre plus Affectioné à vous honorer et

    Pouet, cappitayne Felix et aultres. Je ne say ce qu’ilz pourront estre devenus, quar

    composition, tellement qu’à ce que l’on me mande, le duc d’Alve y

    bien au vray dans ung jour ou deux, car

    Vostre humble serviteur

    et encores en tout tant qu’ilz sont, ilz n’ont que quatre acquebouzes.

    Aymon de chaste

    Quand aux gardes tant du chasteau que de la

    je finerey septe par mes humbles et afeccionnés

    Monsieur en parfaicte santé tres longue et heureuse

    par la lettre que il vous pleuct faire tenir hier datée du

    perpetuellement obligez à vous faire très humble service, d’aussy bon cueur

    de retour au bureau, et n’avons guieres plus apris de luy,

    Jespère aller demeyn diner après ung coup avec Bone, ma

    faict ceulx qui m’accusent, lesquelz de leur authorité

    eulx mesmes ce qu’ilz en ont de satisfaction ; et de ma part

    sa famille car et après avoir esté intimé par tout

    il fit sur lheure. Le conte de Rets dit quil faut que je face le serment

    pour se joindre avec vous et se y en venir d’aultant qu’en

    Cabannes, et ont tout compté et quereullé. Ilz vous sont

    le vous fere antandre. Et à sept androit,

    manvoier vous comandemans et advoir sovenance

    n’est pas si foible qu’il n’aye deux cens cinquante voilles et

    j’ay remis ez mains du cappitaine La Fouliouze, ensemble ung pacquet

    aye pleu me mander si troverés bon qu’on supprime la fin

    si chieus luy les cappitaines Colombin et Bernard y advoyent

    et en y est beaucoup demeuré et leurs

    où mon nepveu fut malade à Lyon, ie y anvoieray

    A quoy il ni aura faulte que fidellement

    avesques des soldartz. Il ne vous fault ja dire quelle garde

    de Triefves se assemblent comme vous verrés par ladite

    fidelle et plus affectionné serviteur

    toutte l’armée chrestienne pour aller treuver l’armée

    Ludovico Birago

    mandé deux heures deuant jours la hault aux montagnes pour tenyr advert

    Saluces, le VIme jour doctobre 1572

    suis pressée de beaucoup de coustés. L’acte vous porra bien

    Marnas

    Sur ce, je prie Dieu vous donner

    Votre entieremant plus affectioné

    Createur quil vous doint

    il et four dangereus que il ne se ceyset de

    colleges de ceste ville, auquel jenuoye presentement les

    tous ceulx qu’estoient avecques moy. Bien est vray que,

    afectionné à vous fère service

    qu’on n’y veoit que toute obeyssance et devotion au service de sa majesté ; et estime que

    commandé lui retenir logis. Le viendront trouver les

    son baliage se sont absentés. Vous verrés, Monsieur, que ce n’est

    son baliage se sont absentés. Vous verrés, Monsieur, que ce n’est

    longue lettre, fors que je prie le Createur après avoir presenté

    bien humblement à la votre. De Grenoble, ce VIe aoust 1572

    avoyt treuvés par les chemins. J’avoys belle envye, Monsieur,

    cartier, vouloir que je soye advertit de la

    service au roy et à vous quand vous playra luy faire tant

    Nostre Seigneur, auquel je prye que vous doint sa grace, acompaignée

    jespère que se ne sera rien, car jeus à soyr

    estre à ceste toussaintz à Grenoble pour voir quel cours prandra la sollisitation

    celle de madame de Gordes. Je prie Dieu

    seigneur légat et que vous laurés plustost par le moyen

    des lieus où le passage se dressera ne vous pourront avec occasion envoyer aucunes

    acquetz de tous les articles y contenues et veriffier les sommes

    heureuse et longue vie. De Paris, ce XIIme octobre 1572

    desiré. Hier, par l’advis de messieurs les commissayres de

    quinze soulz pour ses despens. Je suis esté bien fort aise d’avoyr

    De Ancezune.

    Vostre très humble, très hobéyssant filz

    bonnes graces et à celles de madame de

    longue et contante vie. D’Apt, ce XIII octobre 1572

    pour aviser à prevoir quil nen vint aultre deshordre en ce

    grace et suplierey le Createur vous donner

    Nous vous envoyons une copie de la lettre dudit sieur de Chastelard, en

    suplie bien humblement prandre soubz votre protection et les faire

    Createur vous donner

    Monseignieur très longue et heyreuse vye. D’Embrun, ce XVe jour doctobre

    s’en trouver mieulx ; et y porte une chause de chien.

    lon a faict tenir vostre paquet à madame de Gordes par

    et prierai Dieu vous donner,

    desplaisant de son mal s’ile ne m’a creu :

    prieray le Createur vous donner

    de nous acheminer en Piedmont où est ma compaignie. Ce

    ayant charge des deniers, sires Joseph Lechas et Christofle

    et comme filz

    Votre très humble et très obéissante

    preparer bonne trouppe pour le venyr

    monsieur de ce quil vous plait de vous comptanter

    se fit la velhe ; et par celle hocasion quelques-ungz se

    ce XVIIIe octobre 1572

    discretion de le relaxer ; est vray que je retarderay de fère response

    Montpellier ; jeusse esté bien fort comptent si moingz il

    G. Olier

    bien aubeyssante amie

    je me recommande très humblement à votre bonne grace.

    jamais les nuictz pour ouvrir aux courriers et

    de les abandonner, ne regardant que au bout de

    le prince d’Orenge s’y vouloit acheminer et que ceux de Sanxerre

    audit boys et messagers qu’il y fault mander de plusieurs coustez, quand

    nouvelles s’il vous plaist. Et en atendant, je me

    plus affectionné serviteur

    en septe ville et atendan d’avoeyr de

    tant pour moy de me donner loisir pour ne les laisser

    ce XXIIIIe octobre mil Vc LXXII.

    pryant Dieu

    nos laquè pour antendre de vos nouvelle. Messieurs des

    Hourche

    chambre à la quelle, quant elle cera acouttrée pour-

    donnée, cele desmentellement de ceste ville, m’en a gardé,

    vingtz homes, tant de pied que de cheval,

    prieray Dieu

    G. d’Avanson, A. d’Ambrun

    qu’ilz vous fournissent du boys, je vous prie monsieur de Montleheu

    Turene, la pention de l’évesché de Fréjus à monsieur de

    seigneurie aura receu ladite lettre, que me gardera vous en faire

    faict varier les tesmoings de la vérité, au moingtz en partie,

    jours, et pleut à Dieu qu’il y feut désja,

    bien humblerment, Monsieur, ne permettre que ses

    de vous en toucher aultre chosse, me fera finir la

    oizelle de La Coste, ma seur, qu’est seule icy avec monsieur de

    royne sa mère, Monsieur, conduysent madame de Lorrayne qui

    chargés, par ladvis de monsieur de Veynes, dung charretyer

    monsieur d’Hourches. Je luy en escrips par ceste despêche

    ment grande, bien que je m’y conduyse le plus modestement

    pour faire tousjours quelques provisions, atendu la grande charté

    de ferronnier. Sans ce bon ordre, les mains chatouilloint

    qu’il sera. Il vous dira touttes novelles de ceste cour,

    de Cabanes, par laquelle je me rapporte. Je l’envoye à madame la grand

    de personnes qui ne furent jamais de la nouvelle religion

    et ne désirons metres fortz que ceux que Dieu

    je vous puis asseurer est madame de Caseneufve

    et me prièrent leur faire entendre la peine où vous en estiés

    passer oultre. Vous pouvés pancer monsieur si je serois marry

    de l’y envoyer sans peyne, n’y avons voullu procéder, remectant

    sus eulx, par façon qu’ilz ont esté contreintz augmanter leurs

    Dieu

    bonne grâce, prient Dieu vous donner

    A La Roche, ce XXVIIe de novembre 1572,

    Borye

    en guarnyzon à Beys, de deux sans hommes que

    hors, Dieu grâce, long temps y a, de ma fiebvre

    concervation et saulve garde. Monsieur, scaichant mes actions de

    j’ay monstré à monseigneur le maréchal ce que vous m’en escrivés,

    H de Montmorancy

    que sa présence nous est réellement requise pour le lieu qu’il tyent

    de Causseins pourroit pratiquer que le régiment dudit sieur de Saint-Gerain me tumbat en main. Je m’asseure fort

    subgectz de sa magesté. Monsieur, je vous supplie ne trouver mauvays si je

    qui feut vendue à requette de Marseille. Vray est que par

    me voulloyr despartir sur ce plus expressément

    C’est de Saint Fergeau, ce

    le meylleur que vous faictes lever lesdites compagnyes, car, puisque cella est, ce païs et

    advent que venir en ce païs. Touchant ceulx d’Oranges,

    très humble service, priant sur ce Dieu

    Monsegneur yra devant Sancerre, premier qu’à La

    et souvenence, suppliant mon Dieu vous donner,

    monsieur, vous avoyr en sa saincte garde,

    ung mulard, quatre canardz et deux biches que je

    consses voutre voullenté ; et ne se prézentans

    Voutre très humble serviteur

    tourjours gens aux portes et sentinelles qui voient

    lieu que puisse servir de forteresse ;

    serviteur

    et très longue vie. De St Vallier, ce IIe jour de décembre 1572.

    est allé de la part du roy, passant par la Bourgougne pour y

    désirantz tousiours mieulx disposer cest affaire, escrivent parmy autres

    prester le serment soubz la charge de l’homme que

    sy ainsi le trouverez bon et en toutte autre chose auquel je auray moien de vous

    qu’à mon retour il n’a pourveu, je m’y ayderey

    casi rien recouvrir et cy ont dit qu’ilz ne payeront

    servir à l’expédition de Nymes ou ailleurs où il luy

    tousjours prestz à y hobéyr et pour vous faire très humble et agréable service. Qu’est

    Serviteur

    le Créateur vous tenir

    des villages d’icy autour vont et vienent delà le Rosne veoir leurs complices. Or

    longue vie. De Gap, le Ve de décembre

    Votre bien humble serviteur et perfaict amy

    autres de Daulphiné qui m’a faict vous prier d’y adviser. N’ayant autre choze

    H de Montmorancy

    là de désormays vivre catoliquemant. Dieu veulle qu’en Daulphiné

    forgés au chasteau de Montsegur comme je

    qui s’en va advertir sa magesté pour [barré : l’advertir]

    pouvez pancer. Le bon Dieu m’en donnera consolation quant

    par icelles toutes deux entendu la peyne en quoy vous estes à vous faire

    obéyssant serviteur

    cueur leur assister de sa bonté et grâce et vous donner

    quant ilz s’en vouldroint retournez, ilz soint remarquez aux passaiges. Vous pouvez bien faire

    mettre ès garnisons sur l’estat de Milan et, comme

    et m’en revencheray à vous faire serice d’aussi bon

    quarante escus pistoles pour mettre à un limon de

    car il s’est trouvé si nouveau qu’il a esté plus de six jours

    noutre ville et ne sachan chouze qui mé-

    de Gordes. J’ay escript à monsieur de Caderosse par son rentier

    et de laisser une religion que je tiens pour

    moyens ; vous feray ceste plus longue si n’est

    rendre seurement à monsieur le chanoine

    Monsieur en parfaicte sancté heureuse longue vie. De Gargas, ce XIIe décembre

    voyage par deça pource que vous voyés les afferes assés amborroillés

    Baptiste de Simienne

    Neyron

    comme il s’i conduira. Monsieur, il faut sur ce prandre une

    trois ou quatre fois à monsieur le prince daulphin de la ch-

    esté grandement déceue et trompée pour le faict de la religion

    ne fust que la ville en fust esté offensée et

    escriptes, qui sera cause que je fineray la présente par mes biens

    et très heureuse vie. De Suze, ce XIIIe décembre 1572.

    Au demeurant, monseigneur, l’affection que j’ay au service de monseigneur

    Votre afectionné serviteur et humble amy

    Monlehuc

    en recevront la moindre commodité

    voulleu hobéyr à votre dicte commission et mesme que

    pour l’aller trouver, ce que je feray au premiert jourt. Ilz sont tousiours hors du chasteau dudit Greignan.

    faire ce mot, qui sera pour vous dire la continuation

    monsieur de La Noe est dedans. Mais j’antans que l’ons

    recommandations, nous prions Dieu

    par hostages, comme je vous avois cy-devant escrit, vous pourrés

    les humbles requestes et remonstrance nécessaires, lesquelles nous vous

    de votre faveur à l’endroict de mesdits sieurs de ladite court de

    aultres aparticulierités que je ne y reiterey point yci

    cella, despuis le moiz d’octobre, j’ay eu

    vous ; toutesfoys, je ne pensse pas que nous ayons ce

    Dieu face merci et son maryage l’ont occupé, mais il

    Hourche

    Grenoble, XIXe Xbre 1572.

    grâce

    affectionné serviteur

    serviteur

    ayantz présenté noz très humbles recommandations, nous

    faicte des dernières lettres patentes du roy, ont mandé un long discours

    je vous puis servir en quelque chose, je vous prie me le faire entendre, car je

    éviter toutes soupsons et calumnies, il ne se laisse approcher ces gens-là

    une charrete qui nous a coupté trante frans dudit pays,

    et portant une lettre pour arrester monsieur Bellièvre pour trois ou quattre

    Vostre très humble et très hobéissant serviteur à jamais

    que ses actions respondront à la volunté et commendemens de sadite

    oultrecuydance et témérité, attendu mesmement qu’à ma prière et instance, monsieur

    vous pourrez avoyr receu maintenant. Au reste, on tient pour

    grandz seigneurs de France, et mesmes faict les affaires en ceste ville

    sceu par mes dernières de la continuation du voiage

    de luy. Monsieur de Gargas et toute sa compaignie est en fort bonne

    main [ effacé] pour vous faire service, priant sur ce le Créateur après

    de Dampville et à ce qu’est de son adventaige et grandeur, et

    de ce fère, mais ce n’est rien. Toutesfoys, l’on en discours

    Votre très humble et hobéysant

    et longue. De [barré : M] Turin, le XXVIII de

    places, mais elle ne trouve pas partout le crédit qu’elle voudroit ; pour

    Votre très humble et obéissant serviteur

    très obéyssant serviteur

    temps m’en aviez escritte. Elle s’est mellée parmy infinis autres

    pour affaires importans le service de sa majesté de deça, soit couru en toutte

    core è beni al tesorer è chel mi presti denari

    voyr et attandant ce bien pour

    vostre bien bon et affectionné

    grace, en suppliant le Créateur qu’il vous done

    aultres de marché plus proches que sera jeudy

    sont ramforcer dans Privas de quatre à sin cens

    de Mansfel qui demeura general des Allemans après la mort

    que premieremant vous ne layons essayé à ce voyage qui me

    le Createur vous tenir,

    tant enpeché pour dresser equipage de camp en fin

    votre bone grace, prieray Dieu vous donner,

    de jours en grands trouppes ensemble par ledit lieu.Signe

    prieray le Createur vous donner,

    Nous esperons que le sieur Charles son frère luy succedera en

    gentilhome à prandre les armes et que l’on l[u]y

    ny respondoint assez. Je me prendray garde à ce quil

    conduyre et vous puys dire que, Dieu mercy, pour

    de sept francz le moys, je [barré : me] puisse nourrir moy et mes

    en eusse advertir. Ledit Perronis sen va à Grenoble quil vous

    lon me faict entandre que si elle est parachevée à la my febvrier, quilz auront usé de

    moins le bienfaict à eulx que sil estoyt faict

    surce votre bon voulloyr et intention, et que si nous eussions exigé

    pour le votre particulier me trouverez aussi prest à vous rendre toute

    Votre très humble et

    1573

    montagnes pour y faire chasser et y

    Humbert Dubois, Meraud Lambert naguères aussi habitans

    mais il s’asseure quil nen fera aucune. Par cela, monsieur,

    conviendra, avec ce beau temps qui se prepare, nous tenir ordinairement

    de continuer, monseigneur, vous donner plus ample advis de ce que

    et à moy votre bonne grace. Du Buys, à votre maizon

    facheuze qui mescusera et recepvrés sil vous plaict

    ou deux cens hommes chacune. Jay obtenu du roy que des deniers

    vous escrire, je salueray voz bonnes graces par mes très humbles recommandations,

    voullu faillir de faire, vous suppliant, monseigneur, y pourveoir

    retarder ce porteur qui est arrivé ce matin et je ley despeché

    13 Janvier 1573.

    Bonyface. Il e[s]t arivé en septe ville ili ad

    bonne grace, prient le Createur,

    maintenant vient d’arriver de la court ung advocat catholicque de Nysmes

    remertions et suplions croyre que ie ne desirons rien plus que

    Marguerite de Simienne

    Charles de Simienne

    monsieur de La Roche mon oncle de mes très humbles recommendations, comme fayct ma seur et mon frere

    acheté des armes, charrete, lit de camp à pavillon, comme aussi ay je

    car je masseure que vous nentendez point que ces gens là

    ceulx de la novelle opinion, lesquelz il doist

    mesmes que ung jeune homme, nommé le Cadet de Foulhouse, feust blessé dernierement

    A de Maugeron

    graces de mes très humbles recommandations. Je

    sordas les quels sont au[x] prizons de septe

    et Polyni et aultres inconnus passarent pour

    de bien bount ceur à votre bonne grace

    sil survient quelque choze pour le service de sa

    Montelimar, se XV ianvyer.

    venir de Lyon. Ilz font bien courir le bruyt quilz

    ce XVe de janvyer 1573.

    sont fort obeyssantz et rengés à la relligion du roy. Mays ceulx de Bordeaulx

    XVIe janvier 1573.

    cestuy cy. Il sentend qu’en première instance, elles sont en la

    Votre très humble serviteur

    vous faire entendre ce dessus affin que votre prudence

    La Biesse, votre mayson, ce 16e Janvier.

    Bochet

    y hobeyr daussi bon cueur, que nous prions Dieu

    ponyt [= poynt] frustré de lesperance que je heu tojour

    De voustre maison d’Ancelle, ce XVIIe janvier.

    forme, le pris estant bien payé, suyvant laquelle je suys

    femmes et plusieurs creanciers qui ont formé opposition

    et fère toute ma vis très humble service. Priant Dieu,

    votre bonne grace. Priant Dieu vous donner, monsieur de Gordes, en bonne santé

    longuement . Et à tant, je me recommande très humblement à votre

    ny aura aucune faulte. Dieu le veille et crois

    par cestessy, sy non vous suppli recepvoir mes humbles

    reduction d’une brebis esgarée, anquoy je

    desditz lieulx si ce nest à Aoste, où sans linclemence du temps, deux jours y a me [barré : y]

    qui en soit digne, je vous prye luy donner congé de me venir trouver

    toute ma vie acomplir daussy bon cueur que la

    qu’il vous pleust me donner pour luy une permission

    que ne soyt le pemyer jour de Careme comme je nay troys

    arrière il me souvient que c’est esté, discourant de

    je suis bien dadvys que vous ne les faictes poinct payer, ains

    Madame de Gordes et monsieur de La Roche liront sil leur

    Sancerre et dict qu’on se promet davoir La Rochelle

    mandemant, scaichant bien que toutes lettres concernantz ces ou

    devant la cort et tant je avertirey monsieur

    abitant à Marsellie. Elle avouet une sienne

    quelles sont bien propres pour retenir plusieurs en devoyr

    vous vueilliez faire estat davoir toutte puissance sur moy, et croyre que je

    Les consulz de Vienne

    A de Sainct Auban

    fort asseurez que cest pour le service du roy, et quil ny a aulcunes piècces

    Vye. A Bressieus, ce XXVe janvier 1573.

    monsieur, quil vous doyent en heureuse santé

    loysible negocier ses affères au terroit de Gap où

    Laurence de Simiene

    car on navoit pas opinion que lempereur y peut grand cas ne pour son frère, ne pour son filz. Il passa harsoir un gentilhomme venant de part

    faictez se bien, je vous serey tourjours plus fort obligé

    tant quil peust lattirail de ces canons si bien qun de ces jours et le temps pour camper

    une partie demeure ancores en ceste craynte. Par quoy je desire scavoir

    daffères en cestuy bayhage, ormis à La Freyssinière

    est intervenu une grand dispute sur le faict du gouvernement

    adverty luy estant pardeça, de laugmentation ou diminution

    avoir nostredict vassal pour l’amour de nous pour bien recommandé

    estre de son party, dont il se sentoit tellement

    sont esdits païs en estat si trancquille quil ne fault craindre quil en arrive inconvenience

    vous prie de mescrire souvent, et si vous pouvez vous

    Et daultant qu’en cela vous pouvez avoir plus de cognoissance que nul aultre,

    pour Dauphiné quil avoit de provision et si en heusses

    tous les jours [barré : sus] près des muralhes de la vile,

    monsieur, vous donner en prosperité et santé, très heureuse et longue

    portée, laquelle je vous prie conserver avec moy en votre bonne

    sera, comme iespère, bien tost. Jay receu ce matin

    murailles. On enfonce touts les [barré : f] jours force vaisseaus affin de rendre

    avoyt quelque advis et a la pluspart de la noblesse esté

    desordre et quilz vivront selon quil vous

    Je vous puis assurer quil se porte, grace à Dieu,

    le bien paternel de ma fame, je vous ay bien voleu

    icy. Atendant en bonne devotion, ie men vois salluer voz

    vous acheminer plus tost par de sa que naviés intansion.

    magesté pour le supplier très humblement se contenter que

    scavoyt rien. Je vous supplie monsieur, sy voyés

    choses necessaires et importantes. On dict aussi que Monsegneur

    et les menvoyer en lequipaige que vous scavez quil est requis en cela. Il me semble que

    occazion et que si je men pouvoys passer, je le feroys

    blessé. A Briare, ce XXVe febvrier

    fère. Pourquoy il est nessessayre, [barré : que] monsieur, que

    deià declaré que sil avoit besoing de mille ou deux mille escus,

    bien de vous voir bien tost, je vous presanteray

    Votre très humble serviteur

    Monsieur je vous prye faire mettre mes lettres à la première

    ne vous porte dommage. Et en cest endroit, je me recommande

    pour les aprocher et pance que ce soir lons y travalhera.

    scavoyr à cause que vous scaviez lamitié grande

    ledit corselet et quant mon filz de La Roche viendra,

    voz commandemens pour iceulx execuquater [sic] daussi bonne vollanté

    pas sy noz gentilhommes de la novelle opignion vous ont demandé terme

    que peult advenir ausdits catholiques. Surce, attendant

    conforme à la raison et à ce qui sera plus utille pour mon service et soullagement de

    à votre bonne grace. Priant Dieu,

    à cause de ceux qui sont dedans que je doubte de

    monsenieur, vous tenir en sa sente garde. Ecript

    que jadvoys heues quen ce pays vouloyent remuer. Mays

    general de son altèze aveq les lettres de

    convertion soit par doulceur ou par rigueur et force.

    disent qu’estant près de la ville beaucoup deulx nont heu

    employés pour sa deslivrance et escript au seigneur de

    pour vous supplyer très humblement de vous tenyr sur voz guardes. Quar je say de bon lieu que

    monseigneur, pour votre très longue et très heureuse vye

    et très hobeissant serviteur

    qui ont commandé dans ladite ville lont tousjours fet abattre

    regard il vous en sembloit et vous à moy encore que nous ne fussions pas du

    je ne faudrey vous en advertir. Et sur ce, monsieur, je vous

    toutes choses et oultre ceulx que y sont hordonés yl

    votre compagnie pour soppozer, si tant est quilz voulsissent

    retiré au sire Pierre du Rifz, [barré : f] rantier de madame de

    de y pancer et me comander au demeurant tousiours

    nusse falhy à les fère bien boyre. Quest tout ce que

    jusques icy de commencer de les rattaquer et jusques à larrivée du sr de Savignac quy

    pour ce faire et les pauvres gens sont bien en

    laffin ; par laquelle et ne desirantz rien plus

    pouvoyr. Le souldat qui me devoit vendre le

    importante pour le service du roy et aussy comme son serviteur

    je fyneray en selluant vous bonne graces de mes très

    des munitions et artillerie qui sont dedans et sans que ie

    escripre à monseigneur de Mandelot en faire de mesmes en son

    seure que fère vous porrés pour pouvoir passer outre

    service et de ma dame de Gordes, comme aussi

    passer à l’entour desdites murailhes, et des

    la peyne s’ilz antreprenent le passage. Il est

    Logière que vous menera cinq cens hommes de pied, et l’artillerie

    monseigneur, quil vous conserve en bonne santé, heureuse vie

    desmeurat sur la place soixante ou quatre vingtz et quelques prisonniers

    fois je n’escris à madame de Gordes pour ce coup elle m’excusera

    qu’il y peult avoir de les faire paier de ladite demye année je n’en voys que

    humbles recommandations. Priant Notre Seigneur vous donner,

    cependant finiray cette par mes plus humbles recommandations

    esté ordonné. Je viens presentement de recevoir deulx

    me recommande très humblement à votre bonne grace. Priant

    très humblement à votre bonne grace, et prye Dieu,

    bien garnies et si votre estang est voysin et proche de la meyson.

    Grace, de selle de madame de Gordes. Priant

    fault plus atoundre que vous veniés en Provense.

    sauf votre meilleur advis, de renforcer bien et fortement

    garder ny de bouger d’icy que je suis contrainct de vous

    conversasion de vostre mari en sa religion ; que si

    s’il i a moyen de le saulver. Mays je me doute fort

    sa justice ; et de l’usurpation des biens des povres et d’une indignité

    tiltre ou economat et la luy envoier qu’est par

    avoit une armée de mer preste à sortir pour aller

    on de fère faire quelque ouverture dont on vous advertira. Mon frère

    m’escrit du dernier du dernier du passé qu’il s’en venoit à Fribourg

    monseigneur, que ie n’oblieray riens du

    pource que mondit frère pour ne trop s’anguster[ ?] demandoit long delai pour en faire approit

    donner,

    monseigneur de Montmorency estoit alé trouver le roy à

    esperoyt le scavoyr par aulcuns qui estoyent à Montz avec luy

    par economes et à la requeste de qui ilz sont establiz et depuis quel temps

    d’asurer ce qui apartient à la sus dite dame. Sela sera

    pour le debvoyr de notre charge de conformer inviolablement notre

    commandement utille et très necessaire suyvant le rapport qu’en ay heu

    n’en seroit que honorable et favorable. Si j’avois ceste honneur d’estre encor

    je ne luy aye faict scavoir quelz moyens l’on pourra voir de les

    recommandations. Priant Notre Seigneur vous donner,

    ne puis penser que s’il est bien demonstré à sa Sainteté

    monseigneur etc.

    pour le service du roy, ie vous ay bien voulu

    à la Sène qu’ilz feront ses festes, et avec

    aller prandre lettres des eglises dudit Pragella

    que verrés estre de besoing, ce qu’attandant en vous baisant [barré : la]

    soigneusement sur ses gardes. Et si j’apprans quelque autre chose, je ne fauldray

    serviteurs à jamais les conseuls de Vallence

    menées en leurs vile que leurs prometoyt hou la

    surce à votre bonne, grace priant Dieu vous donner,

    et quo erumpent qui apud extores cieri motus dicantur. Monsieur le

    Vostre très humble commère

    fournir vivres, celle du cappitaine Aleret estant

    que je treuverois bon de leur mander quelcun pour les commander. Car

    et au dessus à monsieur mon nepveu monsieur de Novesan.

    Laurens, en votre maison, ce 9me jour mars 1573.

    pour surprendre le chasteau de Beaufort. Jen

    payer autrement vous verrez bien tost ruyne un qui vous est

    porteur vous fera entendre quelques affaires que je ne vous escritz poinct, et attendant

    congnoissance de cause bonnement pourveoir estant bien fort marry

    cappitaine Maistral et la contribution [barré : compagne] des conseulz asesée. Voila pour

    descouvrir les forces dudit camp pour les surprendre

    de la presente la declaration de sa presente nulle et de nul effect. Et si ne voullez

    hoquíl [= ou quíl] Vignie jusques audit lieu Chious madite

    vye. Du Fayet, ce Xe de mars 1573.

    par la fin, je prie Dieu après m’estre recommandé à voz

    marry pour la retardation que cela apporteroit à la venue de

    et les portes toutes pourries, comme sont

    1573.

    païsans dans la ville qu’ilz font leur santinelles quant ilz en ont besoing

    je vous puis escripre pour ne scavoir chose digne de vous et aussi

    vie. De Lyon, ce XIe jours de mars 1573.

    Pousin. Je n’en doubte pas moings. J’estoys après quelque dessayn

    Monsieur le marechal m’a escript pour le

    me rendray lendemain, Dieu aydant. A St Leger, où ne

    j’en aye faict estat aultant que de chose du monde. Je vous prieray

    d’icy à la prise, et scachant qu’ilz avoient leurs grains aus grandes procheines

    je prie Notre Seigneur vous donner,

    Dieu de tout lequel je suplie qu’il ne m’abandonne

    monseigneur vous donner très eureusse et longue vie.

    demeurer entre les mains de son cousin monsieur le Gardier iusqu’à ce

    est au camp pour lecheance des mortes payes et vous

    furieuse à La Rochelle où il y est demouré, que mortz que

    au bor de l’eau qui sont monté sur le basteau que j’avois faict descendre, qui

    don elle san resantit fort peu aujiourdhuy. Elle a prins

    remonter quilz ne leussent forsser ce quil[s] ne peulvent

    secret, sinon à ceulx qui le meritent ; nous

    votre humble voisin et serviteur

    sans ayde daultruy jusques icy, quilz desirent faire de plus fort au besoing

    de Damville et crains qu’il ne se trouve beaucoup daffères.

    Votre très humble et très obeissant

    Vous frères et amis à vous fère

    et luy en escriptz et vous supplie humblement accompaignier ma

    surprendre quelque batteau sur leaue. Lon ma mandé

    tousjours sur leurs muralhes à celle fin

    Votre affectioné serviteur à vous

    Votre très humble et obeisssant

    ung taborin sans fifre à cinq escus

    Votre très humble allié et

    supplie le recevoir et tenir la main selon votre acoustumée providence que tous

    recommandacions à voz bonnes graces, priant Dieu

    volunté que vous maccorderés ledit saufz conduit, lequel je vous supplie très humblement,

    majesté et que je me trouve à la monstre ce

    responce, ferey fin à la presante, après vous avoyr presanté

    nommer le lieu, où sera procedé à lelection du roy

    à tout si li plaict, comme il cognoistra nous estre nesesère. Ny

    comanda hyer, en ma presence, la compagnie du capitaine Colom estant au

    remuer plustost que de se contenir; de sorte que, joinct

    à nous serions presque à la fain, esperantz que avec laide de Dieu

    Cest Harlem doù le duc d'Alve

    Votre plus afeccionné à vous faire servise.

    de celle de monsieur de Maugiron. Sil vous plaisoyt

    très humblement vous voulloir monstrer protecteur

    et que possible il ne se pouroit trouver à larryvée desdites

    nouvelles. Je vous veulx bien advertir comme les sieurs de La Noue

    de langes

    de Neufville

    les vouloir descharger de ceste contribution, atandu la grande

    Elle nous a dict quelle recommancera à vous enuyer à force

    ceans, avons esté tous les soirs de garde. Surce, je me recommande

    de retenir les magazins bien pourveus et fonciers en favorisant les povres

    votre très humble et très hobeyssant serviteur

    resseu les votres du XVIe lesquelles hont grandement rejoy

    dedans ne vous peut voit pas falier et tout se quy est; atandant vous comandemens

    messagier d'Ambrun qui ne peult partir jusques à demain dycy

    et moy, leur desirer, en consideration aussi de monseigneur

    monsieur en très bonne santé heureuse et longue vie. De

    des lieulx pour obvier aux fraiz à ce que vosdits [barré : officiers] tresoriers nayent à faire telle difficulté

    à le remectre incontinant en la joyssance de ses estat et biens, et luy en

    Caterine

    [barré : que jen ay quelque bon ordre que jey scaiché donner, attendu leur mauvaise volunté]

    prie y faire prendre garde, et neaulmoings sy dextrement que cella ne puisse

    par les viles et lieux pour les garder que lesdits de la

    au sieur de Veaune laubeine de ce marchant de Lyon, pourveu quil ne

    Caterine

    de huguenaulx ; et ne puis pas fayre comme sy javoys les forces

    siège du balliage des Montagnes. Montbrun, qui en est voysin quatre

    de lallienation de votre domaine, preste, [barré : jay] je vous ay bien voulu supplier très humblement,

    d'avril 1573.

    et vivront suivant mes commandementz et non leur courir sus comme aucuns

    de m’advertir diligemment. Il est veritablement besoing user de la force des armes

    davantage à votre service [trois mots barrés]. Je fayz tout ce que je puis

    jay grand regret pour avoir servy et

    pris, à la première commodité seure lenvoyrey querir.

    et du capitène Baron et de sa fame. Et prie Dieu

    en sa garde saincte. Escrit à Fontainebleau, le IIe jour de may 1573.

    monsieur en bonne santé bonne vie et longue.

    destat dudit sieur de Savoye men ont escrit, mais les commis des troys estatz

    dudit defunct en y nommant personnage capable, ou de telle partie dicelle quil

    dernières despeches. [barré : Il vous] et vous plerra croyre le sieur

    Madame, il me desplaist bien de [barré : donner] vous donner telles nouvelles que de la

    mescrivez à combien se monte ladite imposition et en quelle sorte vous la faicte

    que je prie Dieu

    avoyt escrit en faveur de ceulx du canton de Wallay ausquelz, en consideration

    menassée, causant la justice que y fut faicte

    pendant vous dire que ma vollunté est que les proceddures qui se font contre

    de mon frère le roy de Polloigne pour vous renforcer de quelques

    par toutes les villes de votre charge et mesmes y faire aux meilleures et principalles

    me gardera le sens ; mais je vous puis bien asseurer

    Brulart

    Charles

    edict, en ensuivant voz commandemens, je me tiens le plus fort pour, si besoing est, les

    à luy, ni en son gouvernement, syl pleysoyt à votre

    sil vous plaisoyt, sire, luy impartir de votre grace et bonté [barré : v (?)],

    à lennemy en attendant den estre survenu de votre majesté sellon les instantes prières

    sieur de Mandellot desempare son gouvernement en ce temps icy si divers, toutesfois,

    incontinent an debvoir de fornir ce qui leur est commandé par voz

    ains vous tenez tousjours le plus fort que vous pourrés, pour en ung besoing,

    attendant les [barré : lettre] commissions pour le recouvrement des

    toutes contributions et impositions extraordinaires qui se pourroient faire et tenir audit païs,

    de la part de son maistre, car il a tout commandement et charge generalle de luy pour

    le entretenir et faire inviolablement garder ; et aussi leur faire veoir que où ilz

    prye de les leur envoyer par lun des votres que vous depescherez exprès devers

    necessaires soient obeyz et assistez de tout ce quil sera possible, affin que plus

    response au plustost de tout et avant qu’on vous

    benefice dudit edict, et aurois un très grand regret quilz fussent si mal

    qui est contenu audit edict pour le regard de la relligion,

    suivant votre [barré : gou] commandement, garny de memoyres et instructions

    res que ce soyt un grande foule en ce païs # [en bas de la lettre : # Il seroit très bon, sire, quil vous pleust, par votre prochaine despeche, me commander, si tant est

    exigé plus que devant et demoly jusques à votre chasteau de

    1573

    les moings ne men parla il jamays] [barré : quoy attandant] je supplieray en

    separeront deux mesmes de toutes associations illicites. Je remectz le

    affin que je puisse veoir mon intention executtée comme je le desire,

    seureté deulx et de leur famille ; et davantaige, quilz nen puissent

    que [barré : ilz veulent] cest pour veoyr comme [barré : la rece] en usèrent

    lettres et par paroles quant sus la mienne ilz sont venus

    le debvoir vous y obligent, et faire faire commandement très expres à cry

    tiennent et par lettres interceptés, des queles je vous envoye

    et le debvoir vous y obligent, et faire faire commandement très exprès à cry

    suspenssion des armes. Monsieur d’Evènes, mon frère, ou monsieur

    pour trouver moien de paciffier les troubles qui sont de delà. Je les feray

    monsieur, vous tenir en très bonne santé. De St

    par lesdites lettres et commandement lequel, bien

    votredit gouvernement et que pour le present vous naviés encore entendu le volonté du roy,

    lieutenans generaulx envoye ladite compagnie se puisse

    et plustost que de se veoyr à telle perplesité ledit sieur de

    manderés des depputez de votre part comme par cy devant vous avons escrit

    quarante [barré : ung] neuf et vingt ungiesme octobre mil

    et m’intimidant de treuver aultre embaslé ne les ay creu,

    avoyt heu de le prinse dudit Menerve estoyt en desliberation

    Estoille : Xm p. X p v. –

    tous ses meubles jusques au boys de litz et les a mys dans la Bastie

    Il ny a autre chose pour le present ; surce, nous prierons Dieu vous donner

    decembre 1573. Charles Fizes et au dessus : " A monsieur

    là, nous nous retirames en Suisse, suyvant le conseill de

    voyzin

    dhomes pour resister à telles violances que aussi pour

    à six sens. Je y ay renvoyé. Ce que gen pourè savoir

    sont braves souldardz ausquelz y a plus

    lannée passée, mil cinq cens septante troys, que combien que

    brasoynt tant sur luy que contre plusieurs aultres seigneurs

    [barré : et] bonne dilligence et conduicte dont nous ne scaurons faire

    ou aultre, je feray incontinant publier ladicte suspencion et la vous

    quittée une telle Republique du nom de tributaire

    de dans vouldroient sortir, il le leur permectois avec leurs armes et

    et autres estoint sur le port, fust tyré ung coup dartilherie desdits

    et comme chascun vit lung avec lautre,

    daultant aussy quelle est conctraincte ez long temps à grandz

    les armes. Nous avons mender [barré : nouvelle] hommes de

    actendant quil plaise à Dieu nous faire la grace de nous en revencher ung jour

    Pour la garnison de Vinssobres et St Maurice C XL hommes

    l’esté prochain, ou pour passer aussi en Espagne,

    vous estes du mestier, veufve comme moy et sans femme

    Item à la grande salle pource que le couvert est fort desfaict

    fauldra que ceulx qui les prendront en bailhent

    engoufé pour passer en Cecille. Hier au soir, jay receu lettre

    dung gentilhomme de la Seigneurie mon amy, lequel me faisoit entendre que le Turc, après avoir bruslé et sacagé lisle del Zente, sest aproché dix mil près Colfou

    je vous supplie donq employer le pouvoyr que Dieu et

    Votre bien bon amy

    Ce seroit proprement à ung procureur general du roy de venir deffendre à telles remonstrances,

    amys ; et de ceste mesme volanté, je presenterei

    que leur aviez faict faire prest de ceste somme ou plus grande. Je vous

    presente apprès avoir prié le Createur

    desplaire pour vous estre très humble et affectionné serviteur. Quant

    laysser assembler ung seul des miens de sabas jusques

    Je panse que ledict Cazette par monsieur de Carpentras

    fois, car monsieur de St Bounet nous en a parlé en bonne sorte. Jen croy autant de la partie

    pascé par Leysan et Chabeulg et espère qu

    vostre mère

    que je luy escripvis de largant pour le destour de son

    bon plaisir de monseigneur le cardinal de noz

    Monsieur de Suze est tousjours attendant la venue

    mois prochein pour la court, quest ce que pour

    De Gargas, le XXVII aoust 1571

    labouchement que sa magesté doibt faire avec messieurs

    Votre très humble et très obeissant serviteur

    vous aura adverti ainsi que ledit seigneur cardinal

    frère, que j’estime estre ung des plus grandz contentementz que jaye receu

    yssy, nous vous atandrons à Prunières, vous suplyant

    de prime que je vous recouvreray le plus bref que

    Monsieur de La Coste a eu noveles de Marseilhe comme lons

    trouvé ycy monsieur de Carcès qui est en bonne santé.

    1571

    se portent fort bien, et vous mercye bien humblement de la bonne souvenense

    volonté. Mais une heure après, monsieur Sarred, son secretaire,

    Serviteur

    Doryé de sen aller avecques luy jusques à Napples où il espère trouver toute ladite

    vollu prendre. Touteffois, il vous

    Monlehuc

    je nestois encores asseuré si elles estoient

    sil vous plaist, vous monorerez de tant que de croyre que je

    a cors solciteurs quil aye jamès veu au tant men at dit le

    la votre. De Grenoble, ce premier de septembre 1571

    parties aux portes ouvertes dicelle, suyvant ce que cy devant vous a

    presente pour vous supplier très humblement

    soldatz et yceulx esquarter, a esté trouvé necessaire d’en recourir

    premier jour de septembre 1571

    fille aiamais

    et sil les en fera ressentir, de quoy nous nous pourrons appercevoir avec le temps ;

    Je vous supplie sy avez de ses nouvelles commander

    Jey reseu vous lettres, et quand au duc de Candie qua laissé 40 mil

    Madamoyselle de Marcieu vous presente ses

    Prunier

    bien apaisé et me gouverneray selon le temps.

    tout incontinent, ma compagnie sacheminera, iespère partir pour la

    de Paris est party ce jourdhuy pour aller en Avignon et, delà,

    très obeyssant serviteur

    fère, qui me fera pour fin de sete letre

    tous mes compaignons et myenne : ayant entandu que

    mieulx presanter pour ce faire que le presant, attandu

    ranvoyer la Marguerite icy pour soy ayder

    Blagnieu et certains aultres bravement et superbement vestus,

    d’Arbigny, lesdites obligations pour les recepvoyr. Il vous dirat

    escript à Mathieu suyvant votre commandement

    que de croyre que en tous les lieulx que je saurès jamays estre, je

    Votre bien umble amy et serviteur

    à quelles fins ce quil est veneu. Il ce doibt vuider ici le differant de

    perdu, cestuy cy suppleast, dont vous vous servirez

    devotion et affection que jay à votre service. Sur quoy

    quil vous veuille donner

    commissaires depputés en unne chescune province pour reduire entierement

    pas treuvé telles que les fault. Nous les recouvrerons

    votre bien humble et affectionné

    Marcelhe. Je ne le scay au vray ; que sera la fin, après

    Monseigneur, je supplie le Createur quil vous doinct en parfaicte santé

    à vous faire service

    vy. De Moeyrant, se settième dost 1571.

    Sev odoard

    prierey Dieu

    votre maison de La Tour d’Aigues, ce VIIIe septembre 1571.

    Votre très affectionné amy

    de la ville deux ou troys des notables de la ville, avec leurs seules

    Votre très humble et obeissant serviteur

    Bourgel

    charge au reste. Les ouvriers du pressoir

    Gargas, le VIII de setambre

    De Vallance, ce IXme septembre 1571.

    de mon filz de La Coste quy sen va à la court avec

    quel je suplie

    B : olier

    Orcières, ce Xme de ce[ptem]bre 1571

    et que lon ne soit si fort presser.

    à sa gloyre, lequel je voys prier,

    temps ; et si je seroys si heureux que de vous avoyr

    quil seroit bien là et y pourrois

    nous mesmes, et pour nous en remectre à sa suffisance,

    que monseigneur de Nevers, en revenant d’Itallye pour

    et avoir agreable que ladite compaignie sentretienne encores

    et avoir agreable que ladite compaignie sentretienne encores

    à sasseurer. Toutesfoys, il dict que Don Jean

    Parce que vous me mandés de vous renvoyer incontinent

    auiourduy personne si digne en leur service que vous ; il me

    Provence jeudy dernier, dont jay chargé le clerc du grephe

    pour vous acheminer de ce costé le XXVe. Je vous

    Bressieu

    Et moy, je nen atandois pas moyns que

    de ce que javoys forny pour le mariage de ma nièce d’Hourches. Et nayant

    resolue du voyage de La Val, qui est à

    Thovet, ce XVIme 7bre 1571.

    pas [barré : tre] bien le moien de me rembourser de ce que javey fourni

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre

    sepbre mil Vc LXXI.

    .C.de.beaumont

    sa grace, acompaignée de longue et contente vye. Je me

    vostre humble et obeissant

    ledit sel, ne serés des derniers payés. Et

    desirons promptement pourveu de remède convenable pour

    que vous estiés aller veoyr monsieur de Savoye comme

    vous voudriés fère en son endroict en pareil cas

    touchée. Pourtant, monseigneur, je vous suplieray que soit votre bon plaisir

    Votre plus humble et obeyssante

    monsieur, vous donner très heureuse vye et longue.

    très humble service.

    monsieur de Nevers. Par les premières que on aura de la

    bon cueur que je supplie le Createur vous donner

    obeyssant serviteur

    quil ynporte de beaucoup, vous lexcuserés sil vous [plaît] ;

    luy presta, de laquelle cest tousjour servie et que

    recommandations et excuses à mondit sieur de Nevers

    pourra fère avec le temps ; que sera la fin de la presante, après

    sieur ce [barré : portost] portest fort mal ; que sera

    ce quil dict avoir entendu touchant monsieur le chancellier, au

    comme les defenses sont foybles au respect de la batterie.

    il nest besoing de celle succession à la palce lun de laultre, si tant est que

    monseigneur, vous doner ce que vous desirés. D’Orcière, ce 3e

    long et facheux discours ; et surce, attandant

    chair de beuf III Lt

    à deslaysser les maisons et se retyre tant dans

    respondre à la votre que ma rendue le sieur de Savynes,

    le douziesme janvier 1574.

    ce que ie scay que mon frère ne mabandonnera

    adressé à monsieur Brunel, ma baillé celle de monsieur

    Il sentens que Mombrun liève gens et quil veult aller à Guillestre, faisant

    voullu vous faire la presente, affin que, à bonne heure, vous advisiez à voz

    mesmes de celle de Romans pour rebastir la grande demolition que les eaux y firent

    fort irrité messieurs de ça hault contre nous et qui nous a mys en

    bonne grace, comme celluy qui desire vous fayre toutte ma vye service et

    ce doict trouver chés moy le

    Et à moy les votres. D’Issingeaulx, ce vendredy XXIIIe

    prie faire de la response qu’aurés de monsieur de St André.

    pas fort fier au semblant que les rebelles peuvent

    du Daulphiné pour y remedier quant à ce poinct et pour

    pourrez veoir par les double de la siene dernière que

    en ce lieu une compagnie de cavalerie suyvant loffre quil vous

    voire plus de fatigue à [barré : la] fère hobéyr les officiers que n’ha heu de lobtenir.

    très humblement et mourir à voz piedz. Et du surplus,

    entendre à monsieur de Gordes, il nest permis à aulcun

    ses sainctes graces. Cest de La Bastie Neuve, ce XXVIe janvier

    les maiens daussy bon ceur que prie

    monsieur, quil vous doint la sienne, avecques très longue et

    vie, me recommandant très humblemant à vostre boune

    parler pour mon frère à quelques ungz de messieurs [ajouter : les commys] du pays, ce que je vous en

    ce que ie puis comprendre, pourra coster le tout IIIc Lt

    le leur fayre bien sentir, masseurant que ne me

    dict [barré : a dict] au colonel Heidt comme sur la plaincte que luy en fust

    alarmes avec menasses dabandonner le tout, nous proposans garnisons,

    payement de voz arrerages de votre estat. Il vous en sera encor deus

    dire ; si est ce quil seroit à propos quil le fist pour esclarcir et fault

    au roy et aux princes et seigneurs qui luy adsistoient en fort grand nombre. Il

    Ma dame, à cause que je spère vous en dire plus

    et ville de La Coste, daultant que tout latraict n’est que bricque, laquelle en tumbant

    monsieur, vous tenyr en sa saincte guarde. Du

    service

    bon ceur que je prie Dieu,

    à Molins en febvrier 1566, telles allienacions sont bien expressement deffendues,

    a trouvé fort estrange que monsieur de Maugiron soit passé

    aulx vostres. Il ne fault poinct que monsieur d’Evènes

    qui en ont plus veu que moy. Il fault d’horsenavant tel

    quil avoyt receu toutes les pièces necessaires pour lexpedition de St-Sernin, et que

    a trouvé fort estrange que monsieur de Maugiron soit passé

    longue vye. A Beaurepaire, le lundy premier de

    monsieur le president Miliet à son retour de Losane

    aliéné. Mon beau frère ma escript avoyr monstré votre

    Dampville a une fiebvre cottidienne qui la

    monsieur, vous tenir en sa seinte et digne garde. De Taulignan,

    le peu de nombre que nous somes yssi que povons estre

    à votre bonne grace, suplient Dieu vous donner longue vye.

    ranger avec la fource, ce que je me prometz quil fera aysement en Languedoc et ce païs, si les aultres provinces

    serviteur

    alienées excèdent le prix de la commission.

    constinue.

    estoyt à Piegros dès hyer ; par quoy ledit sieur consul

    mougiron

    de ce present pays de Daulphiné leur inhibissant

    deus de ceulx qui sont à Grenoble detenus ; si davanture

    ayse ; que sera la fin, après vous avoyr

    monseigneur, me perdonné cy je suys trop impourtune an votre

    je suys garny de legitime excuse

    monsegneur, si je ney nouveaulx commandement

    très à propos que le contenu dicele soyt entendu de chascung pour

    le cardinal de Bourbon sollicite vivement le roy affin quil ny aye aultre general au Contat que celuy que le

    du roy ne du duc de Scavoye. Je cognoy bien ceulx qui sont

    et danger touchant la garde et conservation de ce lieu par plusieurs

    lors de sa prinse comme les articles portent, je ne veulx entrer

    sergent majour, joinct aussi que pour icelle je donnee trefve etsuspense à

    Rome.

    remonstranses, car à celles que lons a vues, ny a grand

    men escripvit du XVe du passé. Jestime que pour ses arreraiges,

    ceste ville menassent de y faire ung monde nouveau.

    prandre sur nos voysins et aydes foings,

    faicte pour accorder avec luy et luy en passer obligation,

    cela faict que votre segnieurie trovera les lettres dassés

    aux Thonys, villages proches dudit Bordeaulx. Et comme ledit espie ma rappourté

    particulierement antandrés par ce porteur, anssamble

    quest fort et dimportance et estoit hier sans garde. Mais je

    que je finerey la presente, après avoir prié Notre Segneur

    povre et très obeissant peuple du briançonnois qui, avec moy, priera

    ses cartiers là ainsi que sil vous plaist verrés

    pour essayer den prendre quelquun affin de prendre

    que je les aurey pour caresme prenant. Il ny a chose que merite vous

    monsieur de Gordes, lequel nous scavons veritablement

    ceulx qui font mal que gentilhomme scauroit estre ; et massure

    supplieray je, monsegneur, pour limportance que

    envye à leurs calamités. Jespère que Notre Seigneur pourvoyrat à tout sil luy plaict, auquel je supplie vous donner

    ne lessent den prandre une grand longueur. Il y a deux

    denvoyer le cappitaine Curebource avec environ XXV ou trante souldatz à La

    monsieur de Montataire qui

    que venir de France avec passe port

    monseigneur, vous donner en très parfaicte saincté,

    ouvert et espère en Dieu quilz san retourneront pas contans

    chemins sont pleins de perils. Vous aurés veu le sieur de Montataire, lequel

    iamais faire, quil vous plaise embrasser ce faict

    des vignes, prés, terres et belles pentions que feu madame avoit envie

    contre luy et informer par tesmoings comme lon dit

    de La Tivolière et de Monestier vous en escrivent

    menoit ; Pouzos y est allé aveques quelque nombre de chevaulx

    au siège de Montilhimard, lequel feust adverty dans ledit Corp

    Soudain quil y aura arrest, je ne fauldrey vous en advertir

    quil trouvera noz religieux bien opinisatres.

    bonne chère et toute sa troupe. Le duc de Cazemyr laccompaigne

    quoy que monsieur de Rosset ayent trouvé traictable le sieur de Mirebel pour le reguart des prisonnyers quil

    prisonnier audit Chantejol a declaré que ilz avoinet inteligence à

    à Crest, par le moien de telle menée preste à exequuter

    m’asseurant tant de votre seigneurie quils isront bien soubz votre

    qu’à deux lieus prez de nous. Lon nous a volu asseurer

    pas sans trompette, Dieu aydant, auquel jay esperance

    que nos troppes marchent par foys en pays, cest seullement

    davoir pour la cappe. Sy par lettres de monseigneur le mareschal

    gagné ma cause, et ne me reste pour avoir le

    traicter de la façon que ceulx dudit St Saphorin,

    et de feu madame. Je luy ay offert vostre dit lougis, meubles,

    serviteur à jamais

    humblement à votre bone grace et prie Dieu,

    eviter de vous payer les lauds de plaisance, vous va

    eviter de vous payer les lauds de plaisance, vous va

    monsieur de Maugeron. Monsieur de Langes mescrit que il

    Je cuyde que cestoit sur le point que pensoit

    mon consel, quelque longar que me scaroyt aver[t]i. An ses antrefètes,

    toutes autres choses que vous plerra me commander

    votre bonne grace, priant le Createur vous tenir,

    Sainct Prie et à Brunel, vous asseurant que madamoyselle

    du sieur Carlo faict aujourdhuy ung festin à toutes les dames et

    de ganvier 1574.

    a forni, ou bien à [barré : l] lui de cent trente et set livres et demie et soixante

    le Createur vous donner,

    Bap[tis]e de simienne.

    monsieur, en parfaicte santé, heureuse et tres longue vye. De

    Votre plus humble à vous fère

    la trefve le chesteau et lieu de Menglon, et si ne

    Bap[tis]te de simienne

    Jespère partir pour Paris dans trois jours et

    longue vie, me recommandant très humblemant à

    mais à present il se porte mieux et a passé deux fois le jour suspect

    de noveau à present que merite vous escripre, finerey

    très humblement monseigneur, i advoir esgart, vous assurant que

    que cest de vous que sadite magesté en aura testé advertye et non du seigneur de Mandellot, estant lartifice

    silz ne fussent estez descouvertz par la sentinelle du clochier

    ne vous pouvant mander de ce

    pense vous en ai escrit. I’ai receu voz procurations

    Garde me parla à Valence en votre presence et luy promistes

    après ceste tresve expirée Clays, Feysins et Sassenage

    monsieur de La Cazette, lequel a volleu retarder son execution à cause de la suspension

    peu de substance pour soy norrir, ne leurs

    à monsieur Du Van pour la vous fère tenir, se qui mat asuré.

    avons accordé, estantz tous assemblés avec messieurs

    que sera pour fin, après avoir presentées mes humbles recommandations

    des deniers de la guerre et lequel, pour ceste occasion, je mappresteray

    Monseigneur, le XXIIIe de ce moys, jey receu la votre du XIIIe // [// escrite à Pezenas] et par icele veu que avés

    du grand rhume et toux que jay avec ung peu de fiebvre, que je

    perpetuer en votre bone grace, la

    pour avoyr seignor Tezar et Flory quilz doibvent mettre au monestier

    dit voiage [barré : et] sy nen heusse-je pas voulu avoir la

    les moyens et le temps que vous en auriés. Viens

    plus grandz, vous puissiés sortir de votre gouvernement pour cette entreprise,

    bien quilz ont peu trouver comme bled, linge, estaing et ferraneries

    Voz très humbles et très obeyssantz serviteurs

    parle diversement qui les commendera. De quoy, m'asseurant que vous debvez

    trouver le cappitaine Bastien à Ourcière qui le receut avecques ses troupes

    plusieurs plainctes de ces retranchemens, lesquelz neantmoings

    chemin destre degouté de lintegrité où il

    chausses de deux ou troys en sont encor toutes rompues.

    de limposition des X s[ols] desquelz encores il se voldroit servir pour le mois

    serviteur Truchon

    le chasteau se que je me suis voulu enquerir de la

    des villes que nous tenons et si dict quil a opinion

    darmes, de men fère part à celle fin que

    à Dye ou en ceste ville. Nous velherons à notre charge. Jey

    faudray vous tenir adverty de tout ce que se prosectera. Et en atendant,

    et longue vie. De Grenoble, ce XVe febvrier 1574.

    bonne grace et suppliant le Createur,

    passaige allant audit Dye luy aura testé difficille et hazardeus ; de mesmes à monsieur de Pennes pour Crest.

    assavoir ung adressant au chivaucheur

    le doibvent mander, de quoy je ne fauldrey vous

    chose je nay voullu failhir vous an donner

    Voz humbles et très humbles

    venus demander seccours, de quoy je vous ay

    asseurant quil est grand pitié et sy leur

    il se rendroyt dans ung jour dicy à Romans par eau. Je

    Marcellin et moy vivions sur centz francz, à quoy

    aussquelz luy et moy desirons hobeyr et les entendre

    opposer. Je serey tousjours prest à recepvoyr vous

    quilz veullent entrer en Valloyse et puys surtout

    Vous entendrez le tout plus par le menu par ce que monsieur le

    qui entendent le sans de la guerre qui pensent quon leur porroyt doner une

    monsegneur, en sa sainte grace et vous meintenir

    doitz, attendu que je cuyde quune bonne partie de leurs forces sont

    marechal quil feroit cesser de son costé, lequel n’a [barré est] encores sorty effect. Hier, on destroussa

    quilz se defendrons.

    que je nattens que lheure de les avoyr au revallin deste ville en contrefaisant les marchantz. A quoy jay loeuil sy

    notaire dudit lieu yl apert que ladite compaignie y ont

    quelques jours, de les ataquer et defayre silz

    Je lavois bien asseuré que les informations seroint

    son advocat. Si vous saviés, monsieur, les defances et raisons de

    de ne luy avoir esté randre le debvoir, ayant esté si

    grandement obligés. Je massure que vous aurés faict digne

    Je vous prie monsieur, ne

    herouze et longue vie. De Grenoble, se 19me fevrier.

    je fays de la miene, si trovés lentreprise raysonable,

    centz partirent dudit Chorges, passans vers le

    le compte de Benez, de se tenir prest au premier mandement

    finrey la presente en pryant Dyeu,

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bonne grace et prie Dieu vous

    entreprise que mondit sieur le mareschal se meist

    1574.

    serviteur gdeportes.

    Centurion, aussi il ny a tel nombre quon vous a donné à entendre,

    parlé au comte de Cocona qui ma dit que mon nepveu,

    et surprendre quelque lieu silz peulvent. De quoy je vous ay

    Et quant il aura à desemparer ce lieu où il est,

    avec le sieur de Brigodières. Il me met en bon espoyr, voyre

    monseigneur, je supplierai le Createur vous donner en très grande prosperité

    envoyé pour garder tous ceux qui sy vouldriont entre

    qui merite vous escripre, après avoir prié Notre Seigneur vous

    quil nest aultres novelles. Despuys nest surveneu

    nouveau, je ne faudray vous en tenir adverti. Et en atendant

    sera jamays retardé pour moy pour telle occasion ny pour aultre que je

    et den ordonner grandes reformacions seur les estats generaulx

    mesdamoyselles de La Baulme et de St André sans escrins

    sallué voz bonnes graces de mes très humbles

    monsieur mon seignieur vous doint sa seinte grace. De Nions,

    dont il vous plairra men escripre vostre vollunté sy je les

    [autre main :] Receu à Grane le XXIIIIe à dix heures

    tant la susdite maison de La Forge et le susdit notable docteur se sent interessé de

    nous les entendons tirer force harquebusade.

    dès troys heures devant jour pour atandre six ou sept

    toute ma vie acomplir daussy bon cueur

    tost je pourray estre resolu de ce que jauray affaire car le cou-

    de me bien deffendre, je creins fort de […]

    que se resoulve de tenir la ville et leur chef est

    volunté sur laquelle supplions Dieu vous donner,

    monsieur, qui vous thienne en sa saincte et digne garde.

    [déchiré] des gens du pays en ceste ville pour repoulcer lennemy.

    la quelle nous servons pour descouvrir les venans

    Ferrus.

    1574.

    XXVI febvrier

    Voz humbles et obeyssantz serviteurs

    lassamblée generalle mavoit honoré. Je poursuys mon restablissement

    encores que silz estoyent pressez du cousté de della,

    esceu ces jours passés une comyssyon que monsieur de

    lalaupie.

    men distraict, je suis deliberé y passer quelque temps pour

    nouvelles plus fresches.

    chomo sonno chavalli per portar bagagi poi che sopra

    ce que je peux que désirez scavoir à présent, et pour ce, feray

    à leur retour d’Angleterre pour en advertir vostre seigneurie de

    savoir quel parti tiendra monsieur de Savoye. Voilà que

    en ceste ville tant que je puys en privé vous dire

    dudit d’Allières luy peut servir aultrement sans qu’il y aie de long

    que bien tost il y sera pourveu et ne cesseray que Spily ne

    audit parlement du Daulphiné du moins que les récusations y

    qui désirent plus à l’ung qu’à l’autre, soit que ce soit ceulx qui s’attaqueront à nous

    que je supplieray le Créateur vous donner

    en ceste compagnie qui est dès avant hier XXIII de ce mois à Vendosme.

    jours pour s’en aller trouver l’armée de Don Joam d’Austrye qui c’estoit engoulfrée pour aller an [barré : Corfo]

    deniers et des mauvaises places qu’y sont. Je tiens

    pourroit rendre bon et fidelle tesmoignage, ayant esté si [barré : honou]

    nous veuille regarder an pitié. Mon nepveu

    dit Autefort mestre de camp. Je ne say comme ilz s’accorderont. Je ne say si vous avés entendu comme

    de Boullongne, le XXVIIIe de juing

    et comme il a puissance par notre permission lever soldatz pour

    toujours monsieur d’Evènes. Il m’escrit de la sommation que l’ambassadeur

    d’advancer de ses deniers. Si le seigneur Ludovic de Birago

    de doubte que ceci ne soit bien fort d’une ligue.

    pour certaine faction que le sieur Don Juan

    mandé, attandu la prinse pandante avec plusieurs

    à mon endroict, je vous supplie comme à mon bon segneur, auquel

    Grâce, priant Dieu

    me sera si grand que jamais ne le pourray recongnoistre

    et tiens pour asuré que ma letre le trouvera

    Monsieur, en parfaicte santé, vous donner bonne

    dites magestés. La dite reyne mère du roy ce print allors à rire, disant qu’il perdoyent bien leurs temps

    en toute prosperité, très longue vie. De Montpellier

    du Chatelar m’advertiroit de quelque chose pour m’en destorner et

    puys dire, davantaige, Monseigneur, cest que lesdits

    et heureuse vie. De Paris, ce IIIe jullet 1572

    et vous supplier, Monsieur, de commander que lon nuse poinct

    NB : DOIT SE LIRE AVANT XVII-225

    Votre antien et très affectionné à vous faire

    point encores mis de chevaulx en ceste ville, de manière

    quil n’eut son argent entre les mains, et mest demeuré sy

    trois mil chevaulx. Monseigneur de Longueville est à Amyens, ayant

    ay tenu quelque foys propoz quant il devoyt

    Morée qui se treuvent despouillés de touttes armes

    réduit là. J’espère en parler de bonne façon à leurs

    le président de Fuveau n’a encores respon-

    de belles forces. Elles doyvent saprocher bien toust dudit Montz. Il y a quatre villes en Flandres

    mil harquebouses de reserve pour bailler à ceulx de païs

    Votre plus humble à vous faire service

    Monsieur, en parfeytte santé, lonngue et eyreuse

    fussiez peu garder de faire comme monsieur le

    Monsieur, vous donner parfaicte santé, longue et heureuse

    Votre bien humble allié et afesionné

    pour quelques jours pour faire contribuer les aydes,

    ce IX jour de juillet 1572

    je prie à Dieu

    Monsieur, en santé bonne et longue et contente vie. De Saluces, ce XIe

    allé en Turquie pour le roy, est revenu à

    attandant pour m’arrasser poing mes chevaulx de ne vous

    nepveux de La Coste et des Baumettes ont esté prié

    Votre bien humble serviteur

    Votre bien affectionné à vous faire service

    Monsieur très longue et heureuse vie. De Cavaillon, ce

    La Coste, m’avoyt escript et despuis ladite présidente m’a

    Bosc, vichatelain

    aultre chose de meilheur, je prieray le Créateur

    humblement à votre bonne grâce et à celle de madame de Gordes

    et mesmes de l’asseurance de l’eviction pour

    de Dampville est avecque le roy et je

    Monsieur le comte de Ventadour a esté

    bandes qui y sont pour les envoyer au renffort du seigneur Don

    se deffendre ceste année s’il est assailly, en intention d’en faire faire ceste année encores quatre

    A. Chastellard

    nécessité le commande et j’en ay rechargé (à ceiles venant)

    perdue et que m’enssuis appoincté, ie auroit pourvue

    son retour aujourd’huy ou demain. Ces jours passés, monsieur de Montenet,

    d’Avignon où je ne vis tant d’abiz

    ont envoyés plus roides et plus gailhardes que celles de

    Grolier

    espiroien bonne yseue pour lurs roy et que de la par desdits

    Votre très humble et plus hobeysant

    faire marcher en la plus grand diligence que faire

    j’auray la somme qui y sera, je ne fauldray de vous en donner advis

    est de retour de la court à Turin, mais je

    lesquelz sont esté mandés pour se treuver audit lieu.

    bien denvoier quelqun de voz gens pour me conduire, il pouriont amener une aqquenée

    naye donné ordre en cecy. Ma seur de St Privast y est allée devant.

    saluantz voz bonnez grâces de mez très humblez

    serviteur

    Votre plus affectionné à vous faire service

    pour chasser d’eulx tel malheur. Je ne leur ay volu refuser

    Votre humble allié et Afesionné

    nous défendoient de présenter gens qui ne fussent qualifiés et

    Monsieur, je suys grandementz marry de mal de monsieur le presydent Truchon

    votre mandement je leur fayes distribuer.

    Religion qui disoyent toutz estre mandez par monsieur l’admiral.

    mon byen, craignhant vous annuyer de mon fascheux dyscours, je

    consellier de La Coste. Vous verrez comme nous en sommes. Je

    et obéissant

    avoit despuys entendu et sceu à la court estre certain. Je luy

    tielle saison, ny moins de chault, et néanmoinz

    madame de Gordes et de messieurs d’Evènes

    monsieur, longue et contante vie ; avec sa sainte grâce, je sallue la

    du VIIIe, nen faictes aucune mention. Jay veu laccord quavés faict

    pour, si tant est que je ne puisse veincre ledit sieur des Adrestz,

    serviteur

    Monsieur, je resseu une autre votre despêche datté du XIXe du présant,

    recommandant bien affectionnement à votre bonne grâce, supplie au Createur

    G. davanson A. dambrun

    où il aura à aller. Et pource que entrans vosdites compagnies sur ce

    sinon que les garnisons principalement de Parpignan et de Saulces sont

    maladie et en crainte de n’en relever. Son nepveu Bazemont

    Monsieur (après m’estre bien humblement recommandé à votre bonne

    les troubles, estant adverty dudit faict, a

    Momoransy poursuivoit pour un autre, néanmoins

    tout vous en sortirés et serois bien d’avist qu’en feriés aultant

    avec une letre, que je feisse toute la diligence quil seroit

    Seigneur vous donner,

    de la maladie dudit seigneur Truchon, de peur de nuyre

    Jehan Besson

    Monseigneur, en attendant voz commandemens, je prierey Dieu vous

    très bonne vie et longue. De Prunières, ce XXIe de julhet

    votre humble serviteur

    La mère des fillhes a veu votre letre, laquelle

    faict entendre à monsieur Bellièvre que votre volonté

    de soye dessa Saulve, où nous avons esté assés

    monitions, panaticque ny aultres vivres, nous ne scavons qu’en pencer,

    et tiercelletz sont encores au chantz. Je les

    juillet 1572

    monseigneur, que voyant la malice des consulz qui avoyent faict ranvoyer les

    continuant tous les jours de faire de concussions et

    mon frère depuis la que jen receu la lettre du capitaine Celso

    seur amy

    pour ledé et que le dit Beaufort puise

    Monseigneur lamiral, mon mestre, ma feict tent de

    mort en ce pays. Le voyage que debvoyt

    disné san est allé à Salluces et a tiré denyers en ceste

    pour le besoing de son roy, ce qu’on interprete pour

    vous donner

    fauldra mectre à la cave et tiendrés chanbre, boirés ung boullon

    ne acistèrent guyères des prinses du sang

    vie. De St-Rambert, ce XXVIe jullet 1572

    que, layant gardé quelques jours en ceste ville avec hors

    monsieur de Laval ayet esté hors de fievre et nous a

    comme je masseure que sera le seigneur Ludovic de Biragues de

    de pain. Monsieur le president se porte tous les jours

    voir, ils me dirent que navois plus affaire deux

    que je vous prye de regarder et choyzir tous

    Je supplie les bonnes graces de Madame

    G. d’Avanson, A. d’Ambrun.

    fère service

    Vostre plus humble serviteur

    Laval

    trouvés tous assemblé par une bonne troupe de catholicques de ceste ville

    Encores que je sache bien que ynorés rien,

    obeisante por vous servir et

    grande folle et despance va nostre grande ruyne,

    Vous commanderés quant les mulletz reviendront sabas,

    sommes quatre femmes. Pour les hommes, vous advicerés ce que

    n’y entra pas. Lors, leurs majestez et messegneurs

    Jay veu les lettres que le sieur de Mondoucet, ambassadeur pour leurs dites magestés près le duc

    à monsieur de La Valete en faveur de monseigneur le cardinal de

    beysant très humblemant les mains et priant Dieu

    voir mon [barré : decin] nepveu vient quelques fois

    sieur Bellievre et celle quil ma escripte, laquelle sil

    y avons quelque bien, il y a esté meurtri et ledit Berchet est

    Vostre à jamais plus humble et plus obeissant serviteur

    au coumancemant. Vous avés esté adverty par mesieurs

    Vostre très humble et très obeyssant

    de La Piarre. Vous mescuserés envers messieurs

    à Grenoble, penultime jullet 1572

    au sieur des Vignatz à Grenoble quy me les fera

    en la court fust retardé jusques à la sainct

    reste de larmée de la Ligue. Qui est tout ce que je vous puis

    le chevalier La Roche

    et aussi davoyr entendu que les quatre vingtz

    très affectueusement à votre bonne grace. D’Avignon, le IIe d’aoust 1572.

    eust encores esté honnoré de vostre presence, me reputant neantmoins

    agreable ma devotion et me commander

    frère, de Cabanes, mescrit quil sen ira demain à Gordes et par ainsi

    resolu que les commissaires pour l’exeqution de l’edict ou autres

    une main que leur rient mieulx qu’à moy. Mais jespere en ce faict

    avons arresté lesditz deniers du pays entre les meins

    ce ne seroit pas pour les remectre comme je desireroys ;

    Bourgoing en Daulphiné, nommé Jacques Douyn,

    et desloyal acte dudit Beaufort, jusques à en

    à personne qui vouz soit plus humble et obeissant

    très humblement à vostre bonne grace, priant Dieu

    assurer que vous continuerés aussy l’amitié

    Serviteur

    Je suys en quelque esperance de monsieur son frère,

    ne se liève ung seul homme à ce que me dict hier

    en sa chanbre, duquel ouittes le preche au funerallyes de

    maii stati si poveri di danari come siamo

    non pour luy ordonner medecines, car ne la malladie, ne

    peust estre avant quil soyt long temps, à laide de Dieu,

    entreprandre sur monsieur le président Bellièvre.

    à voz bonnes graces et à celles de madame,

    incontinent après, il a faict faire ung bandoz que nul

    Monseigneur, vous avoir en sa saincte garde. De Chabrillan, ce Ve de

    Monseigneur, vous donner en saincté longue

    de vos louables actions. Je desire, Monsieur, qu’il vous plaise

    roy l’avoit faicte audit sieur de Joyeuse sur ung sien semblable

    je ne feray faulte le vous escrire.

    très humblement prendre de bonne part si je vous prie de me

    De Simienne

    Demein, il prandra ung peu der et pour cest

    les comodittés qui se presenteront, à quoy je ne fairay faulte.

    de vous provisions et de la court, nous donnerons

    avons faict puis Roane. Et pour les acoutrementz quil leur a fallu

    solicité avec la voulanté bonne que monsieur de

    Dieu grace, il se commence à guerir. Et pour navoyr aultre chose

    poinct vous ne leriez pas de tirer de moy la mesme amytié et obeyssance

    Monsieur je vous direy que les douze jours que jay

    toutes les heures du jour. Je vous supplie très humblement

    l’exigence des cas requera et au plustoust. Sur ce,

    ay parlé plusieurs fois à monsieur de Chatelard pour trouver

    que jay an Prouvanse, de me laporter. Mon

    dessquelz lon estimoit estre messieurs de Lyny et de Moy, la fame duquel

    graces à Dieu. Monsieur de St-Sernin est

    qui me gardera vous fère plus long discours, si ce

    pour encores daucunes nouvelles ny daffaires, en aiant assez dune qui est le

    Sev. Odoard

    rantiers de Bully ont remis chez messieurs les Henry

    grâce, pryant Dieu

    tout service, je prieray Dieu

    assés au long de noz resolutions, ce qui me fera vous baiser

    quoy je supplieray le Createur

    pareliemant le segneur Arnolfiny pour puis après,

    de me recommander bien humblement à vostre bonne grâce,

    estoint en disposition de pouvoir marcher, mais il y a

    à vostre bonne grace, supplierey le createur vous

    bonne et longue vie. A Lyon, se XII daoust

    pouvez penser), quilz nobtiendront ce quilz cherchent,

    dire davantage, sil nest que monsieur de Raintz, nepveu de

    de gré à gré, car ce ne sera pas au gré du gendarme sil

    de bien tumber en confusion, qu’à la fin ilz ne resortent

    Monseigneur, vous donner en santé très longue et

    excusser si, ou pour lumere du tenps ou pour ne avoir de

    je y ay treuvé les nouvelles contenues dans le billiet cy encloz

    qu’ilz ont contre moy pour le regard de la

    Serviteur

    de besoing novelles lettres patentes. J’attens ce qu’il vous plaira

    voulloir escripre aux consulz dudit Gap qui en sont chargez,

    ha faict faire plusieurs coursses et prins envyron

    jallay coucher mercredi à Allières et en revenant au soir, je

    Monseigneur en parfaicte santé heureuse et longue vye. A Lyon,

    voulallye tant de Ivonet que de vous rantiers de Bully.

    Surce, je prie Dieu quil vous doinct,

    asseure de sa santé de laquelle il a bien grant besoing pour

    tombé à la renverse et se fit une grande

    Guilhaume de Lafont

    portent tous bien et à Gargas ausy. Monsieur de La Coste estoit

    quil vous préserve

    quil vous préserve

    très humblement monsieur, tant de biens et de faveur quil

    Savignieu

    je feray aussi quand il vous plairra me faire cest honneur de

    votre pension et de ce vous bailher telle

    commander pour le respect dicelles. Sur ce, je prie Dieu

    treuve avoir bien employé le temps quil

    bail pour raison desdits mollins environ de quinze centz livres

    Gordes et, en disnant, la fièvre le print ainsi que ma dit un des

    Dieu vous donner

    de si bon cueur que ie prie Dieu vous donner en très bonne santé,

    Laurense de Simienne

    mon revenche en tout ce qu’il vous plaira me commander, et d’aussi

    Montpellier. Pleust à Dieu que je les peusse ramener.

    faire cest honneur de me commander où vous cognoystrés que jaurey moyen

    [barré : pour sa part] en sa mayson. Yssy, tout sy porte bien.

    pour recevoier ledit argant, par quoy il vous plerat me comander

    pour le passaige des compagnies du sieur baron des Adretz

    descharge, ainsi que ce porteur vous fera entendre,

    escript touchant l’affaire que bien entendez, car par ci

    leyssent encores c’est honneste eschappatoire. Il dit

    onné et m’a presenté une infinité de courtoisies. Je nay

    de par deça comme je faictz moy mesmes pour la necessité d’eau

    Votre très humble et obeissant serviteur

    Pillet

    de monseigneur le prince daulphin et de Bellegarde.

    Votre très humble obeissant

    soubz l’auctorité duquelz ilz furent long temps

    Montpellier [barré : far] à monsieur le president. Je luy

    Monseigneur, après mestre très humblement recommandé à vostre bonne grace,

    qu’un seul en a mis une infinité de plus grans que luy contre vous.

    en votre obligation, s’en doibt aller en brief devers

    de leurs ruynes quilz vous payeroyent tout content

    à la bone grace de madame

    Il ne mest besoing vous rementevoyr mes nepveus

    jay esté bien fort ayse dentendre la bonne sancté de monsieur de Laval.

    Je feusse aler à Grenoble ung de ses jourts, mais il

    de marque et qu’il y a heu grand tuerie et que monsieur

    très heureuse vie. De Grenoble, ce XXVIII aost 1572

    demeurer contant, et ceste dicte ville asureyé de si [g]rand byen que

    Vostre plus humble à vous fa servir

    chastellain ny lieutenant pardevant qui il peult interjecter

    tout est en armes à la court, mesmes le roy ; aultres, de

    remuement, et moyns aujourdhuy que hyer, où peut-estre

    ne vous ferons ceste plus longue, supliantz le Créateur,

    prestz à fère ce qu’il vous plaira ordonner et commander,

    et très heureuse. De Grenoble, ce dernier aoust 1572.

    trovyés bonns que je fice ung quomandemam à

    neust esté que pour me prandre garde sabas et

    en bref. A tout

    cardinal alla coucher à Romans. Il ma adjousté quilz

    fort agreable à leurs magestés. Je poursuivray le retour

    Monsieur en parfaicte santé et prosperité très longue

    les occasions qui se présenteront, je ne faudray vous escrire

    trouvase bien las. Vray est que ie crois que la nesecité

    serviteur

    ce quils vous escrivent. Mon nepveu et sa petite

    tenir

    touchay ung mot de ce que a été des murmures

    Votre très humble et obéissante seur prest

    quella dimostratione ch[e] si conviene alla sincerita dell’animo moi

    monsieur d’Evènes voyant que le cheval que javoys amené

    parllés, iesperois an communiquer, sil plait à Dieu, de

    et de vous et aussi que soyt votre bon plaisir commander aux catholliques

    parens siens et de sa fame et ne feus si tost

    sieur chevallier monsieur l’evesque d’Actz, ambassadeur

    le prince avec cinq mille reistres pour le service de sa

    ce qu’il vous a pleu m’escrire du XVIIe, que désireryés estre adverty de la dilligence de la justice pour

    Et du reste, promectront prou mais n’en feront rien, tellement

    + + Alfonso d’Ornano

    Piemond et se retirans avec leur armes sans que

    rien ne ce face au prejudice de sesdits volloir et

    que ilz hont despuys estés advertis, nestant dau

    ce montoyt, vous ne le treuveriés point maulvais ; bien que jeusse une

    de nouveau et quil vous plaise madvertyr de vostre partement pour Lyon, je monteroit incontinent

    entièrement. Pourtant, monseignieur, je vous ay

    que vous puys escrire, fors que vous plerra regarder [barré : de] que ma personne

    liberté que les aultres. Je vous mandis

    vous ay bien vollu certiffier par ceste et supplier de croire et y

    dy penser car la convenance de tant de bien faictz est trop

    Vous supplyant de ma part croire que en tout endroict où

    religion à la messe et voulonterement (done ung qu….

    je salluerey vous bonnes graces de mes tres humbles recomandations.

    pour ce parti, se catholisent en fraud[e] et par dissimulation,

    bonnes graces, nous prions dieu vous donner

    vous plaira madvertir par ce pourteur que jenvoye expres. Je

    et longue vie. De Saluces ce premier octobre 72.

    Lodovico Birago

    servir comme frère G. Card. Darmaignac

    incontinant après la ditte reception de la lettre, j’envoyys au dit Dieulefit. L’on me

    feit dire la messe le dimanche XXIme du passé ; et les François

    monsieur de Joyeuse auoyt mys mon beaufilz

    G Deportes

    La solde desdictz soldatz est de huict solz le jour, à quoy les

    ville, les catholiques les font. Je vous

    requomandasiouns de bien bonnt ceur à voutre

    vie. A Pierrelatte, ce IIIe doctobre 1572

    du XVIe du dernier que ont parlé de [barré : nous] renvoyer en ce pays

    comme je supplie le Createur,

    sinon qu’à Saynct-Bonet, à ung jour de foyre, plusieurs de la

    Filie, à la charge de retourner souper en ceste ville, Dieu

    sans m’en communiquer aulcune chose après le

    vous pouvez, monsieur, croyre que je ne voudroys vous en

    l’ordonnanse du roy du XXVIIe d’aoust, il c’est reduit.

    avant que je serve ; aussi tost que je [barré : pour] sortiray,

    particullier jè commandement de sadite magesté de luy fere entendre

    [barré : red] rebdevables le XVIIIe decembre prochain de trèze cens vingt

    Monsegneur, je pryeray Dye[u] vous doner santé tres herese

    du plus humble et hobeissant de vous serviteurs,

    pour lannée qui vient en aura beaucoup davantage. Il ha passé

    de monsieur le comandeur de La Roche, pour vous estre renduz.

    de ladite letre parlant de reduyre toutes choses à l’anciene religion,

    passé aveques troppes comme lons vous advoyt dit ; et pource

    maisons pillées ensemble ung aultre village

    si tost que y seray arriué, sest à la rue de la Grenete,

    serés obey comme en toutes autres choses ; ie

    font les paisans vennant du traval, vous advertisant que

    lettre. Les volleurs qui ont demeuré dessa si long temps

    Truchon

    turquesque, laquelle estoit au Canallet pour la

    La Mote Sainct André et Serre, car je vous assure que tout se que je vous

    Votre plus affectionné à vous faire service

    adresser pour quel bout vous povés commenser pour leur faire

    Monsegneur en parfaicte santé très heureuse et longue

    et parfait amy

    Monsieur en tres bonne santé longue et heureuse vye.

    quelques villes des Baronyes pour fère une

    enfens à la sixiesme classe où jespère quil ne perdront

    auparavant que l’alarme se donnast, furent quatre hommes

    A de Maugiron

    la continuation de ladite cotte occasionera plusieurs de ladite relligion se ranger avec

    messieurs de La Coste, de Brioux et mes frères de

    rien de tout cela et qu’il s’agist de pourvoyr à la conduyte

    rien de tout cela et qu’il s’agist de pourvoyr à la conduyte

    mes humbles recommandations à votre bonne grace, vous donner

    Vostre très humble et obeyssant serviteur

    de le vous guarder ou de l’envoyer s’agrementer en chemin.

    responce que vous aurés heu du sieur de Chatelar

    d’honneur que de luy commander et m’a asseuré qu’il ne tiendra

    de longue et contente vye. Je me recommande de fort bon

    des lettres de monsieur de Parys et de monsieur

    de messieurs de Diou et de Montagni ; et après avoir esté là trois

    Monsieur quil vous doint la sienne et en parfaite san

    de monsieur lanbassadeur. Le segneur Arfonce ma faict cest

    plainctes. Je noblierey aller demain la part de madame de Caseneufve pour

    et mesme la somme totalle, qui sont bonnes et reviennent

    Votre meilleur et plus affectionné

    la police et garde de ceste ville, le cappitaine Curebourse, avec quelque

    entendu dez novelles de Laval. Je prye Notre Seigneur le volloyr tenir

    et à jamays serviteur

    Gordes, priant Dieu vous donner

    Votre bien humble et obéissant frère

    peys et que chasqun se contint chez luy je ne scay si les aultres

    Monsieur en perfecte sancté lonngue et eyreuzze

    cas que à icelle la vostre feust rappourtée. Sur ce, vous ayans presenté

    jouyr et moy en mon particulier, du contenu en ladite sauvegarde,

    Monseigneur, en parfaicte santé longue et bone vie.

    1572

    L’ons atant heure pour heure que la roine s’acouche

    le laquais de monsieur de St André, laquelle m’a escript

    Monsieur, en sencté très eureuze, contente et longue vie,

    pereat perire volans. Hier messieurs des comptes

    Monsieur en très bonne santé, heureuse et contante

    jourdhuy, il ma escript que à loccasion de certains lieux que

    Miraullieur noz commis à la vente du sel du grenier de ladite

    Deurre Doncieu

    seur a iamais

    trever et à Dieu jusques à demein,

    de faire tenir argent à Jehan Baptiste par mesme

    volans aprocher de la frontière alarent jusques audit

    Votre très humble et très obeyssant serviteur

    jusques à ce que se porteur soyt de retour pour m’y guider par votre

    les eust amener jusques en Avignon ; par ledit Michallon je

    Monseigneur de ce que surviendra je

    Laval

    Monseigneur, je prie le Createur vous donner santé prosperité très longue

    postes qui passent et cest luy duquel despend

    leur nez. Toutesfoys, c’est tout ce qu’ilz craignent

    avoyent faict quelque sallye et deffaict quelques gens de cheval,

    le temps le requiert, pour entendre nouvelles et maintenir l’honneur

    recommenderay bien affectueusement à votre bonne

    Truchon

    vous novelles, je feray septe por mes

    enbringués. Vous ferés très bien de fère se que les

    Votre très humble et plus affectionné

    Syre Pyarre, vous donner en sangté, longue

    Mures qui arrivèrent hier isy, m’ont dict que reveniés

    rés y manger. Demain, Dieu aydant, je vous envoy-

    car je ne saurey que je ne la rende en tel estat

    et suys bien adverty il s’appreste, ou pour

    Monseigneur, vous donner en toute prospérité et sancté accomplissement de voz

    Je vous envoye monsieur, unne lettre

    comme tel amy que je vous suis de vouloyr vous contenter de la reyson

    Tréchenus, la gallère à monsieur d’Urfé, la baronnie

    plus longue lettre, vous présentant mes humbles et très affectueuses

    et nye avoir jamès parlé de moy en maulvaise part, comme

    car je creins qu’il ne trouve le chemin bien

    ennemis, sur la malice de ce temps, prennent advantage

    présente par mes très humbles recommendations à vostre bonne

    La Coste, estant mon frère à Apt avec madame de La Coste.

    s’en reva jusques à Monceaulx, d’où ilz reviendront sempmedi

    plus pratique à suivre une court que celuy

    et le prie d’adviser à ne s’embarquer mal

    qu’il m’est possible, comme je m’asseure que monsieur de La

    qui est en ceste ville et de boys plus que d’aultre qu’on n’en

    à assez de gens, non de courir sur les reliques des Huguenotz,

    sur lequel me remettant, ie prieray Dieu

    vicaire votre seur et la prie fort spécialement de la faire tenir seurement à monsieur de La Coste.

    ne s’en resantissent bien avant. L’ons me vient de dire

    a plantés dès le commansement du monde

    et tout le petit peuple qui vous escript bien

    et les dangiers ausquelz ils exposent et leur persones et leurs

    qu’en feussiés frustré, oultre que l’ons le fairroit

    le tout à ce que vostre bon plaisir sera qu’il soit faict dudict

    gardes. Vous scavés, Monsieur, que si ce lieu estoit saizi, que nous

    Monsieur qui vous ayt en sa garde. De vostre maison

    Mosieur en santé longue et heureuse vie. De votre

    Votre très humble et plus hobéyssant serviteur

    monsieur le maréchal Damvylle il ad envouyer.

    tierce sans que je soye jamais tumbé en quarte

    ces quartiers bonnes et estre net, je n’useray d’aultre escuze, fors

    qu’il m’a bien conté autrement, comme je cuyde que fait aussi

    comme le bien et faveur dont vous plairra user envers luy, le

    de l’amytyé de tous deux et que si l’on n’a pas pourveu à l’un et l’auttre, qu’ilz s’employeront pour moy. Je crains avoyr esté

    vous foys entendre l’incommodité et grand travayl en coy je suys pour entretenir

    l’accord faict l’année passée avec le sieur de Manti, ledit

    votre intention et je prierey Dieu vous donner

    dernier jour de novembre 1572

    le Daulphiné seront en dangier d’avoir avec le temps tout le fardeau de ceste guerre

    je pense vous avoyr escript comme ilz me promirent

    Monseigneur, en parfaite santé, longue et heureuse vye.

    Rochelle. Monsieur le légat a heu aujourd’huy audience

    monsieur, en parfaicte senté, contente et longue vie. De Chrest, ce

    accompaignée d’heureuse et longue vye. A

    vous envoye, attandant voz comandemenz, je supplie

    autre chouze, je finerey septe par mes humbles

    De Veaulne

    venir de loign, oultre ceulx du chasteau qui

    et quant à la méson où souloyt

    Gargas

    Voz très humbles et très obiessans serviteurs

    estre plustost, et croy qu’à ceste heure, il y sera arrivé. J’ay bien

    choses à monseigneur le marechal de Dampville qu’ilz recevront à grande

    vous scavez pour ne vouloir avoir aucune chose à

    faire service je le feray d’aucy bon cueur comme je prie le Créateur,

    de tout ce que je porrey, estant la chose de moy

    jusques à ce que leur auront forny lesdits teriers.

    plairoit ; et pour toute récompence, nous serions tous

    l’andret où je prye le Créateur,

    Jean Besson

    Monseigneur, en très parffaitte santé, longue et heu-

    quoy qu’ilz facent, nous faisons tousjours bonne garde, spérant si bien manyer les

    1572.

    Evesque de Gap

    à vous dire, je me recommanderay en cest endroict affecteuzement à voz bonnes

    il continuent comme ilz ont commencé, ce que l’on espère

    scay pour vray. Monsieur de Bazemont les a

    de la composition que ceulx de Nysmes demande.

    il luy plairra me randre digne de ses grâces. Cependant

    creues et n’est pas pour luy faire perdre son humeur mélancollique,

    B. Olier

    Monsieur en prospérité très bonne et longue vie, me

    estat de la solde desdites compagnyes pour six moys, durans lesquelz je me promectz que

    l’on dict, pour enlever les aultres qui y estoient

    cueur que je vous présente mes plus affectionnées recommandations,

    charrete lequel j’espère se trouvera bon et de fait

    sans trouver le moyen de rendre voz lettres à monseigneur d’Évènes

    rites à prézen, je finerey septe par mes humbles

    de Cabryères. Il ne m’a point faict de responce. Je pence

    bonne pour suivre une aultre pour la crainte

    pour me recommander très humblement à

    Rebollet le pacquet que je luy mande.

    Votre très humble et très obéissante

    et en doubte. J’escry à notre frère, monsieur d’Évènes et à mon neveu

    [273] Monsieur,je respondis hier

    finale résolution et suis en une peine extreme de ce que

    telenie de Grane. Je n’en ay sceu tirer autre réponce, sinon

    et à ce que j’entendz, ceulx d’Uzès se réduyront à ce qu’elle leur

    fust tumbée sus. Le corps du chasetau ha

    humbles recommandations à votre bonne grâce, suppliant le

    Vostre bien humble, obéissant et plus affectionné

    de Sainct Sernin et le vostre me contrainct de rechief vous supplier

    Bochet

    Je vous envoye ce peu de gibier que j’ay peu

    que je pourray. J’ay cy-devant receu les

    ayant faict demander les clefz de ladite ville soubz

    de la sancté de madamoiselle de Cazeunefve et de

    ne veult le laisser resourtir, de sorte qu’il y en ha bien

    monseigneur vous donner en très bonne santé très longue

    avoir de mes lettres autres advant l’arrivée de ce pourteur

    supplions recepvoir d’aussi bonne part, comme nous désirons vous

    parlement, à celle fin qu’ilz ne facent difficulté à l’intérination

    en la votre pour n’user de redite et répondant encores

    une douzaine de clouz ou flérondes

    bien de vous y veoir sy tost, car vous n’en promettés rien

    ha tousiours bonne envye de vous faire très humble service

    Monsieur, je vous eusse despêché mon laquays pour vous faire tenyr seurement la lestre que monsieur Bellyèvre vous escrit, de

    Vostre très humble

    monsieur an santé, bonne vie et longue. A

    Truchon

    Montoyson.

    prions Dieu

    des causes de leurs défiances, avec force plainctes et invectives, et

    m’y employeray de la mesme affection que je prie Dieu vous donner,

    ny chose qui viennent d’eux et que sy luy en tumbe aucun en

    come le vous escripvoys pour la grande chertté qui luy

    mois auprès de mondit sieur le mareschal. Ledit Reynier dict que monseigneur

    Myzaut

    magesté et aux vostres, comme il espère que l’expérience vous en rende

    le duc de Savoye a faict faire deffence très expresse à touttes les vallées

    certain que Monseigneur partira le XV du mois qui vient, pour

    de monseigneur le cardinal de Lorreyne ; et de moy, vous vous pouvés

    de La Rochelle et Monseigneur a résolu son partement

    santé.

    avoir présenté mes humbles recommandations à votre bonne grâce, vous

    ce qu’aussy de sa part il se promet de vous et de voz moyens,

    divercement et dict-on que c’est ung Allemand auquel sa maiesté

    serviteur

    désembre 1572

    le moins ha-elle asseuré sa maison de Charmes. Il y a tantost huict jours

    La Mote Verdeyer

    La Casette

    papiers que j’ay car je n’ay pas accostumé de les perdre.

    diligence, et je vous en auray obligation.

    per fare vivere un mese il numeroi che siamo

    n’avoyr le temps de vous en dire pour

    amy

    Monseigneur, en parfaicte santé très longue et très heureuse

    Dieu aydant, je feray faire la publication qu’il

    estrangieirs et hont feyt fère à fource eschielles.

    du feu duc des Deux Pontz qui presente au roy dix mil reystres

    fait panssé que nous nan serons pas tronppé. Pourtant monsegneur

    monseigneur, en parfaitte santé, longue et heureuse vie. De

    il y [barré : en] pourra avoir de plus mal accomodés que mon dit

    monsieur, en perfaite santé très bone et longue

    de telle nouvelleté, les catholizés entrent en jallouzie.

    monsieur, en perfecte santé longue et heureuse vye. D’Allemaigne,

    ses estats et principalement en la lieutenance du gouvernement

    baliera moyens pour le present. Il na que

    rapportera de son playdoyé pour tenir la main que rien ne se

    le present personne ne faict semblant de bouger.

    enffans. Parquoy mon seigneur vous aurez s’il vous plaist pitié

    fera plus amplement entendre du tout. Jay receu le pacquet

    bonne dilligence, quoy quil en soit je suis desià aussi prest, comme sil falloyt partyr

    à nous mesmes. Et pour recompence je vous offre

    de nosdites aides, ils neussent faict difficulté aulcune de leur allouer

    obeissance et daussi bonne volonté que gentilhomme qui soit mandé de

    obeysante cousine

    Votre très humble serviteur

    descouvrismes ung bien grand sanglier

    de cestedite cité et à present absans. Jay baillé afferme les

    nous vous en avons voulu advertir promptement afin de y pourvoir

    en campaigne, qui me faict vous prier de donner ordre à la levée

    y sera faict. Je prierey surce Notre Seigneur vous donner,

    ce XII janvier 1573

    mes très humbles recomandations à vous bonnes graces.

    qui proviendront de la vente des meubles et louaige de maisons de ceulx

    priant Nostre Seigneur vous donner,

    ainsi que vous scavez le service du roy et soullaigement de ses

    envyron les deus heures après mydi et après mes affection-

    Votre plus humble et

    troes ou quatre gours Il etoient prizonir

    Monsieur de Lativoulière, vous donner en santé, longue vye.

    qui a demeuré vingt jours en chemin, lequel m’a rappourté que le duc d’Albe

    de demeurer en tout et partout très humbles et loyaux subgetz de

    lequel ma prié vous escripre pour luy estant bien marri contre vous de ce quil na poinct

    esté en part à un pavillon de tente avec mon oncle monsieur d’Evènes

    facent ce que lon dit quilz font. Toutz ceulx de ce gouvernement

    mander se trouver à Aix le XVIe de ce moiz. Je

    d’un coup de poignard doù il est gueri et hier, XIIe de ce moys, ayant soppé à la

    prie le Createur vous donner,

    ville et secouer pacer, seus de la ville

    Veyne et, comme ay entandu, prindrent le chemin

    et suplierey le Createur,

    magesté et memployer et par votre moyen comme

    Vostre très humble et obeisante

    ont quelque entreprinse de dessa, ce que ne puys

    Je vous ay adverti par mes precedentes lettres du faict de Clansayes

    sont tousjours plus accariastres et ne scay quil en porra advenyr.

    Votre très humble et obeissant

    court du seneschal de ceste ville, mais que dudit seneschal

    Rousset

    puysse mieulx pourvoir leur fin et mayant entendu ;

    Votre très humble et très obeissant

    pour votre salut ; et vous

    de voustre seigneurie et vous me troverés tojour

    Voustre très humble hobeysent

    en possession des biens part sentence du vibailif de Vicq ;

    sur lesdits arrentementz, non obstant lesquelles je

    monseigneur, quil vous doint en santé, longue et heureuze

    heureuse et longue vie. De Monpellier, ce XVIIIe janvier 1573.

    bonne grace, à celle de madame de Gordes et de notre frère, en

    monsieur que jeusse esté bien ayse

    recommandations à votre bone grace. Priant Dieu,

    massure vous ne luy refuserés voz bons moiens

    fusse acheminé pour executer le commandement de sadicte magesté et de vous ; ce qu’ayant

    là part que je seray. Nestant la presante à aultre fin, je prye Dieu

    dame de sceans et moy nous recommandons très humblement

    quil puisse porter les pistolés et passeport qui luy puisse

    que me donnent g[r]ande consolasyon le voyant vyner

    ce faict, monsieur de Venes me dict qu’il a se

    seullement le faire faire ung prest pour leur donner moyen de se

    plaict mes semblables recommandations, et monsieur de La Roche mes excuses

    en vingt jours, sus l’asseurance qu’en donne l’ingenieur

    semblables affères, ancores que feussent du roy, vous doibvent

    de Faucon comme je luy ecrips. Je ne say choze

    nyèse avecque elle. Et ecrivant septe, il e[s]t arivé ung

    comme vray antidote de ce dont ilz sont abreuvez bien souvent.

    nay et nauray jamais bien en ce monde dont vous ne puissiez disposer

    Savignieu

    en ce lieu, ny en votredit gouvernement à quoy lesdits bouletz puissent servir sinon que

    Votre humble et plus affectioné

    acroyssances de vous grandeurs. De Ventavon, ce XXVe

    il a son bien, qu’elles cautions et asseurances quil aye

    La Rochelle qui disoit que y avoyt grand faute de pain sur tout et que labbé Gadagne y retourna

    et prierey Dieu vous donner en santé,

    et le camp pour combatre et assieger sen vont prestz. Il a passé par icy des gentilz

    si vostre intention et de noz seigneurs tenantz la court du parlement

    où laccès ne y est pas libre ny assuré comme

    du Hault Viveroys et de Velay entre sept ou huict

    quil y a faictes, lesquelles je masseure quil

    en luy prestant et aulx siens predictz la meillieur faveur, ayde

    attenu à la clemence de sa majesté quil continueroit

    voullans qu’un chacun deulx ayt telle correspondance avecques vous pource quy concerne

    aprocher, i ne sera que meilleur, afin que, frequentement,

    je vous prye de minformer plus amplement de tout ce que dessus et du

    esté adverti, vous heussiés par mesme moien heu des

    sans qu’ils sortent plus avant que de leur contrescarpe,

    vye. De Cugie, ce XIIII febvrier 1573.

    grace à laquelle en ces temps je me recommende bien affectionnée.

    des lettres du camp que ie vous envoye. Je y ay faict tenir

    le port inutille et par ce moyen oster toutte esperance de secours aus

    sur les galères lespace de quatre ou cinq jours. Je me

    plaire de leur ordonné, me faict vous

    très bien et mieulx au travail quau sein de

    suplier très humblemant avoir pityé d’eux car ceste le

    bonnes graces par mes très humbles recommandations, priant Dieu quil

    Quoy quil an soit, je desire bien fort dantandre de vous

    monsieur de Carcès, lequel avoyt heu troys jours auparavant

    que je soys suffizant pour vous fère très humble

    en a escrit fort rudement à monsieur le baron de La Garde de

    messieurs des estatz de votre gouvernement ne doibvent repugner, vous pouvant asseurer que

    plustost pour lamour de vous que pour chose du monde

    Vostre très humble filz et très hobeyssant

    vous leur anvoyés, sil vous playt, d’y pourvoyr et

    il sen accomoderoit. Je lay prié de fère un petit mot de

    les afectionnées recommandations de madame la contesse de

    Rousset

    despaiche que vous ferés à monsieur de Chastelard [barré : car] et luy recommander laffaire du

    de fort bonne cœur à vostre bonne grace, sans oblyer celle de

    Je ne vous dirai sous quelles conditions lons parle-

    que je vous porte non poinct que je aye

    le trouvera icy et je le luy garderay jusques à

    que je prieray à Dieu vous donner,

    pour se resoudre. Je pense que leur [barré : opignion] foy est plus apuyée sur lespoir

    le commandement quil vous plerra donner à

    mes subiectz. Il n’est besoing que vous metiez en peyne d’envoyer pour les poudres

    monsseigneur, qui vous doient contente et heureuse vie.

    quelque trahison ; parquoy si treuviés bon den fère

    d’Aspremont, se darnier fevrier.

    jay despuys antandu que pour encores [barré : qu]ilz ne bougeront

    prinse de corps obtenues sur icelle. Lesdites

    Ceulx de dedans La Rochelle font souvent des sorties

    le cueur d’y entrer. Par les advis qu’avoit monsieur le

    Sainct Romain, lequel sieur en a escript a ung nommé

    vous estes menassé du cousté de Genève. Nous ne serions que trop voysins des Suisses si aucuns

    en santé. A Embrun, ce [barré : der] premier mars 1573.

    Antoyne Toteyn

    pource que la paix venue celuy à qui elle appartient

    tout dun advis et encor dernierement je monstrai à monsieur d’Ourche

    suplye croyre que je suis entierement à votre service de telle

    lyena [= il y en a] de ceulx de la vile que y tochent quest la

    entreprandre atendant votre venue, laquelle encore quelle y

    Champtz pour me donner se quil me estoit necessaire,

    voz bons playsirs, ausquelz je obeyeray daussi bon cueur que

    je vous puys escripre des nouvelles de par delà. Le Turc

    m’est venu trouver avec trois mil Gascons de renfort, esperant avec l’ayde de Dieu dans demain

    voulanté de faire leur debvoyr. Les huguenaulx

    que d’obéyr à Dieu, au roy et à ses potentatz

    cheval est allé à Orange et dict venir au

    et pour le tenir adverty aussy que le susdit ma bien asseuré quil y

    humbles recommandassions, prient Dieu vous donner,

    masseurey bien que ma lettre vous treuveroyt encores au Montellimar,

    gouvernement et pourvoyr à la garde de la tour de Saincte Colombe

    sans danger, ce que m’assurant que bien volontiers

    nous faisons tous de l’avoir accepté à nostre recommandation.

    santinelles. Ilz les font acoustrer tant qu’ilz

    très nessessayre, monsieur que vous mettiés anssemble

    que vous avez à Grane, d’essayer de le reprendre, et me voulloir

    et longues. De Vallanse, ce quatresme mars septhante troys.

    et afforce blessez. Je n’ay encores peu scavoir quel chemin ilz ont prins

    s’il luy plait ; et sur ce je vous [barré : p] bayseray très humblement

    ung que j’estyme fort faisable. C’est de faire regarder du costé de dellà

    monsieur, en très bonne sancté, longue et hereuse vye. A Parys, ce IIIIe de mars.

    à vostre bonne grace. Priant le Createur qu’il vous doint, monsieur,

    de voz lettres de ^ [^ XX et] et XXIIII du passé. Je suis en peine de ce que ne

    Dieu,

    monseigneur vous avoir en sa saincte garde. De Grane, ce IIIIe mars

    Passa par ceste vile [barré : la sa…] monseigneur de La Croys, conseiller

    Dieu vous donner,

    Dieu par sa bonté nous donne ce qu’il cognoist

    voz garisons et d’essayer de garder ce passaige du

    en prier très affectueuzement. Au demeurant qu’il vous

    telles lettres n’aydent elles ne nuiront

    que le secours sera trop tart et vous direy que

    en mon endroit, laquelle je sens monsieur d’autanplus que je ne

    la plaincte du nonce du pape de laquelle m’aviés

    secourir Mildebourg et deux autres villes de Holande que

    m’escrit du dernier du dernier du passé qu’il s’en venoit à Fribourg

    pour commencer de s’acheminer en ça et de la madvertiroyt

    deveoir que ie vous ay. Je vous envoie

    et que ledit sieur general insistoit fort à sesdits fins et avoit quelque support, mondit frère

    monsieur, très heureuse et longue vie. De St Gervès, ce vendredi

    Seinct Germein, le vous ay volu dire je ne scai s’il

    lors qu’il y fust tué et despuys revenus audit Genève, au

    et en faveur de qui s’en perçoivent les fruictz et revenuz, affin que nous

    cause que ne pouray aller avec monsieur de Cabanes

    obeyssance à voz commandementz de sy bon ceur,

    d’expertz, et au demeurant je vous supplerois très humblement nous

    près de monseigneur le maréchal, je declamerois et presserois ce point aussi bien

    faire passer sur l’eau ou par autre voye pur eviter le dangier

    monsieur en parfette sancté, longue et

    que vous vous en ressentirés et s’il plaict à Dieu ce mauvaix

    dire ce petit mot en passant, que en

    correction leur est mal employé de les

    pour leur servir en ce qu’elles pourront,

    bien humblement les mains, je prie Notre Seigneur vous vouloyr donner,

    de vous en advertir. Aussi, je vous prie de me voulloir faire le semblable et

    Borye secretaire

    peur hou les fassons de ceulx qu’ilz doutent. Je

    monsieur mon frère en parfaicte sancté le comble

    tresorier me monstra aussi hier soir une lettre de Paris du Ie

    Loise de Sainct Simon

    au fort faulte de vivres et les soldatz s’ecartans

    je cognois se peuple sy adonné à leurs proffictz particulliers qu’ilz ne

    Monsieur l’amyral de Savoie n’est pas avec

    ay adverty madame la contesse mais je n’ay

    et sera toute sa vie très humble et affectionné serviteur. Je ne

    voz commandementz je supplieray le Createur,

    que ne puis presentement effectuer la prière que m’en faictes pour

    quoy je vous envoye ladite comision pour la fère remetre sus pour

    s’ilz en ont le moyen comme aussi le bruit en est

    aultrement rendre l’obeissance que debvez à voz superieurs et mieulx

    dame. Il partit hier à l’après disnoye pour aller coucher au

    Votre très humble et affectionné serviteur

    bones graces, vous donner,

    mon père, duquel je receu hier nouvelles de Soleurre dudict VIe

    les roages de notre artillerie. Parquoy

    Monsieur les lettres que j’ay

    comme ilz ont jà faict. Je l’ay gardé de ceste facon durant leurs plus

    que mondit sieur du Rousset ne laisse passer rien sans vous en advertir.

    Madame de Gordes verra icy s’il luy plait

    que cessy me ronp. Je ferey ce que ^ [^ je] porrey pour arrester

    faict du Pousin enquoy je [barré : employeray] suivray votre

    me voient ouyr parler d’aucune chose mais fus

    la me continuer et de pensser que je vous suis et seray tel que toute

    pour le deduire plus librement et n’estre contrainctz m’en accomoder par prest

    monsieur en parfaicte prosperité très heureuse

    point tant que nè au moins toute les rigueurs

    De Lion, ce XIIe jour de mar.

    qu’après ladite adjudication luy et ses cautions seroyent hors d’obligation [barré : sans

    envoyeray à la premiere despêche ce qu’il faut

    blessez, quelzques troys cens hommes tant dun costé que dautre.

    scavoit les lieux où les batteaulx estoint. Je crois que je vous avois desjà

    medesine et crois Dieu aidant, que demain elle n’an

    haysement fère sestant ceulx du lieu renfforssé dans

    recommandant surce à votre bonne grace, priant

    Philippe Durant Lambert

    quilz en ont ; sur ce, pour fin de cette, je prie le Createur

    Il mescrit entre autres choses, ce mot que ceux lesquels je scai

    Serviteur

    service, les consulz de Guilhestre

    lettre pour obtenir lesditz sauf conduit, priant Notre Seigneur

    que monsieur de Monbrun asseure tousjours plus fort

    que les rondes puissent aller au dessus.

    obeyr

    serviteur

    A chacun souldart, quatre escus comme dessus.

    serviteur G. d'Avanson

    troubles et empeschemans au contraire, si tant est quilz luy en fussent faictz quelques

    Monsieur vous donner en très parfaicte santé

    monsieur, menvoyer à la première depesche que ferés à monsieur du Rousset ;

    faict est si pusse et craindois tant si

    mes très humbles et affectionnez recommandations daussi bon ceur

    par toute la noblesse, que le Moscovitte estoyt [barré : touschant] tousiours sur

    ayant chose digne de vous fère antandre, ie vous beiseray

    Montelymar, venir à Loriol ce jourdhuy pour la seurté et soulagement de

    à ce, la prinse des champs daulcuns de noz catholisez

    noz gardes en lobeyssance de sa majesté de noz mesmes. au reste,

    a levé le siège.

    Mandelot

    de donner commission à quelques aultres gentilhommes qui,

    de notre pouvre ville, comme par cy devant en

    compagnies à La Gulhetière où ilz doibvent arriver bien tost, vous

    et la Rochecheuart cognoissans lobstination et malheureuse intention

    despance quilz font en leur garnizon et quil vous plèze, monsieur,

    de lettres. Lon est après miner Sancerre, mais deia deux

    très humblement à votre bonne grace et prye Dieu

    au desceu des aultres leurs voysins, de quoy, monsegnieur, je vous au volu

    à jamais

    les compagnons hoyant parler de fère monstre pour deux

    je suplierey le Createur

    les retirera ou bien il vous suyvra sil vous plaict de le commander. Ledit

    d’Aumalle, que vous faire, monsieur, requeste bien

    Saint-Gervais, le XXIIII mars 1573

    qui peult grandement nuyre au bien de voz officiers. Je vous feray dailleurs

    bailler main levée, suivant lintention du roy, monseigneur et frère, encores quil

    de Neufville

    ordre que ma esté possible pour leur rompre les desseins

    croistre la deffiance en laquelle je scay que sont ceulx de la nouvelle oppinion,

    nouvele [barré : p] oppinion ne sen saysissent; la noblesse

    soit de ceulx qui sont previllegiez et quil y eschaye aubeyne; priant

    de Neufville s[ecretai]re

    en main telles que je desyreroys, car je leur parleroys autre langage ;

    l[i]eues menoyt ceste pratique et ung Saynt-Aubray que votre magesté

    sire, den vouloir accomoder [barré : pour quelque temps] ce pouvre pays pour quelque

    Charles

    pubient affin de les esmouvoir à rebellion. jescriptz au sieur de Mandelot avoir

    contre ceulx qui sont armez. Et quand ilz seront prinz user et exercer en leu endroict

    et scay pour courir sus aux rebeles et mayde et des compagnies

    merite quelque petite recompance ; je lavois

    Et à cest androict finerey la presente par mes très humbles

    monsieur, vous tenir en sa sainte guarde.

    Charles

    De Montrotier, en votre maison, ce Ve may

    de ce pays feront de sorte quelle nen aura aucune plaincte ny doleance.

    vous plaira ; dautant mesmes que les longz et signalez services faictz par ledit

    de Chastelar sus quelque affère que touche à ceulx qui estoi // [marge gauche : // oient sous moy, les quelz je nay moyen de recognoystre que par celuy du païs qui nest pas grand charge à yceluy; et aussi vouloir accorder au sieur d'Antiboul, que [lui] et les siens ont tousiours faict et font service à votre magesté, le don de quelquez lotz comme ledit sieur de Chastelard fera entendre à votre magesté]

    perte du chateau de Serre, après que la surprinse auroyt est faicte de la ville par

    praticquer je ne puis me resouldre aucunement de ce que jevous doibs

    [brouillon de lettre à Catherine de Médicis]

    monsieur mon capitaine, vous tenir en sa garde. De

    des privillèges quil a pleu à votre majesté leur accorder, jay permys de continuer la

    dernièremant et comme nous sommes assés foibles

    lesdits Revol et Guillermo, ou bien les jugementz qui pourroyent estre intervenuz

    compaignies de gendarmerie, puis je feray pourveoir au paiement dicelles et à

    tirer lartillerye, et vous ferez chose qui me sera fort agreable. Priant Dieu, monsieur de Gordes, vous

    quele sera bien tost accompagnée de pouvretté si votre

    Brulart

    contraindre par la force à accepter votre loy. Mais dautant sire que je ne peulx ce faire

    magesté luy commander de lever le ban et arrière ban de

    comme je len supplie très humblement, il pourroyt estre tant plustost

    que dès long temps jen ay faictes [barré : votre majesté] apellé nen veoyant

    si le mal emperoit de votre costé, il ne fauldroit rien espargner pour y pourveoir.

    lieutenantz ; ce que chacung faict plus vouluntiers, scaichant bien qu’à la

    contraindre par la force daccepter ma loy ceulx que ne vouldront amiablement

    trente mille livres [barré : pour] et fère le contenu en voz lettres.

    atendu ce que dessus, faisant faire en oultre exprès commandement aux consulz

    cest effect, jay advisé de le vous envoyer et vous pris de le bien instruire de tout ;

    se monstreront tant durs et mesprisant, la grace qui leur est offerte jen auray

    eulx au jour de Notre-Dame daoust prochain en leur faisant de votre part

    dilligemment ilz puissent recouvrer ladite somme, laquelle vous regarderez à

    renvoye ledit sieur de Virieu, pryant Dieu, monsieur

    conseillez que de le negliger et s’en rendre indignes. Ledit sieur de Virieu

    vous priant les exhorter de prendre et recepvoir lesdites conditions

    de ce que jay eu de notice des deportemens dudit gouverneur

    quilz me remestent les lieulx quilz occupent, de les faire desmanteler, de sorte quilz ne sen

    Nions. Je ne leur en ay rien touché que ce quil vous plerra

    Charles

    cest endroict le Createur

    tout à votre prudence, envoyant presentement aux gens tenantz ma court

    et vous me ferez service très agreable. Priant Dieu, mon cousin,

    abuser et en mesadvenir. Partant, vous mectrez tout ce que dessus en

    ceulx de Nismes de Languedoc et du Viverays, et ne mattens

    vers moy, je nen ay eu que froydes escuses sans aucune

    public par tous les lieux et endroictz de votre gouvernement à ce faire accoustumez

    coppie, on ne peult prendre fondement quilz ayent volunté

    public par tous les lieux et endroictz de votre gouvernement à ce faire

    de Chastelar, vous feront entendre loffre que jay faict au

    ouyr et leur pourvoieray au plustost de ce que je congnoistray estre pour le bien

    martin d’Albon, ce VIme octobre 1573

    entendu et discouru, lesdits consulz ont

    ce que nous avons trouvé fort estrange, dautant que nous pensions entrer au lieu

    promptement acheminer audit pays de Provence par le plus

    Glandaige prye bien ledit sieur de Gordes mettre à son lieu

    bien informez sil vous plaist de votre adviz et conseil le roy sur le dernier

    Vc cinquante [barré : deu] sept [mot barré] et dame Guigonne Lallemand,

    ains respondu qu’allors comme allors et que mon heure n’estoit

    denvoyer audit comté cent chevaux legers et six cens hommes

    Loriol : –

    de Cursol où six vingtz soldatz laurroient accompagné et

    Monseigneur, en santé très longue et heureuse vie. Escrit du camp de

    de Gordes "

    noz bons amys du nombre des quelz vous estiés et estes encores ;

    Le commissaire des vivres

    se preparer datandre ung siège que nous aurons bien

    vous en serés adverty cy le merite. Je ne voy que

    dasseurance que en [barré : aides] daultre, dautant

    mardy dernier passé, cinquiesme du present moys, il dict [barré : que] Coderci

    de ce pays ; et parce que vous estes de la partie, je dict à votredit

    meillieur ellection, vous avons commis, ordonné et depputé comme

    envoyeray signée. Et nestant ceste pour aultre, je prie Dieu

    sienne à si bon marché que d’ung royaume

    hardres, lenseigne desployée et le tabour battant, autrement voulloit que

    vaisseaulx qui tua bien douze personnes et entre iceulx lung des maîtres dhostel

    mesmes pour les distentions qui ont esté

    fraiz et despens estre hors de sa maison à la poursuite de

    tous les costés pour sen queryr sy les chemins

    en quelque occasion où nous serons bons à vous faire service, qui sera de telle

    la compagnye du cappitaine Dydier plus les gens à cheval

    auquel cas ie croy qu’ilz s’embarqueroint tous

    comme moy et remestz tout à vostre description une dame

    et que le pluye entre dans ladite salle et ruyne les

    des pallichons tous les ans, ce quil

    de Venise dung gentilhomme de la seigneurie mon amy,

    et est à Laxou. Celle des Venitiens est au Trente. Lon ne scait si larmée

    la maiesté royalle vous ont donné pour me faire rendre

    C. cardinal de bourbon

    car lors que jen parle sans estre appellé ou enquis, aucuns me dient que cella rend notre

    mes humbles recommandations à votre bonne grace, et

    supplieray, monseigneur, m’envoyer une votre lettre afin de la montrer à messieurs

    monsieur vous voulloir donner en bonne

    au denombrement des vivres, sil est tropt excessif, vous me manderez

    au vingt cinquiesme que je les ay mandés, que mavoyt

    vous en rescript, combien que monsieur de Carpentras

    de monseigneur le primat, lequel nest à la court ; ny monseigneur son père, car lun est

    par tout vous randrons les acsions de nostre

    pierre de pontevès

    chemin ou bien sil naloyt à la court y aller espressement

    imposer les meinz. Ie panse vous avoir adverty

    de monsieur de Nevers et a deslibéré de luy faire

    cestheure vous puis escripre, après mestre

    Vostre mère

    les princes et armiral.

    Froment

    len avoit prié. Quand aux [barré : d]autres nouvelles

    en ce voyage, pour les vertuz, bonté et preudhomie que Dieu a mises en

    très humblement que je soye adverty quelques jours

    madame se contentera. Venant dudit Grenoble, je

    atendèt de jour à autre monseigneur de Nevers et lui

    On ma vouleu dire que monsieur de Nevers sera sabmedy

    Votre très humble serviteur

    quil vous plaict havoir de moy de ma sancté, vous adseurant

    me dict que Monsieur nen ordonneroit rien que ce quil en

    Froment

    armée de laquelle lon a nouvelles ne ce pouvoir trouver en terme de servir que ce ne

    en remercie bien fort. Il ma commandé

    parties ou non, parquoi je men suis ve-

    ne serez jamays en lieu que vous et les vostre nayés en moy

    sandic du Languedoc ; et come il vous avoeyct escript par

    votre humble et obeissant

    pleu le treuver bon par la votre dernière aux conditions de me porter lesdites

    donner permission au seigneur de Chastelar

    à votre seigneurie pour en ordonner et commander votre bon playsir,

    votre très humble filz et plus afectionné serviteur

    laurense de simiene

    et quant il en useroit autrement, ou quil ne voysineroit comme il appartient, je

    à ung de vous secretaires men vouloyr mander.

    escus de dete pour se fère jesuitte, je croys que cest quyl cuyde

    très humbles recommandations à votre bonne grace

    Je vous ay ce matin escript et envoyé une lettre de

    Monseigneur, je me recommande à votre bonne grace

    court dans le XX de ce mois ; ce ne sera sens aller recebvoir vos

    en Piedmont veoir sa seur, madame la contesse de Pancallier.

    de montenard

    saleuer votre bonne grace de mes très humbles

    les deniers du peyement de ladite compaignie sont à

    les vaccations et que le merite y est bien,

    à cuyre le peyn des vendanges dycy. Madame

    et masseure que si Saint Françoys en Polo, qui fonda les premiers

    tout ce quil a negotié, qui me garderat ne la vous faire

    ce jourdhuy pour le fait de la [barré : dagte] dagotte,

    vous serès aussy affectionné serviteur que celluy qui ce resoudra

    Joseph Arnolfini

    monsieur et madame Du Pont. Monsieur de Meru a esté jusques à

    ainsi que verrez estre besoing et à faulte de

    je feray fin par mes très humbles recommandations

    monsieur, en très bonne santé longue et très heureuse vie. D’Ambrun

    le dommeyne du roy soubz sa mein et par luy estre ballé à ferme

    par les foyres de Toussainct, sil plaict à Dieu.

    serviteur

    vous avoyr supplié me commander votre vouloyr pour icelluy

    et prosperité, très bonne, très heureuse et très longue vye. De

    A de maugiron

    Votre très humble et obeissan

    Nous navons ici que nouvelles tristes que sont de la mort de monsieur

    monseigneur, voz donner en prosperité très heureuse et vie longue.

    Votre humble voisin et serviteur

    Lodovico Gonzaga

    espées pour soy prendre garde à ceulx qui entrent et sortent, actendu

    Lamote verdeyer

    ce sont retirés à La Terrasse, lesquelz ont

    vostre mère

    Votre plus humble et houbeissant

    monsieur le conte ; et n’ayant loysir de vous faire

    monsieur, vous doner en bone santé, longue et

    Votre serviteur prest à vouz

    Partout nous avons trouvé aforce vendange.

    monsieur, vous doner en santé, heureuse et longue vie, sa

    sceans au jour quil vous plairra luy dire, je vous

    plus aysement et souvent scavoir de son estat.

    ne vous ennuyerons de plus longue lettre, seullement supplierons

    aller en cour, doibt arryver demain à Vallence ; et ne voullant

    attendant responce et resolution, es environs de Vienne où je

    attendant responce et resolution, es environs de Vienne où je

    d’Austria estoyt prest à partir pour aller combatre

    voz lettres et que cest peut estre pour pouvoir

    pria très instamment vous dire que ayant en quelques jours au

    metre copie dans ce depeche ; et depuys, me doubtant quil nen feroyt

    puys asseurer que sy vous y estiés sy bien resseu que

    ce que jen vois. Je prie Dieu le vouloir

    autre chose pour vous faire ceste plus longue, je me recommanderay en

    la verité escabrus. Se ai-ie maintenant

    Votre très humble et très

    pour le paser. Je me rengerey à ce quil playrra à sa ma-

    bonne grace et supplie le Createur quil vous done

    Voz très humbles et très obeissantz serviteurs

    recommande de fort bon cœur à la votre. De Gargas, le XVII

    serviteur

    sur ce, je prierey Dieu

    satisfaire ausdits edictz et loix. Et pour mieulx le faire attendons

    j’avoys ouy dire. Monsieur le conte de Tende partist

    cil avoyt semblable affection ou interez en quelque chose

    de me donner de noveau bon congé que cella se fasse, mesme que

    Doreyson

    De Bressieu, ce XIXe septembre 1571.

    Monsieur, je prie Nostre Segneur vous donner

    cour, on en scaura que cest de cest abouchement de monsieur

    monseigneur en santé longue et heureuse vye. A Grenoble, ce XXIe

    G deportes

    et surse, ie sallue voz bonnes grace de mes très humbles

    jamays nen hont eu daultre ame. Je le dis arsoir à

    avecq lequel il est desparty dudit Lyon ; lequel sieur de

    vous presante mes très humbles et affectionnez recommandations daussi bon cueur

    landroyt,

    moins de la sorte quest couché. Je nay encor sceu que

    Bien ay-je opinion que le frère en aura escrit de mesme à

    vous ne leur laissés que sommes de deniers ; et ay usé de ladite forme de

    janvier 1574. Au dessoubz : votre très humble et affectioné

    voz comandemantz, je vous baise très humblemant

    lard I Lt

    votre château d’Ay, que ailleurs pour evitter les excessif

    lequel ma dict de votre part, je ferey fin par mes

    Fayct le jour et au lieu que dessus

    en ungne chose de si grand importtansse

    Bellievre que treuverés cy enclose. Nous navons

    son compte dentrer dedans avec ce pretexte de mettre le feu à une

    affaires et preniez garde tant à cela qu’à quelque aultre chose

    lan 1571. Je nay sceu avoir encor audience au conseil du roy, mais je vous puis

    plus grand peril que devant, disantz que ainsi sera faict

    je prierey Dieu,

    quatriesme du moy de feubvrier

    Janvier 1574

    Je suis après les letres doffice de conseilher pour

    faire d’y vouloir entendre. Jestime que Sobiras sera

    pourvoir à lestat dudit pays et à tout le contenu de mon cayer.

    jay laissé audit sieur consellier, quest seullement pour

    plaict men faire, je memploieray en tout ce que je porrey pour le

    Toutesfois à laide de Dieu et de messeigneurs qui nous ont conduit jusques

    mondict sieur le consellier vous en dira le tout, et du faict

    du Dauphiné passer sans passe port pour les

    1574.

    Dieu,

    contante vie. D’Apt, ce XXVIIIme janvier 1574.

    grace, d’Apt, le XXVIII janvier 1574.

    avoys escript. Je lay communicqué à monsieur du Chastellard qui ma asseuré qu’aussy

    tout compris. Sil vous plest à votre première commodité, men

    oblierés pas, vous estant affectionné serviteur. Leur

    faicte, il y manda pour n’y ouser aller luy mesme, de peur destre offensé,

    taillies, passages, emprumptz, magasins, et autres surcharges ; au

    sur les cer[ti]fications que iay en main XV ou XVIII c[ent] L. ts., et que votre

    mieulx paroistre nos despenses et à ce que plus aysement, et avec moings de

    est vray que ie ni voulus comprendre celle de monseigneur le prince nostre

    à plein bien tost, ne vous ferey plus longue la presente,

    se rompt et mect en pièces, aulcun n’y a volu entendre ; est vray que je treuvoys

    Mon[telim]ar, ce penultieme janvyer 1574

    ludovico costa

    monseigneur, vous tenyr en santé longue et heureuze vie.

    art. cinquiesme, avec injonction, art. 29, aulx procureurs generaulx de tenir la

    de plain jour par les postes sans le veoir. On a aussi cassé

    treuve cecy estrange pour ce que si je pensois

    cas advenent (que Dieu ne permette) sen resouldre mieulx sens

    bientost il vous fera despecher, vous en ayant escript à ce quil me mande. Par les

    de plain jour par les postes sans le veoir. On a aussi cassé

    febvrier /: 1574 :

    et mha asseuré quen tout le païs des Ligues ne

    letre à messieurs du pays pour penser aux moyens. Quand

    fort tormentée. Dieu mercy, elle luy dymynue

    se premyer de fevrier 1574.

    vinte cinq, comprins ceux du cappitène Alaret.

    De Tournon, ce premier jour de fevrier 1574

    sont paisibles et que sa dite majesté viennent à Lyon pourveu de lequiipaige que [barré leurs] sa presance requiert. Je nay seu comprandre

    Hourche

    Monseigneur, nous sommes deliberés faire infourmer sur les

    Monseigneur, nous vous mercions très humblement le bien quil

    a incontinant envoyé querir Jehan Bonnard, dit Gargas,

    de jamais y retourner aller trouver les ennemys

    on navoyt nouveles quon eut fayct quelque violence à celuy

    supplié me commander votre vouloyr pour

    androyt ; et pour ne vous annuyer plus longuemant à mes

    dont pour cest effect je vous supplie bien

    de vous, je ferey tout mettre à rès de terre

    ouster loppinion quil y aye division entre les grans comme ceulx de la

    pape y ha ordonné. Son nonce aussi ny demeure pas court, de mesmes ung qui est à la court pour le païs, de fasson

    de bonne volunté et les aultres qui ne le sont et les rancoeurs pourquoy.

    occasions desquelles je vous rendrey tousjours raison, joinctes

    en aucune execution dudit accord que telz excez ne soyent reparez, masseurant

    tous mes autres affaires, dont je prieray Notre Seigneur quil vous doint

    satisfaction, ny ayant moien dy donner si promptement lordre

    incourus, aiant votre provision, vous ny aurés point dinterestz.

    Dieu nous gardera avec laide que nous y donrrons

    chairs et avoynes et les combatre contre

    lequel treuvarent audit Sainct Pol. Nous sommes

    vielhe datte. Je neusse fally me transpourter par devers

    la mesme conclusion de ceste leur entreprinse cest concluz à Bordeaux dans

    plusieurs advis quilz hont de beau coup dendroys et

    y ay envoyé pour le fère garder par ceulx du lieu qui avoint

    vous donner

    Dieu pour votre prosperité en contemplation de ce que votre auctorité

    par la coppie de sadite lettre cy enclose que me

    langues. Ilz admenarent ung nommé Marcellin Prachorain,

    escripre fors que je prierey Notre Seigneur vous donner

    vous estimer et aymer tant, quil vous accordera tousjours

    que je les empecheray bien de le fère tant que je seray aveque

    cognois estre le chasteau de Rochechinard es

    monsieur, en très bonne sancté longue et heureuse vye, saluant voz bonnes graces par mes très humbles

    que, suivant le comandement de leurs magestés, jay donné

    Mure, feignant vouloir excecuter quelque dessain contre les ennemis,

    est despeché au roy de

    de Monsieur roy de Pollogne et ont prins

    longue et heureuse vie. D’Embrun, ce huictiesme febvrier

    silz nous viennent voyr. Vous baisant les mains après

    est party depuis trois jours pour faire entendre au roy comme toutes choses passent

    extraordinairement et y employer tous voz amis et

    et bailhe à faire recognoistre au proffit desdites chappelles. Toutesfois, les

    communement des tesmoings de La Mure quil souffres

    la verité, desquelz troverrés les letres dans ce

    ou jumens. Jatemps ung qui doibt ariver dens demain

    par ung de ses amys quil se osta de là et quon le volloit

    et madite dame aussi ; et parce que les promesses de monsieur

    En voz affaires de votre maison, je ne voy chose qui ne

    tent quil sera dans les païs dudit duc de Sasse son beau

    tient. Jay grant peur quil ne deslivre jamays le sire Guillaume Bruyère, car je suis esté adverty que Le Mas na

    surprendre La Chaisedieu par le moyen dung religieux qui est de

    si le cappitaine Curebourse ny feust allé de bonne heure ?

    protection, dont vous deumere obligé et redebvable

    comme Columbin a reprimé ses premiers desseingz se treuvant

    premierement et après en vous pour me desgager. Je

    pour vivre sans rien attenter tant que ladite trefve aura

    de Damville on en pourroit obtenir quelques grace, attendu que

    mandement de lespargne qu’une quittance quil fault

    [164 v°] ce faisant les exempter de ce quartier de la

    bledz, vin et argent, et si ay mandé à Laval querir des

    Messieurs, jey veu ce que mescrivés pour le fayct du vi seneschal de

    Bonvert

    monseigneur, vous avoyr en sa saincte garde. De

    trouver à Valence, cuydant en fère quelque composition

    trouver à Valence, cuydant en fère quelque composition

    sest fait ouyr à Lyon que alloit droict en Languedoc

    aller à la court avec monseigneur le marechal pour ceste assemblée.

    je suys tumbée an une fievre que jey guardé se[p]t jour continue

    e[t] nestant ceste pour autre fet, la finerey en

    monsieur, en perfaicte santé, longue et très heureuse vye.

    de Sainct Prie est fort malade. Jay entendu quelle

    après disner le bal, et sur les troys heures, deulx plactz garnis

    Vostre affectioné servitur le chevalier de Coumors

    deus livres et demie pour la plus valeue de lor que je envois ce

    monsieur, en parfaicte santé, très bonne et

    Lyon, ce XIe fevrier 1574

    service

    permettent ceux qui sont à Chastillon et Menglon que

    y estre X ou XII jours. Jay parlé de mon voiage,

    vostre bonne grace. D’Apt, le XI febvrier 1574.

    sans grand ressentiment. On continue le propos quil ira à Lyon

    la presante, apprès avoyr beysé les maiens de

    la necessité me contrainct vous en escripre ; aussy vous plairra

    propre et tendant à aucmenctation daigreur. Je vous deduirès plus ouvertement ceste ystoire, mays il ma

    de leglise dudit lieu, heussent peult estre exequuté leur

    peïs que beaulcoup de pilleries

    et envoié la sienne à Malberqui. Lon fera à voz

    de luy faire tenir les lettres que je en escripvoys, vous priant ne tenir

    et toute notre valée. Nous verrons ce que Dieu

    darmes intervenue, craignat alterer les affaires de par deça et d’atenter quelque

    familles, estans situés, comme trop myeulx

    Etant venue an sette vile pour efectuer tous les acors et

    des comptes, leur demande et au surplus les

    à votre boinne grace, suppliant le Createur vous donner,

    de rendre incontinant après les estatz tenuz, pourveu quil vous

    prolongé la suspenssion jusques au dernier de ce moys à la requeste du cappitaine La

    seray contrainct segiourner troys ou quatre jours en Avignon

    quelle ie salue de mes très humbles

    de Clermont dune part et daultre. Il y a encor en ceste ville

    commission, car jay les affaires à Paris. Je ne scay

    de recevoir une lettre de madame de Grignan

    ny que les forces vous soint baillées telles, ny par lesdites dix companies,

    que apartient à une maison, livres et plus que je ne

    les consulz de Crest

    avoyr eu des advis meilleurs que nous, je me recommanderay bien affectionement

    et les conduis[i]t pour surprendre le chasteau de La Motte et la ville d’Embrun,

    sont necessaires pour le soullagement des affaires du roy.

    sest tousiours contenu et quelques ungs de se

    Si despuys ne les ont faict racoustrer, jestime quil y en

    prochain. Nous luy donnames charge de vous en escrire et que pour ces

    verité. Et comme vous pouvés, monsieur, considerer coment

    quilz ne viendront ensemble çabas, synon que les grans

    ce pouvre lieu en soit ung peu soulagé ; et en

    aussy sceu quilz delibèrent donner en quelque lieu du

    ce quil vous plaira me comander, je finiray ceste par mes

    monseigneur, vous conserver en la sienne. De Montpellier, ce XVe jour de

    Jay bien faict responce aus consulz de Dye que vous avés leurs ville en telle recommandation que vous faictes pour

    de Marceilhe, ung au chivaucheur

    advertir et en cependant, vous supplie me commander

    advertissement pour le debvoyr de mon estat.

    serviteurs puchier consuls

    bien volu avertir incontinant sans me donner

    convient paier telles sommes, elle y sera encores

    vous envoye une petite lettre que jay receu de monsieur de

    m’avés escript quil fault que je ne conte ; à quoy je

    pour ce que nous en aurons affaire, lesquelz, sil vous

    commandementz, priant le Createur,

    le Briansonoys et ruyner les esglizes et

    president ou monsieur de la Tivolyère vous en escripront.

    charge à notre advantage, mès si près de ce lieu que lon sy puisse retirer

    en très bonne saincté et longue vie. De Grenoble,

    par desça. Jay retardé mon voyage d’Anyssi jusques adce que jay sceu quel

    une douzaine de mulletz de Montpellier retournans du bois. On aura dans brief tant

    ouvert que silz lentreprennent, ilz verront quilz y sont en attendis en bonne devotion. Je ne vous feroys pas si long

    entierement payé leurs vivres dudit moys de decembre,

    sont favorisés de partie des forces de gens [de] cheval

    mauderés, ayant heu beacoup de discours avec luy, que

    ma partie, vous an panceriés ce que beaucoup dautres an ont dit. Ie

    près delle comme j’ay esté, Dieu nous douint à

    election en ce bon personage qui est dhonneur, scavoir et

    fère reponse à la letre

    Voustre très humble et plus [barré : obeisa]

    les auctoriser, comme de notre part nous leur ayderons du

    Chansaul, ne sachant que fin ilz ont faict. La

    que messieurs de ladite cour leur feroient ; et moy, en

    monsieur, quil vous doint longue et heureuse

    donner en très bonne santé très longue vie. A Grenoble, ce XIXme

    le plus fort en campaigne pour empescher

    Votre plus affectionné parfaict et meilleur amy

    dont partie sont Savoysiens. Vous aurez peu entendre que

    monsieur de Laval, se portoit très bien, Dieu merci et

    bien voulu advertir, encores que je masseure que vous le soiés trop

    vous pouvez asseurer que ce sera sans volunté de

    asseurance de filer jusques en avril. Il fault que je

    longue vie . De Vienne, ce XXe fevrier 1574.

    prendre ; et aussy, monsieur, il vous pleu dernierement

    donner,

    aultre, si ce nest à force playntes et crieries des

    voz comandementz, je me recomanderay humblement à votre bone

    puisse cognoistre et particulierement en ce qui viendra de vous

    et financières. Je maseure que en estes myeulx informé

    [mot barré] les commères qui nespargnèrent à ce parer, lune dune

    recommandations, je suplye Dieu vous donner,

    ce XXIIIIe febvrier 1574.

    verrey ou non et si jen retiendrey une coppie de tous

    de matin.

    ce qu’on la appellé ieune et mal apprins. Et à ceste cause, oultre la bonne diligence

    Le cappitaine Coradin est sortit de Crest avec cent

    houmes à chival questoient de Valence, quy estoient

    que me recommande très humblement à votre bonne

    ronnement fut fait dès le XXI de ce mois, ce que chacun attendoit

    voiant ceste vile si mal pourveue de gens de g[uerre, je]

    nommé Chabanas et le bastard d’Eure, qui font faire

    monseigneur, très heureuse et longue vie. De Crest, ce 25 de

    De Taulignan, ce XXVe febvrier 1574.

    [bien est] vray que ung peu destrangiers experimentés au faict

    au terroir de la ville. Et despuis ce sont les susditz

    Votre plus affectionné à vous honorer servir

    Votre très humble et obeissante

    A Michel consul Philiponis.

    avecq’ toutes les raisons de justice quil est possible, lesquelles

    quilz se randront en ceste valée pour massieger

    gordes a baylhé auls consulz deste vylle adressante à moy

    croyre ledict flamand [ajouté : estre] homme rare de son mestyer. Cependant

    Jay nouvelle quil estoit à

    detti di Grenobel no mi voleno pagar per che io ho detto

    fin à la présente, après avoir prié dieu vous donner,

    touctes particularités. Quant à aultres nouvelles,

    de nostre malleur que ne pouvons vivre deux anées

    la vérité : l’on me donna bien peu de moyen, tant

    temps danger d’aucune prescription, quelques autre foys monsieur

    soit dépêché tant cela appertient au grand bien du pays.

    soient iugées par messieurs de la court ou par autres.

    n’auront pas faulte de partye si la guerre est. Le roy et Monsieur veulent gratiffier

    Monseigneur, en santé vie et longue, d’Aix, ce XXIIIIe juing 1572

    Le mariage sera en peu de temps après consommé.

    Courfou. Le roy s’en va demain à la fourès de Liions, ce sera à se metre par eau à Sainct-Germain

    pour certain que si on y faict lever autres companies

    honorablement receu, traicté et honnoré par ledit général son frère,

    qui et isy, ce porte bien et crois qu’il vous fait

    monsieur de Monpesat est gouverneur de Guienne. Les reynes ce sont remuées à Medon pour faire

    1572.

    fournir au nombre de votre guarde, il vous plaise aussi luy

    d’Espagne avoit faict au roy de désabvouer ses subiectz

    se doubtoit d’estre prisé, je cuyde qu’il ne feroit difficulté

    La court de parlement de Tholose par le moyen spécialement

    d’Austrie et les Venetiens ont faict,

    protestations comme vous pouvez pancer,

    je suys et serey tout le temps de ma vye de volloyr commander

    Monsieur vous donner en parfaicte sancté

    si ce n’est par ung humble desir que j’ay de

    où vous serés, qui me met an peine parse quil

    et heureuse et longue vie. de Pugmont,

    silz pensoyent que pour leur fauces [barré : callomniations] douleances et calomniations, ilz ne pourroient tant

    le Ve jour de juliet 1572

    se sera à me rendre tousiours plus obligée à prier Dieu pour conserver votre

    sergent Père et Bolomeau sont bien dignes de leur

    Votre très humble serviteur

    en cela daucun acte de force, ains que les choses passent

    Service

    que ceulx qui passent sont contrains de faire passer leurs

    peu de reste, qu’à peine jay peu donner pour ung mois à mes

    pourveu aulx places frontières de son gouvernement, en sorte quil espère

    venir d’Orenge avec une troupe darcabuziers au

    pour la craincte que le Turc à d’eux ; et aussi

    maiestés à la première commodité que i’en pourray avoir

    deu à ce que nostredict frère vous ara dict

    qui nont point vollu encore recevoyr de guarnisons, dont Malignes en est une pour la moindre

    qui ont promis prendre les armes pour ladite Ligue.

    Loyse du Fay

    vie. De votre meyson de La Thivollière, se VIIIme

    visconte de Cadenet. Je ne passeray poinct plus

    vye. De Paris, ce IXe julliet 1572.

    Serviteur

    non aux fins de demeurer davantage, car je suis prest

    Votre très humble et ancien

    Monseigneur, vous tenir en santé et longue vie. De Briançon, ce

    jour de juillet 1572.

    Venize et despuis prins le chemin des Grisons pour

    aller au devan, don s’il vous pleyt vous m’excuserez, je

    par monsieur le conte de sabilher, de mesme que lui

    Fs d’Avanson evesque de

    Lodovico Birago

    12 jullet 1572

    escript qu’elle en veult aultant. Je vous eusse mandé

    Villar, greffier

    monseigneur, vous donner en parfaicte santé, heureuse

    et du demeurant de votre compagnie, en priant Dieu

    en tirer toute résolution. Je finiray

    pence astheure qu’ay à la forestz de Lyons

    en Angleterre et est de retour en Lymosin

    Johan d’Austria ou bien au secours du duc d’Albe en Flandres.

    cent qu’il s’asseure seront prestes et équippées pour le commencement du printemps prochain, pour assaillir

    de vostre part, obéir à vostre mandement comme feray

    à cest inconvenient par ung extraict que i’en avois

    grand prevost de France, est decedé et son office supprimé. Pour le moins

    vertz. S’il vous plest, monsieur, avoyr pour

    sa magesté, voulant que non seullement les originayres de

    gueux, on navoit encaures aucunes novelles qu’il ce fit

    pour vous fère servysse

    ce pourra. Monsieur de La Terrasse vous dira comme je suis

    et d’envoyer à temps gens sur les confins pour recevoir lesdites bendes et les

    n’ay peu entendre comme il soit venu résolu

    Et en cest endroict, je fineiray la présente, après avoir supplié

    aveq une selle de femme et un de vos mullés de cofres. Madamoiselle de Charpey et delliberée

    Je ne peux aller avec qu’elle à cause dun reume qui mestoit descendu sur

    recommendations

    Montoyson.

    Lodovico Birago

    cest office et chose si pitoyable, bien leur ay-je dit que

    serviteur

    idoines pour exercer la charge des ames. Néantmoins, pour le bon

    et touz ce pays feroys hune grand perte, mèz cyl estoyt aincy, je

    Monseigneur, je ne fauldrey vous

    Je ne scay pas pourquoy cest faire. Dieu vueille que ce soit pour

    finyray la presante après avoyr salué vous bonnes grâces de mes

    n’ay encores heu point de responce de monsieur de president

    Suze

    avoys escript de n’aler point au voiaige de la Floride, de

    y a beaucoup de mallades. Lionp est à la mort et sa

    et Laval, s’il sont enquore là ; baissant

    vostre et celle de madame de Gordes de mes très humbles est

    avec messieurs d’Uriage touchant la substitution de Laval.

    ne les surprendre depourveus de tous vivres et qu’ilz ne fassent

    Sainct Maurice

    laquelle ne failhiray fère tenir en Provence.

    Monsieur, vous donner en bonne santé, longue vie. A Marseille, le

    Je vous suplie monsieur

    gouvernement, il fauldra qu’elles commancent à payer ce qu’elles prendront

    renforcées de gens de pied et de cheval. Il peult bien estre aussi que les

    estoit à se discours présent. Je ballis votre lettre à monsieur

    grâce) en très bonne santé, longue et très heureuse vie.

    tiré en cause sadite femme par devant monsieur

    quil meut promis destre pour moy. Cest iver

    avec monsieur de Chaptes et le plus tost seroyt le mellieur.

    possible de men retorner avecques ce que je pourrois ramasser

    Monsieur, en très bonne santé, longue et hereuse vye. A Parys, le XXIe de juillet.

    à votre poursuitte ; et finablement, puis voz lettres receues

    donner en toute prospérité et sancté, acomplissement de voz

    1572

    Fizes

    vous remersie bien humblement la souvenanse

    estoit de voir en ce premier lieu monsieur son frère et

    mal accomodés pour deulx nuictz. Quoy voyant, je

    bien est-il vray que despuys deulx ou trois jours, on ha chargé six cens

    feray mettre sur la main et vous advertiray

    Votre très humble et très obeissant

    bestes de Briançon, asseurant en bailler des aultres le matin et la nécessité en quoy

    assasinementz et sestant adressé à ung de mes gens

    et dun autre que men donoit à ces fins advis, car je

    Chastillon

    dire que vostre aide et faveur luy ont

    bien que de vousloir vous en escripre, comme mont

    monsieur de Montbrun faire a été ung peu reffroidy, combien quil

    ville et faict monstre pour ung moys et mille escus quil a

    le secours de La Goulette ou entreprinse d’Argiers.

    Monsieur en perffaict santé, longue et heureuse vie. De Paris, ce

    de poullet. Mandés au ressepveur quil passe chercher des

    pour cause des cerymonyes non acoustumées.

    Vostre plus humble et obeissant

    de danger de retumber pour le mauvais her et seiour qui luy a

    secouru de beaucoup de voulallye dont il na voulu

    son costé, et ung petit vous du vostre, esperant que dans

    mieulx. Quant à moy, jay ung mal de dens quy me

    et que nestoit besoing le retournassent voir. Si ay-je

    les endroictz enquoy me jugerés estre propre

    de recevoyr mes très humbles recommandations.

    Alfonso d’Ornano

    à jamais

    Je vous prye denvoyer responce au controulleur Gilbert

    qui y accompagnarent le lieutenant de juge, qui en print actes et despuys s’est

    je ajousteray ce mout : les fruis de ceste

    obéir

    par sorte que si telz subjours ou subjour ce

    quilz rapportent les pagniers couvertz pour emporter

    en faudra detz bestes. Sy Creitin est malade, Jehan Deime pourra

    duc d’Anjou et duc d’Alençon sont en Brie comme vous

    d’Albe, a escrit à mondit seigneur, comme monsieur de Jenly est prisonnyer avec grand nonbre

    Lorraine qui est la despeche gratis denne abbadie que

    Monsegneur, vous donner en parfaicte santté, longue et

    et presque tous les jours le voir, mais non

    vous plaist me pourrés renvoyer. Je ne treuve

    prévenu dudit homicide et pour cest effect, detenu aulx

    Valernod, par commandement de monseigneur le president

    d’Hourches et Chastelard les plaintes que font seux de la

    Serviteur

    desse que ie ne leurs rans reponce.

    Vostre très humble

    sodeynement tenir, vous asseurent que sens la

    Michel à cause des estremes challeurs qui faict que

    dire pour ceste heure, me recommandant surce bien affectionnement

    et dix galères qui avoint chargé lenfanterye à

    Votre plus affectioné à vous aymer,

    si redevable pour lamitié et affection quil vous plaict conserver en mon

    Monsieur, je supplie le Createur vous donner longue

    il est guery du tout de sa jambe. Je suys en ce lieu icy

    que les precedantz seront renvoyez en Daulphiné. Il n’y a

    comme font les Juifz en leur messias, en faire faire ung cry à quelquun

    dudit commis pour ne s’en estre vollu dessaisir jusques à

    et sy me remectz du tout suyvant la volunté des superieurs,

    qui a promis à ceulx de ceste ville d’y en faire venir

    avoir faict doner ung arrest. Mays je suys

    serviteur que moy, qui sera pour jamaiz daussi bon

    Monsieur, qui vous ayt en sa garde. De vostre maison

    que vous m’avés promise. Et pource que, par

    N. Mulet

    voyant la convalescence de monsieur de St Laurens

    monsieur d’Entrecasteau, qui passa [barré : questz] seans.

    feu monsieur de Bressieu qui la confessé et ordonné.

    ogidi, facendo fine pregaro il Signore iddio gli

    le temps ne le permectent pas. Cest seulement pour lordonnance

    auquel je prie

    Je ne scay si vous haurés esté adverty du decès

    je prie Dieu

    n’aye à manger chair le vandredi, ni le samedi, sur

    aoust 1572

    vie. De Grenoble, ce 5 auost [sic] 1572

    leur en escrire. Ces gens disent que depuis la paix vous

    advertissement. J’estime que vous la pourrés recevoir

    Monseigneur, après vous avoir présenté mes très humbles recommandations,

    donner le moyen que je pourrey avoyr pour en recouvrer ung

    effait, ay mandé querir la mule à Jaunages

    Mesdamoizeles de St Veran et du Mottet vindrent hyer veoir

    ordre que [barré : ont] ainsy indifferemment ez marchés

    achepter et la maladie qui maintenent leur est survenue, en laquelle

    Bressieu a deu vous escripre des novelles et sucès

    digne de vous, je prendrey ceste ardiesse de vous presenter mes

    que vous porriez sperer de nul autre, et estimerés plus la defaveur que ce qui

    anvoyé gentz et chevaulx à madame la comtesse de

    me faire entendre votre volunté. A tant vous présenterei mes

    Monsieur, nous prierons Dieu vous conserver en sa sainte grace. De

    homme et i anvoier et oufert de fornir argant comme

    nepveu qui e[s]t isy a, depuis huit ou dis iours, la

    sieur de Moy est en ceste court pour avoir lectre de faveur du roy au duc

    de retour de Sault despuis les IIIIe

    nest pour me recommander très humblement à vostre bonne

    recouvrement de sa santé, affin de povoir prendre lair des champs

    troys centz livres. Je croy que si faictes cercher leur

    Monseigneur, vous donner en parfaicte santé et

    Monseigneur vous donner en santé hereuse et

    très humblement les mains, priant Dieu vous donner

    Monseigneur, vous donner en parfaicte santé, longue et heureuse vie, apprès vous avoir présenté mes très humbles recommandacions. De Grenoble, ce 11 daoust 1572

    dans deux ou troys jours nous en pouvouer aller hors

    pryant Dieu, monsieur, vous donner en parfaicte santé,

    bien de la pitié pour enquores. Sans recheutes

    donner en santé très longue et contente vie. De

    1572

    estantz leurs magestés par trop faictes et bien

    monsieur de Brigandières morut à nuyct dune expesse du mal

    na de quoy ferrer son cheval, et diminuant les payer et les vivres

    à leur honneur, come j’ay bien ferme espérance que vous, monseigneur, ferés

    très heureuse vie. De Grenoble, ce XIIIIme aost 1572

    chevaus apoustés, ne vous suis [barré : moimesm] aller besser les meins

    justice, et fire prisonnier ung de mes

    Jehan Besson

    respondre aux remonstrances de Cugy et du Cheylar, que

    de le remettre esdits magazins. Et surce, me recommandant

    de 25 000 âmes sur les païs des Venitiens, desquelz

    je trouvay par les chemins mon filz et le jeune monsieur

    le XVe aoust 1572

    Je maseure que ce nest pas que vous ne layés bien aussy

    Monseigneur, en parfaicte sancté, très longue et très heureuse vie.

    se reffaire ung peu, estant bien mègre. Il dellibère se remuer

    contusion au derrière de la teste, auquel fut faict

    allé à Marseilhe pour sa monstre ; madame de La Coste

    Monseigneur, en parfaicte santé, longue et heureu-

    Monseigneur, en parfaicte santé, longue et heureu-

    vous a pleu me despartir en ce myen affaire qui me rend

    me commander pour les grandes obligations que j’y ay pour mon acquict,

    asseurance aucune quil sera advisé que votre

    Monseigneur, quil vous doinct en parfaicte sancté très longue

    a esté à la court.

    et celuy du chasteau environ de quatre centz livres. Et

    myens qui estoit là et en revint arsoir. D’aujourdhuy je nay point

    Monsieur en santé contante vie. De Lion,

    Monsieur, longue et heureuse vie. De Gargas, ce XIXe aoust 1572

    Madame d’Ourche ma conmendé

    bonne voulunté et affection que je me recommande en cest endroict

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bonne

    de vous faire très humble service pour y employer tous les moyens que Dieu ma donné

    Jattandoys monsieur de Corbons, mayant asseuré

    se quil vous plest que jan fasse pour fère response ; pour vous

    et leur commander d’estre une aultre foys obeyssans à voz

    sur quoi je me remetray et atans. Après vous

    devant cestoyt la femme que parloyt, mais maintenent

    man avoir parlé aultrement au chapitre de l’ordre qui de sa part

    oublié à le remercier de tant dhonestetez que jay

    où je suis en une petite maison que j’ay à Melans.

    La Mote Verdeyer

    Surce, je prie Dieu quil vous doinct

    serviteur à jamais

    emprisonnez et fussent estez condemnez (selon

    escripray encores par monsieur d’Ourches, lequel

    je prie Notre Seigneur quil vous aye en la sienne. De Grenoble ce

    Jespère toutesfois que tout reussira selon le merite de vostre innocence

    monsieur de Saint-André à Grenoble pour quelque procès.

    le demeurant et si vous rendroyent aussi le

    de Gordes

    Du Saulzé et Chantprens, masseurant que les advés assés en

    Je prie Dieu le vouloir conduire comme vous désirés, vous suppliant

    fault que je prette mes chevaulx à madame du

    de Guyse a esté blessé et que ladite execution a esté faicte

    Votre très humble et très obaissant

    vous creiés que je suis et serey tousjour se que j’ay acoustumé vous

    Loyse du Fay

    ledit appel et faire les sommations y contenues, suffira qu’il

    contrayre humeur, pour [m]eygrir, ont dit que ce murtre

    on trouva d’arrivée noveau d’avoyr veu plus de garde que

    Monseigneur, vous conserver et maintenir en prospérité et

    ensamble les commandemantz de mondit sieur de La Tivollière,

    Votre très humble et hobeyssant

    seus de la relygiom de remetre leurs armes en la

    pour vous en advertir du tout, par coy, en atandant

    Monseigneur, je supplieray Dieu vous donner en santé et longue

    marchent en estrange craynte et quoy quon leur die, ilz ne

    des Corses vers vous et pance sera outroie Jusques Ici

    vye. De Lyon, ce dixiesme jour de septembre 1572

    cepandant je men va vous baiser très humblement les mains

    feroit vertu. Monsieur d’Evènes et moy i aviserons,

    Jean Besson

    compaignie, qui est à lestude, sont en bonne sant[é] et

    Monseigneur, en très parfaicte santé, très heureuse et longue

    ici de ce que en Prouvence et Dauphiné lons navoit

    à vous faire service.

    verso di quella. Alla quale raccomandandomi di core, le prego, dal Signor

    pour tirer la charrete, ne pouvoit servir, a esté dadvis

    bouche et me samble nestre bon vous an mander

    de ceste ville que nous ne soyons par eulx, ne aultres, offancés,

    arrivé quil me parle de le retyrer, mesmes [barré : par la]

    pour sa magesté, tant qu’il alla parler à Marmet Baschas,

    majesté catholicque. Voylà tout ce que je scay, monsieur,

    la mort de feu messire Bertrant, je ne say, monsieur, si pour ce dit regard quelqu'un en auroit faict

    que ne voys autre expedient pour les bien reduyre que

    toutesfoys ilz soint entrés dans ma maison,

    intention suyvant lasseurance que a sadite magesté

    jour dhuy que lons comence à vous prester des cherites,

    maison près de La Tour du Pin, lon scait bien que je ny ay trouvé

    après à cheval pour vous y aller accompagner, vous suppliant recevoyr mes très humbles

    vouleu escripre ce petit mot pour prevenir à toutes

    et tout mon petit pouvoir est à votre service et en pouvés dispenser

    dernièremant que monsieur de Sainctal estoit

    ajouster foy.

    inegalle avec ung pouvoyr si petit que le mien. [barré : par dessus] Au demeurant

    j’auray puissance, je seray tres ayse de m’employer pour vous

    quest venu fère de chaselleux dessins)

    Je prie le Createur vous donner

    comme on a peu appercevoir de quelques-ungz, lesquelz ont fort

    Monseigneur en tresbonne santé longue et heureuse vie. De Grenoble

    ne vous escripz de ce qui fut hier ordonné en notre compaignie

    Votre tres humble et affectioné

    [Autre main] Permission demandée à Mr de Gordes par le cardinal d’Armaignac de laisser sortir du Dauphiné des charges

    rappourta qu’il n’y avoit personne dans le dit lyeu estrangiers. Il y eust hiert

    s’en retournent en France, suivant la promesse qu’ilz ont faicte d’estre

    dedans et jattendz ung de ses gens. Je ne

    Ne se trovant aultre preuve de lassemblée d'Amblard

    consulz et conseilliers du lieu l’ont touvée raisonnable, ayant

    eusse plustost escrit si jeusse en quelques novelles

    bonne grace, et suplierey le Createur vous

    Votre tres humble et plus hobeysant pour

    la companie de monseigneur le prince, combien que ledit

    Monseigneur, vous conserver en très bonne, très heureuse santé et longue vie.

    religion du Champsor s’y trovarent et, comme a rapporté ung quidam

    aydant, auquel je voys prier

    massacre de quelques ungs advenu aux prisons,

    deguiser ce que j’en voys, oys et cognois comme je n’ay jamais faict.

    Monsieur [barré : levesqz] levesque et recteur de Carpentras

    je len soliciteray et en attendant je vous bayseray

    sesdits voulloir et intantion, au moyen de quoy je vous prye

    deux livres dix huict soubz. Ilz ont arresté quilz vous porteront

    et longue vye. De Pierrelongue, ce catryeme octobre

    se que je ferey paroytre quant jaurey se bien

    icy ung corrier allant en Espaigne, qui n’ha que douze jours est

    Monsegnieur, je ne vous puys escrire aucune nouvelle, si n’est que

    non pas qu’il n’y aye des raysons qu’il porroyt profiter [de la]

    que, par sa responce, vous avés antandu ce quil en est, je ne

    della au près. Mondit beaufils est allé trouver

    cheux la veuve de Noué Nayret. Ie ne panse pas y

    ne defaillierey de toz comandementz desquelz

    Saint-André est plus fort que l’on ne pance et ne n’y a point

    ne font volleries justement que pour vivre, qui me faict

    combatre, conduisant le sieur Don Joan la batallie avecques

    script contient verité. Car je suis este adverti des plus principaulx de mes

    Ludovico Birago

    despence. Je scay bien que leurs mollins vous sont hypotèqués,

    vie. De Gap, ce VIIe doctobre 1572

    Tande

    De Lyon, le VIIIe octobre 1572

    asemblée. Je pense que il penserat. Je syus

    poinct leur temps ; si Dieu nous entretient en santé au moins

    masqués qu ’allarent tuer ledit Bury Vaneau et sa femme dans

    Monsieur despuis ma lettre escripte, jay

    les catholicques, comme de faict ung des principaux cytoiens se catoliza dimanche dernier.

    Baumettes et de La Coste lundi prochein. Quand aux

    des compagnies cassées du baron des Adrestz ; et pource que j’ay

    des compagnies cassées du baron des Adrestz ; et pource que j’ay

    Monsieur, en très bonne santé longue et heureuse vie. De votre

    Loys d’uriage

    Mais, ayant repceu lettres de vous comme ledict de Montbrun

    pour le regard de ladvertissement duquel il

    aucuns souldatz à sa mayson de la novelle relligion, ny

    coeur à la votre et de madame de Gordes +° [+°comme faict votre seur, bien humblement.

    de Saincte Jalle que me mande que tout y est

    ou quastre jours, je coumanserey mon voiage, mayant esté mandé me trouver

    té, longue et contante vie. D’Apt, ce XII octobre 1572

    honeur de me venyr voyr. Mays, vollant incontinnent prendre

    luy fère la reverence et recepvoir ses commandemens et ne faudrey vous tenir

    au contenu en icelluy. Il sera tenu de rapporter en la

    Amy

    nombre d’homes alla, de grand matin, à Domène pour

    en sa Ste garde et protection. De Gargas, le XIIIe octobre 1572

    Hourche

    Monsieur, très heureuse et longue vie. D’Apt

    Baptiste de Simienne

    y seront alés, mays en chemin venant de La Coste icy, jay

    vie. De Vallance, se XIIIIe de octoubre 1572

    noz très humbles recommandations, nous prierons Dieu vous donner,

    conforme à la voulonté de mondit seigneur et je vous seray plege que

    D’Avallon, ce XVme jour d’octobre 1572

    Votre très humble et

    et y a desjà personnes prestes pour pourter les

    quelle vous fesoyt response. Je suys en peyne de ce

    après avoir salué voz bonnes graces de mes très humbles

    s’adembtèrent avec la court pour les lettres et

    vie. De Sarras, ce XVIe octobre

    sont possedez par ceulx de la religion, il ne pourroit se joindre

    ville et jadys recepveurs des deniers imposés pour la soulde

    sil ne vous playct monsieur me licencier daller à vous, vostre commendement et arrest me servira sil vous playct descuse envers monseigneur le mareschal à quy je veuls et à messeigneurs les siens, continuer pour jamays lhumble et très asseurée servitude que les miens et moy havons heus et porter à sa mayson et race

    Loyse de Simienne

    vous demeurant

    moyen que vous en ferés tenir à mon filz de Gargas.

    La Breoulle hou, sodeynement, ayant seu comme le faict estoyt

    Monlehuc

    melieur advis. Nous avons heu une recharge des pleyntes qu’on

    seray plus resolu.

    vous tiendrey adverty pendant que j’y

    Quelque mal que iaye heu, ie nay laissé daller diner

    et heureuse vie. De Grenoble, ce XXIe octobre 1572

    toute la garde de la ville. Je ne vous serey

    et quoy qu’il soit, ilz ont belle peur, car deux de

    dont le roy estoyt fort indigné ; aussi qu’il se faisoyt bruict

    et respect du service de sa magesté. Tant que jespère, avec votre

    grace, priant Dieu vous donner, Monsieur

    humbles requomandasions de bien bonne

    mesdessins vous ont ordonnés. Ie supplie assés pour

    serviteur

    et très heureuse vye . De Troiscleix, ce XXIIIIe jour

    à Grenoble et Laval. Je ne vous mande rien de

    ray deus flascons de vin et de mes nouvelles, sepandant,

    qu’aurés ocasion vous en contenter ayant désia rompeu

    aller à Nismes, ou pour se retirer à Genève.

    Ddésirs. De Loriol, ce XXVIe octobre 1572

    ci jointe où vous verrés ce qu’il ce

    car, venant telles choses à la cognoissance de noz supérieurs,

    de Vesse à monsieur de Vins. Je prétens qu’en avez désja

    recommandations et priant le Créateur,

    du tout appert par le procès par lequel aussi appert

    long, ce sera en compagnie de monsieur de Bonevaux.

    sur luy, mais par la très humble requeste que je vous en fais,

    grâce et à celle de madame de Gordes. Je prie le Créateur

    Vostre très humble très obéissant

    pour estre yci tous ensemble de retour dymanche que monsieur le légat

    que nous avons amené du Daulphiné, duquel

    à propos, mesmes qu’il me samble qu’il ne se voudra

    Roche vous aura peu faire entendre, qui a veu à l’œil

    peut mesme trouver pour argent et je n’ay le moyen de pouvoir advancer,

    mais sur tout ce qu’eust vallu le prendre et attraper,

    Monseigneur, vous donner bonne vie, heureuse

    Je luy eusse envoyé mon laquais, mais il ne scait encor aller ne venir.

    qu’il est arrivé une dépêche votre pour le roy chés monsieur

    et comme les présents porteurs porront mieulx informer

    au long et se proteur le mieulx du monde. J’ay

    biens, mesmes vous prier tant avoir sur quoy je vous prie monsieur

    atribuer à ma négligence, encores qu’il n’y a pas faulte

    pourteur. Et quant au faict de ladite lettre, il nous semble qu’elle

    serions en la guerre par tout ce pays. Parquoy, Monsieur, je

    de Montoison, ce XXVIIme de novembre 1572.

    Obéysente méson de Vanterol, se XXVIIme

    Carces

    Je ne faudrey de vous tenyr averty de se que

    et pource que se dict pourteur vous discourira

    que j’eusse bien désiré que Dieu m’eusse fait ceste grâce que, si grâce

    à vous, mais ceste-cy est du mesme tonneau que

    recepvray comme pour moy mesmes, augmentant de tant plus

    tart adverty et que ce que je suis esloigné me sera grandement préiudiciable. J’ay tout présentement trouvé commodité

    le nombre des soldatz qu’il vous ha pleu m’ordonner pour la garde de ce lyeu.

    sieur de Manti aura ^[^l’année prochaine] en les places de St Talle et de

    Monseigneur, en parfaicte santé, très heureuse et longue

    sur le dos. Quant au faict de Montbrun, puisqu’il vous use de tant de

    dernyèrement qu’ilz furent ici, qu’ilz ne feroyent faulte de

    De Vallance, le

    du roy. J’estime que messieurs d’Évènes et de Laval vous

    lundy premier jour de décembre 1572.

    Serre, ce premier décembre 1572

    le Créateur

    et afeccionés requomandasions de bien bonnt cceur

    descouvrent aussi de bien loign, de sorte qu’il seroit

    estre l’esglize Sainct-Martin,

    De Valernod, châtelain

    advis de quelque remuement en Allemaigne, mesmement du duc

    courtoysie qu’il s’employe pour l’amour d’eulx à réduire monsieur le président

    demesler avecques luy. Au reste, selon le cours

    Monsieur, que en sancté vous donne très heureuse et longue vie.

    aultant désirré que l’exécution s’en suyvra, celon

    Sur ce nous prierons Dieu

    tenus et obligés comme désia nous sommes, à ecposer

    Monsieur, vous donner, en parfaite santé, heureuse et bien longue vye.

    reuse vie. De Paris, ce IIII décembre 1572

    affaires que ceste ville sera tousjours conservée soubz l’obeyssance de sa magesté

    Vostre plus humble et plus obéyssant

    grâces, en priant Dieu qu’il vous doinct, Monsieur de Gordes, en bonne santé,

    qu’ilz feront avec vostre saige et acoustumée ayde que vous y donnerés

    veuz qui vous dira la belle chose que c’est

    Il y a ung homme d’Allès, bon cathollique et homme

    je jouys du repos le plus que je puis, me desdyant

    laquelle le suffoque fort, de quoy je suis en peyne ; comme luy je prye

    recommandant très humblement à voz bones grâces et de

    nous avons pour le moingtz besoigné tailles. Si au retour de cedit porteur, qui s’en va

    et les mener en Flandres. Don Joan monstre se

    priant Dieu vous donner

    il nous charriet du vilage du boys et du foin

    ou à moy et despuis, je l’ay conduict par la main. La

    et affectionnés requomandasions, de bine bon ceur

    que ceulx qui ont achepté le vingtain d’Orange vous payeront

    des hommes et de la mort. Ie ne le ferai

    vous bones grâces et prier Dieu vous

    D’Apt, ce XII décembre 1572.

    Geneviefve Monery

    de Laval. S’il vous plait, mes lettres seront mises dans la première

    assés amplemant à voz lettres du XX octobre et du XXVII passé.

    ne l’entens tieulle que désirerois. J’ay, avec mon nepveu,

    qu’il vous voudroit gratifier en plus grande chose et qu’il y

    commandera que sera de rendre obéissance au roy et à monsieur

    esté ruyné et ont esté vendues les tuylles soixante livres

    Créateur qu’il vous doint

    serviteur.

    de moyenner faire revenir de par deça monsieur d’Aiguebelle car

    recouvrer. Suys bien marry que n’en

    lettres qui sont de pareil stil que ladite coppie.

    prétexte de tenir ung conseil général de la ville, quand

    messieurs de voz frères et de tout qui vous apartiènent

    peu d’espéranse, au moins qu’ils ne se voïent ataqués

    et heureuse vie. A Grenoble, ce XVIIe Xbre 1572.

    devers vous, par la voye de la poste. Vous pourrés aussi avoir

    faire tousiours très humble et affectionné service, prians Dieu en

    des susdites patentes, et de ma part, je me sentiray vous en

    à la votre du VIe, je vous diray que en y satisfésant,

    qui me viengnent successivement et me

    par votre dernière despêche dans laquelle il vous a pleu

    et en cest endroict, je prye Dieu que vous doint sa grâce

    laquelle il m’a envoyé une coppie, n’eust esté que j’ay trouvé monsieur de Bazemont, abé d’Aiguebelle, qui m’a promys vous donner ce paquet

    Laval

    Grenoble, le XIXe désambre 1572.

    Monsieur d’Ambrun trouvera

    monseigneur, vous donner et conserver en très bonne santé, longue

    par conclusion qu’ilz ne sont pas encor prestz d’obéir. Peult-estre que

    Monsieur, en bonne santé, heureuse et longue vie, après m’estre affectionnément

    main, il les remecte en justice. Quant aux advis de Grane

    at heu en ceste ville du boys et du foin. En faisant venir nostre

    d’Alençon vient à Sancerre accompaigné de monsieur de Never et

    L’on enterre ce jourd’huy

    asseuré tesmoiniage. J’espère à mon partement de ce païs le vous mener

    circonvoysines de son obéissance que nul n’en sortist avec armes, ne en intention de

    le plus tar ; auquel temps je seray prest pour aller avecque luy. Je parleray au

    asseurer que en ce que je vous y pourray servir, le feray de bien bon cueur.

    le lendemain des Rois. Nous sommes après à nous accomoder

    Monseigneur, je prie Dieu vous donner en santé longue et heureuse

    avoir monsieur, en sa sainte et digne garde. Escript à Paris,

    comme vous les luy avez desparty aussi aux derniers troubles lorsque

    a pardonné aux conditions qu’il ne le vist jamays. Sadite

    Laval

    Votre très humble

    que nous avons le plus dur hyver qu’il est possible, et ne cuyde point avoir

    Cest pacquet m’est arrivé

    Voz lettres pour Grane sont scellées. Monsieur l’advocat Ruzé

    Monsieur, je supplie le Créateur qu’il vous doint, en bonne santé,

    qua, non la voluto intendere, ho voluto dargli

    cette heure davantage, ie finirè m’a

    Francoys de Bourbon

    vie. De Montpellier, ce XXVIIe jour de septembre 1572

    vous a pleu me commander et me informerey de

    Le dit senyeur de Vantadour pretant que il veulent

    et dix mil lansquenetz pour le servir contre les rebelles de son

    vous pouvés à ceste heure considérer quel est l’equipage de mondit

    Paris, ce IIII janvier 1573.

    nepveu et moy. Il ha sa charrete atelée de deux

    vye. D’Allemaigne, ce Ve janvier

    ce VI janvier 1573.

    ce que toutesfois n’avons pour certein. Nous entendons icy que

    sis souldatz à sa mayson. Je ne vous escrips

    gaste de ce qui a este faict par vous. Le tresorier Bragelone

    Lon ma escript de la court que huict jours devant

    de moy. Ce porteur sen vad accompaigner la femme du cappitaine

    que vous envoyez à Monsieur le mareschal Dampville entre sept

    drès demain. Bien que je laye tousiours sellé à ma mère et ma femme quar ilz eurent

    ma personne et tout ce que en depend pour vous en

    ladite partie à leur accoustumée. Et nous mectrons ce bien, monseigneur,

    votre part. Au demeurant monsieur, jay à vous dire comme le jour avant

    Lucrece dantiboul

    Rousset

    quon est tousjours à poursuyvre

    biens immeubles dudit Argond et quand à Humbert Dubois

    du moins en avoir votre response advant que de parler

    des quatre compagnies que le roy ma ordonnées sur votre gouvernement ;

    monseigneur, en parfaicte santé très heureuse et longue

    Votre très humble et très hobeissant

    Priant Dieu,

    de la religion absens, ilz seront employez pour l’entretenement desdites

    monsieur, en très bonne santé, longue et hereuse vye. Au Monteilhimart, ce XIIe

    subiectz le requerir et ne nous desnyer au surplus notre juste et

    nées recommandations à votre bonne grace, je prie Dieu etc ...

    hobeissent serviteur

    à Piare Gorde. Seus de la relygion tiennent

    De La Voulte, ce XIIIe janvier 1573

    a prins par force la ville de Gueldes et mis à feu et à sang tout ce qui a

    sa magesté) et à vous très humbles et hobeissantz serviteurs et

    heu de voz lettres.

    et ainsi de tout autre equipage pour ce voyage de La Rochelle, ce qui seroyt

    men ont fait plusieurs requestes de vous en escrire et semblablement

    ne scay comme ceulx que vous savés sy conduiront.

    mayson, j’allay pour passer le tempz chez ung notre voysin, nommé Jehan Ryvaud,

    monsieur, en bonne santé, très bonne et longue

    se çon[t] asembler à grand nombre quoman le

    de Monbrun et ne sont encores de retour ; et sil y a

    Monsieur, vous tenyr en parfeytte samté, longue

    je desire faire daussi bonne volunté que je prie Dieu,

    cousine

    croyre. Monsieur le mareschal de Dampville sen

    et des Torrettes qui ne sont pas de nostre ressort et sont bien

    Parquoy monsieur, vous vouldrès supplier me donner mes subjectz

    servyteur

    par appel en dernier ressort vinssent en aultre parlement

    dequoy vous supplie très humblement plus seurement ordonner

    Serviteur

    monseigneur et messeigneurs de parlement,

    voustre hobeysent comme vous mavés trové

    serviteur

    laultre est dune rivière de Sanes qui m’appartient d’ancienneté

    nay [barré : pas] laissé de passer oultre, ayant toutesfoys

    Vie. Des Diguieres, ce 18e janvier 1573.

    Il y a une lettre cy enclose que j’esriptz à monsieur

    priant Dieu,

    pouvoir faire mieulx. Je me recommande humblement

    monseigneur, quil vous tiene en saincté longue et hereuse vye.

    dont Dieu vous en sera gré, lequel

    fait, ne fauldrey aussitost vous advertir et vous en mender toutes les procedures,

    vous donner, monsieur de Gordes, ce que plus desirez. De Saint Fergeau,

    à votre bonne grace. Priant Dieu,

    servir pour n’avoir aulcung empechement par les chemins.

    chatolyquemant. Mès vous povés panser comme je an

    promettoit avec lettres de faveur de obtenir gratis

    rendre dedeça, car y estant par mesme moyen que je feray faire

    pour ce que vous me pousastes si fort de [barré : men prendre] maller

    qui la fortiffiée, lequel est maintenant au service du

    premierement estre presentées ; et combien quil me semble estre

    qui merite vous avertyr autre quelque[s] huns # [# se doute que le senieur de Monbrun ne se lève]

    courri[e]r de monsieur le marechal que sen

    Vostre très humble et plus obeyssant

    comme de chose votre ; donques vous me continuerez, sil vous plaist, au nombre

    Cappitaine Saynt Auban, je vous ay escrit du XVe et XVIe de ce moys [barré : et] pour

    les troys canons qui sont au Crest, lesquelz sont tous esventez et de nul service ;

    serviteur Bressieus

    janvier 1573.

    presenté, il a esté contraint à ceste occasion se retirer

    que faisoyt penser que lon nestoit hors d’esperance de les avoir à composition. Jen ay bien entendu

    monsieur, longue et comptancte vye, saluant vous bonnes

    hommes qui viennent devers monsieur lamiral, lesquelz mont dit quil a remys plusieurs

    est que lon se ranche [= range ?] selon les premières lettres royaulx ou selon les

    monsieur le vibayly quest à Grenoble sera plus

    gentilzhommes qui pretendent audit gouvernement. Voyant

    nextime pas beaucoup. Qui est lendroit où je prie

    et soupport, à leffect que dessus, quil sera possible. Si ne serons ingratz

    tout le temps de sa vie en devotion de luy fère

    mon service quy ne vous soit riens reffuzé de ce que vous aurez besoing comme je

    nous puissions donner advis lun à lautre de ce qui se

    dommaige et prejudice que pourroit apporter la vente de ladite forest

    notres. Nous sommes venus de compagnie avec ledit sieur de

    qui me fait panser qu’ils ne sount trop grand nombre

    Votre très humble et très affectionné

    Priant Dieu vous donner, monsieur de Gordes, en

    les votres bien seurement. Le roy partit dici le XVIe

    assiegés. Voyla monseigneur, en somme tout ce que pour ceste heure

    suis contanté y dourmir une nuict. Mon nepveu, qui est melheur

    supplyer de les voulloir avoir pour recommandé

    Paris où la galle le travailhoit et despuis en ha

    plus povre lieu de ce cartier. Et sil vous playt les

    vous doint,

    nouvelles et quil vous plaise me commander ce quay

    lettres dicele pour se rendre avec le plus de la noblesse de ce

    service, prenés le villain et les boeufz car

    la faute quil avoit faict de laisser passer ses vaisseaulx ;

    tout me sera bien necessaire, me retrouvant aujourdhuy toutes les forces des rebelles de

    et me ferez ce plaisir de croyre quil ny a personne au monde

    Serviteur

    aux aultres lieus de la ault. Je vous tiendrey de ce

    responce et le m’envoyer tost pour le faire tenir avec la presente.

    Grignan et les mienes très humbles et à madame

    quel je luy escris [barré : que], car importe de beaucoup.

    madame de Gordes. Je rendz graces à Notre Seigneur de ce que noz escolliers

    Mente, car elles nous sount enquores incogneues ; et

    trop grand harte [sic] de me marier, car si jestois

    son retour ; et cependant votre frère et moy nous en

    monsieur, en très parfaicte santé, très heureuse et longue vye.

    de leurs menéez et dessains que sur la ferme pierre qu’est Jesuchrist, lequel

    messieurs les consulz de Vienne ou aultres telz

    et boulletz que je pretendois avoir de Montmellian, car mon oncle le duc de

    De Chambery, le dernier febvrier 1573.

    mectre quelqu’une en ceste ville, les affaires seroit

    Voutre très humble et aubeisen

    point. Je vous tiendrey adverty de tous ce qui se presantera.

    lettres portent clause rogatoyre sil est

    et tousiours en ces occasions il y en a quelcung de mal

    mareschal dans ledit Sommières, ilz estoient en grande

    cappitaine Sellier, commandant en labsence dudit sieur

    deus ce declaroyt contre le roy que Dieu ne veuille. Bien que vous ayés eu des lettres de messieurs

    Votre très humble et très obeyssant

    la feisoit reediffier. A present (encores quelle importe beaucop

    la lettre que jescrivois à mondit seigneur le mareschal à ce quil nattacha rien quil

    affection que je prye Notre Seigneur,

    plus belle garde que lons puysse fère en la vile pour bien

    feust necessaire, si est ce toutesfois que votre presance est plus que

    tellement quil ne ma rien vollu bailher pource que madame

    je vous presente mes humbles recomandations. Priant

    arme avec grand dilligence et tyent onc quilz feront quatre

    les mectre en besoigne et assaillir ceulx de dedans en deux endroictz tant au château qu’à la ville,

    questoient decendues au Pouzin sont allés assieger

    et magistratz, prierons affectueusement votre

    premyer jour. Le Maistre du dit [barré : souldart]

    aura quelque remuement en Daulphiné. Je doubte que ledit Pignerol

    monsieur, en bonne santé, très bonne vye et longue.

    javoys deliberé envoier ung homme tout exprès et en diligence

    qui importe au passaige du Rosne à notre ville et province comme

    vous ferés pour la bonne volonté que touiours

    Je m’asseure, monseigneur, quil s’y portera umensément

    peuvent que sera une grande asseurance pour la ville,

    le plus de jentz que porrés et croys qu’ilz n’entreprendront

    secourir à ceste necessité, vous advisant que j’ay despendu environ

    escrivant la presante j’ey receu vous paquet

    sinon qu’on m’a faict entendre qu’ilz se sont retirés au Chelard. Il[s] font

    les mains et à elle aussi. Je suppliray le Createur,

    à trouver quelques deniers extraordinaires dont le roy ne face

    Si madame veoit la presente, elle y trouvera mes très humbles recommandations à sa bonne grace. J’escritz ung mot à messieurs

    en sancté, longue et heureuse vie. De Chambery, ce IIIIe

    me faicte poinct mention d’une depêche que je

    monsieur que vous ayt en sa garde. De votre maison de

    1573.

    d’estat de son altesse, qui se va devers le roy d’Espaigne, qui

    monsieur, an santé très heureuse bonne et

    nous estre necessaire. Me recommendant très humblement

    Rosne et me semble non pour vous donner advis pour sentir

    plaise de m’envoyer aussi la compagnie de monsieur

    pas. Il y a davantaige : que les [barré : pas] roys,

    toutes ses execussions se font par tractimens des

    leur ay jamays usé que d’office tel que je doibz, ny ayant espargné

    escrist. Je vous supplie monsieur faire mettre celle

    le prince d’Orenge tient assiegées, et que ses navires

    pour commencer de s’acheminer en ça et de la madvertiroyt

    du jour qu’il pourroyt estre. Icy ma belle seur sa femme a fait

    ung portrait de La Rochelle.

    avoit heu sur ce advertissement d’aucun desdits sieur du senat que s’il ne faisoit [barré : de]

    VI mars 1573

    suivra la court ou bien s’il retournera à Chantilly.

    logis où estoyent logés les sieurs de Sainct Romain, Cugii, le

    puissions pourvoir surce ainsi que nous desirons, et vous ferez chose

    qui anportera les letres qui sadresent à mademoyselle

    monseigneur, comme nous pryons Dieu vous preserver en sa saincte

    continuer à votre souvenance et esperer de nous toute humble obeyssance de

    comme j’ai fait autre fois la demolition dudit lieu. Pour respondre au surplus

    du Pousin. Surquoy ne le pouvant resouldre j’ay advisé de la remectre

    très heureuse vie. De La Brioulle, ce VIIme

    temps ne porra guières durer. Evènes le porroyt negotyer au

    ceste ville je[sic] ne sommes si grand

    supporter, car tant plus de faveur on leur

    avec condition qu’ilz passeront devers

    monseigneur, en parfaicte santé, très heureuse et longue vie.

    me [barré : fère] participper des nouvelles que vous aurez, vous merciant ce pendent

    y porveus le mieulx que je peus mesmes au chasteau,

    de voz bons desirs

    contenant que ce soir là estoyent arrivées nouvelles de La Rochelle

    pour en recouvrer. Elle demeure bien petite que

    font aulcung compte de se garder, sinon quant l’on les presse ou qu’ilz

    Monsieur, mais il est encor à Caours

    poinct de responce. Qui sera la fin, après vous

    vous escriray rien des affèrez de ce camp pour ce qu’on n’y fet aulcune

    monseigneur, qu’il vous preserva en bonne prosperité, heureuse vie et longue.

    le desir que j’ay de vous gratiffier non seullement en cela

    ung mois pendant lequel mondit sieur y mettra tel ordre que

    tel. Ceulx de la religion dudit Loriol se jouissent fort

    dissipliner votredite compaignye que la faire vivre à discretion en mondit gouvernement,

    lieu de Rives. Je suys bien marri qui ne suys peu vous

    Hector de Maniquet

    messieurs en très bone santé, longue vye. Du Montelleymar,

    par les quelles il me mande que sans s’arrester nulle part il

    est temps qu’il vous plaist vous souvenir de nous

    receues sont du cinquiesme de

    grandz forces, mays ung peuple sans chef est bien aysé à s’estoner

    Saluant sur ce voz bonnes graces de mes très humbles recommandations

    mes humbles recommendations à sa bonne grace.

    la compagnie de monsieur de Maugeron, laquelle je

    vollanté et commandement et y employeray

    renvoyé au sejour de Fontainebleau,je y sceus la

    ma vie j’ay esté si aultant à votre disposition que personne du monde

    en cas de necessité, je y ay envoyé pour ne demeurer depourveu, donnat

    et très bonne vye et longue. De Valence, ce

    qu’elle me pouroit faire. Je ne luy rande tout

    Votre hobaisant serviteur à jamais

    que] à ce que cependant on ne s’en peut ayder. De ma part quant

    que lon aye à me dressé

    Mais pour cela, ilz ne laissent de parlamenter et a lon

    escrit comme j’avois faict rompre ceux là de Soyon. Il y a trois ou quatre

    aura du tout point, vous asurant qu’elle ^ [^ a] meilleur

    ung tour laquelle va sur la rivière. Au Pousin font

    le Createur vous donner

    Et au-dessus :

    Monseigneur, qui vous doint en parfaicte sancté très heureuse et

    estre cause de la pertede Sommières, ne se donnent grand peine

    Gab. Dugas

    par leur conmandemant

    quil vous doint

    de ne bouger de cheulx ly ; Myrebeau en est de mesmes.

    Jay prié messieurs les consulz quilz facent

    Vojany.

    Sev. Odoard

    Et commencera la première

    A.d'Ambrun

    ungs cessanz, et quil soit installé en icelle, affin quil vous puisse servir et

    très hereuse et très longue vie. A Coindrieu,

    cependant, je suplieray Notre Seigneur

    je mesloignois de ces quartiers du fere faulte

    que je prie Dieu,

    ces marches là avec ses forces et que ceux qui favorisoyent

    très humblmant les mains, an priand Nostre Seigneur vous

    votredicte compagnie et chevaus legers, lesquelz pour avoir seray fort volonterement

    et lattemptat que font aulcuns des aultres de faire le

    monseigneur, à tout ce quil vous plairra noz comander, ne ferons faulte

    Le sieur de Grillon fut tué quant ceux

    ou aulx consulz de cette ville, de les aller prendre à

    avons veu les effaictz et experimenté ; et sur ce,

    playra commectre tel ou telz que votre seigneurie verra pour les

    des Rochellois, sont sortiz de la ville et venuz trouver mon frère

    havoir pitié de ceulx de ceste vile de Venterol ^ [^ car ilz sont fort povres]; et aussi je leur

    mines ont esté evantées. Je me trouve peu de loysir

    Monseigneur, vous avoir en sa saincte garde. De Grane, ce XXme mars 1573

    advertir pour, surce et aultres plaisirs votres, recepvoir voz commandemens, lesquelz

    C[apitain]e Mestral

    cartiers. Madamoyselle d'Ourche est du tout guerri. Toutes

    monseignieur, quil vous preserve an bonne [barré : spe] s[an]té hureux se vie et longue.

    messagier sest arresté icy pour faire ses pasques. Au demeurant,

    humble de les faire descharger de la contribution pour le

    votre très humble et plus hobeys

    sire, très humblement requeste de vouloir accorder au sieur de Veaune, mareschal des lougis de

    ne se soit présenté par devant vous; dont je vous prye de lexcuser, dautant

    [barré : encores que par la] quilz peuvent avoyr, encore que par la publication que jay faicte faire de la bonne nouvelle que votre majesté a eue de

    lesquelz sont demourez en leurs maysons. Jay receu votre lettre du XXIe de mars.

    à la plus part de la quele javoys fayct entendre

    Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa garde. Escript à Fontainebleau,

    et davantage, je vous diray, monseigneur, que ceulx du Daulphiné

    fit sortir ors de prison à Paris, qui sy estoyt catholise et avoyt fayct

    temps, pendent lequel on pourvoira à la levée des deniers pour [mot barré] le

    de Neufville

    bonne intelligence avecques vous et vous assister de tout ce quil pourra. Sur tout,

    la justice et punition que les loiz et mes ordonnances veullenet, affin que par mesgarde

    que jay peu metre sus, et des communes, les queles, en quelque

    cy devant [barré : pro] aulx precedantz troubles prouveu

    recommendations à votre bone grace, et aultant en presente

    de Pontays, ce dernier dapvril 1573.

    de Neufville

    votre serviteur

    Sire, la nuict du XXVIe du passé, les rebelles donnarent une escallade à votre

    defunct en sadite charge durant XXVI ans peuvent apporter de merite envers

    [paragraphe barré de deux traits verticaux :

    le moyen des catholisez pour navoir peu [barré : advictualler] porter vivres à ceulx qui estoyent

    surce faire scavoir parquoy je vous prie me le mander par votre première;

    Madame, ceste mienne despeche na dautre fin que pour supplier très humblement

    Romans, en votre maison, ce 22 may 1573

    traicte et transport du sel quilz ont accoustumé enlever de ce pays franche dudit

    pour lepetit nombre des catholiques que nous

    soient sursoiées jusques à ce que ma court de parlement et vous ayez aultres lettres

    la vostre, laquelle je scay avoir fort bien et continuellement servi, ne

    avoir en sa saincte garde. Escript à Fontenay en Brye, le VIIe jour de juing

    magesté ny a esgard, laquele je noze importuner

    sans grande despence et foulle du pays, je supplie très humblement votre majesté me

    Lyonnoys, Foresz et Beaujolloys, jen pourroys estre secoru autrement

    despeché et sen revenir rendre son debvoir. Jenvoye à votre majesté

    venir le soulagement

    Vous men manderez votre advis et je prieray Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir

    prochaine tenue des estatz, toutes leurs despences seront cognues et

    sy ranger, pryant Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa garde. Escript

    Sire, ses jours passés, Montbrun surprint le lieu de Nions

    de ladite ville de Crest de ne bailler aucunes eticquettes aux soldatz pour

    et que sa venue puisse proffiter en quelque chose, enquoy je masseure que

    ung très grand mescontantement et les feray poursuivre par toutes les plus

    aussi une bonne lettre aveques toute instance de me contenter en cest endroict

    mesnager le plus soigneusement que faire ce pourra, affin que, par votre bon

    de Gordes, quil vous tienne en sa sainte et digne

    m’a proposé permectre ausdits de la nouvelle oppinion depputer vers moy un

    comme je m’asseure que vous aurez desia faict et

    et des sieurs pour [barré : en] luy en faire les remonstrances telles que porte

    puis [barré : prevalloir] cy après prevalloir]. Jey fayct distribuer voz

    veoyr par madite responce ; et estant sus le poynt de renvoyer

    de neufville s[ecretair]e

    de parlement à Grenoble mon edict de paciffication pour le faire

    vous avoir en sa sainte garde. Escript à Paris le XVIIe jour

    consideration et userez de ma volunté ainsi que verrez estre plus à propoz

    pas que [barré : Dieu] ilz obeyssent que par force. Dieu veuille toute

    restitution ; or syre, cuydant metre quelque fin à tant

    à toutes lesdites compaignies de mes ordonnances, gens de pied et autres gens de

    de recevoyr le bien et la grace que [barré : vous] votre magesté leur fayct,

    accoustumez, à toutes lesdites compaignies de mes ordonnances, gens de pied et

    seigneur de Monbrun pour le soulagement de ceste province.

    du pays, dont je vous advertiray incontinent après, afin que vous sachez

    votre bien humble et affectionné

    esté chargés par tous lesdits habitans

    où serions bien receus et aurions moyen de faire quelque bon service à sa majesté, oultre

    droict chemin et aux meilleures plus rayzonnables

    à Dye aultre quy avec lesdits retrenchementz puisse tenyr

    commandement quil nous a faict a esté pour lobservation et entretenement de la tresve,

    dame de Laval, femme de messire Bertrand de Simiane,

    venue, je n’ay voulu faillir vous advertir du faict, aultant piteux

    de pied et despeché devers sadite Saincteté le sieur de Vermillon,

    Savasse : Xm p. XVIII p. v. –

    auroyt faict emporter avec sesdits meubles les cloches dun village de

    Florensac, ce IIe decembre 1573. Voz humbles et obeissans

    sil vous playst et ce pour eviter toutes soupssons et calomnies

    tost comme jay antandu par plusieurs et divers

    mal et point dampechement qui nous [barré : doib] doibt

    aussi que lennemy se fortiffie tousiours plus

    et de la part dudit sieur leur seroyt esté dict et notiffié que suyvant

    home questant hors des prisons après avoyr parlé à monseigneur

    par ses presantes nous commettons et depputons pour, en nostre absance,

    monsieur de Monbrum vous donner bonne et longue vie. Du Montellimar,

    de Chippres, ia assés sien quand il heust voulu ;

    le canon fit son debvoir ; et au cas qui auraoit [barré : jà] esté jà faicte

    dudit duc.

    pour le faict de la religion. En somme, notter

    ses procès en la cité de Grenoble ; daultant aussy que des

    sont poinct libres et sy nous pourons passer,

    sorte que congnoistrez n’avoir poinct semé tant de plaisirs en sable, mays

    Pour la garnison de Piegon C XX hommes

    deulx ensemble à Gennes, puis que leur voyage

    venue en ce quartier que avez cogneu aultresfoys, ce

    murailhes, a esté advisé la baisser et reffaire et le tout est

    sera advisé sil vous plet commanderés à

    lequel me faisoit entendre comme le Turc, après avoir bruslé

    des vénitiens prendra la routte de la Poille, ou si elle viendra en Selgoulfe.

    ce que justement est mien comme à celluy lequel vous

    Monsieur de Gordes, encores que je desire avoir

    compaignie plus suspecte d’estre affectionnée en me demandant si jay memoires

    priant Dieu

    du conseil et me commander en voz affaires particulières comme à lun de voz

    santé très longue et très heureuse vie,

    ce quil vous plaira que jen suyve ; et en ce, je ne fauldrey vous hobeyr ;

    mandé le sieur de Monluc quil sy treuveroyt pour

    me pria vous en advertir fustent comme scavés

    à Champigny et lautre à St Fergeol. Quant à faire le taux des [barré : coups] vivres des

    bonne vye, et que pour gamès, syl vous plet,

    Je vous prye me fère antandre sy Baltesart pyse toujours

    et si rendre entrecy et le XV de septembre, encores que

    que monsieur de Toulon sera de la partie, aiant ja

    grand tryonfe ; que sera la fin, après vous

    très humblement recoumandé à vous bones graces

    Pierre de pontevès

    Monseigneur, vous presentant mes humbles recommandations, ie supplie

    d’Italie et de larmée des Venitiens de la

    luy et pour voyr notre ordre honnoré dune telle personne. Que pleust

    avant votre venue, à celle fin que je puysse advoyr les

    vous donnis bien advertissement à Lyon quant vous y

    apretoit lon son logis. Se lui de monsieur de Laval

    à Marseilhe. Toutesfois les voiageurs par la mer ne

    Gaspard flehard

    que je me porte fort bien à vous fère très humble service et

    avoit ordonné par cy devant et quil entendoit sue lesdites

    soict la fin de ce moys quy est le mesme tamps que lon tient que larmée turquesque

    vous presenter ses humbles recommandations.

    nu en ce lieu pour en apprendre nouvelles

    ung bien affectionné serviteur et comme par effet à locasion je

    lomme de monsieur de Bosas nommé Marcouis, ensanble à messieurs du

    serviteur

    espées hors de là ne aultrement, afin respectivement de saysir

    Solière ou aultre gentilhomme tel quil

    et le moyen qu’on ha à y tenir et advenant quil pleust à votre

    hourche

    Je vous supplie bien hunblement

    masseure que vous ne l’endurerez pas non plus que moy, pour le zelle que nous avons

    Au demeurant, je vous supplie me commander votre

    venyr à estre pappe ung jour et si les a leisser à ses anfans.

    maître de Langes

    et prye le Createur vous donner en santé

    comandemens, ientens si nesties alé en piedmont, car en ce cas là,

    Monsieur et madame d’Aumalle sont allez à Joynville pour les

    recoumandasions an iselle et prier Notre Senheur

    Grenoble, quil vous plaise faire commander au

    comme mieux votre segnorie le saict. Il

    Marie ne envoyé que ung fromage [barré : pezant] avec

    minimes à Tours, veust la Monestier ainssi esgourgetée et madame

    plus longue. Quant à ma santé, la Dieu grace, je

    de venir pour sen prendre garde en mon

    de nespargner ça vye ne ces moyens pour vous faire affectionné

    lestremité mais il ce porte mieux. Je ne veus pas oblier à vous dire quil

    lautre, afin de soulager dautant le pays

    à votre bonne grace, priant Dieu

    le VIIIe de septembre 1571.

    et est que par le recepveur general de la province sera payé à ung

    Ledit sieur de Leglise a vendu la couppe de votre boys de

    St jullien

    toute ma vie acomplir daussy bon cueur que me recommande

    Vallence, ce VIIme jour de sepbre 1571

    servyteur

    le consellier Audeyer et du chanoine Porret, lung mort pour

    De Valence, ce VIIme septambre 1571

    Cental

    mesmement quil y a encores rumeur et contagion de peste en la ville de

    faict ungfort beau ovrage de pressoir, prest

    pierre de pontevès

    serviteur

    la presente plus longue, je sallueray voz bonnes grasses

    bien heureuse vie. De Bayane, ce mardi Xe de septambre

    fère service

    Lon vendange à Jarrie où jey envoyé

    grace, sans oublier de me recommander humblement à la votre.

    montrerés comme jay aprins à jouer à la pillie qui saulte

    A ce que ma dict mons mondit nepveu, monsieur

    le Createur vous donner

    faire perdre ceste commodité à mon filz de Pomet, je suis esté

    leur ay dict que jestimois que nen seriez poinct marry, confiant

    leur ay dict que jestimois que nen seriez poinct marry, confiant

    le Turc. Je rencontray hier au partir de La Terrasse

    faire response, je me suys advisé les bailler

    paravant ung catterre si violent quil lavoit presque failly

    rien, je vous envoye celle que me feut bailliée. Je me doubte

    vous y estes desiré, que vous y seriés mieulx treté que

    conduyre, massurant aurreste que toutes ses

    cest endroict très humblement à votre bonne grace, en priant Dieu

    esperance à Dieu quil nous fera la

    obeyssant serviteur

    gesté, mays je creins que son service ny soyt pas faict [barré : coment]

    en parfaicte santé très longue et très heureuse

    les commis des estatz de Daulphiné

    7tembre 1571.

    g de portes

    monsegneur, vous donner en santé, heureuse et

    ladvis quil plairra à votre segneurie surce nous

    yer d’Avignon pour parachever son voyage et sen vient à ses

    qui fust de mesme en votre pouvoir. Et quant à ce

    jay toute matière preste et les maistres massons, chappuis et

    Jay veu par la letre quil vous a plu escripre à mon filz b

    Votre humble et plus affectioné

    en heureuse sancté, bonne et longue vie. De

    ladmiral à peine que monsieur le premier president sen

    septembre 1571

    Monsieur, je vous prie croyre que je ne

    recommandations, priant Dieu vous donner

    madame de Fiensayes. Madame et monsieur et mes

    Pommet me commanda aller à Serre vers madame de

    que je prie Dieu,

    monsegneur, après vous avoier beyssé très humblemant

    monsieur des Addrèz est venu en ceste ville. Ledit sieur de Pressins

    monsieur de Vantadour. De ma part, jen ay regret non tant

    succession au testament de madite dame à cause quelle leur laisse des places

    à vous faire cervice Bragard

    les mains, suppliant le Createur vous donner en

    chandelles, pour sepmeyne II Lt

    tormens que lesdits soldatz leur donnent, ilz rompent

    affectionnées recommandations à votre bonne grace,

    Gordes

    pour le repos et honneur et reputation

    chose du monde de nouveau, qui me fera finir

    cassine ou grange là auprès et de lever leaue qui passe par ledit

    qui puisse advenir ; car en effect silz veullent execquter quelque

    asseurer messieurs, que leurs majestés et tous les seigneurs dudit conseil, me lont donnée en

    de nous comme [barré : desdits], on fera [barré : desdits] desdits Margallier et ministre,

    monsieur, quil vous doynt en parfaicte santé longue et contante vie. De

    prochain. Je vous supliray bien humblement,

    Je croy bien que le camp de monsieur levesque

    Mercier et pour monsieur Vincent de Lion à la requeste

    pourteur de la presente, qui vous pourra dire et laurés

    Monsieur d’Evènes est ordinairement après monsieur de Sauve

    vous advertir quil y faudra aller en bon ordre et bien

    service de sa magesté et le votre. Mays, monsieur, vous connoissez

    ycy nous en esperons bien tost venir à bout. Jey desjà prins deux mille

    de Molines. Je prie le Createur

    dangiers qui sen ensuyvent et par les coursses que

    Votre bien humble serviteur

    monseigneur quil vous donne en saincté

    Votre bien humble et obéissant frère

    Monsieur de St-Serny ma anchargé de [barré : vostre] presenter

    tost quil aura baillé quelque cahier à monsieur de Limoges pour le pays quil

    ferés entendre votre volunté, la quelle ie metrai

    artilyerye de Serre ne vault rien ; tous ceulx qui

    dautant que cestoit au quartier du regiment des Landres, cest-à-dire

    contraire se presente par devant nous ung prejudice irreparable

    companie fera monstre sur lesdits deniers pour le quartier doctobre

    difficulté, elle soit authorisée. Pour ces raisons, il vous plairra le luy commander

    gouverneur, daultant quil adsistoit là, estant arrivé le iour precedent XXVe.

    à la quelle fais fin, me recommandant humblement à

    les habitans de ladite Coste de different advys avec les gentilhommes du lieu parce

    Votre très humble et pour jamès obeissant

    De Briançon, ce penultiesme janvier 1574

    main à la protection, conservation, poursuyte et union dudit sacré domaine,

    cinquante hommes de notre citadelle. On faict issi bruit de la

    cecy luy estre preiudiciable en aulcune chose, jay votre

    seffraier. A Gargas, Dieu mercy, tout y va bien et y continuons

    myennes dernières, je vous mandoys que nous estions icy en quelque doubte de nouveaux

    cinquante hommes de notre citadelle. On faict issi bruit de la

    votre très humble et obeyssant

    se parle de levée ou menée au prejudice de sa majesté

    dieu permetra que je soye à Grenoble, je ny gasteray rien

    fort, et à ce que jentens, sy la fiebvre la

    Votre pour jamès trèsd humble

    Ecroys que ne vouldriés que ie prince une escorne ; car ie veux

    Votre humble et obeissante

    ce que le dit sieur de Chastellart vous touche des languaiges que le roy luy tint de vous, lesquelz ilz fit entendre à la

    contraventions et desordres que aucuns des compagnies dhommes

    vous plaict faire à maître Flori pour son eslargissement et

    commandant audit chasteau en labsence dudit Bolut, auquel

    de sa majesté leur adherer et consentir, à peyne

    d’Embrun qui est detenu à Vitroles, ce advenant il y faudroyt

    icelluy toute ma vie accomplir daussy bon cueur

    facheus discours, jy mettrey fin , vous bezant très humblemant

    humblement mexcuser et me faire entandre votre

    tellement que qui sen vouldra servir, en fera une neufve.

    religion ou leurs ministres ont volu fère croyre à plusieurs. Au

    que ledit Antragues est deliberé comme serviteur quil est à monsieur de Suze, de luy conseiller de presser

    Or monseigneur, javoye remis à la première commodité vous escripre

    les jallouzies et souspeçons d’intelligence de lennemy sur icelle,

    que je ne puis esperer rien de mieulx à ladvenir que ce qui a esté faict

    monseigneur, en santé prosperité augmentation de voz estatz et grandeur. A

    que leurs magestés desireroint, comme plus particulierement

    Toutesfoys, il vous playra men escripre votre volunté car il

    et le service quespère que vous nous donrrés ;

    lenemy qui detient et ocupe toutes nos aydes

    tousjours attentifz à faire bonne garde quelle trève quil

    vous pour vous faire la reverance et rendre mon debvoir,

    la meson de Françoys Daubres et lauteur et conducteur est le sieur du Poyt. A ce

    toutes conformes, qui les met en telle frayeur

    acoustumé et cessé la garde comme ilz ont respondu, tant pour rayson

    monsegneur en très bonne sancté et longue

    leur souhète et peult beaucoup pour leur soulagement, comme

    gardera vous en fère plus long discours ; sil nest

    duquel jay entendu leur desain estre de faire

    monsegneur en très bonne saincté et longue vie. De Grenoble,

    toutes choses raisonnables. Et sur ce après nous

    eulx, vous remercyant bien humblement de ce quil vous plaict

    pays, de vouloir octroyer deux ou trois soldardz

    recommandations. Monsieur le president Truchon mat escrit que je luy envoyasse à la première oppourtunité une coppie

    ung mémoire pour votre particulier à monsieur de

    accompaigné dune lettre audit Cadet pour le cacher dans ledit chasteau qui

    monsieur le mareschal.

    prisonier laultre et mené au chasteau de

    1574.

    metre humblement recoumandé à vous bonnes graces, priant

    par deçà. Son partement fut ung petit plus souldain que je ne pensoys, de

    serviteur pour nous en faire venir à heureuse fin

    tiltres sont fort vieulx, car il y a bien IIIIXX ou cent ans que nont esté

    sans estre requis quoy quil disoit. Je suys très ayse

    depeche. Les estatz se tiendront, Dieu aydant, le

    d’Aulvergne. Cyl raporte choze qui le merite, je ne

    tuer et quil y avoyt une entreprinse sur les chateaux de La Mure

    Le president me sont si proches et en sperance de le veoir

    voise bien par deçà. Je suys esté visiter despuys troys

    père, aient esté receu dudit duc de Cazemyr et de tous les

    esté à Pontays pour aultre occasion que pour le faire mouryr à loccasion de quelque innimytyé quil dit avoyr

    Lanjac et se debvoit excequter à demain, jour de dymanche cependant

    et par lentreprinse sur Bagnolz, nous cognoissons

    à perpetuitté, priant Dieu vous donner,

    dans la vallée d’Engroigne, taschant par tous moyens

    vous baise bien humblement les mains et prie Dieu

    cours ; et aiant lesdits excès esté perpetré par ceulx de votre

    ny a que dix ou moins d’années qu’ilz l’ont eue de [barré : nre]

    du tresorier de lextraordinère Lagorce, lequel est

    contribution qu’il leur conviendra faire audit magazin

    polles et chappons pour luy faire tenir ; cependant, je luy ay bailhé

    Crest. Je ne vous puis dyre si sa reception reviendra au prejudice

    Grane, ce Xe de febvrier 1574.

    avecques vous. Affin que vous en soyés mieux instruict,

    avecques vous. Affin que vous en soyés mieux instruict,

    devers monseigneur le marechal de Damville.

    Jay fait responce à mondit sieur de St André que

    et depuys convertie an double tierse, et says aut honziesme jour

    pryant Dieu vous donner,

    De Grenoble, le XIme febvrier 1574.

    a testé en faveur de monsieur de Laval. Et pour ne scavoyr

    de confitures, avec la musique. Je nay encor peu descouvrir

    L Berallier

    moys de juillet pour faire mil cinq centz livres à monsieur de

    longue vie, saluant voz bonnes graces

    Votre plus afeccionné à vous faire servise

    Laborel.

    on porte aulcuns vivres quelz quilz soient en ceste ville

    mais lons ma respondu que les autres venus pour

    Votre très humble etrès obeissant frère et serviteur LA ROCHE

    bien tost. Vous pourrés avoir sceu comment monsieur de St Sulpice

    vostre segnerie daussy bon ceur que prie Dieu,

    antandre que cella ne sera trop grand despence aux aides de ceste

    semblé pour le meilleur la remetre à votre arrivée en ce lieu, de laquelle nous aurons le soin comme la trefve

    malheureuse entreprinse, tant contre lesdits consulz que

    er maleurs. Je la finerey avec mes

    affaires tout ce qui se pourra et [barré : tenterons] tacherons

    pas pour inportunité si je les metz dans le present pacquet ; que

    nous dorra. Je desireroys scavoyr de vous si

    chose au preiudice de ladite suspension. Comme nous vous fimes entendre dernierement,

    scavés, en pays sterille ; actendu [barré : aussi]

    santanses [barré : al] arbitrales quon e[s]t fés sus les diferans des

    avons exhortés de se metre à leur devoyr de se

    monsieur, en très heureuse santé très longue et heureuse vie. De Dye,

    plaise mander et ordonner à mesdits sieurs les commis de louir et

    Meaulce pour les diocèses de Nismes et Uzès ; et quant à ce que me priés vous

    pour y metre quelque remède sil se peult treuver. Et de ce

    recommandations, priant le Createur

    Galeys et Gafontayne prisoniers. Monsieur, sy les huguenaulx senstendent

    si aurés lettres de monsieur de Chatellart. Il est à

    que monsieur de Rousset verra, à laquelle je

    ny autrement, que vous puissiés assseurer lartillerie devant

    scauroys dyre et du salaire de lestol quilz mavoyent promis,

    Bonet secretaire

    et de bon cueur à votre bonne grace, en priant Dieu de vous donner,

    laquelle faillie, se retirarent à Chorges doù ilz furent pour surprendre

    Lon me mande aussi que lon ne parle plus si chauldement

    revolter ; et si, que Dieu veuhe, il nen

    aura bien daultres. Despuys que les comencent au plus anciens

    estatz prochains en pourrions plus amplement discorir avec vous,

    [brouillon de réponse de M. de Gordes]

    ses vieulx chasteaux sonctz entretenus et conservés

    neiges les en gardent. Autres nouvelles ne vous puys

    attendant de recepvoir vous commandementz, ne

    Vallantinoys, cece [sic] que seroyt bien aussi tost à doubter.

    humbles et affectionnez recomandations à votre bonne grace et prie le

    Voz povres subiectz de Chechilienne voz

    fevrier 1574.

    icelle tout ce quil ce peult, et que leurs avés desparty raisonnablement des fources qui sont en votre puissance.

    d’Arles, ung au chivaucheur de Ville

    votre voulloyr pour icelluy toute ma vie accomplir

    Priant Dieu,

    Truchet consul Philipons

    loyzir dhavoyr melheur escrivain que moy,

    plus grande. Toutesfois, ilz espèrent que par

    Varce, laquelle pourrez veoyr. Et en atendant de voz novelles,

    vous suplie, monseigneur, [barré : très h] avoyr esgard et que oultre la

    plaict nous mander, auront grant efficaxe [sic] contre

    messeigneurs, vous conserver en très perfaicte sainté, très longue

    le reste ; e[t] sest present jour, lesdits rebelles sont

    De ma part, je cognoy que la peur est entrée si avant et a

    si le besoyn y est. Quant à moy, je ny entens rien.

    ce XVIIe febvrier 1574.

    succès aura prins ce faict, cependant, je vous supplie très humblemant

    prins quil ne restera rien plus à prendre. Je vous laisser penser en quelque

    monsieur, en parfaicte santé, heureuse vie et longue. De Grenoble, ce

    discours [barré : po] si cestoit par ung aultre, mays je say que monsieur de Nocase estant bien monté avec la compagnie de ces

    que monsieur Faure at entre ses mains avec ung acquit

    qui demeurent en garnison auprès de nous ; mays cela

    je remetrai à notre première vue quespère en Dieu

    pence que iustise me sera faite. Ie nay pas heu la peine de debatre

    tous la paciance quil cognoit nous estre necessère

    grande integrité et qui desire demeurer et estre retenu au

    que vos ey escript du Seint

    obeisante à vous fère servisse

    tout ce qui sera de notre povoyr. Ilz ont advisé denvoyer

    Ferrière qui conduict lanfanctarie sen partit dudit

    atendant voz commandementz, je finiray ceste par mez humbles et

    vie. De La Mure, ce XIXe febvrier 1574.

    fevrier 1574.

    secours du Languedoc et des Sevennes

    Monmorancy.

    lun deulx est prisonnier pour avoyr heu intelligence avec

    que estant parti à limproviste, il nestoit chargé

    mieux dailheurs. Atant, je prierray le Createur vous donner,

    pouvoir nuyre au service du roy. Je nay rien receu

    vous die, monsieur, que le roy a grande occasion de se

    Vostre très humble serviteur

    par ung appoinctement que fistes aux consulz de ce lieu

    monsegneur, en très bonne saincté et longue vie et vous

    montagnes où lon se pleynt des pilieries et compositions

    grace et prie Dieu vous donner,

    commandementz. Au demeurant, jay entendu dudit Vent ce quil vous a

    de tout que moy.

    robe de velours à double guène, laultre grande dune

    monsieur, en très bonne sancté heureuze et

    Voustre très humble et hobeissent

    ceulx qui sadresseront à vous. Attendant vous commandementz,

    de monsieur le capitaine Mistral, qui merite autant de faire la charge qu’il faict

    ou six vingt harquebusiers pour les venir secourir,

    venus aulx nopces de la filhe de gentilhoume d’Urre,

    grace, priant Dieu,

    en bonne devotion pour après se resoudre de sen aller. Je pense que monsieur

    envoie querir à Embrun ung sergent et six soldatz pour [..]

    bonne garde, mays quil ne font aucune reparasions.

    febvrier 1574.

    de la guerre conduyronnt encor mieulx la barque, ce que

    retirés suivant leur mauvaise voulenté avec les

    et aymer come frère G. CARDL. D'ARMAIGNAC.

    allyée preste à vous faire

    estant entandues, je masseure quon ne me voudra demetre

    seans, quest la cause que je vous veulx supplier

    pour coumander en ce lyeu, dont je luy remertye très humblement

    je vous supplieray me continuer en voz bonnes graces, et vous

    Lucques et sacheminoit à

    che mio venir trovar soa eccelentia, laqualle io la